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Bérat (Haute-Garonne)

Bérat est une commune française située dans le centre du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays toulousain, qui s’étend autour de Toulouse le long de la vallée de la Garonne, bordé à l’ouest par les coteaux du Savès, à l’est par ceux du Lauragais et au sud par ceux de la vallée de l’ Ariège et du Volvestre.

Bérat
Bérat (Haute-Garonne)
Place devant la poste.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Muret
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Garonne
Maire
Mandat
Paul-Marie Blanc
2020-2026
Code postal 31370
Code commune 31065
Démographie
Gentilé Bératais, Bérataises
Population
municipale
3 063 hab. (2020 en augmentation de 4,93 % par rapport à 2014)
Densité 125 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 22′ 43″ nord, 1° 10′ 36″ est
Altitude Min. 202 m
Max. 265 m
Superficie 24,46 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bérat
(ville isolée)
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cazères
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Bérat
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Bérat
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Bérat
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Bérat
Liens
Site web Site officiel

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le canal de Saint-Martory, le Touch, le ruisseau de billère, le ruisseau de Gragnon, le ruisseau de Rieu Ferré, le ruisseau des Feuillants et par divers autres petits cours d'eau.

    Bérat est une commune rurale qui compte 3 063 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle appartient à l'unité urbaine de Bérat et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Bératais ou Bérataises.

    Géographie

    Localisation

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    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    La commune de Bérat se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 33 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, à 15 km de Muret[2], sous-préfecture, et à 20 km de Cazères[3], bureau centralisateur du canton de Cazères dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Rieumes[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Bois-de-la-Pierre (4,3 km), Poucharramet (4,4 km), Labastide-Clermont (5,5 km), Longages (5,8 km), Savères (5,9 km), Rieumes (6,1 km), Peyssies (6,3 km), Lherm (6,9 km).

    Sur le plan historique et culturel, Bérat fait partie du pays de Comminges correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[5].

    Bérat est limitrophe de huit autres communes.

    Situation géologique

    La commune de Bérat est établie sur la troisième terrasse de la vallée de la Garonne. L’originalité de cette vallée porte sur son profil dissymétrique par rapport au lit du fleuve. Sa rive droite est surplombée par un talus abrupt qui entaille profondément la molasse de l’ère tertiaire (coteaux de Carbonne, Muret) tandis que la rive gauche est constituée de terrasses en gradins bien visibles entre les villes de Toulouse et de Muret (les descentes de la route de Lavernose et de Longages nous amènent en seconde terrasse, la montée au pied du village de Rieumes en quatrième).

    D’origine fluvio-sédimentaire, la genèse de ces terrasses résulte de la succession des différentes crises climatiques de la première période du Quaternaire. Ces terrasses correspondent à d’anciens lits alluviaux abandonnés par le fleuve. Bérat s’enracine sur un ancien lit de la Garonne, l’appareillage des murs des anciens bâtis et les galets de quartzite des jardins en font la preuve.

    La superficie de la commune est de 2 446 hectares; son altitude varie de 202 à 265 mètres[7].

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Bérat.

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par le canal de Saint-Martory, le Touch, le ruisseau de billère, le ruisseau de Gragnon, le ruisseau de Rieu Ferré, le ruisseau des Feuillants, un bras du Gragnon et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 48 km de longueur totale[9] - [Carte 1].

    Le canal de Saint-Martory, d'une longueur totale de 71,2 km, prend sa source dans la commune de Saint-Martory et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Toulouse, après avoir traversé 19 communes[10].

    Le Touch, d'une longueur totale de 74,5 km, prend sa source dans la commune de Lilhac et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Blagnac, après avoir traversé 29 communes[11].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[12]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[13].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[12]

    • Moyenne annuelle de température : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 725 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[15] complétée par des études régionales[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Muret-Lherm », sur la commune de Lherm, mise en service en 1996[17] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[18] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 606,3 mm pour la période 1981-2010[19]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Toulouse-Francazal », sur la commune de Cugnaux, mise en service en 1922 et à 22 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[21], à 14,1 °C pour 1981-2010[22], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[23].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[24] - [25] - [26].

    Urbanisme

    Typologie

    Bérat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [27] - [I 2] - [28]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bérat, une unité urbaine monocommunale[I 3] de 3 063 habitants en 2020, constituant une ville isolée[I 4] - [I 5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 6] - [I 7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,2 %), forêts (10 %), zones urbanisées (8,1 %), zones agricoles hétérogènes (7,9 %), prairies (3,7 %)[29].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Morphologie urbaine

    L'essentiel des constructions qui s'étire sur plus de cinq kilomètres le long de la route départementale D 23 est situé sur une colline entre les vallées du Touch et de la Louge.

