Valbelle
Valbelle est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Valbelle | |||||
Le village de Valbelle niché dans sa vallée, et le cirque. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
DĂ©partement | Alpes-de-Haute-Provence | ||||
Arrondissement | Forcalquier | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Jabron-Lure-Vançon-Durance | ||||
Maire Mandat |
Pierre-Yves Vadot 2020-2026 |
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Code postal | 04200 | ||||
Code commune | 04229 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
239 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 7,2 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 44° 08′ 55″ nord, 5° 52′ 56″ est | ||||
Altitude | Min. 494 m Max. 1 655 m |
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Superficie | 32,99 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Sisteron (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Sisteron | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
GĂ©olocalisation sur la carte : Provence-Alpes-CĂ´te d'Azur
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Le nom de ses habitants est Valbellois[1].
GĂ©ographie
Le village chef-lieu, Les Richaud, est situé à 560 m d’altitude[2].
GĂ©ologie
Les roches dominantes à Valbelle sont les calcaires urgoniens à l’ubac, avec peu de marnes et d’argiles[3].
Relief
Le point le plus bas de la commune se trouve dans la vallée du Jabron, à 494 m d’altitude, avec une étroite plaine autour de 510 m d’altitude. La commune se trouve en rive droite du torrent[2].
La vallée de Valbelle est séparée de celle du Jabron par deux collines culminant à 850 m pour celle de l’ouest, et à 773 m pour la montagne de Saint-Michel, à l’est, qui est reliée à la crête de Chapage, terminaison nord-est de la montagne de Lure. La commune occupe un cirque naturel fermé à l’est et au sud par la montagne de Lure, dont la crête monte de 1 000 m environ au nord, à 1 656 m d’altitude. Cette longue crête ne compte qu’un sommet notable, le Cairn 2000, à 1 594 m, dans la commune de Cruis mais proche de la limite avec Valbelle et visible depuis la vallée de Valbelle[2]. La montagne de Sumiou coupe ce cirque en deux, selon un axe est-ouest et à 1 402 m d’altitude maximale. Son versant nord comporte plusieurs secteurs abrupts, notamment la barre des Rochers du Pas des Portes, à l’ouest, le Pas de Sumiou et le site de la chapelle Saint-Pons à l’est[2].
La montagne de Lure est franchie, sur le territoire de Valbelle, par trois cols principaux, d’ouest en est[2] - [4] :
- le Pas de la Graille, emprunté par la RD 53 et l’ancien chemin de Frère Jean, à 1 597 m d’altitude ;
- le Pas de la Croix, à 1 502 m, emprunté par un chemin pédestre ;
- le Pas de Jean Richaud, à 1 441 m, est emprunté par le sentier de grande randonnée GR 6.
La montagne de Sumiou est franchie par le Pas de Sumiou[2], Ă 1 050 m.
Hydrographie
La vallée entre la montagne de Sumiou et la montagne de Lure est drainée par le Ravin du Grand Vallon, qui devient le Riou Sec en franchissant la montagne de Sumiou, puis la Biaïsse[2]. Celle-ci draine toute la vallée de Valbelle[5] - [2].
Elle reçoit le Ressouvau (en rive droite), puis le ravin de Bonnet et le Riou Brun (rive gauche). Une partie de son cours est dévié pour alimenter un canal d’irrigation (rive gauche)[2].
Environnement
La commune compte 1 692 ha de bois et forĂŞts, soit 51 % de sa superficie[1]. La plus importante est la forĂŞt domaniale du Jabron[6].
Les efforts de reboisement entrepris à partir de 1896[7] sont poursuivis aujourd’hui (voir ci-contre).
Transports
La commune est desservie par la route départementale RD 53, qui part au nord de la départementale RD 946, ancienne route nationale 546. Elle franchit le Pas de la Graille depuis 1949 et rejoint au sud la station de Lure. Elle devient ensuite la RD 113[2] - [4].
