World Policy Conference
La World Policy Conference (WPC) ou la Conférence sur la politique mondiale est une conférence annuelle, fondée en 2008[1], par Thierry de Montbrial.
World Policy Conference (WPC) | |
Situation | |
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Création | 2008 |
Type | Conférence annuelle sur la gouvernance mondiale |
Langue | Français/Anglais |
Organisation | |
Fondateur et président | Thierry de Montbrial |
Organisations affiliées | Institut français des relations internationales, Fondation WPC |
Site web | www.worldpolicyconference.com |
World Policy Conference 2021 | |
Type | Conférence annuelle sur la gouvernance mondiale |
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Création | 2008 |
Ădition | 14e |
Pays | Ămirats arabes unis |
Localisation | Abou Dabi, Emirats arabes unis |
Organisateur | World Policy Conference |
Date | au |
Participant(s) | |
Site web | |
En 2017, la World Policy Conference est classĂ©e 3Ăšme meilleure confĂ©rence de think tank Ă l'Ă©chelle mondiale, selon le classement des think tanks de lâUniversitĂ© de Pennsylvanie, Etats-Unis.
Histoire
Lancée en 2008 par l'Institut français des relations internationales (Ifri), à l'initiative de son fondateur et président Thierry de Montbrial, la World Policy Conference (WPC) est la premiÚre tentative d'une réflexion systématique pour l'organisation d'une gouvernance mondiale adaptée aux réalités du XXIe siÚcle, associant décideurs, experts et leaders d'opinion au plus haut niveau[2].
La World Policy Conference (WPC) est une organisation indĂ©pendante[1] - [3] dont l'objectif est de contribuer Ă amĂ©liorer la gouvernance dans tous ses aspects afin de promouvoir un monde plus ouvert, plus prospĂšre, plus juste et respectueux de la diversitĂ© des Ătats et des nations[4].
Sa réunion annuelle s'articule autour de débats qui rassemblent des dirigeants politiques et économiques, des diplomates, des représentants de la société civile, des experts et des journalistes du monde entier[5]. Dans un climat de confiance et un esprit de tolérance, il s'agit de réfléchir, de débattre et de proposer des solutions constructives aux grands enjeux régionaux et internationaux.
Fondements
La World Policy Conference (WPC) a été fondée en accord avec trois principes majeurs[7] - [8].
Mondialisation
La World Policy Conference (WPC) s'inscrit dans un contexte de mondialisation de plus en plus marquĂ© oĂč lâinterdĂ©pendance des diffĂ©rents pays, que ce soit sur le plan politique, Ă©conomique ou environnemental, nâa jamais Ă©tĂ© aussi forte. LâannĂ©e de sa crĂ©ation, en 2008, la WPC avait ainsi pu aborder le sujet de la crise des subprimes qui venait dâĂ©clater aux Ătats-Unis et qui nâa depuis Ă©pargnĂ© aucun continent.
Relations internationales
MalgrĂ© les phĂ©nomĂšnes de mondialisation, le monde reste structurĂ© autour des unitĂ©s politiques que sont les Ătats, caractĂ©risĂ©s par un territoire, une population et un gouvernement, organisĂ©s autour dâune culture, de valeurs communes et dâinstitutions propres, et dĂ©limitĂ©s par des frontiĂšres qui restent bien marquĂ©es.
Gouvernance mondiale
Dans le but dâassurer une bonne gouvernance mondiale[9], les Ătats doivent se rĂ©former et coopĂ©rer. Mais ils ne doivent pas ĂȘtre les seuls Ă aller dans ce sens. Les ONG ainsi que les think tanks, dont lâIfri, ont Ă©galement pour mission de participer au processus. Il convient de passer par des instances de dĂ©cision oĂč chaque membre a voix au chapitre et influe sur les choix qui sâopĂšrent. Enfin, les institutions mondiales (ONU), rĂ©gionales (Union africaine, Ligue des Ătats arabes), ou encore spĂ©cialisĂ©es (FMI, Banque mondiale, Agence internationale de lâĂ©nergie, Organisation mondiale de la santĂ©) doivent sâadapter Ă la nouvelle configuration mondiale et trouver les solutions adĂ©quates.
