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Étagnac

Étagnac (Estanhac en limousin, dialecte occitan) est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Étagnac
Étagnac
Le château de Rochebrune.
Blason de Étagnac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes de Charente Limousine
Maire
Mandat
Henri de Richemont
2020-2026
Code postal 16150
Code commune 16132
Démographie
Gentilé Étagnacois
Population
municipale
996 hab. (2020 en augmentation de 5,17 % par rapport à 2014)
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 53′ 44″ nord, 0° 46′ 47″ est
Altitude Min. 150 m
Max. 284 m
Superficie 29,23 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charente-Vienne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Étagnac
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Étagnac
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Étagnac
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Étagnac

    Ses habitants sont les Étagnacois et les Étagnacoises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Étagnac est une commune de la Charente limousine limitrophe de la Haute-Vienne. Elle est située km à l'est de Chabanais, chef-lieu de son canton et 56 km au nord-est d'Angoulême.

    Elle est aussi située km à l'ouest de Saint-Junien, km au nord de Rochechouart, 16 km au sud-est de Confolens, la sous-préfecture, et 38 km de Limoges[2].

    Étagnac est situé au carrefour de la N 141, route d'Angoulême à Limoges et maillon de la route Centre-Europe Atlantique, et de la D 948, route de Limoges à Niort par Confolens. Le centre du bourg est cependant localisé sur cette seconde route[3].

    La gare la plus proche est celle de Saillat-Chassenon à km, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Limoges.

    Hameaux et lieux-dits

    La commune compte de nombreuses fermes et hameaux. On peut citer : à l'est la Borderie[Note 1] les Brosses (à cheval sur la limite de département), Lussac, Rouillac, Mons, au sud : Bochefaud, Bourdicaud, Lavaud, Beaulieu, Écossas, à l'ouest : la Ribière, chez Chabaud, Lascoux, et au nord l'Age et la Maine-Joie. Enfin, le château de Rochebrune est à l'est du bourg[3].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Comme toute cette partie nord-est du département de la Charente qu'on appelle la Charente limousine, la commune se trouve sur le plateau du Limousin, partie occidentale du Massif central, composé de roches cristallines et métamorphiques, relique de la chaîne hercynienne.

    Le sous-sol de la commune d'Étagnac se compose de gneiss, à l'est et au sud, et de granit au nord-ouest. L'extrême sud, bord de la vallée de la Vienne entre Beaulieu et la Ribière, est occupé par des alluvions plus ou moins anciennes atteignant une hauteur de 40 m[5] - [6] - [7].

    La commune se trouve aussi dans l'emprise du cratère de la météorite de Rochechouart.

    Le relief est celui d'un plateau assez vallonné, incliné vers le sud qui correspond à la vallée de la Vienne.

    Le point le plus bas de la commune est situé à une altitude de 150 m, le long de la Vienne en aval, et le point le plus haut est à 284 m d'latitude, situé à environ 0,7 km au nord-est du château de Rochebrune. Le bourg est situé sur une hauteur à 250 m d'altitude[3].

    Réseau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier d'Étagnac.

    La commune est située dans la région hydrographique de « la Loire de la Vienne (c) à la Maine (nc) », une partie du Bassin de la Loire, au sein du Bassin Loire-Bretagne[8]. Elle est drainée par la Vienne, la Malicherie, l'Etang de Cacherat, l'Etang, l'Etang Bouchaud et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 34 km de longueur totale[9] - [Carte 1].

    La Vienne borde la commune au sud. D'une longueur totale de 363,3 km, prend sa source en Corrèze, sur le plateau de Millevaches, dans la commune de Volx et se jette dans la Loire dans la Corrèze, à Saint-Setiers, après avoir traversé 99 communes[10].