    Lieux-dits ou hameaux

    Les Crocs, la Grangette, Cap Debat, Cap Dessus

    Logement

    L'urbanisation croissante s'explique par la périurbanisation due à la proximité de Toulouse, Bérat faisant partie de son aire urbaine[I 8].

    Voies de communication et transports

    La ligne 324 du réseau Arc-en-Ciel permet de rejoindre la gare de Muret (et Toulouse par TER) depuis le centre de Bérat. La ligne 361 dessert la commune depuis Le Fousseret vers la gare routière de Toulouse et la ligne 364 dessert la commune depuis Rieumes vers la gare routière de Toulouse également.

    Risques naturels et technologiques

    Bérat est située sur une zone à risque d'inondation limité en bordure du Touch et de son affluent, ainsi qu'aux mouvements de terrain, affaissements et effondrements[30].

    La commune est également concernée par un risque de séisme de 2/5 (faible)[30].

    Histoire

    La préhistoire

    Bérat comporte de nombreux sites de gisements préhistoriques où l'on peut trouver, encore de nos jours, des objets taillés dans les quartzites déposés par la Garonne.

    L'influente abbaye de Lézat

    Le nom de Bérat commence à apparaître avec certitude dans des écrits du Xe siècle et notamment dans le XIe acte du cartulaire de l'abbaye de Lézat en date du mois de juin 946 lequel indique que « Sictrude donne à l'abbaye de Lézat (dépendante de l'abbaye de Cluny) le quart de l'église de Saint Pierre de Bérat, avec la moitié d'une vigne et d'une terre, et une redevance annuelle d'un demi-muid de vin ».

    En 1040, Lézat rétrocède ses droits aux Hospitaliers présents à Poucharramet.

    En 1071, Raymond Garsia, vassal d'Arnaud de Muret qui détient des terres à Bérat, cède un emplacement à l'abbaye de Lézat pour y créer la sauveté de Sainte Marie de Cog Morta sur laquelle sera édifiée une église. Les Hospitaliers rétrocèdent par la suite St Pierre de Bérat à Lézat, Raymond Arnaud approuve en 1084 la donation des deux églises. Les deux paroisses se regroupent pour former une seule sauveté autour de Saint-Pierre sur la base du village actuel. L'abbaye de Lézat établit à Bérat un prieuré qui se maintiendra jusqu'en 1710.

    Bérat passe du clergé au Comminges

    Au XIIe siècle, à la suite du mariage de Bernard Ier, comte de Comminges et de Diaz de Muret, Bérat entre en Comminges.

    Bernard 1er passe à la maison d'Aspet (fin XIIe, début XIIIe siècle), une des plus grandes seigneuries du Comminges. Arnaud Raimond II d'Aspet marie sa fille à Fortanier de Comminges. de leur union naît Roger, qui sera seigneur de Bérat entre 1217 et 1259. Ramont AT et Bernard, fils de Roger étaient susceptibles de reprendre la seigneurie, le manque de documents durant cette période ne permet pas d'étayer cette hypothèse. La sauveté laisse place à un village, groupé autour d'un château élevé sur motte et entouré d'eau (lieu-dit "le Barradas" à l'actuel emplacement du groupe scolaire)

    Du XIIIe au XIVe siècle va perdurer une période trouble alimentée par des guerres seigneuriales, les guerres de Religion et la guerre de Cent Ans, ce qui amènera les seigneurs d'Aspet à édifier une forteresse pour protéger les populations, ce dont l'église était incapable. Le château fut en fin de compte réduit en cendres, et quelques vestiges subsistèrent jusqu'au XVIIIe siècle (nom de "Barradas" = fortin détruit).

    On reparle en 1306 d'un autre Bernard d'Aspet, seigneur de Bérat, dont le fils Raimond d'Aspet, seigneur à son tour vers 1379, épouse dame Tiburge de Pailhés. On retrouve la trace d'un Jean d'Aspet au début du XVe siècle qui signe ses actes en tant que seigneur de Bérat.

    À partir du Moyen Âge jusqu'à sa disparition en 1790 pendant la Révolution française, Bérat faisait partie du diocèse de Rieux.

    Alliance du Comminges avec le Béarn

    C'est en 1420 que succèdent aux Aspet, les Coarraze, issus du Béarn. Raymond Arnaud de Coarraze (compagnon de Jeanne d'Arc) se marie avec une Aspet en 1421 et devient, de fait, seigneur de Bérat, d'Espaon et co-seigneur de Péguilhan. Son frère Bernard est attesté comme Baron de Bérat en 1432 et, de l'union de ce dernier avec Sibylle de Castelbajac, naît Jean de Coarraze Baron de Bérat entre 1477 et 1506.

