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Saint-Lubin-de-la-Haye

Saint-Lubin-de-la-Haye est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Saint-Lubin-de-la-Haye
Saint-Lubin-de-la-Haye
L'église Saint-Lubin
Logo monument historique Classé MH (1967).
Blason de Saint-Lubin-de-la-Haye
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Dreux
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Houdanais
Maire
Mandat
Véronique Le Guillous
2020-2026
Code postal 28410
Code commune 28347
Démographie
Population
municipale
922 hab. (2020 en diminution de 1,28 % par rapport à 2014)
Densité 64 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 49′ 12″ nord, 1° 34′ 20″ est
Altitude Min. 79 m
Max. 136 m
Superficie 14,32 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Anet
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Lubin-de-la-Haye
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Saint-Lubin-de-la-Haye
Liens
Site web http://cc-payshoudanais.fr/

    Géographie

    Situation

    La commune de Saint-Lubin-de-la-Haye est séparée en deux par la Vesgre : Saint-Lubin village d'une part, et La Haye d'autre part, qui sont les 2 bourgs principaux, concentrant respectivement 36 % et 23 % de la population. Les autres habitants sont répartis sur plusieurs hameaux : les Branloires, Richeville, le Coudray, le Méziard, le Cornet, le Gué Maimbré, les Bahuts, Biennouvienne et les Friches.

    Au dernier recensement, on comptait 791 habitants, sur une superficie de 1 431 hectares dont les espaces agricoles (11 exploitations) occupent une grande partie, sauvegardant le caractère du village auquel ses habitants, les Léobiniens, sont très attachés.

    La commune fait partie de la région naturelle et agricole du Drouais[1].

    • Situation géographique
    • Saint-Lubin-de-la-Haye dans son arrondissement.
      Saint-Lubin-de-la-Haye dans son arrondissement.
    • Carte de la commune de Saint-Lubin-de-la-Haye.
      Carte de la commune de Saint-Lubin-de-la-Haye.

    Communes, département et région limitrophes

    La commune est limitrophe du département des Yvelines et de la région Île-de-France.

    Située à la lisière du département d'Eure-et-Loir, Saint-Lubin-de-la-Haye a décidé en son rattachement à la communauté de communes du Pays Houdanais (CCPH). Cette adhésion a été effective le .

    Communes limitrophes de Saint-Lubin-de-la-Haye
    Berchères-sur-Vesgre Boissets (Yvelines)
    Bû Saint-Lubin-de-la-Haye Gressey (Yvelines)
    Havelu Goussainville Houdan (Yvelines)

    Hydrographie

    La commune est traversée par la rivière la Vesgre, affluent de l'Eure en rive droite, sous-affluent du fleuve la Seine.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 666 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bu_sapc », sur la commune de Bû, mise en service en 1996[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 635,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Trappes », sur la commune de Trappes, dans le département des Yvelines, mise en service en 1923 et à 32 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,2 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,6 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Lubin-de-la-Haye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (84,1 %), forêts (6,5 %), zones urbanisées (5,1 %), prairies (4,3 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Lubin-de-la-Haye est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par ruissellement et coulée de boue, notamment la Vesgre et l'Aqueduc de l'Avre. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1988, 1992, 1995, 1999, 2000, 2016 et 2018[23] - [21].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Lubin-de-la-Haye.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile, des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des effondrements généralisés[24]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 53,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 437 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 252 sont en en aléa moyen ou fort, soit 58 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1996 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[27].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Sanctus Leobinus vers 1250[28].

    Saint-Lubin est un hagiotoponyme faisant référence à Lubin de Chartres, mort vers 557.

    la Haye est le hameau rattaché à Saint-Lubin en 1790 donnant Saint Lubin de la Haie en 1793, Saint-Lubin-de-la-Haye 1801[29].

    Histoire

    On trouve traces de civilisation néolithique dans la région[30]. Toutefois, les vestiges et les ruines les plus anciens retrouvés sur le territoire de Saint-Lubin datent de l'époque gallo-romaine. Le peuplement de la commune s'est effectué à l'époque franque, vers le VIe siècle.