Risques majeurs
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Noyers-sur-Jabron auquel appartient Valbelle est en zone 1a (sismicité très faible mais non négligeable) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[8], et en zone 3 (risque modéré) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[9]. La commune de Valbelle est également exposée à quatre autres risques naturels[9] :
- avalanche ;
- feu de forĂŞt ;
- inondation (dans la vallée du Jabron) ;
- mouvement de terrain.
La commune de Valbelle n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[10] et aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[10] ; le Dicrim n’existe pas non plus[11].
Hameaux
Les trois hameaux des Escoffiers, des Richaud et des Tourniaires se rejoignent actuellement pour former un village[2].
Toponymie
Le nom du village, tel qu’il apparaît la première fois en 1204 (de Vallebella), vient de l’occitan, désignant une belle, ou grande vallée[12]. L’ancien nom du village apparaît en 1419 dans les textes (Turris Beoncii)[13]. Pour le changement de nom, voir la section Histoire.
De nombreux toponymes de Valbelle font référence au relief montagneux : on a ainsi le Bois de la Coste ; Serre Chardan (le serre étant une crête)[14]. En occitan de Lure, le casset est un petit éboulis : sur l’ubac de Lure, un ravin prend son nom du Petit Casset qui le domine[15]. Le Frache du Pin est une zone calcaire constellée de trous, l’érosion ayant causé des effondrements[15]. La source du Gravas fait référence à une zone recouverte par les graviers arrachés à la montagne par les eaux pluviales, phénomène d’érosion facilité par la déforestation intense[15].
L’eau a également façonné le paysage : le lieu-dit l’Iscle est aujourd’hui en bordure du Jabron. Il désigne à l’origine une île instable formée dans le cours des rivières au lit tressé et au régime torrentiel. Le ravin de Font de Laba tire son nom d’une source (font)[15], on a aussi la source Reihe.
La Rouyère sur le flanc sud de la montagne de Sumiou fait référence aux chênes blancs qui y poussent, le Bois de la Fayée sur l’adret de Lure à la hêtraie naturelle[15].
L’élevage ovin a occasionné de nombreux toponymes : le Jas (la bergerie) tout simplement, mais aussi le Jas de Richaud, le Jas des Bailles. La bergerie la Graille est la bergerie de la corneille (voir aussi le col nommé le Pas de la Graille, au-dessus de cette bergerie). Les clos (Clos de Moune, le Clos des Vaches) sont des champs épierrés, et dont les pierres ont servi à la construction d’une clôture en pierre sèche[15]. Le Moulin Bas, la Tuilière (terme provençal pour tuilerie, qui atteste une création antérieure à 1700) sont d’autres traces de l’activité de transformation humaine, comme le ravin des Charbonniers rappelle l’activité des charbonniers, nombreux au XIXe siècle et au début du XXe siècle[16].
Urbanisme
Typologie
Valbelle est une commune rurale[Note 1] - [17]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sisteron, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (89 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (61,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (25,7 %), zones agricoles hétérogènes (11 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,2 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Économie
Agriculture
Histoire
Préhistoire et Antiquité
Les grottes des Peyrourets ont été fréquentées au Néolithique[24] - [25]. Des découvertes archéologiques attestent de la fréquentation de Valbelle à l’âge du bronze[25].
Dans l’Antiquité, le territoire de la commune fait partie de celui des Sogiontiques (Sogiontii), qui peuplent la montagne de Lure, en étant fédérés aux Voconces. Après la Conquête (en 125-), ils sont rattachés avec eux à la province romaine de Narbonnaise. Au IIe siècle, ce peuple est détaché des Voconces et forme une civitas distincte, avec pour capitale Segustero (Sisteron)[26]. À l’époque gallo-romaine, un atelier de potiers était actif sur la commune[27].