Invités
La World Policy Conference (WPC) rĂ©unit chaque annĂ©e des personnalitĂ©s du monde politique, Ă©conomique et social : chefs dâĂtat ou de gouvernement, ministres, sĂ©nateurs, dĂ©putĂ©s, ambassadeurs, chefs dâentreprise, experts, journalistes - ou encore membres dâONG[2]. Parmi les invitĂ©s des quatorze premiĂšres Ă©ditions on peut citer :
- Patrick Achi (Premier ministre de CĂŽte dâIvoire)[10]
- Masood Ahmed (directeur du département Moyen-Orient et Asie Centrale du FMI)
- Martti Ahtisaari (ancien président de la république de Finlande)
- Khalid Bin Mohammed Al Attiyah (alors ministre des Affaires Ă©trangĂšres de l'Ătat du Qatar)[11]
- Sheikh Abdullah bin Naser bin Khalifa Al-Thani (Premier ministre du Qatar)
- Cheikh Mohammed bin Abdulrahman bin Jassim Al-Thani (ministre des Affaires Ă©trangĂšres de l'Ătat du Qatar)
- S.A.R. le Prince Turki Al-Faisal (président du Centre du Roi Fayçal pour la recherche et les études islamiques)[12] - [13]
- Yukiya Amano (directeur gĂ©nĂ©ral de lâAgence internationale de lâĂnergie atomique)
- Youssef Amrani (cabinet royal, Maroc)[14]
- Yutaka Aso (prĂ©sident dâAso Group)
- Jean-Marc Ayrault (ministre des Affaires étrangÚres et du développement international, France)
- Robert Badinter (ancien ministre de la Justice, Garde des Sceaux, France)
- Bertrand Badré (alors directeur général et directeur financier du Groupe de la Banque mondiale)
- Ban Ki-moon (secrétaire général des Nations unies)[15]
- Ehud Barak (ancien Premier ministre dâIsraĂ«l)[16]
- Sébastien Bazin (président-directeur général, AccorHotels)
- Marek Belka (président de la Banque nationale de Pologne)[11]
- Charles-Edouard Bouée (président-directeur général, Roland Berger Strategy Consultants)
- Nasser Bourita (ministre des Affaires étrangÚres et de la Coopération internationale du Maroc)
- Ana BrnabiÄ (PremiĂšre ministre de Serbie)
- Christian BrĂ©chot (prĂ©sident de lâInstitut Pasteur)[17]
- Didier Burkhalter (Conseiller fédéral, chef du département fédéral des affaires étrangÚres (DFAE), Suisse)[11]
- Korn Chatikavanij (ancien ministre des Finances de ThaĂŻlande)
- José Angel Cordova Villalobos (alors ministre de la Santé du Mexique)
- Amadou Gon Coulibaly (alors Premier ministre de CĂŽte dâIvoire)
- Chey Tae-Won (président de SK Group, république de Corée)
- Nelson Cunningham (président, McLarty Associates)[18]
- Ahmet Davutoglu (ancien Premier ministre de Turquie)
- Kemal Dervis (vice-prĂ©sident de la Brookings Institution responsable de lâĂ©conomie mondiale et ancien ministre des Affaires Ă©conomiques de Turquie)
- Bozidar Djelic (associĂ©-gĂ©rant et responsable de lâEurope centrale et de lâEurope de lâEst, Lazard et ancien vice-Premier ministre de la Serbie)
- Saeb Erekat (négociateur en chef, Palestine)
- Heinz Fischer (prĂ©sident de la rĂ©publique dâAutriche)
- Fu Ying (alors vice-ministre des Affaires étrangÚres de la république populaire de Chine)[15]
- Cheikh Tidiane Gadio (président de l'Institut panafricain de stratégie (IPS), ancien ministre des Affaires étrangÚres, Sénégal)
- Robert Gates (ancien secrĂ©taire Ă la DĂ©fense des Ătats-Unis)[19]
- Elisabeth Guigou (présidente de la Commission des Affaires étrangÚres, Assemblée nationale)[14]
- Abdullah GĂŒl (alors prĂ©sident de la rĂ©publique de Turquie)
- Angel GurrĂa (secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de lâOCDE)
- Richard Haass (président du Council on Foreign Relations (CFR))[19]
- Han Seung-soo (ancien Premier ministre de la république de Corée)
- Riad Hijab (ancien Premier ministre, Syrie)
- Maria van der Hoeven (alors directrice exĂ©cutive de lâAgence internationale de lâĂ©nergie)
