AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

ADP-ribosylation

L'ADP-ribosylation est une modification post-traductionnelle de certaines protéines consistant à leur adjoindre une ou plusieurs unités ADP-ribose[1] - [2]. Il s'agit d'une modification réversible intervenant dans de nombreux processus des cellules vivantes, notamment la signalisation cellulaire, la réparation de l'ADN, la régulation de l'expression génétique (épigénétique) et l'apoptose[3] - [4]. Certaines formes de cancer ont été associées à une ADP-ribosylation incorrecte[5]. Cette modification est également à la base du mécanisme d'action de certaines toxines bactériennes telles que la toxine cholérique et la toxine diphtérique[6].

Structure de l'ADP ribose.

MĂ©canisme catalytique

Mécanisme catalytique des ADP-ribosyltransférases ; les deux résidus de glutamate de la triade catalytique sont représentés en bleu.

La source d'ADP-ribose pour la plupart des enzymes qui assurent l'ADP-ribosylation des protéines est le NAD+, une coenzyme d'oxydoréduction. Au cours de cette réaction de transfert, la liaison N-osidique qui relie le résidu de nicotinamide au reste de la molécule de NAD+ est clivée, permettant la substitution nucléophile avec la chaßne latérale du résidu d'acide aminé cible de la protéine.

Les ADP-ribosyltransférases peuvent réaliser deux types de modifications : des mono(ADP-ribosylations), et des poly(ADP-ribosylations).

Mono(ADP-ribosylation)

Les mono-ADP-ribosyltransfĂ©rases catalysent gĂ©nĂ©ralement l'addition d'une unitĂ© ADP-ribose Ă  l'extrĂ©mitĂ© de la chaĂźne latĂ©rale d'un rĂ©sidu d'arginine Ă  l'aide d'un motif R—S—EXE (Arg–//–Ser–//–Glu–Xaa–Glu) hautement conservĂ©[7], dont les trois premiers rĂ©sidus conservĂ©s forment la triade catalytique. La rĂ©action commence par la formation d'un ion oxonium par rupture de la liaison entre le nicotinamide et le ribose, puis la chaĂźne latĂ©rale du rĂ©sidu d'arginine cible agit comme un nuclĂ©ophile pour attirer l'atome de carbone Ă©lectrophile adjacent Ă  l'ion oxonium. Pour que cela puisse se produire, l'arginine est dĂ©protonĂ©e par un rĂ©sidu de glutamate de l'enzyme, tandis qu'un autre rĂ©sidu de glutamate conservĂ© forme une liaison hydrogĂšne avec l'un des hydroxyles du ribose pour faciliter la rĂ©action. Le clivage de la liaison aboutit Ă  la libĂ©ration du nicotinamide, laissant un rĂ©sidu d'ADP-ribose sur la protĂ©ine ADP-ribosylĂ©e.

Cette ADP-ribosylation peut notamment ĂȘtre annulĂ©e par une ADP-ribosylarginine hydrolase, qui libĂšre de l'ADP-ribose et restitue la protĂ©ine dans son Ă©tat initial ; le NAD lui-mĂȘme, en revanche, n'est pas reformĂ©.

Poly(ADP-ribosylation)

Les poly(ADP-ribose) polymĂ©rases (PARP) sont prĂ©sentes essentielles chez les eucaryote et catalysent le transfert de plusieurs unitĂ©s ADP-ribose Ă  des protĂ©ines cibles. La source d'unitĂ©s ADP-ribose est le NAD, comme pour les mono(ADP-ribosylation)s. Elles utilisent une triade catalytique His-Tyr-Glu pour faciliter la liaison au NAD et le positionnement de l'extrĂ©mitĂ© de la chaĂźne d'ADP-ribose naissante sur la protĂ©ine cible. Le rĂ©sidu de glutamate catalyse la formation de la liaison (1→2)-O-osidique entre deux rĂ©sidus de ribose.

Il existe plusieurs enzymes susceptibles de reconnaĂźtre les chaĂźnes de poly(ADP-ribose), les hydrolyser ou les ramifier, et on a par ailleurs identifiĂ© plus de 800 protĂ©ines porteuses du motif de liaison au poly(ADP-ribose), motif aux contours par ailleurs mal dĂ©finis : cela signifie que ce motif, aux contours mal dĂ©finis, peut Ă©galement intervenir pour recruter d'autres protĂ©ines ou pour rĂ©gulation de la protĂ©ine cible[8].

