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Braud-et-Saint-Louis

Braud-et-Saint-Louis est une commune du Sud-Ouest de la France, dans le département de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine.

Braud-et-Saint-Louis
Braud-et-Saint-Louis
La mairie sur la place de la Libération.
Blason de Braud-et-Saint-Louis
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Gironde
Arrondissement Blaye
Intercommunalité Communauté de communes de l'Estuaire
(siĂšge)
Maire
Mandat
Jean-Michel Rigal
2020-2026
Code postal 33820
Code commune 33073
DĂ©mographie
Gentilé Braudiers, BraudiÚres
Population
municipale
1 500 hab. (2020 en diminution de 0,92 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 30 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 14â€Č 55″ nord, 0° 37â€Č 26″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 29 m
Superficie 49,24 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de l'Estuaire
LĂ©gislatives OnziĂšme circonscription
Localisation
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Braud-et-Saint-Louis
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Braud-et-Saint-Louis
Liens
Site web www.mairie-braud.fr

    GĂ©ographie

    Localisation et accĂšs

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
    Play Pause Stop Précédent Suivant Select
    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    La commune est située dans le Blayais, au bord de l'estuaire de la Gironde.

    Sur le territoire de la commune est installée la centrale nucléaire du Blayais.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Saint-Ciers-sur-Gironde, Anglade, Étauliers, Saint-Androny et Saint-Aubin-de-Blaye.

    Les communes de Saint-EstĂšphe et Pauillac sont sur la rive gauche de l'estuaire de la Gironde[1].

    Hydrographie

    La commune est au confluent de la Livenne avec l'estuaire de la Gironde.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 903 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Pauillac-Sud », sur la commune de Pauillac, mise en service en 1986[8] et qui se trouve Ă  11 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 821,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bordeaux-MĂ©rignac », sur la commune de MĂ©rignac, mise en service en 1920 et Ă  45 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,3 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă  13,8 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  14,2 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Braud-et-Saint-Louis est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].

    La commune, bordĂ©e par l'estuaire de la Gironde, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[20]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (55,1 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (56,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : eaux maritimes (25,9 %), prairies (24,8 %), terres arables (15,5 %), zones humides intĂ©rieures (11,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (10,2 %), cultures permanentes (4,6 %), forĂȘts (2,7 %), zones humides cĂŽtiĂšres (1,6 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (1,5 %), zones urbanisĂ©es (1,2 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Braud-et-Saint-Louis est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le risque nuclĂ©aire[24]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[25].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Livenne et la Ceinture. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1988, 1999 et 2009[26] - [24].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[27].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Braud-et-Saint-Louis.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 73,3 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 832 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 668 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 80 %, Ă  comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[29].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2009 et 2012 et par des mouvements de terrain en 1999[24].

    Risques technologiques

    La commune Ă©tant situĂ©e totalement dans le pĂ©rimĂštre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nuclĂ©aire du Blayais, elle est exposĂ©e au risque nuclĂ©aire. En cas d'accident nuclĂ©aire, une alerte est donnĂ©e par diffĂ©rents mĂ©dias (sirĂšne, sms, radio, vĂ©hicules). DĂšs l'alerte, les personnes habitant dans le pĂ©rimĂštre de km se mettent Ă  l'abri[Note 6]. Les personnes habitant dans le pĂ©rimĂštre de 20 km peuvent ĂȘtre amenĂ©es, sur ordre du prĂ©fet, Ă  Ă©vacuer et ingĂ©rer des comprimĂ©s d’iode stable[Note 7] - [30] - [31].

    Histoire

    Une cachette de fondeurs a été signalée et décrite par François Daleau en 1913 au lieu-dit Moulin-Neuf[32].

    Au cours du XVIIe siÚcle, les marais sont asséchés sur ordre du gouverneur de Blaye, le duc de Saint-Simon, afin de créer des villages et des terres agricoles.

    En l'An VI, les petites communes de Braud et de Saint-Louis fusionnent pour former la nouvelle commune de Braud-et-Saint-Louis.

    En 1942, l'Opération Frankton passe par la commune de Braud-et-Saint-Louis. Un mémorial en l'honneur des membres du raid est présent sur la commune à proximité du Port des Callonges.

    HĂ©raldique

    Blason de Braud-et-Saint-Louis

    « ÉcartelĂ© au 1) d’azur Ă  la centrale de deux tranches nuclĂ©aires sur une terrasse de sinople et une piste au naturel, au 2) d’or Ă  la botte d’asperge au naturel en pal et Ă  la grappe de raisin de gueules en fasce, brochante, tigĂ©e et feuillĂ©e d'une piĂšce de sinople Ă  senestre, au 3) d’or au poisson ployĂ© soudĂ© d’argent senestrĂ© en chef d’un canard colvert de tennĂ© essorant, au 4) d’azur Ă  l’église d’or, portail Ă  dextre et clocher Ă  senestre, couverte, ouverte et ajourĂ©e d’argent, derriĂšre une halle du mĂȘme soutenue par des piliers au naturel, le tout brochant sur une champagne cousu de sinople[33]. »