- Jaap de Hoop Scheffer (alors SecrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de lâOTAN)
- Mo Ibrahim (fondateur et président, Fondation Mo Ibrahim)
- Toomas Hendrik Ilves (prĂ©sident de la rĂ©publique dâEstonie)
- Mugur Isarescu (gouverneur de la Banque nationale de Roumanie)[11]
- Vuk Jeremic (président du Centre pour la coopération internationale et le développement durable (CIRSD))[17]
- Paul Kagame (président du Rwanda)[20]
- John Kerr (membre de la Chambre des Lords)
- Mari Kiviniemi (secrĂ©taire gĂ©nĂ©rale adjointe de lâOCDE)
- HaĂŻm Korsia (Grand Rabbin de France)[21]
- Haruhiko Kuroda (gouverneur de la Banque centrale du Japon)[15]
- Bruno Lafont (co-président, LafargeHolcim)[15]
- Pascal Lamy (ancien directeur gĂ©nĂ©ral de lâOMC)[19]
- John Lipsky (Senior Fellow, Foreign Policy Institute, Johns Hopkins Universityâs Paul H. Nitze School of Advanced International Studies (SAIS), ancien premier directeur gĂ©nĂ©ral adjoint du Fonds monĂ©taire international)
- Pauline Marois (alors PremiÚre ministre du Québec)
- Peter Maurer (président du Comité international de la Croix-Rouge)
- Dmitri Medvedev (alors président de la fédération de Russie)[22]
- S.A.S. le Prince Albert II (Prince Souverain de Monaco)[23]
- Mario Monti (ancien président du conseil des ministres italien)[24]
- Miguel Angel Moratinos (ancien ministre des Affaires Ă©trangĂšres espagnol)[15]
- Igor V. Morgulov (vice-ministre des Affaires étrangÚres de la fédération de Russie)
- Amr Moussa (alors secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de la Ligue des Ătats arabes)[25]
- Louise Mushikiwabo (Secrétaire générale de la Francophonie)
- Joseph Nye (Professeur Ă la Kennedy School of Government de Harvard)
- Raila Amolo Odinga (alors Premier ministre du Kenya)
- Arkebe Oqubay (ministre et conseiller du premier ministre de l'Ăthiopie)
- Guillaume Pepy ( prĂ©sident du directoire de SNCF, et prĂ©sident directeur-gĂ©nĂ©ral de lâĂPIC SNCF MobilitĂ©s)
- Patrick Pouyanné (directeur général et président du comité exécutif, Total)[26]
- Alassane Ouattara (prĂ©sident de la rĂ©publique de CĂŽte dâIvoire)[27]
- Park Geun-hye (présidente de la république de Corée)[19]
- Edi Rama (Premier ministre d'Albanie)
- Didier Reynders (vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangÚres et européennes de Belgique)[28]
- Mary Robinson (ancienne prĂ©sidente de la rĂ©publique dâIrlande)[29]
- Norbert Röttgen (président de la Commission des Affaires étrangÚres du Bundestag, Allemagne)
- Kevin Rudd (prĂ©sident de lâAsia Society Policy Institute Ă New-York, 26e Premier ministre de lâAustralie)
- Jin Roy Ryu (PDG de Poongsan Group)
- Nicolas Sarkozy (alors président de la République française)[30] - [31]
- Boris TadiÄ (alors prĂ©sident de la rĂ©publique de Serbie)
- Nobuo Tanaka (ancien directeur exĂ©cutif de lâAgence internationale de lâĂ©nergie)
- Mostafa Terrab (PDG, OCP)[27]
- Jean-Claude Trichet (ancien président de la BCE)[11] - [15]
- Hubert Védrine (ancien ministre des Affaires étrangÚres français)[14] - [15]
- Wang Jisi (président de l'Institut des études stratégiques internationales, Université de Pékin)
- Lionel Zinsou (ancien Premier ministre du BĂ©nin)[11]
Lieu dâinfluence, de rĂ©flexion et de dĂ©bat
Les rĂ©unions en trois formats - sessions plĂ©niĂšres, ateliers et dĂ©jeuners/dĂźners-dĂ©bats - sont articulĂ©es autour de lâidĂ©e dâune interaction constructive public-privĂ© au plus haut niveau. Lors des sessions plĂ©niĂšres, chaque intervenant a la parole, de maniĂšre Ă©gale et exclusive, quelle que soit la puissance de son pays dâorigine[6] - [7] - [8].
