Tertry
Tertry est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Tertry | |||||
La mairie et le monument à la bataille de Tertry | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Péronne | ||||
Intercommunalité | CC de l'Est de la Somme | ||||
Maire Mandat |
Gérard Museux 2020-2026 |
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Code postal | 80200 | ||||
Code commune | 80750 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Tertriciens | ||||
Population municipale |
145 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 29 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 51′ 47″ nord, 3° 04′ 14″ est | ||||
Altitude | Min. 62 m Max. 96 m |
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Superficie | 4,93 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Péronne (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Ham | ||||
Législatives | 5e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Géographie
Localisation
Tertry est un village picard du Santerre situé dans la vallée de l'Omignon, limité au nord par l'ex-RN 29 (actuelle RD 1029), et, au sud, par l'autoroute A29.
Il est situé à l'extrémité est du département de la Somme, proche de celui de l'Aisne.
Nature du sol et du sous-sol
Le sol de la commune est argileux et crayeux, tourbeux près de la rivière[1].
Relief, paysage, végétation
Le paysage de la commune correspond à celui d'une vallée dont le relief est assez prononcé. L'altitude de la commune culmine à 94 mètres[1].
Hydrographie
La commune est traversée par l'Omignon, affluent de la rive droite du fleuve côtier la Somme.
La rivière alimente un vaste étang.
Climat
Le climat de la commune est tempéré océanique.
Urbanisme et aménagement du territoire
La commune présente un habitat groupé.
Activité économique et de services
L'activité dominante de la commune reste l'agriculture.
Transports en commun routiers
La localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 51, Mesnil-Bruntel - Saint-Christ-Briost - Ham)[2].
Communes limitrophes
Urbanisme
Typologie
Tertry est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Péronne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 52 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[6] - [7].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (84,4 %), forêts (8,3 %), zones agricoles hétérogènes (7,3 %)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].
Toponymie
En 1898, l’instituteur, M. Bernaville indiquait que le village avait porté le nom de Tertricium ou Testris[1].
Histoire
Moyen Âge
Lors de la bataille de Tertry en , Pépin de Herstal, maire du palais d'Austrasie battit Berchaire maire du palais de Neustrie[10].
Un décompte de la châtellenie de Péronne de 1214 indique que le domaine de Tertry appartienait à Gilles de Marquaix, qui y reconnaît « tenir du roi Testrich, un moulin, des prés, 10 muids et 5 setiers 8 verges et demie de terre et la dîme[11] ».
Tertry était une ancienne paroisse du doyenné d'Athies. Par un traité de 1302, l'abbé Regnault cède de nombreux droits sur Tertry à Hugues de Parando visiteur général de l'Ordre du Temple, qui y possédait déjà des biens. À la disparition de l'ordre en 1311, ces biens passent aux frères de Saint-Jean-d'Eterpigny[11].
Le chapitre de la basilique Saint-Quentin y avaient des possessions : en 1369, Jean Courtois, chanoine de Saint-Quentin achète "neuf muids de terre"[11].
À la fin du XIVe siècle, le seigneur de Tertry était Grart ou Guerars de Tertrich selon un document de 1372[11].
Époque moderne
À la fin du XVIIIe siècle, Tertry qui releva d'abord du comté d'Athies puis de celui de Nesle, faisait partie du marquisat de Caulaincourt[11]. Un arrêt du Conseil du Roi du confirme les droits féodaux des marquis sur certaines de leurs possessions, mais leur interdit d'exiger des péages à Tertry[12].
Époque contemporaine
Lors de la guerre franco-prussienne de 1870, un combat a lieu le , veille de la bataille de Saint-Quentin sur le territoire communal, qui fit 120 blessés, recueillis dans l'école, au presbytère ou chez des habitants[1].
En 1898, le village comptait 8 fermes, 5 commerçants, 6 débitants et deux peintres en bâtiment. La production agricole était principalement céréalière, de production de pommes de terre et de betteraves sucrières[1].
- La mairie et l'école vers 1910.
- La rue principale
Première Guerre mondiale
Comme d'autres villages de la région, Tertry est sorti meurtri de la Grande Guerre car le village a été entièrement rasé en 1917 par les Allemands. Des 23 communes qui composaient le canton de Roisel, seules 2 ont échappé à la destruction : Vraignes-en-Vermandois et Tincourt-Boucly, qui ont servi a héberger la population évacuée des autres villages avant leur destruction[13].
Le , soit moins d'un mois après la déclaration de guerre, l'armée française bat en retraite vers l'ouest et les Allemands arrivent à Tertry[14]. Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusqu'en . Le front se situant à une vingtaine de kilomètres à l'ouest de Péronne, l'activité des occupants consistait principalement à assurer le logement des combattants et l'approvisionnement en nourriture. Des arrêtés de la kommandantur obligeaient la population à fournir, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien.