RĂŽles physiologiques

Apoptose

Les poly(ADP-ribose) polymĂ©rases sont activĂ©es lorsque l'ADN est endommagĂ© ou lors d'un stress cellulaire, ce qui a pour effet d'accroĂźtre la quantitĂ© de protĂ©ines poly(ADP-ribosyl)Ă©es et de rĂ©duire la quantitĂ© de NAD dans la cellule[9]. On a longtemps cru que la poly(ADP-ribose) polymĂ©rase 1 (PARP-1) Ă©tait la seule poly(ADP-ribose) polymĂ©rase des cellules de mammifĂšres, de sorte qu'elle a Ă©tĂ© la plus Ă©tudiĂ©e. Les caspases sont des protĂ©ases Ă  cystĂ©ine qui jouent un rĂŽle dĂ©terminant dans les processus d'apoptose. Ces enzymes clivent la PARP-1 en deux fragments, ce qui l'inactive complĂštement et limite la poly(ADP-ribosylation) des protĂ©ines. L'un de ces fragments migre du noyau vers le cytoplasme, oĂč l'on pense qu'il dĂ©clenche une rĂ©ponse auto-immunitaire (en).

Lors du processus de parthanatos (en) — distinct de la nĂ©crose et de l'apoptose — l'activation de poly(ADP-ribose) polymĂ©rases ou l'inactivation de la poly(ADP-ribose) glycohydrolase conduit Ă  une accumulation de poly(ADP-ribose) cellulaire. On a pu montrer que le poly(ADP-ribose) induit la translocation du facteur d'induction de l'apoptose (en) (AIF) vers le noyau, oĂč il intervient sur la fragmentation de l'ADN. On a Ă©galement suggĂ©rĂ© qu'un dĂ©faut d'activation des caspases sous l'effet d'un stress puisse entraĂźner une nĂ©crose. L'activation excessive des poly(ADP-ribose) polymĂ©rases peut dĂ©clencher une nĂ©crose rĂ©gulĂ©e par une protĂ©ine de la famille du facteur de nĂ©crose tumorale. Les inhibiteurs des PARP ont un effet sur la nĂ©crose, bien qu'on n'ait pas encore compris le mĂ©canisme de cet effet[10].

Régulation de l'expression génétique

Domaine en doigts de zinc de la PARP-1 lié à l'ADN (en violet).

L'ADP-ribosylation peut affecter l'expression génétique à peu prÚs à tous les niveaux de régulation, y compris l'organisation de la chromatine, le recrutement et la liaison des facteurs de transcription, et les modifications post-transcriptionnelles de l'ARN messager.

Ainsi, l'organisation des nuclĂ©osomes est un Ă©lĂ©ment essentiel de la rĂ©gulation de l'expression des gĂšnes : leur espacement et leur organisation dĂ©termine quelles rĂ©gions de l'ADN sont accessibles Ă  l'outillage enzymatique de transcription de l'ADN en ARN messager. On a montrĂ© que la poly(ADP-ribose) polymĂ©rase 1 (PARP-1), une poly(ADP-ribose) polymĂ©rase, affecte la structure de la chromatine et dĂ©clenche des changements dans l'organisation des nuclĂ©osomes Ă  travers la modification d'histones. On a Ă©galement pu montrer que les poly(ADP-ribose) polymĂ©rases agissent sur la structure des facteurs de transcription et provoquent le recrutement de plusieurs d'entre eux pour former des complexes avec l'ADN et permettre la transcription. De mĂȘme, les mono (ADP-ribosyltransfĂ©rases) agissent Ă©galement sur les facteurs de transcription se liant aux promoteurs : c'est par exemple le cas de la PARP-14, une mono(ADP-ribosyltransfĂ©rase) qui agit sur liaison des protĂ©ines STAT aux promoteurs[11].

D'autres ADP-ribosyltransférases peuvent modifier les protéines qui se lient à l'ARN messager, ce qui peut bloquer l'expression du transcript de ce gÚne (silencing)[12].

