Ătauliers
Ătauliers est une commune du Sud-Ouest de la France, dans le dĂ©partement de la Gironde en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.
Ătauliers | |||||
Mairie d'Ătauliers. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Gironde | ||||
Arrondissement | Blaye | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de l'Estuaire | ||||
Maire Mandat |
Louis Cavaleiro 2020-2026 |
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Code postal | 33820 | ||||
Code commune | 33159 | ||||
DĂ©mographie | |||||
GentilĂ© | Ătaulois | ||||
Population municipale |
1 470 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 113 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 45° 13âČ 29âł nord, 0° 34âČ 21âł ouest | ||||
Altitude | Min. 1 m Max. 23 m |
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Superficie | 12,98 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de l'Estuaire | ||||
LĂ©gislatives | OnziĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Gironde
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | etauliers.fr | ||||
GĂ©ographie
Localisation et accĂšs
- Carte dynamique
- Carte Openstreetmap
- Carte topographique
- Carte avec les communes environnantes
Ătauliers est situĂ© dans le Blayais sur l'ancienne route nationale 137 Ă 60 kilomĂštres de Bordeaux, Ă 60 km de Saintes, Ă 60 km de Royan et Ă 15 km de Blaye. Par lâautoroute A10, Bordeaux est Ă 35 minutes. Lâembranchement de lâautoroute se trouve Ă 3 minutes du centre du bourg.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Saint-Aubin-de-Blaye, Anglade, Braud-et-Saint-Louis, CartelĂšgue, Eyrans et Reignac.
Hydrographie
Ătauliers se trouve Ă quelques kilomĂštres du plus grand estuaire dâEurope, lâestuaire de la Gironde.
Plusieurs ruisseaux traversent la commune : les Martinettes, le Coindrias, la Livenne).
Flore et faune
Le village sâouvre sur le marais Ă l'ouest. CaractĂ©ristique de la Haute Gironde, on y trouve toutes sortes dâoiseaux, des canards, des hĂ©rons cendrĂ©s, des cigognes, des aigrettes, des faisans, etc.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Donnezac », sur la commune de Donnezac, mise en service en 1984[7] et qui se trouve Ă 11 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 926,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bordeaux-MĂ©rignac », sur la commune de MĂ©rignac, mise en service en 1920 et Ă 43 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,3 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă 13,8 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 14,2 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Ătauliers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (70,2 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (73,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (37,1 %), prairies (30,5 %), forĂȘts (13,8 %), zones urbanisĂ©es (9,7 %), zones humides intĂ©rieures (6,3 %), terres arables (2,6 %)[19].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Ătauliers est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le risque nuclĂ©aire[20]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[21].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Livenne, la riviĂšre des Martinettes et le canal des Demiers. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1986, 1988, 1993, 1999 et 2009[22] - [20].
Ătauliers est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent dâun rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă faciliter les interventions des services et Ă limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de lâapport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt[23]. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[24] - [25].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 95,3 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 842 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 778 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 92 %, Ă comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[27].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2005, 2010, 2012 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[20].
Risques technologiques
La commune Ă©tant situĂ©e totalement dans le pĂ©rimĂštre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nuclĂ©aire du Blayais, elle est exposĂ©e au risque nuclĂ©aire. En cas d'accident nuclĂ©aire, une alerte est donnĂ©e par diffĂ©rents mĂ©dias (sirĂšne, sms, radio, vĂ©hicules). DĂšs l'alerte, les personnes habitant dans le pĂ©rimĂštre de 2 km se mettent Ă l'abri[Note 6]. Les personnes habitant dans le pĂ©rimĂštre de 20 km peuvent ĂȘtre amenĂ©es, sur ordre du prĂ©fet, Ă Ă©vacuer et ingĂ©rer des comprimĂ©s dâiode stable[Note 7] - [28] - [29].
Toponymie
Comme les trois communes françaises qui portent le nom d'Etaule(s) (Charente-Maritime, CĂŽte-d'Or, Yonne), ce nom doit venir du latin "stabulum" qui dĂ©signe un gĂźte, un lieu oĂč l'on s'arrĂȘte pour dormir et particuliĂšrement pour les animaux : Ă©curie, Ă©table, bergerie. Cette Ă©tymologie est d'autant plus vraisemblable que la localitĂ© jalonne le parcours d'une grande route ancienne (voir Histoire) et y a rempli le rĂŽle de gĂźte d'Ă©tape, de relais de poste.
Au XVIe siĂšcle, elle est connue sous le nom de Sainte Marie Magdeleine d'Estaules.
Histoire
Station situĂ©e sur la route du pĂšlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, ville dâhistoire, elle doit sa prospĂ©ritĂ© Ă sa situation gĂ©ographique.
L'antique voie romaine, qui relie Saintes à Blaye, est utilisée durant quatorze siÚcles. Au XIIe et XIIIe siÚcle, elle est empruntée par les pÚlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle. Un hÎpital, situé prÚs de la route, tenu par des religieux, est destiné au repos des voyageurs.
La route nationale 137 Ă©tait connue sous le nom de "route royale" (route impĂ©riale sous l'Empire) et date du rĂšgne de Charles VIII (1483-1498). Sa crĂ©ation entraĂźne la mise en place d'hĂŽtels, d'auberges et de services de diligences qui s'Ă©tablissent au bord de la route. Le nom Ătauliers est citĂ© en 1730. La voie ferrĂ©e, Ă prĂ©sent supprimĂ©e, date de 1888.