"J'ai vécu sous la domination allemande à Tertry jusqu'au dernier (1917); ce jour-là , les Allemands ont conduit toute la population à Vraignes où nous sommes restés jusqu'au jour où les Anglais nous ont enfin libérés (en ). Quelques jours avant qu'ils ne quittent Tertry, les Allemands se sont livrés à un pillage en règle de toutes les maisons. Ils ont scié les arbres. Enfin, après nous avoir expulsés de chez nous, alors que nous étions à quelques centaines de mètres du village, ils ont détruit toutes les maisons par la mine ou l'incendie." (lire la déposition de Mme Petithomme en cliquant sur le lien ci-après[15]). "De Tertry qui possédait une ancienne et fort belle église, il ne reste pour ainsi dire rien. Le village a été incendié[16]".
Le village, vidé de ses habitants, reste occupé par les Allemands ; il est le théâtre de nombreux combats en mars-. Les ruines du village sont plusieurs fois reprises par chaque camp et ce n'est qu'en , lors de la bataille de la ligne Hindenburg que Tertry est définitivement libéré par les britanniques.
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions[17], la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 (France) le [18].
La reconstruction
Les habitants reviennent s'installer dans le village et alors débute une phase de reconstruction qui dure presque une décennie, menée par une coopérative de reconstruction, administrant la perception des droits de guerre. De 270 habitants avant la guerre en 1911, Tertry n'en compte plus que 197 en 1921
En 1920, des soldats anglais construisent un pont métallique pour traverser l'Omignon[19].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.
La commune fait partie depuis 1801 du canton de Ham[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune fait toujours partie, est modifié, passant passe de 19 à 67 communes.
Intercommunalité
La commune faisait partie depuis 2002 de la communauté de communes du Pays Hamois, qui succédait au district de Ham, créé en 1960.
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , prévoyant que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[21], le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) arrêté par le préfet de la Somme le prévoit notamment la fusion des communautés de communes du Pays Hamois et celle du Pays Neslois, afin de constituer une intercommunalité de 42 communes groupant 20 822 habitants, et précise qu'il « s'agit d'un bassin de vie cohérent dans lequel existent déjà des migrations pendulaires entre Ham et Nesle. Ainsi Ham offre des équipements culturels, scolaires et sportifs (médiathèque et auditorium de musique de grande capacité, lycée professionnel, complexe nautique), tandis que Nesle est la commune d'accueil de grandes entreprises de l'agroalimentaire ainsi que de leurs sous-traitants »[22].
La fusion intervient le et la nouvelle structure, dont la commune fait désormais partie, prend le nom de communauté de communes de l'Est de la Somme[23] - [24].
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].
En 2020, la commune comptait 145 habitants[Note 3], en diminution de 16,18 % par rapport à 2014 (Somme : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Vers 1469, un dénombrement réalisé pour le comte de Bourgogne indiquait que le village comprenait 16 feux[1].
Enseignement
Le village n'a plus d'école. Les enfants d'âge scolaire se rendent dans une école voisine.
Associations de Tertry
- Longue Paume Tertry[32] ;
- Société communale de chasse.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Omer[33], reconstruite après sa destruction pendant la Première Guerre mondiale[34].
- Monument commémoratif de la bataille de Tertry, du sculpteur Jacques-Victor André, édifié en 1987, devant l'église, pour le mille trois centième anniversaire de la bataille.
- Monuments au morts de la Guerre de 1870 et de celle de 1914-1918. Il porte les noms des 16 soldats de Tertry morts durant ce conflit[35].
- le Tertry Communal Cemetery, Commonwealth Plot , cimetière militaire du Commonwealth implanté dans le cimetière communal, il abrite 15 tombes de soldats alliés
- La via Francigena qui part de Canterbury (Royaume-Uni) pour rallier Rome passe à Tertry[36] - [37].
- L'église Saint-Omer.
- Monument commémoratif de la bataille
- Ancienne fontaine publique.
- Carré militaire de la guerre de 1870, au cimetière
Personnalités liées à la commune
- Élodie Kulik, qui a vécu une partie de son enfance dans la commune voisine de Monchy-Lagache, directrice d'une agence bancaire de Péronne âgée de 24 ans, violée et assassinée dans une zone non habitée du territoire communal de Tertry au début de l'année 2002. Cette affaire, connue sous le nom d'affaire Kulik, a défrayé la chronique judiciaire depuis le début des années 2000.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Commune de Tertry
- Tertry sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune de Tertry (80750) », Recensement général de la population de 2014, INSEE, (consulté le ).
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 13 SO, Cambrai [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Le réseau Trans'80 en ligne ».
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Péronne », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Bataille de Tertry », Tertry, sur http://www.omignon.fr (consulté le ).
