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Estrées-Mons

Estrées-Mons est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Estrées-Mons
Estrées-Mons
La mairie
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Somme
Arrondissement PĂ©ronne
Intercommunalité CC de la Haute Somme
Maire
Mandat
Christian Picard
2020-2026
Code postal 80200
Code commune 80557
DĂ©mographie
Population
municipale
588 hab. (2020 en augmentation de 0,51 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 38 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 52â€Č 44″ nord, 3° 00â€Č 27″ est
Altitude Min. 56 m
Max. 102 m
Superficie 15,3 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction PĂ©ronne
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de PĂ©ronne
LĂ©gislatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
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Estrées-Mons
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Estrées-Mons
Liens
Site web http://www.mairie-estrees-mons.fr/

    En 1973, les deux anciennes communes d’EstrĂ©es-en-ChaussĂ©e et Mons-en-ChaussĂ©e ont fusionnĂ© pour former la nouvelle commune d’EstrĂ©es-Mons.

    GĂ©ographie

    Description

    Le village est situé dans la vallée de l'Omignon, il est traversé par l'axe Amiens - Saint-Quentin, la route départementale 1029. Par la route, Amiens est à une soixantaine de kilomÚtres et Saint-Quentin à plus de vingt kilomÚtres[1].

    En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 49, Péronne - Roisel - Saint-Quentin)[2].

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Estrées-Mons est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de PĂ©ronne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 52 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[6] - [7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (83,8 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (85,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (81,7 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (4,8 %), zones urbanisĂ©es (4,5 %), eaux continentales[Note 3] (3,9 %), forĂȘts (3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (2,1 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (de 1950 Ă  aujourd'hui)[9].

    Toponymie

    Estrées est attesté sous les formes Strata
 ; Estrées en 1148 ; Estrees in calceia en 1296 ; Estrée-en-le-Cauchie en 1519 ; Estrée-en-Cauchye en 1567 ; Estrée en 1573 ; Estrée-en-Cauchie en 1733 ; Estré-en-Cauchy en 1753 ; Etrée en 1757 ; Estré-en-Cauchie en 1764 ; Estrées-en-Chaussée en 1771[10].
    EstrĂ©e, premiĂšre partie du nom de la commune, est un mot d'ancien français, issu du latin strata (via), qui dĂ©signait une « voie couverte de pierres plates », par opposition Ă  rupta (via) > route. Il s'est conservĂ© dans la plupart des langues romanes (cf. l'italien et le roumain strada) et a Ă©tĂ© empruntĂ© par le germanique (cf. l'anglais street, l'allemand Straße et le nĂ©erlandais straat[11]). Le mot estrĂ©e a disparu du français Ă  la fin du Moyen Âge, mais il demeure dans un grand nombre de toponymes, particuliĂšrement dans le Nord de la France, signalant la proximitĂ© d'une voie romaine[12]. Ici, cette voie est la chaussĂ©e Brunehaut, appelĂ©e aujourd'hui D 1029 dans les environs, ce qui justifie la terminaison des noms des deux anciennes communes qui se sont rassemblĂ©es : EstrĂ©es-en-ChaussĂ©e et Mons-en-ChaussĂ©e.

    Mons est attesté sous les formes Mons en 960 ; Montes en 117. ; Monz en 12.. ; Montes juxta strata en 1200 ; Mons en le Cauchie en 1438 ; Mons en Cauchye en 1567 ; Mons en Cauchie en 1573 ; Mont-en-Cauchie en 1648 ; Mons-en-Chaussée en 1733 ; Mont-en-Chaussée en 1771 ; Mons-en-Cauchy en 1753[13]
    Le nom « Mons » se retrouve dans de nombreux noms du Nord de la France ou de Belgique, comme pour les villes de Mons (en Belgique) ou Mons-en-BarƓul (dĂ©partement français du Nord).

    Le lieu-dit les Vignes[14], bien exposé, témoigne de la culture ancienne du raisin sur le territoire.

    Histoire

    Les villages ont été détruits pendant la PremiÚre Guerre mondiale et ont été décorés de la croix de guerre 1914-1918 le [15].

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, la Luftwaffe occupe l'aĂ©rodrome de 107 hectares qui avait Ă©tĂ© crĂ©Ă© antĂ©rieurement[16].