Moyen Ă‚ge
Alors que le Sud-Est de la Gaule était une terre burgonde, le roi des Ostrogoths Théodoric le Grand fait la conquête de la région entre la Durance, le Rhône et l’Isère en 510. La commune dépend donc brièvement à nouveau de l’Italie, jusqu’en 526. En effet, pour se réconcilier avec le roi burgonde Gondemar III, la régente ostrogothe Amalasonthe lui rend ce territoire[28].
La communauté, citée en 1274[29] et en 1419, s’appelait la Tour de Bevons[13]. Elle relevait de la baillie de Sisteron[29]. Les détenteurs du fief sont les Mévouillon (XIIIe siècle-XIVe siècle), puis les d’Oraison aux XVe et XVIe siècles[13].
La communauté médiévale de Quinson[30] (signalée en 1274), était établie sur la crête de Chapage, au nord-est du cirque de Valbelle[7]. Elle comptait 11 feux au dénombrement de 1315, mais est fortement dépeuplée par la crise du XIVe siècle (Peste noire et guerre de Cent Ans). Inhabitée en 1371[5], elle est annexée par celle de la Tour de Bevons au XVe siècle[13].
Deux autres fiefs se trouvaient sur l’actuel territoire de la commune de Valbelle : la Cheylanne[5] - [7], et le fief de Saint-Pons (cité en 1207)[5].
Au Moyen Âge, les églises des communautés de la Tour et de Quinson dépendaient de la collégiale de Cruis, qui percevait les revenus attachés à ces églises[31] - [32]. Comme toutes les communautés de la vallée du Jabron, celle de la Tour de Bevons (renommée ensuite Valbelle) avait le privilège de ne pas payer la queste aux comtes de Provence (puis à leurs successeurs, les rois de France) jusqu'à la Révolution[33].
Temps modernes
Probablement au XVIe, le village de Valbelle, établi sur une hauteur (où se trouvent deux tours en ruines), est abandonné et détruit pour gagner l’emplacement actuel.
Les nouveaux seigneurs de la Tour de Bevons, les Valbelle, acheteurs du fief en 1680[5] et qui tirent leur nom de leur seigneurie dans l’actuel Var, obtiennent son changement de nom en 1687[13] - [34] - [35]. Les Valbelle conservent le fief jusqu’à la Révolution[13] - [7].
Depuis le Moyen Âge, l’itinéraire dit chemin de Frère Jean était très fréquenté. Il franchit toujours Lure au Pas de la Graille, et rejoint Noyers-sur-Jabron par le Pas des Portes. Il reste jusqu’à la fin du XIXe siècle le principal point de passage pour la moitié est de la montagne. Mais les cols utilisés pour relier Valbelle au versant sud de la montagne de Lure étaient surtout le Pas de Jean Richaud et le Pas de la Croix[4].
Époque contemporaine
Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République : 7 habitants de Valbelle sont traduits devant la commission mixte, la peine la plus courante étant la déportation en Algérie[36].
En 1863, Valbelle est la seule commune de la vallée du Jabron à ne compter aucune école[37]. Ce n’est qu’avec les lois Jules Ferry qu’elle construit son école[38].
L’électrification du village se fait en 1935 par raccordement au réseau national, les écarts et hameaux étant reliés plus tard[39].
Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée à Valbelle. Plusieurs dizaines d’hectares produisaient un vin destiné à l’autoconsommation et à la vente sur les marchés locaux, Sisteron constituant le principal débouché. Cette culture est aujourd’hui abandonnée[40].
Politique et administration
Municipalité
Intercommunalité
Valbelle fait partie:
- de 2002 à 2017, de la communauté de communes de la Vallée du Jabron ;
- depuis le , de la communauté de communes Jabron Lure Vançon Durance.
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[49].
En 2020, la commune comptait 239 habitants[Note 3], en diminution de 7,36 % par rapport Ă 2014 (Alpes-de-Haute-Provence : +2,39 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Valbelle comptait 15 feux en 1471[13].