    Saint-Lubin doit son nom actuel à son église, édifiée au XIIe siècle. Ce n'est que beaucoup plus tard, en 1790, que le hameau de la Haye est rattaché à Saint-Lubin, donnant ainsi le nom de Saint-Lubin-de-la-Haye à la commune.

    En fait, le village est né de la conjonction des seigneurs féodaux de Richebourg, vassaux des Monfort, et de l'abbaye d'Ivry en 1071. La population de la commune, qui était de 200 habitants au XIIIe siècle, passe de 600 au XVIIIe siècle, pour atteindre 800 habitants au XIXe siècle et n'a cessé de décroître depuis lors : 600 en 1900, et 400 au recensement de 1968.

    Cette dernière période est celle de l'expansion des résidences secondaires qui abritaient 300 habitants.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires à partir de 1945
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1989 Pierre Gallot
    1989 2001 Jean-Pierre Richard
    2001 2020 Philippe Sandrin SE Agriculteur
    2020 En cours Véronique Le Guillous

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

    En 2020, la commune comptait 922 habitants[Note 8], en diminution de 1,28 % par rapport à 2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    575675672705752753775760800
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    732715702680650658652631616
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    607570572526536531492493415
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    361392432559630786905917903
    2015 2020 - - - - - - -
    953922-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Chapelle Saint-Sulpice

    Chapelle Saint-Sulpice
    Chapelle Saint-Sulpice.

    Logo monument historique Inscrit MH (1964)[34].

    La chapelle Saint-Sulpice-de-la-Haye a été fondée au XIIe siècle par les moines bénédictins de l'abbaye d'Ivry, non loin de la Vesgre. Elle est inscrite à l'inventaire des monuments historiques en 1964. Cette magnifique chapelle a connu de nombreuses tentatives de restaurations, notamment de la foudre en 1908. Les réfections sont malheureusement insuffisantes. En 1972, des bénévoles soutenus par le maire sauvent momentanément Saint-Sulpice.

    Actuellement, une étude de travaux préalables a été faite et présente clairement le désordre intérieur et extérieur, d'où l'urgence de faire des travaux de clos et de couvert.

    Église Saint-Lubin

    Logo monument historique Classé MH (1967)[35]. Ses époques de construction sont les XIIIe et XVIe siècles.

    Personnalités liées à la commune

    • Le général Louis Pelletier, né en 1754 à Saint-Lubin-de-la-Haye et mort en 1843 à Montpellier, servit de général dans l'armée de Napoléon Ier. Au monument aux morts de La Haye, une plaque commémorative en son nom a été installée. Une rue porte aussi son nom dans le même village.
    • L'humoriste, acteur et militant politique français Dieudonné (1966- ) y possède un ensemble immobilier[36] - [37].

    Héraldique

    Armes de Saint-Lubin-de-la-Haye

    Les armes de la commune de Saint-Lubin-de-la-Haye se blasonnent ainsi :
    chevronné de gueules et d'or de six pièces, à l'écusson brochant du même chargé d'une couleuvre ondoyante d'azur posée en pal

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Bu_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Lubin-de-la-Haye et Bû », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Bu_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Lubin-de-la-Haye et Trappes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Trappes - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Trappes - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Trappes - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Lubin-de-la-Haye », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    24. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
    25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Lubin-de-la-Haye », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    27. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    28. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations dialectales (suite) et françaises, Droz, , p. 1557.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Pierre Dane, ?
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. « Chapelle Saint-Sulpice », notice no PA00097196, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. « Église Saint-Lubin », notice no PA00097197, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. François Feuilleux, « Justice : Dieudonné doit 887,000 â‚¬ aux Impôts », lechorepublicain.fr (consulté le ).
    37. « Dieudonné en garde à vue pour apologie du terrorisme », sur liberation.fr, (consulté le ).
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