    L’armĂ©e allemande agrandit le terrain d'aviation par deux pistes d’envol bĂ©tonnĂ©es de 1 650 m x 50 m et 1 600 m x 50 m, orientĂ©es respectivement E / O et N-E / S-O et ceinturĂ©es par une voie de circulation pĂ©riphĂ©rique desservant elle-mĂȘme de nombreuses aires de dispersion[16]

    Estrées-en-Chaussée est ensuite décorée de la croix de guerre 1939-1945 avec étoile de bronze le [17].

    En 1947, l'aĂ©rodrome est ouvert Ă  l'aviation civile, puis, au milieu des annĂ©es cinquante, accueille une base aĂ©rienne de l'OTAN de dispersion, Ă©quipĂ©e d’une piste E/O de 2 440 m.

    À la fin des annĂ©es 1960, l’OTAN ayant quittĂ© le territoire français, le centre de recherche de l'INRAE est implantĂ© sur une partie de l'ancienne base aĂ©rienne[18].

    En 1973, les communes d'Estrées-en-Chaussée et de Mons-en-Chaussée fusionnent pour devenir la commune d'Estrées-Mons[19].

    • Le monument aux morts de Mons-en-ChaussĂ©e.
      Le monument aux morts de
      Mons-en-Chaussée.
    • Le monument aux morts d'EstrĂ©es-en-ChaussĂ©e.
      Le monument aux morts
      d'Estrées-en-Chaussée.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1856 1870 Joseph Guilbert
    Armand Guilbert Fils de Joseph Guibert
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2020[20] Jean-Paul Colard[21] - [22]
    2020[23] - [24] En cours
    (au 8 octobre 2020)
    Christian Picard Retraité, ancien président du club de football local

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[26].

    En 2020, la commune comptait 588 habitants[Note 4], en augmentation de 0,51 % par rapport à 2014 (Somme : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    796690699719721706767766770
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    752741740701704678700715679
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    693672624452536510517452522
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    536520628631596609585581569
    2015 2020 - - - - - - -
    595588-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee Ă  partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    SituĂ©e au numĂ©ro 2, rue du Brasseur, l'Ă©cole primaire communale (maternelle et Ă©lĂ©mentaire) compte 45 Ă©lĂšves Ă  la rentrĂ©e scolaire 2019-2020. Elle est situĂ©e en zone B, dans l'acadĂ©mie d'Amiens[29].

    Autres Ă©quipements

    Le village dispose d'une agence postale communale[30].

    Économie

    • L'usine agro-alimentaire Bonduelle[31] dont le siĂšge social est Ă  Villeneuve-d'Ascq est la plus grande usine de transformation de lĂ©gumes du monde. La qualitĂ© des eaux de la nappe phrĂ©atique et la proximitĂ© des meilleures terres d'Europe ont sĂ©duit l'industriel[32] - [33].
    • INRA, implantĂ© sur un site de 163 hectares oĂč travaillent en 2020 152 chercheurs, ingĂ©nieurs et techniciens, qui Ă©tudie notamment l’impact des grandes cultures sur l’environnement, notamment en termes d’émissions de gaz Ă  effet de serre et l’hygiĂšne des procĂ©dĂ©s agroalimentaires[34] - [18].
    • Sur le territoire de la commune est implantĂ© l'aĂ©rodrome de PĂ©ronne - Haute-Somme. Il accueille un aĂ©ro-club et un centre de parachutisme trĂšs actif[35] en raison de la proximitĂ© de Paris[36].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Pierre de Mons.
    • Chapelle d'EstrĂ©es, reconstruite aprĂšs la Grande Guerre[37].
    • Oratoire de Saint-Cren, du nom du hameau dĂ©jĂ  citĂ© en 1248. La croix avec son Christ, prĂšs de la mare, existait en 1700[37].
    • AĂ©rodrome d'EstrĂ©es-Mons, le seul de la Somme Ă  permettre de sauter en parachute[38].

    Personnalités liées à la commune

    Paul-Armand Guilbert, nĂ© Ă  EstrĂ©es-en-ChaussĂ©e, maire d'EstrĂ©es-Mons, considĂ©rĂ© comme « le plus ĂągĂ© maire de France Â», dĂ©cĂ©dĂ© en 1960, chevalier de la LĂ©gion d'Honneur (1956). Deux de ses fils sont dĂ©cĂ©dĂ©s dans les combats de la guerre de 1914-1918, Guilbert Arthur-EugĂšne, dĂ©cĂ©dĂ© le 20 fĂ©vrier 1918 et Louis-Gaston, dĂ©cĂ©dĂ© le 7 septembre 1914, morts pour la France.