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1793 1797 Joseph Peyreau
    1797 1798 André Charron
    1798 1800 Pierre Thibaud
    1800 1826 Arnaud Jonas
    1826 1845 Antoine Xavier Dupond
    1845 1846 Pierre Justin Fourcade
    1846 1852 Pierre Baron
    1852 1877 Alexis Edouard Dupond
    1877 1892 Jean EugĂšne Serpaud
    1892 1894 Antoine Georges Edouard Dupond
    1894 1908 André Tessier
    1908 1910 Victor Neveu
    1910 1912 Emile Tessier
    1912 1925 Louis Largeteau
    1925 1941 Jean Moulinaud
    1941 1944 Firmin Giraud
    1944 1947 Gilbert Gay
    1947 1982 Kléber Marsaud
    1982 1983 Daniel RiviĂšre
    1983 2001 Michel Ninaud
    mars 2001 En cours Jean Michel Rigal DVG Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Politique environnementale

    Dans son palmarÚs 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[34].

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[36].

    En 2020, la commune comptait 1 500 habitants[Note 8], en diminution de 0,92 % par rapport Ă  2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2009981 0431 2191 4751 3031 4631 4421 616
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5941 4841 4541 4271 3601 3911 3731 2471 261
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2781 2501 2691 1521 1721 0581 1521 1001 082
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 0301 0419911 7531 2601 3051 3271 3461 385
    2015 2020 - - - - - - -
    1 5311 500-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee Ă  partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    L'Ă©glise, vue depuis l'ancien presbytĂšre

    Lieux et monuments

    Église Saint Saturnin

    L'Ă©glise Saint-Saturnin a Ă©tĂ© construite en 1898 aprĂšs la destruction de la prĂ©cĂ©dente Ă©glise pendant la RĂ©volution. À proximitĂ© de l'Ă©glise se dresse la Colonne des NaufragĂ©s, ex-voto dressĂ© par des marins nordiques rescapĂ©s d'un naufrage au dĂ©but du XVIIe siĂšcle.

    Terres d'oiseaux

    Vue depuis la tour d'observation
    Les marais bordant l'estuaire de la Gironde.

    Terres d'oiseaux est un sanctuaire ornithologique de 120 hectares situĂ© Ă  proximitĂ© du port des Callonges, au nord de la commune (Ă  la limite de la commune de Saint-Ciers-sur-Gironde). Établi au cƓur des prairies humides qui bordent l'estuaire de la Gironde, sur une des plus importantes voies de migration de France, il est frĂ©quentĂ© par plusieurs centaines d'oiseaux : aigrettes garzette, hĂ©rons pourprĂ©s, milans noirs, martins-pĂȘcheurs, tadornes de belon, busards des roseaux viennent y nicher, y hiverner ou s'y reproduire.

    Plusieurs sentiers ont été aménagés à travers les marais, agrémentés de panneaux explicatifs, de plates-formes d'observation et de plusieurs abris mis en place de façon à pouvoir regarder les oiseaux en toute quiétude. Les visiteurs passent successivement d'un écosystÚme à un autre : prairies humides, lacs, roseliÚres ou encore bords d'estuaire, chacun abritant des espÚces d'oiseaux spécifiques. Si une tour d'observation de dix mÚtres de haut est en accÚs libre, à proximité du parking, l'accÚs au reste du site est payant. La maison de « La Métairie » est la « porte d'entrée » du parc : on y trouve la billetterie, mais aussi un salon de thé et une boutique de souvenirs. Le site compte également un restaurant gastronomique, « Le Marainaud »[39].

    Domaine de La Paillerie

    Domaine de La Paillerie

    Bùti en 1727, le Domaine de La Paillerie dispose d'une maison de maßtre et de ses dépendances. Autrefois, le domaine servait de distillerie.

    Ce dernier est en cours de rénovation depuis 1995 afin de redonner une nouvelle vie à la bergerie, du pigeonnier, de la maison de maßtre.

    Jumelages

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Le pĂ©rimĂštre de km correspond au pĂ©rimĂštre de mise Ă  l'abri rĂ©flexe. AlertĂ©s par les sirĂšnes et/ou par un appel automatique sur le tĂ©lĂ©phone du domicile, les habitants concernĂ©s doivent se mettre Ă  l’abri dĂšs l’alerte et suivre les consignes.
    7. Les comprimĂ©s d’iode stable protĂšgent efficacement la thyroĂŻde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nuclĂ©aire.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Pauillac-Sud - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Braud-et-Saint-Louis et Pauillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Pauillac-Sud - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Braud-et-Saint-Louis et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    21. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Loi relative Ă  l’amĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    24. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Braud-et-Saint-Louis », sur Géorisques (consulté le )
    25. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    26. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    29. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Braud-et-Saint-Louis », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    30. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE du Blayais. », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le )
    31. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
    32. François Daleau, Cachette de fondeur du Moulin-Neuf, Bordeaux, Société Archéologique de Bordeaux, , 23 p. (lire en ligne).
    33. Armes utilisées sur le site officiel de la commune dÚs 2012 et, antérieurement, pour les affranchissements mécaniques de la mairie : voir « 33 073 - Braud-et-Saint-Louis (Gironde) », sur armorialdefrance.fr, .
    34. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
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