Lieu de rencontres informelles
Chaque participant est choisi individuellement en croisant diffĂ©rents critĂšres, gĂ©ographiques, fonctionnels et mĂ©diatiques. Pour permettre des rencontres fructueuses, le nombre des participants Ă chaque Ă©dition reste limitĂ©. Sur ces bases et dans un cadre dâaccueil agrĂ©able, toutes les conditions sont rĂ©unies pour que les participants se sentent libres de leurs paroles, crĂ©ant ainsi un lieu de rencontres de trĂšs haut niveau mais informelles[6] - [7] - [8].
Suivi de la conférence
Les travaux de la confĂ©rence devant alimenter le dĂ©bat public sont, pour lâessentiel, on the record[32] et sont largement diffusĂ©s.
- Support papier
Chaque Ă©dition de la WPC donne lieu Ă la publication dâun rapport, qui rassemble les extraits les plus marquants des interventions ; il prĂ©sente Ă©galement la liste des profils de tous les participants, ainsi que celle de tous les partenaires. Les moments clĂ©s de chaque Ă©dition y sont illustrĂ©s par un grand nombre dâimages. Chaque annĂ©e, quelques milliers dâexemplaires de ce rapport bilingue (français et anglais) sont diffusĂ©s Ă travers le monde. Il est Ă©galement tĂ©lĂ©chargeable au format PDF depuis le site de la WPC[33].
- Support en ligne
Le site web de la WPC donne accÚs non seulement aux archives des éditions passées mais également aux derniÚres informations sur la conférence à venir.
- WPC TV : la WPC TV donne accÚs aux entretiens et aux déclarations des participants à la conférence[34].
- Actes de confĂ©rence : chaque confĂ©rence donne lieu Ă la publication numĂ©rique des actes. LâintĂ©gralitĂ© des interventions y est publiĂ©e en vidĂ©os et en textes[35].
- RĂ©seaux sociaux et partage
La WPC est membre des rĂ©seaux Twitter, LinkedIn, Facebook, Instagram et Flickr. LâintĂ©gralitĂ© du contenu intellectuel des Ă©vĂ©nements est par ailleurs sauvegardĂ©e en vidĂ©o et accessible Ă tous sur YouTube.
Ăditions de la WPC
La World Policy Conference (WPC) a gĂ©nĂ©ralement lieu Ă la fin de lâannĂ©e.
Ci-dessous se trouve un tableau rĂ©capitulatif des diffĂ©rentes Ă©ditions qui se sont dĂ©roulĂ©es jusquâalors[36].
Ădition | Lieu | Dates |
---|---|---|
1re Ă©dition | Evian, France | 6- |
2e Ă©dition | Marrakech, Maroc | - |
3e Ă©dition | Marrakech, Maroc | 15- |
4e Ă©dition | Vienne, Autriche | 9- |
5e Ă©dition | Cannes, France | 7- |
6e Ă©dition | Monaco | 13- |
7e édition | Séoul, Corée du Sud | 8- |
8e Ă©dition | Montreux, Suisse | 20- |
9e Ă©dition | Doha, Qatar | 20- |
10e Ă©dition | Marrakech, Maroc | 3- |
11e Ă©dition | Rabat, Maroc | 26- |
12e Ă©dition | Marrakech, Maroc | 12- |
13e Ă©dition | Ne s'est pas tenue | |
14e Ă©dition | Abou Dabi, Ămirats arabes unis | 1- |
15e Ă©dition | Abou Dabi, Ămirats arabes unis | 9- |
Références
- « World Policy Conference â 5e Ă©dition (Cannes, 7-10 dĂ©cembre 2012) - Com - RFI », sur rfi.fr, (consultĂ© le )
- « Programme chargé pour la World Policy Conference 2012 - JeuneAfrique.com », sur JeuneAfrique.com, (consulté le )
- « 10 choses à savoir sur la World Policy Conference », sur L'Obs (consulté le )
- « Entretien au Press Club de France avec Thierry de Montbrial Président de l'Institut Français des Relations Internationales | AFP.com », sur www.afp.com (consulté le )
- « World Policy Conference : lectures croisées des crises mondiales à Monaco », sur euronewsfr (consulté le )
- « PremiÚre "World Policy Conference" à Evian », sur rts.ch (consulté le )
- World Policy Conference, World Policy Conference, , 32 p. (ISBN 978-2-36567-274-0, lire en ligne)