    Il est à noter que son pÚre,Pierre-Louis-Joseph Guilbert,né à Estrées-en-Chaussée,a été maire d'Estrées-Mons de 1856 à 1870. Il est mort en 1884.

    [réf. nécessaire]

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Bibliographie

    • Laurenza van Hoegaerden-Julien, "Mons-en-ChaussĂ©e / EstrĂ©es-Mons et Villages voisins. MĂ©moires et RĂ©cits", Éditions La Vague-Verte,Coll."Souvenance", rĂ©Ă©d. : coll. "Les Brochures-de-L'Histoire" (mĂȘme Ă©diteur, 68 p.), 182 p.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. ViaMichelin.
    2. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Péronne », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    10. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 342 (lire en ligne sur DicoTopo) .
    11. John Ayto, Dictionary of Word Origins, Arcade Publishing, New York, 1990, 584 pages, pg 506
    12. Stéphane Gendron, La Toponymie des voies romaines et médiévales, éditions errance, Paris, 2006, 200 pages, p. 32.
    13. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 68 (lire en ligne sur DicoTopo) .
    14. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique du département de la Somme, Archives départementales de la Somme, tome 2, Amiens, p. 386, vue 196/267.
    15. Journal officiel du 30 octobre 1920, p. 16879.
    16. DGAC, « Atlas DGAC – PĂ©ronne – Mons-en-ChaussĂ©e », Atlas historique des terrains d'aviation de France mĂ©tropolitaine 1919-1947, Anciens aĂ©rodromes, (consultĂ© le ).
    17. « Communes décorées de la Croix de guerre 1939-1945 » [PDF], Mémorial des batailles de la Marne - Dormans (51), (consulté le ), p. 45.
    18. Vincent Fouquet, « La ministre de l’Enseignement supĂ©rieur en visite ce vendredi 29 mai sur le site de l’INRAE Ă  EstrĂ©es-Mons : FrĂ©dĂ©rique Vidal dĂ©couvrira les coulisses de l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement Ă  EstrĂ©es-Mons. L’INRAE abrite des laboratoires qui prĂ©parent l’agriculture de demain », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    19. Anciennes communes de la Somme
    20. « Jean-Paul Colard ne briguera pas un nouveau mandat de maire d’EstrĂ©es-Mons », Le Courrier picard,‎ .
    21. « Liste des maires de la Somme », sur http://www.somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
    22. « Liste des maires de la Somme » [PDF], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    23. « Une premiĂšre liste se dĂ©clare Ă  EstrĂ©es-Mons », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    24. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    29. « L'Ă©cole sur le site du ministĂšre de l'Éducation nationale ».
    30. « Notre Agence Postale », Informations, sur http://www.mairie-estrees-mons.fr, (consulté le ).
    31. Bonduelle
    32. Pascal Mureau, « Bonduelle : comment la Haute-Somme lui a ouvert l'appĂ©tit », Courrier picard, Ă©dition d'Amiens,‎ , IV..
    33. Hugues Chaigneau, « Comment le site Bonduelle d’EstrĂ©es-Mons s’est adaptĂ© au coronavirus : Le spĂ©cialiste du lĂ©gume fait front face Ă  la crise du coronavirus. Si les objectifs financiers ont Ă©tĂ© suspendus, la capacitĂ© de production est pour le moment maintenue », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    34. Nicolas Totet, « La science en plein champ Ă  EstrĂ©e-Mons pour la ministre : EstrĂ©es-Mons La ministre de l’Enseignement supĂ©rieur a conclu son pĂ©riple par le centre INRAE. Instructif comme tout ce qu’elle a vu. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    35. Le CPPHS Centre de Parachutisme Paris PĂ©ronne Haute Somme
    36. Comment aller à l'aérodrome de Péronne
    37. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 260 (ASIN B000WR15W8).
    38. Vincent Fouquet, « S’envoyer en l’air en Haute-Somme : L’aĂ©rodrome de PĂ©ronne-EstrĂ©es-Mons est le seul de la Somme Ă  permettre de sauter en parachute. Il est devenu la drop zone des Parisiens et des cĂ©lĂ©britĂ©s. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
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