    Alliance du Béarn avec l'Armagnac

    En 1470, l'arrêt des conflits permet aux ecclésiastiques de reprendre leurs activités. Le site du château semble abandonné et l'on débute alors la construction de l'église actuelle Une période non documentée ne permet pas d'établir le jeu des alliances qui allaient s'opérer entre les Coarraze et les Duffaur, originaires d'Armagnac.

    Les Duffaur de Coarraze s'établissent au domaine de Latour. En 1596, Corban Duffaur de Coarraze, seigneur de Bérat, épouse Isabeau de Jaubert. Ils ont pour fils Jean-Pierre II Duffaur de Coarraze, seigneur lui aussi, qui épouse en 1624 Catherine de Béon de Lapalu puis Catherine Darmoutiou-Vinou. Leur fils Jean Louis Duffaur de Coarraze, né en 1627, est baron de Bérat. Il épouse Jeanne Marie d'Encausse. Ils auront un hériter, Philippe, seigneur de Sémézies, qui meurt vers 1692 à Bérat sans postérité. Son frère hérite de la seigneurie qu'il lègue à Jean-Louis II, né en 1687 et cité en 1736, lequel épouse Anne de Villemur de Pailhés, d'où naît François-Antoine Duffaur de Coarraze né en 1721. Ce dernier, co-seigneur de Bérat, épouse Anne-Marie de Binos. Le dernier des Duffaur de Coarraze est cité comme étant premier page du Roi. Il émigrera en 1799.

    Alliance avec des marchands anoblis, retour du clergé et Révolution française

    Aux XVIIe et XVIIIe siècles, Bérat revient dans le giron de l'église et fait partie de l'Évêché ainsi que de la justice de Rieux. Les de Papus (liés au capitoulat de Toulouse), famille de marchands anoblis au XVIe, partagent la seigneurie de Bérat avec les Duffaur de Coarraze.

    La famille des Papus, connue à Toulouse depuis 1518 et dont un quartier de la ville porte encore le nom, donneront plusieurs barons à Bérat avec François III de Papus, mort en 1665, époux de Jeanne de Coulet puis de Marie de Frézals, ainsi que le fils Jean de Papus qui épousera Marie Dumas, d'où François IV, né à Venerque en 1630 qui sera également cité comme Baron de Bérat, ce dernier épousant Marie de Combettes en 1676, d'où Marie Joseph qui épouse en 1690 Marie de Parade, et sera Baron de 1733 à 1738. leur fils François V est cité en 1779 sous le titre de Baron de Bérat et co-seigneur de Lherm. François V eut de ses épouses successives, Perette de Boredon puis Jeanne de Lézat, deux filles : Henriette, qui prendra le nom de Dufas et Jean-Gabrielle celui de Legardeur.

    La Révolution viendra balayer les droits seigneuriaux. Les titres se perdent et les biens sont partagés au début du XIXe siècle...

    Après la Révolution

    Bérat appartient tout d'abord au canton de Noé, puis à celui de Carbonne, et enfin, le , à celui de Rieumes. Au XIXe siècle, la vigne et le commerce font la prospérité de Bérat. En 1881, la population est de 1 017 habitants répartis dans 289 maisons.

    Pour 1939-1945 voir :

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 2 500 habitants et 3 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de vingt trois[31] - [32].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes Cœur de Garonne et du canton de Cazères (avant le redécoupage départemental de 2014, Bérat faisait partie de l'ex-canton de Rieumes) et avant le 1er janvier 2017 elle faisait aussi partie de la communauté de communes du Savès.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1965 André Salat
    Auguste Sost[33]
    Joseph Véron[34] Agriculteur
    Jean-Pierre Delhom DVD Agriculteur retraité
    [35] En cours Paul-Marie Blanc DVG-PS Musicien
    Président de la CC Cœur de Garonne (depuis 2020)
    Réélu en 2014 et 2020

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37]. En 2020, la commune comptait 3 063 habitants[Note 7], en augmentation de 4,93 % par rapport à 2014 (Haute-Garonne : +7,44 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7256949439881 1031 1471 1411 1891 214
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2191 1311 0911 0531 0181 0161 0281 019980
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    917939915849852812750766802
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    8188048239801 1531 4072 2492 3692 806
    2017 2020 - - - - - - -
    3 0163 063-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[40] 1975[40] 1982[40] 1990[40] 1999[40] 2006[41] 2009[42] 2013[43]
    Rang de la commune dans le département 108 106 113 111 109 85 72 73
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Enseignement

    Bérat fait partie de l'académie de Toulouse.