- « Histoire de Tertry », Villages, sur http://www.omignon.fr (consulté le ).
- « Arrêt du conseil d'État qui maintient le Sieur de Caulaincourt dans des droits de péage à Beauvais, Tombes et Tréféon, et lui fait défenses d'en exiger à Verchi, Caulaincourt, Biencourt et Tertry, généralité d'Amiens » (consulté le ), sur Gallica.
- « La guerre en 1917 : les crimes allemands : dans la Picardie dévastée / Maurice Thiéry ; préface de S. Pichon,... », sur Gallica, (consulté le ).
- (en) « Cartographie 1914-1918 - Carte des positions au 28 aout 1914 », sur carto1418.fr (consulté le ).
- « Rapports et procès-verbaux d'enquête de la commission instituée en vue de la commission instituée en vue de constater les actes commis par l'ennemi en violation du droit des gens (décret du 23 septembre 1914). Tome 6-9 / [signé G. Payelle, président ; Armand Mollard,... ; G. Maringer ; Ed. Paillot, rapporteur ; M. Petit,...] », sur Gallica, 1915-1916 (consulté le ).
- « La Somme sous l'occupation allemande, 27 août 1914-19 mars 1917 / abbé Charles Calippe ; préface de S. G. Mgr de La Villerabel,... », sur Gallica, (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
- Le pont retrouve une seconde jeunesse, le Courrier picard, édit. Picardie maritime, p. 2, .
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- Projet de SDCI du 13 octobre 2015, p. 20.
- V.F.; C.La., « Les fusions ne vont pas toutes se faire en douceur », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne) « Imposée par l’État, la fusion des communautés de communes se fait parfois naturellement. Mais elle engendre aussi des difficultés, comme entre celles de Ham et Nesle ».
- « Dernière réunion pour les élus du pays hamois », Le Journal de Ham, no 50,‎ , p. 5 « Éric Legrand peut conclure : « Dans quelques jours, le Pays Hamois cédera définitivement la place à la communauté de communes de l’Est de la Somme : une nouvelle appellation pour un territoire nouveau mais aussi, et surtout, pour une ambition nouvelle ».
- Justine Esteve, « L’ancien maire A. Thirard est décédé : TERTRY Celui qui a été maire de Tertry pendant 43 ans est décédé à l’âge de 82 ans. André Thirard laisse un souvenir ému à ses concitoyens », Le Journal de Ham, nos 48/1997,‎ , p. 10 « En 43 années de mandat, André Thirard a réalisé de nombreuses choses pour sa commune « mais je crois que ce dont il est le plus fier c’est d’avoir l’école et fait une extension pour qu’elle devienne notre salle polyvalente », estime Gérard Museux. En plus de ses nombreuses responsabilités communales, André Thirard était vice-président à la communauté de communes du pays hamois et exercé également au SMITOM et à la SICAE ».
- « Liste des maires de la Somme » [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- « Le maire de Tertry veut poursuivre son action : Gérard Museux a fait une annonce de manière indirecte lors des fêtes de Noël organisées dans la commune, donnant rendez-vous pour fêter en juillet prochain l’anniversaire de la doyenne du village », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Philippe Marotte reste maire de Thennes, avec trois adjoints », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Philippe Marotte repart pour un quatrième mandat à Thennes. L’élection interne au conseil de mardi 26 mai, dès 19 heures, à huis clos, à la salle des fêtes, l’a confirmé ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « TERTRY | Federation francaise de longue paume », sur www.federation-longue-paume.fr (consulté le )
- « A) Église de Tertry. - [Aquarelle d'Oswald Macqueron], d'après nature, 11 mai 1875. B) Le Bourg de Tertry (Somme) : vue prise de la rivière de l'Aumignon. - [Carte postale] Royer, Nancy. - Coll. "La Picardie illustrée". », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
- « L'église : chœur en ruines », notice no APDSF3119, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- « Rechercher dans le fonds iconographique », sur geneanet.org (consulté le ).
- Hugues Chaigneau, « Les pèlerins de la Via Francigena vont avoir leur guide : Connue mais peu exploitée, la partie samarienne de la Via Francigena est en passe de s’offrir davantage de visibilité », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Dans la Somme, le chemin traverse un axe d’une trentaine de kilomètres allant de Sailly-Saillisel à Tertry en passant par Péronne, avant de continuer dans l’Aisne. Saint-Quentin et surtout Laon ».
- Romain Michelot, « La Via Francigena, qui traverse la Somme et l’Aisne, « a le potentiel de Saint-Jacques » : Le chemin de pèlerinage, qui part de Canterbury (Royaume-Uni) pour rallier Rome, passe par la Somme et l’Aisne. Il est désormais référencé dans un guide », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).