RĂ©paration de l'ADN

Les poly(ADP-ribose) polymĂ©rases peuvent intervenir dans la rĂ©paration de l'ADN, qu'il s'agisse de lĂ©sions sur un seul brin ou sur les deux brins. Dans le premier cas (rĂ©paration par excision de base), les PARP peuvent faciliter l'Ă©limination d'un ose oxydĂ© aussi bien que le clivage du brin. La PARP-1 se lie Ă  une rupture simple brin et rapproche les intermĂ©diaires de la rĂ©paration par excision de base, dont les protĂ©ines XRCC1 (en) (X-ray Repair Cross Complementing protein 1) et APLF, qui peuvent ĂȘtre recrutĂ©es directement ou par le domaine PBZ (poly(ADP-ribose)-binding zinc finger) de la protĂ©ine APLF[13]. Ceci conduit Ă  la formation de poly(ADP-ribose). Le domaine PBZ est prĂ©sent sur de nombreuses protĂ©ines intervenant dans la rĂ©paration de l'ADN et permet la liaison d'une poly(ADP-ribose) polymĂ©rase et par consĂ©quent l'ADP-ribosylation qui a pour effet de recruter les facteurs de rĂ©paration interagissant au site de rupture. La PARP-2 est un facteur secondaire dont le rĂŽle est d'assurer une redondance dans le mĂ©canisme de rĂ©paration de l'ADN[14].

Les poly(ADP-ribose) polymĂ©rases ont plusieurs cibles protĂ©iques sur le site oĂč l'ADN est endommagĂ©. On ignore les sites d'ADP-ribosylation des protĂ©ines KU (en) et DNA-PKcs (en) (DNA-dependent Protein Kinase, catalytic subunit), qui sont deux composantes de la rĂ©paration des lĂ©sions double brins d'ADN, tandis qu'on connaĂźt mieux ceux des histones. Ces derniĂšres, qu'il s'agisse des histones de cƓur ou des histones de liaison H1, sont toutes ADP-ribosylĂ©es Ă  la suite d'un dommage de l'ADN. Le rĂŽle de ces modifications n'est toujours pas connu avec certitude, mais on pense que l'ADP-rybosylation agit sur l'organisation gĂ©nĂ©rale de la chromatine afin de faciliter l'accĂšs des facteurs de rĂ©paration aux sites endommagĂ©s.

Dégradation des protéines

Le systĂšme ubiquitine-protĂ©asome est l'acteur principal de la dĂ©gradation des protĂ©ines. Le protĂ©asome 26S est composĂ© d'une sous-unitĂ© catalytique 20S et d'une sous-unitĂ© rĂ©gulatrice 19S[15]. Les chaĂźnes de poly-ubiquitine marquent les protĂ©ines devant ĂȘtre dĂ©gradĂ©es pour qu'elles soient reconnues par le protĂ©asome, qui les hydrolyse en petits fragments peptidiques.

Une ADP-ribosyltransférase, en l'occurrence la tankyrase TNKS (en), interagit avec le régulateur PI31 (en) du protéasome. On a pu montrer chez la drosophile et des lignées de cellules humaines que le domaine ankyrine (ANK) de la TNKS facilite l'interaction avec le motif N-terminal de liaison à la TNKS et le domaine C-terminal HbYX de la PI31[16]. Ceci déclenche l'ADP-ribosylation de la PI31 par le domaine PARP de la TNKS. De plus, le traitement de cellules de drosophile avec un inhibiteur de la TNKS réduit l'activité du protéasome 26S, et l'ADP-ribosylation de la PI31 bloque l'inhibition des sous-unités α des particules 20S contrÎlée par la PI31. Il est par conséquent possible que l'ADP-ribosylation réalisée par la tankyrase réduise l'activité inhibitrice de la PI31, ce qui a pour effet d'accroßtre l'activité hydrolytique du protéasome[16].

Importance clinique

Cancers

Comme vu plus haut, la poly(ADP-ribose) polymérase 1 intervient dans la réparation de l'ADN par excision de base, la réparation des lésions sur un ou deux brins d'ADN et la stabilité de chromosomes. Elle intervient également dans la régulation de la transcription en favorisant les interactions protéine-protéine. Elle utilise le NAD+ pour agir lors de l'apoptose. Lorsqu'une PARP est en suractivité, les taux de NAD+ et d'ATP cellulaires décroissent, ce qui déclenche le processus de nécrose. Ceci est important en carcinogenÚse car cela conduit à sélectionner les cellules déficientes (mais pas dépourvues) en PARP-1 en raison de leur meilleur taux de survie lors du développement du cancer[17].

La susceptibilité à la carcinogenÚse en cas de déficience en PARP-1 dépend beaucoup du type de dommages à l'ADN. Plusieurs PARP interviennent dans la prévention des cancers : les PARP-1 et PARP-2 interviennent dans la réparation de l'ADN par excision de bases et dans la stabilité des chromosomes, tandis que la PARP-3 intervient dans la régulation du centrosome, et que la tankyrase intervient dans le contrÎle de la longueur des télomÚres[5].