    L'éducation est assurée sur la commune par une école primaire qui comptait 425 élèves en 2011 : 265 à l'école élémentaire (11 classes) et 160 à l'école maternelle (6 classes). Elle comporte aussi une crèche.

    Culture

    Bibliothèque, salle des fêtes, fête locale en septembre, vide-greniers, et de très nombreuses associations sont présentes sur la commune.

    Activités sportives

    Football, rugby à XV,

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la Communauté de communes du Savès[44].

    Il existe une déchèterie située sur la commune de Rieumes (déchèterie du Savès)[45].

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 1 117 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 3 062 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 050 [I 9] (23 140  dans le département[I 10]). 49 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 9] (55,3 % dans le département).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 11]6,7 %8,1 %9 %
    Département[I 12]7,7 %9,6 %9,3 %
    France entière[I 13]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 908 personnes, parmi lesquelles on compte 80,7 % d'actifs (71,7 % ayant un emploi et 9 % de chômeurs) et 19,3 % d'inactifs[Note 10] - [I 11]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3] - [I 14]. Elle compte 382 emplois en 2018, contre 310 en 2013 et 297 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 374, soit un indicateur de concentration d'emploi de 27,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 68,1 %[I 15].

    Sur ces 1 374 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 230 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 91,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,8 % les transports en commun, 2,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].

    Secteurs d'activités

    199 établissements[Note 11] sont implantés à Bérat au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12] - [I 18].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble199100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    189 %(5,7 %)
    Construction5226,1 %(12 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    4020,1 %(25,9 %)
    Information et communication42 %(4,1 %)
    Activités financières et d'assurance21 %(3,8 %)
    Activités immobilières63 %(4,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    2211,1 %(19,8 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    3316,6 %(16,6 %)
    Autres activités de services2211,1 %(7,9 %)

    Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,1 % du nombre total d'établissements de la commune (52 sur les 199 entreprises implantées à Bérat), contre 12 % au niveau départemental[I 19].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[46] :

    • Acs Cuisine Et Bain, travaux de menuiserie bois et PVC (153 k€)
    • Eco Bat, travaux d'isolation (97 k€)
    • Si-Enligne, conseil en systèmes et logiciels informatiques (73 k€)
    • Animation Conseil Et Formation Informatique, formation continue d'adultes (31 k€)
    • Qui Vivra Berat, construction de maisons individuelles (31 k€)

    L'artisanat ainsi que le commerce y sont bien représentés.

    Depuis 2008, un marché de plein vent rassemble tous les dimanches de 7 heures à 12 heures de nombreux commerçants : marchands de fruits et légumes, de pains, boucherie, charcuterie, traiteur, fleurs, vêtements[47]...

    Agriculture

    La commune est dans « les Vallées », une petite région agricole consacrée à la polyculture sur les plaines et terrasses alluviales qui s’étendent de part et d’autre des sillons marqués par la Garonne et l’Ariège[48]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations49362220
    SAU[Note 14] (ha)1 8921 9991 5981 661

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 49 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 36 en 2000 puis à 22 en 2010[50] et enfin à 20 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 59 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[51] - [Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 892 ha en 1988 à 1 661 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 39 à 83 ha[50].

    L'agriculture basée sur la culture de céréales (maïs, blé…) a encore une place importante mais tend à diminuer en faveur de zones résidentielles liées à la proximité de l'agglomération toulousaine.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Le Patrimoine des Communes de la Haute-Garonne. Flohic Editions, volume 2, Paris 2000, (ISBN 2-84234-081-7), p. 1213–1218.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[14].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    9. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    12. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    14. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[49].
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Bérat » sur Géoportail (consulté le 4 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune de Bérat » (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    3. « Unité urbaine 2020 de Bérat » (consulté le ).
    4. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Bérat » (consulté le ).
    9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Bérat » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
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    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    14. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Bérat » (consulté le ).
    15. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    16. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Bérat » (consulté le ).
    18. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Bérat et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Bérat et Muret », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Bérat et Cazères », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Bérat », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 293-296.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    8. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    9. « Fiche communale de Bérat », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    10. Sandre, « le canal de Saint-Martory »
    11. Sandre, « le Touch »
    12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    13. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    14. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    15. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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    17. « Station Météo-France Muret-Lherm - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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    19. « Station Météo-France Muret-Lherm - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    20. « Orthodromie entre Bérat et Cugnaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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    50. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Bérat - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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    52. La Dépêche du Midi, « Bérat. Philippe Foré en haut de l'affiche », La Dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
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