    De petits affluents traversent la commune du nord au sud, dont la plupart desservent des étangs. D'ouest en est, on trouve les ruisseaux de l'Étang Bouchaud, de l'Étang de Cacherat qui passe à l'ouest du bourg, et ruisseau de l'Étang descendant de Rochebrune. Le Sauvarit borde la commune et le département à l'est[3].

    La Malicherie, d'une longueur totale de 11 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Goire à Saint-Maurice-des-Lions, après avoir traversé 3 communes[11].

    Gestion des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Vienne ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin du bassin de la Vienne, d'une superficie de 7 060 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en Å“uvre est l'établissement public territorial de bassin Vienne[12]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Loire-Bretagne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [13].

    Climat

    Le climat est océanique dégradé. C'est celui de la Charente limousine, plus humide et plus frais que celui du reste du département.

    Végétation

    Le paysage est celui d'un bocage. La forêt d'Étagnac occupe les hauteurs au nord de la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Étagnac est une commune rurale[Note 2] - [14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (51 %), forêts (24,5 %), zones agricoles hétérogènes (15,9 %), zones urbanisées (3,7 %), eaux continentales[Note 3] (2,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Étagnac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à trois risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vienne et la Malicherie. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1995 et 1999[22] - [20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Étagnac.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 24,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 562 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 74 sont en en aléa moyen ou fort, soit 13 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risques technologiques

    La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[25].

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].

    La commune est en outre située en aval des barrages de Lavaud-Gelade et Vassivière, des ouvrages de classes A[Note 4]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[28].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Étagnac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[29].

    Toponymie

    Une forme ancienne est Stagnaco (non daté)[30].

    L'origine du nom d'Étagnac proviendrait du bas latin stannium signifiant étain, auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui signifierait exploitation de plomb argentifère[31] - [32]. On a constaté à Étagnac la présence d'antimoine mêlé d'argent, souvent confondu autrefois avec le plomb[33].

    Langues

    La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[34]. Elle se nomme Estanhac en occitan[35].

    Histoire

    Une ancienne voie romaine de direction nord-sud allant de Poitiers à Périgueux par Chassenon est supposée traverser la commune. Une culée d'un ancien pont traversant la Vienne a été détruite en 1912 en face du lieu-dit Pilas[36] - [Note 5].

    Des traces d'occupation romaine ont aussi été trouvées près de l'Age : camp, pavés, site à tegulae[36].

    Au XIVe siècle, les moines de l'ordre de Grandmont, dont la maison mère était à Limoges, ont acquis le prieuré d'Étricor près de la Vienne et en ont fondé l'abbaye, dont il ne reste aujourd'hui que l'église[37]. Une statue de saint Pardoux y est conservée, qui donnait lieu jusqu'au début du XXe siècle à des pèlerinages chaque mois de septembre, afin de guérir les animaux malades[33].

    Les plus anciens registres paroissiaux remontent à 1706[33].

    Depuis avant la Révolution jusqu'à 1932, l'antimoine était exploité à Lussac[38].

    Au XIXe siècle, le château de Rochebrune dont les douves et les quatre tours étaient anciennes appartenait au comte Dupont de l'Étang, qui l'a reconstruit et a consacré une partie de son domaine à une maison de retraite pour les prêtres âgés ou infirmes[33].

    Les Plument de Bailhac étaient une ancienne famille noble limousine implantée dès le XVIIe siècle à Écossas[39]. Claude-François Plument de Bailhac fut maire au XIXe siècle; sa demeure était le logis d'Écossas qui existe encore. Paul-Louis Plument de Baillac fut exilé par Napoléon III.

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1993 En cours Henri de Richemont UMP puis LR Député de la 3e circonscription de la Charente (1993-1997)
    Sénateur de la Charente (1998-2008)
    Conseiller régional de Poitou-Charentes (1986-2015)
    Les données manquantes sont à compléter.

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[40].

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[42].