L'inhibition de la PARP-1 a de ce fait été largement étudiée en vue de traitements anticancéreux. Un inhibiteur de la PARP-1 agit en accroissant les dommages infligés par la chimiothérapie sur l'ADN des cellules cancéreuses en bloquant le rÎle réparateur de la PARP-1 chez ces derniÚres.

La PARP-14 est une autre ADP-ribosyltransférase trÚs étudiée dans le cadre de thérapies anticancéreuses. Elle intervient dans la transduction de signal et l'activation de la protéine STAT6, et est associée à l'agressivité des lymphomes B (en)[17].

Toxines bactériennes

Les exotoxines bactériennes d'ADP-ribosylation (bARE) catalysent le transfert du groupe ADP-ribose d'une molécule de NAD+ vers les protéines des eucaryotes infectés, libérant le nicotinamide et un proton. Ces exotoxines sont produites par des précurseurs enzymatiques comprenant des domaines A et B : le domaine A est réalise l'ADP-ribosylation tandis que le domaine B assure la translocation de l'enzyme à travers la membrane plasmique[6].

Une fois activées, ces exotoxines bactériennes ADP-ribosylent un nombre plus ou moins grand de protéines des eucaryotes infectés, ce qui déclenche les pathologies associées. Les protéines G sont des cibles reconnues des bARE. Ainsi, la toxine cholérique et l'entérotoxine thermolabile (en) ciblent les sous-unités α des protéines G hétérotrimériques. L'ADP-ribosylation des sous-unités α a pour effet de bloquer ces enzymes dans un état activé, lié au GTP, ce qui produit continuellement de l'AMP cyclique intracellulaire, lequel stimule la libération de fluides et d'électrolytes depuis l'épithélium intestinal. Par ailleurs, la toxine C3 (en) réalise l'ADP-ribosylation des GTPases Rho (en) et Ras, tandis que la toxine de pertussis (en) réalise celle des protéines Gi, Go et Gt, et que la toxine diphtérique réalise celle du facteur d'élongation EF-2 des ribosomes, ce qui réduit la biosynthÚse des protéines[6].

Une grande variété de bactéries utilisent de telles exotoxines, par exemple la toxine cholérique chez Vibrio cholerae (choléra), l'entérotoxine thermolabile (en) chez Escherichia coli, l'exotoxine A chez Pseudomonas aeruginosa, la toxine de pertussis (en) chez Bordetella pertussis (coqueluche), la toxine C3 (en) chez Clostridium botulinum (botulisme) et la toxine diphtérique chez Corynebacterium diphtheriae (diphtérie)[19].