En 1814, lors de l'invasion du sud-ouest de la France par les troupes coalisées détachées de l'armée du duc de Wellington (lequel opÚre en direction de Toulouse) les abords de la commune sont le théùtre d'un bref accrochage. Le 6 avril, la division de Lord Dalhousie qui a franchi la Dordogne afin d'assiéger Blaye toujours tenue par une garnison fidÚle au régimé impérial, se heurte devant Etauliers à la petite armée des généraux L'Huillier de Hoff et Desbureaux. AprÚs un affrontement qualifié de sérieux et auquel participe le marquis de La Rochejaquelein comme aide de camp du général anglais, 2500 coalisés mettent en déroute les Français au nombre d'environ 2000, pour l'essentiel des conscrits inexpérimentés de la classe 1815 assemblés à la hùte. Ces derniers laissent 300 prisonniers et deux canons sur le terrain. Les pertes coalisées sont évaluées à une vingtaine d'hommes[30] - [31] - [32] - [33].
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[35].
En 2020, la commune comptait 1 470 habitants[Note 8], en augmentation de 0,34 % par rapport Ă 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
- L'Ă©glise paroissiale Sainte-Marie-Madeleine reconstruite en 1853, de style nĂ©o-gothique, d'une grande puretĂ©. Elle est consacrĂ©e le et est dĂ©diĂ©e Ă sainte Marie-Madeleine. Le tympan de la façade, richement ornĂ©, abrite Dieu le pĂšre entourĂ© des symboles des quatre Ă©vangĂ©listes : un lion, un aigle, un taureau et un jeune homme. Des draperies en pierre masquent de fausses portes. De nombreux vitraux, signĂ©s Dagrand, Ă©clairent l'intĂ©rieur de l'Ă©difice. Parmi les saints reprĂ©sentĂ©s sur ces vitraux, figure saint Romain, prĂȘtre et apĂŽtre du Blayais.
- L'Ă©glise Sainte-Marie-Madeleine.
- Tympan de l'Ă©glise.
- La halle aux grains.
- Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
- François Ier, Richelieu, ducs, comtes, passĂšrent et sâarrĂȘtĂšrent Ă Ătauliers dans de nombreuses auberges et lâon sây arrĂȘtait dâautant plus volontiers que les pĂątĂ©s y Ă©taient renommĂ©s et figurent en bonne place au XVIIe siĂšcle sur les fiches du voyageur, ancĂȘtre du guide Michelin.
- Le , NapolĂ©on, l'impĂ©ratrice JosĂ©phine et leur suite font un court arrĂȘt Ă Ătauliers Ă leur retour de Bayonne. Une autre halte de l'empereur a lieu le alors qu'il se rend en Espagne. Ils sont hĂ©bergĂ©s Ă l'hĂŽtel Dezage. Lors de sa transformation en mairie, on laisse subsister en 1903-1904 une cheminĂ©e de style Renaissance qui se trouve encore dans la salle du conseil municipal. On la montre aux visiteurs comme ayant fait partie de la chambre de NapolĂ©on 1er .
Jumelages
Depuis , la commune d'Ătauliers est jumelĂ©e avec Plougrescant, localitĂ© bretonne des CĂŽtes-d'Armor[38].
Manifestations
FĂȘte de l'asperge
L'asperge Ă©tauloise est connue par les gastronomes. FraĂźchement cueillie, elle dispense ses bienfaits sans compter. TrĂšs riche en vitamines et trĂšs peu calorique, elle rĂ©concilie gourmandise et bien-ĂȘtre. Lâasperge est encore un des rares lĂ©gumes qui se cueille Ă la main et une Ă une, et nĂ©cessite Ă la fois soleil et humiditĂ© pour arriver sur la table, fraĂźche et dĂ©licieuse.
Celle du Blayais est blanche et elle ravit les amateurs en entrĂ©e ou en accompagnement dâune viande ou dâun poisson. Comme les produits du terroir dignes de ce nom, elle est synonyme de fraĂźcheur, de qualitĂ©, de goĂ»t et de tendretĂ©. La CommunautĂ© des communes de Saint-Ciers-sur-Gironde, en collaboration avec la commune dâĂtauliers et le comitĂ© de jumelage, organise depuis 2000 la fĂȘte de lâasperge du Blayais le dernier week-end d'avril. De nombreux stands exposent les asperges du Blayais et les produits du terroir. La coopĂ©rative dâĂtauliers et les producteurs vendent leur rĂ©colte cueillie le matin mĂȘme. Cette fĂȘte attire jusqu'Ă 10 000 Ă 12 000 visiteurs chaque annĂ©e.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Le pĂ©rimĂštre de 2 km correspond au pĂ©rimĂštre de mise Ă l'abri rĂ©flexe. AlertĂ©s par les sirĂšnes et/ou par un appel automatique sur le tĂ©lĂ©phone du domicile, les habitants concernĂ©s doivent se mettre Ă lâabri dĂšs lâalerte et suivre les consignes.
- Les comprimĂ©s dâiode stable protĂšgent efficacement la thyroĂŻde contre les effets des rejets dâiode radioactif qui pourraient survenir en cas dâaccident nuclĂ©aire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
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- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
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