L'histoire démographique de Valbelle, après la grande saignée du XIVe siècle et la lente croissance allant de la fin du XVe siècle aux années 1830, est marquée par une période d'« étale » où la population reste stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1811 à 1841. L'exode rural provoque un mouvement de diminution de longue durée, et rapide. En 1891, la commune avait perdu plus de la moitié de sa population[52]. Le mouvement de perte s'est poursuivi jusqu'aux années 1960. Depuis, on assiste à un mouvement inverse.
Lieux et monuments
Sites
Le cirque de Valbelle fait partie des sites naturels attachants de la montagne de Lure, selon Guy Barruol[54].
La caverne des Peyrourets se trouve sur le haut du versant nord de la montagne de Sumiou[2].
Monuments
La tour Vieille, tour qui donnait son nom au fief avant 1687 est actuellement en ruines. Située sur l’éperon qui contrôle le resserrement de celle de la Biaisse, par lequel on accède à la vallée de Valbelle, elle domine également la vallée du Jabron. Les ruines datent du XIIIe siècle[55]. Elle est abandonnée depuis le XVIe siècle[5].
L’église paroissiale, placé sous l’invocation du saint Sauveur et le patronage de saint Pons, est construite du XVe siècle au XVIIe siècle[29] dans un style roman tardif. Elle compte au total quatre travées, dont une pour le chœur siècle, voûtées en berceau brisé. Deux bas-côtés voûtés de la même façon encadrent la nef[56] ; l’abside est du XIIe et les cloches sont placées dans un campenard.
La chapelle Saint-Pons est difficile d’accès : on doit emprunter, après une ascension assez raide, un petit escalier et un pont[57]. Le site où elle est établie est à la fois étonnant et féérique, selon Guy Barruol[58]. Elle est établie sur une étroite terrasse, adossée à un escarpement vertigineux. Son abside, au bel appareil petit et régulier, ainsi que le chevet sont de la fin du XIe siècle. La nef, appuyée au rocher, date d’une reconstruction des années 1830-1840. Au total, la chapelle fait 10 mètres de long pour 5 de large ; un pèlerinage à saint Pons s’y rendait autrefois[57]. Elle a été restaurée dans les années 2000[58].
À proximité immédiate, on trouve le trou de Saint-Pons auquel une légende est attachée.
La chapelle Saint-Honorat date elle du XVIIe siècle[29].
HĂ©raldique
Blason | De gueules à une tour crénelée d’or, maçonnée et ajourée de sable, adextrée de la lettre V d’or et senestrée de la lettre B, du même[59]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Bibliographie
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p.
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017)
- Guy Barruol, André de Réparaz et Jean-Yves Royer (directeurs de la publication), La montagne de Lure, encyclopédie d’une montagne en Haute-Provence, Forcalquier, Alpes de Lumière, coll. « Les Alpes de Lumière », , 320 p. (ISBN 2-906162-70-1), no 145-146
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Valbelle sur le site de la communauté de communes de la Vallée du Jabron
- Valbelle sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Roger Brunet, « Canton de Noyers-sur-Jabron », Le Trésor des régions, consultée le 11 juin 2013.
- « IGN, Carte topographique de Valbelle » sur Géoportail (consulté le 3 novembre 2013).
- Irène Magnaudeix et alii, Pays de Haute-Provence : de Lure au Luberon. Manosque, pays de Forcalquier, de la montagne de Lure au Luberon, guide de découverte par les chemins, ADRI/Les Alpes de Lumière, 1999, (ISBN 2-906924-25-3), (ISBN 2-906162-47-7), p. 101.
- Guy Barruol, « Itinéraires traditionnels », in Guy Barruol, André de Réparaz et Jean-Yves Royer (directeurs de la publication), La montagne de Lure, encyclopédie d’une montagne en Haute-Provence, Forcalquier, Alpes de Lumière, coll. « Les Alpes de Lumière », , 320 p. (ISBN 2-906162-70-1), no 145-146, op. cit., p. 210-211.