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

Notes et références

  1. (en) Peter Belenky, Katrina L. Bogan et Charles Brenner, « NAD+ metabolism in health and disease », Trends in Biochemical Sciences, vol. 32, no 1,‎ , p. 12-19 (PMID 17161604, DOI 10.1016/j.tibs.2006.11.006, lire en ligne)
  2. (en) Mathias Ziegler, « New functions of a long-known molecule. Emerging roles of NAD in cellular signaling », The FEBS Journal, vol. 267, no 6,‎ , p. 1550-1564 (PMID 10712584, DOI 10.1046/j.1432-1327.2000.01187.x, lire en ligne)
  3. (en) « The new life of a centenarian: signalling functions of NAD(P) », Trends in Biochemical Sciences, vol. 29, no 3,‎ , p. 111-118 (PMID 15003268, DOI 10.1016/j.tibs.2004.01.007, lire en ligne)
  4. (en) Daniela Corda et Maria Di Girolamo, « Functional aspects of protein mono‐ADP‐ribosylation », The EMBO Journal, vol. 22, no 9,‎ , p. 1953-8 (PMID 12727863, DOI 10.1093/emboj/cdg209, lire en ligne)
  5. (en) Emanuele S. Scarpa, Gaia Fabrizio et Maria Di Girolamo, « A role of intracellular mono-ADP-ribosylation in cancer biology », The FEBS Journal, vol. 280, no 15,‎ , p. 3551-3562 (PMID 23590234, DOI 10.1111/febs.12290, lire en ligne)
  6. (en) K. M. Krueger et J. T. Barbieri, « The family of bacterial ADP-ribosylating exotoxins », Clinical Microbiology Reviews, vol. 8, no 1,‎ , p. 34-47 (PMID 7704894, PMCID 172848, lire en ligne)
  7. (en) Sabrina Laing, Mandy Unger, Friedrich Koch-Nolte et Friedrich Haag, « ADP-ribosylation of arginine », Amino Acids, vol. 41, no 2,‎ , p. 257-269 (PMID 20652610, PMCID 3102197, DOI 10.1007/s00726-010-0676-2, lire en ligne)
  8. (en) Roko Ćœaja, Andreja Mikoč, Eva Barkauskaite et Ivan Ahel, « Molecular Insights into Poly(ADP-ribose) Recognition and Processing », Biomolecules, vol. 3, no 1,‎ , p. 1-17 (PMID 24970154, PMCID 4030884, DOI 10.3390/biom3010001, lire en ligne)
  9. (en) A. I. Scovassi, M. Denegri, M. Donzelli, L. Rossi, R. Bernardi, A. Mandarino, I. Frouin et C. Negri, « Poly(ADP-ribose) synthesis in cells undergoing apoptosis: an attempt to face death before PARP degradation », European Journal of Histochemistry, vol. 42, no 4,‎ , p. 251-258 (PMID 10068897)
  10. (en) Francesca Aredia1, Anna Ivana Scovassi, « Involvement of PARPs in cell death », Frontiers in Bioscience, vol. E6,‎ , p. 308-317 (PMID 24896207, DOI 10.2741/707, lire en ligne)
  11. (en) Jonathan P. Riley, Aishwarya Kulkarni, Purvi Mehrotra, Byunghee Koh, Narayanan B. Perumal, Mark H. Kaplan et Shreevrat Goenka, « PARP-14 Binds Specific DNA Sequences to Promote Th2 Cell Gene Expression », PLoS One, vol. 8, no 12,‎ , e83127 (PMID 24376650, PMCID 3869773, DOI 10.1371/journal.pone.0083127)
  12. (en) Keun Woo Ryu, Dae-Seok Kim et W. Lee Kraus, « New Facets in the Regulation of Gene Expression by ADP-Ribosylation and Poly(ADP-ribose) Polymerases », Chemical Reviews, vol. 115, no 6,‎ , p. 2453-2481 (PMID 25575290, PMCID 4378458, DOI 10.1021/cr5004248, lire en ligne)
  13. (en) « Poly(ADP-ribose) polymerase-2 (PARP-2) is required for efficient base excision DNA repair in association with PARP-1 and XRCC1 », Journal of Biological Chemistry, vol. 277, no 25,‎ , p. 23028-23036 (PMID 11948190, DOI 10.1074/jbc.M202390200, lire en ligne)
  14. (en) Catherine J. Pears, C. Anne-Marie Couto, Hong-Yu Wang, Christine Borer, Rhian Kiely et Nicholas D. Lakin, « The role of ADP-ribosylation in regulating DNA double-strand break repair », Cell cycle, vol. 11, no 1,‎ , p. 48-56 (PMID 22186780, PMCID 3272231, DOI 10.4161/cc.11.1.18793, lire en ligne)
  15. (en) Yifan Cheng, « Toward an atomic model of the 26S proteasome », Current Opinion in Structural Biology, vol. 19, no 2,‎ , p. 203-208 (PMID 19286367, PMCID 2743420, DOI 10.1016/j.sbi.2009.02.004, lire en ligne)
  16. (en) Park F. Cho-Park, Hermann Steller, « Proteasome Regulation by ADP-Ribosylation », Cell, vol. 153, no 3,‎ , p. 614-627 (PMID 23622245, PMCID 3676968, DOI 10.1016/j.cell.2013.03.040, lire en ligne)
  17. (en) A. Hamid Boulares, Alexander G. Yakovlev et Mark E. Smulson, « Genome Degradation by DNAS1L3 Endonuclease. A Key PARP-1-Regulated Event in Apoptosis », Madame Curie Bioscience Database,‎ , p. 118-131 (DOI 10.1007/0-387-36005-0_11, lire en ligne)
  18. (en) M. J. Bennett et David Eisenberg, « Refined structure of monomelic diphtheria toxin at 2.3 Å resolution », Protein Science, vol. 3, no 9,‎ , p. 1464-1475 (PMID 7833808, DOI 10.1002/pro.5560030912, lire en ligne)
  19. (en) Annual Review of Microbiology, « Molecular Mechanisms of the Cytotoxicity of ADP-Ribosylating Toxins », Annual Review of Microbiology, vol. 62,‎ , p. 271-288 (PMID 18785839, DOI 10.1146/annurev.micro.62.081307.162848, lire en ligne)
Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.