    En 2020, la commune comptait 996 habitants[Note 6], en augmentation de 5,17 % par rapport à 2014 (Charente : −0,6 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    1 2911 2601 3051 4121 4711 4441 5201 6051 522
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 4731 5601 5121 4341 5301 5261 5351 5511 506
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 4681 4001 2321 1681 1651 0391 0071 041987
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    950910966949981986987945991
    2020 - - - - - - - -
    996--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 25,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 40,2 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 471 hommes pour 520 femmes, soit un taux de 52,47 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[45]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,9
    90 ou +
    7,1
    11,3
    75-89 ans
    16,8
    21,7
    60-74 ans
    21,0
    19,8
    45-59 ans
    16,5
    17,6
    30-44 ans
    14,6
    12,3
    15-29 ans
    12,1
    15,4
    0-14 ans
    11,9
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[46]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1
    90 ou +
    2,5
    8,9
    75-89 ans
    11,8
    20
    60-74 ans
    20,3
    21
    45-59 ans
    20,8
    16,9
    30-44 ans
    16,2
    15,6
    15-29 ans
    13,7
    16,6
    0-14 ans
    14,7

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école est un RPI entre Étagnac et Saulgond. Étagnac accueille l'école primaire et Saulgond l'école élémentaire. Le secteur du collège est Chabanais[47].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le château de Rochebrune, situé à l'est du bourg et enrouté de douves, date des XVIe et XVIIe siècles[48].
    • Un ancien camp qui serait d'origine romaine est situé en limite nord de la commune et de la forêt d'Étagnac, sur un point culminant[3].
    • La chapelle d'Étricor est un ancien prieuré grandmontain situé au bord de la Vienne. Il est inscrit monument historique depuis 1987[49].
    • Différents anciens logis des XVIIe et XVIIIe siècles, pour la plupart remaniés à différentes époques : Écossas, Maine Joie, les Brosses, Lascoux[50]

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason de Étagnac Blason
    D'or à trois bandes de sable.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. La Borderie s'appelait autrefois la Borderie d'Aunat / Le Mas de Champeaux, c'était une tenure de la commanderie de Champeaux[4].
    2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[27].
    5. Sur la carte IGN, deux lieux-dits de ce nom existent en vis-à-vis de part et d'autre de la rivière et du pont actuel.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique d'Étagnac » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Tibor Pataki, « L'ordre de Malte en Bas-Limousin », Bulletin de la société scientifique, historique et archéologique de la Corrèze, t. 93,‎ , p. 88-89
      Détail des tenures de Champeaux. Voir aussi la suite de cet article t. 95, p. 153-169
    5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    6. Carte du BRGM sous Géoportail
    7. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Rochechouart », sur Infoterre, (ISBN 2-7159-1687-6, consulté le )
    8. « Carte et liste des communes du Bassin Loire-Bretagne », sur agence.eau-loire-bretagne.frr, (consulté le )
    9. « Fiche communale d'Étagnac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
    10. Sandre, « la Vienne »
    11. Sandre, « la Malicherie »
    12. « SAGE Vienne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    13. « Caractéristiques du SDAGE Loire-Bretagne 2022-2027 », sur sdage-sage.eau-loire-bretagne.fr (consulté le )
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune d'Étagnac », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Étagnac », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
    26. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    27. Article R214-112 du code de l’environnement
    28. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    29. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    30. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 28
    31. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 275.
    32. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    33. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 158-159
    34. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
    35. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
    36. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 100
    37. Michel Fougerat, « Abbaye d'Étricor », (consulté le )
    38. Catillus Carol, « Mines d'Étagnac », (consulté le )
    39. Guy Bachelier, « Famille de Plument, ou de Plumant », (consulté le )
    40. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
    41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    45. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Étagnac (16132) », (consulté le ).
    46. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
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    48. Robert Dexant, Châteaux de Charente, Paris, Nouvelles Éditions latines, , 30 p., p. 23
    49. « Chapelle d'Étricor », notice no PA00104365, base Mérimée, ministère français de la Culture
    50. Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 331-332

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