- Irène Magnaudeix, op. cit., p. 123.
- Irène Magnaudeix, op. cit., p. 114.
- Guy Barruol, « Valbelle », in Barruol, Réparaz, Royer, p. 296.
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39.
- Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 2 septembre 2012.
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 98.
- Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 2 septembre 2012.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 194), , 676 p. (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne)., § 21432, p. 1145.
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 205.
- Claude Martel, « L’oronymie d’une montagne provençale » in Barruol, Réparaz, Royer, op. cit., p. 220.
- Guy Barruol, Claude Martel, Jean-Yves Royer, « Glossaire lié à la topographie et à la toponymie de Lure », in Barruol, Réparaz, Royer, op. cit., p. 229.
- Danielle Musset, « Les charbonniers », in Barruol, Réparaz, Royer, op. cit., p. 104-106.
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p. 8.
- Guy Barruol, « Préhistoire », in Barruol, Réparaz, Royer, op. cit., p. 175.
- Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, no 63, 2006, CNRS éditions, p. 18-19.
- Irène Magnaudeix, op. cit., p. 28.
- Audrey Becker-Piriou, « De Galla Placidia à Amalasonthe, des femmes dans la diplomatie romano-barbare en Occident ? », Revue historique, 2008/3, no 647, p. 531.
- Daniel Thiery, « Valbelle », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 23 décembre 2011, mis à jour le 24 décembre 2011, consulté le 2 septembre 2012.
- Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., p. 191.
- Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., carte 72.
- Guy Barruol, « L’architecture religieuse romane », in Barruol, Réparaz, Royer, op. cit., p. 233.
- Édouard Baratier, La Démographie provençale du XIIIe au XVIe siècles, avec chiffres de comparaison pour le XVIIIe siècle, Paris : SEVPEN/EHESS, 1961. Collection « Démographie et société », 5. p. 21.
- Centre de conservation du livre, « notice de Valbelle », Guide des ressources documentaires en Provence-Alpes-Côte d’Azur, consulté le 28 janvier 2010.
- Claude Martel, Ibid., p. 223.
- Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, « Arrestations-condamnations », 1851-Pour mémoire, Les Mées : Les Amis des Mées, 2001, p. 71.
- Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
- Labadie, op. cit., p. 11.
- Guy Barruol, « L’électrification des communes », in Barruol, Réparaz et Royer, op. cit., p. 198.
- André de Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXe – XXIe siècles », Méditerranée, 109 | 2007, p. 56 et 59.
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- Jean Latil est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de François Mitterrand (PS) à l’élection présidentielle de 1981, cf Conseil constitutionnel, liste des élus ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 15 avril 1981, page 1058, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010.
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Sourribes à Volx (liste 8), consulté le 10 mars 2013.
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
- Pierre-Yves Vadot est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Ségolène Royal à l’élection présidentielle de 2007, cf Parrainages élection présidentielle 2007, consulté le 28 juillet 2010.
- Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence, Liste des écoles de la circonscription de Sisteron, publiée le 27 avril 2010, consultée le 31 octobre 2010.
- Annuaire des villes jumelées
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes de Haute- Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 287.
- « Transport dans la vallée du Jabron »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), La vallée sans portes, consulté le 13 juillet 2013
- Guy Barruol, « Sites naturels », in Barruol, Réparaz, Royer, op. cit., p. 48.
- Guy Barruol, « Les églises de la fin du Moyen Âge et de l’époque classique », in Barruol, Réparaz, Royer, op. cit., p. 241.
- Raymond Collier, op. cit., p. 215-216.
- Raymond Collier, op. cit., p. 402.
- Guy Barruol, « L’architecture religieuse romane », in Barruol, Réparaz, Royer, op. cit., p. 238.
- Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, Raphèle-lès-Arles, Marcel Petit CPM, (1re éd. 1866).