- World Policy Conference, Penser les nouveaux modes de gouvernance mondiale, (lire en ligne)
- La-Croix.com, « Thierry de Montbrial, Ă©loge de la goutte dâeau », sur La Croix (consultĂ© le )
- « 14e Ă©dition de World Policy Conference : Le Premier ministre Patrick Achi Ă Abu Dhabi pour reprĂ©senter le Chef de lâEtat », sur FraternitĂ© matin
- « PressReader.com - Connecting People Through News », sur www.pressreader.com (consulté le )
- Christophe Ayad, « Etat islamique : « Le problĂšme est Ă Damas » », Le Monde.fr,â (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Turki al-Fayçal : Pour lutter contre Daech, il faut sâattaquer Ă la racine du mal qui est Assad », sur L'Orient-Le Jour, (consultĂ© le )
- Michel TOUMA (à Montreux), « Unanimité des intervenants à Montreux pour une action concertée contre le terrorisme - Michel TOUMA (à Montreux) », sur L'Orient-Le Jour, (consulté le )
- « World Policy Conference : le monde cherche un nouveau mode de gouvernance à Marrakech », sur Aujourd'hui le Maroc (consulté le )
- (en) The Associated Press, DPA et Reuters, « Barak: End of Syria's Assad Would Be 'A Blessing for the Middle East' », Haaretz,â (lire en ligne, consultĂ© le )
- « Réchauffement climatique : la carte des risques pour la santé », sur lesechos.fr, (consulté le )
- La-Croix.com, « En Syrie et en Irak, il faut que chiites et sunnites trouvent un équilibre politique stable », sur La Croix (consulté le )
- « Ouverture de la World Policy Conference à Séoul », sur french.yonhapnews.co.kr (consulté le )
- (en-US) « World Policy Conference | Remarks by President Kagame | Abu Dhabi, 1 October 2021 », sur Paul Kagame, (consulté le )
- « Consistoire | Haim Korsia à la World Policy Conference », sur www.consistoiredefrance.fr (consulté le )
- « REPORTAGE - "La World Policy Conference: 3 jours hors du temps à Evian", par Pauline Damour (Challenges) », sur Challenges (consulté le )
- Li Zhijian, « World Policy Conferencee : "Il faut une régulation du systÚme international" (directeur général de l'IFRI) », sur french.china.org.cn (consulté le )
- « "World policy conference" à Cannes : entre petites lùchetés et grands discours », sur leplus.nouvelobs.com (consulté le )
- « Amr Moussa : "L'ensemble du Moyen-Orient doit changer" - JeuneAfrique.com », sur JeuneAfrique.com, (consulté le )
- « Les Echos.fr - Actualité à la Une - Les Echos », sur m.lesechos.fr (consulté le )
- « World Policy Conference 2012 : le Moyen-Orient, l'Afrique et l'UE au centre des débats - JeuneAfrique.com », sur JeuneAfrique.com, (consulté le )
- euronews (en français), « World Policy Conference : lectures croisées des crises mondiales à Monaco - focus », (consulté le )
- APS, « TroisiÚme édition de "World conference policy" vendredi à Marrakech », sur Lemag.ma : Application et Newsletter sur le Maroc (consulté le )
- La-Croix.com, « A Evian, Medvedev et Sarkozy affichent une entente retrouvée », sur La Croix (consulté le )
- « A Evian, Nicolas Sarkozy tend les bras à la Russie », sur www.letemps.ch (consulté le )
- (fr + et + en) World Policy Conference, World Policy Conference 2009, (lire en ligne), page 2
- « World Policy Conference » Publications 2015 », sur www.worldpolicyconference.com (consulté le )
- « World Policy Conference TV », sur World Policy Conference TV Official (consulté le )
- « World Policy Conference » Actes de conférence 2015 », sur www.worldpolicyconference.com (consulté le )
- « World Policy Conference » Archives 2015 », sur www.worldpolicyconference.com (consulté le )