Monchy-Lagache
Monchy-Lagache est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Monchy-Lagache | |||||
La mairie | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Péronne | ||||
Intercommunalité | de l'Est de la Somme | ||||
Maire Mandat |
Jacques Pinchon 2020-2026 |
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Code postal | 80200 | ||||
Code commune | 80555 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
593 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 38 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 51′ 09″ nord, 3° 02′ 43″ est | ||||
Altitude | Min. 57 m Max. 95 m |
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Superficie | 15,44 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Ham | ||||
Législatives | 5e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://www.monchy-lagacheinfomairie.fr/ | ||||
Géographie
Description
À une soixantaine de kilomètres à l'est d'Amiens et une vingtaine de kilomètres à l'ouest de Saint-Quentin, le village est aisément accessible par l'axe Amiens - Saint-Quentin.
Le territoire communal, d'une superficie de 1 544 ha, est essentiellement boisé ou cultivé.
Son altitude moyenne est de 74 m.
En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 51, Mesnil-Bruntel - Saint-Christ-Briost - Ham)[1].
En 2021 une part importante des habitants travaille dans l'usine Bonduelle, grâce à sa proximité ( moins d’un kilomètre).
Le club de football réunit chaque dimanche les habitants.
Nom du club : Olympique Monchy-Lagache (OML).
Communes limitrophes
Hydrographie
Le village se trouve dans la vallée de l'Omignon où sont présents des bois[2] - [3].
Hameaux et écarts
Quatre hameaux dépendent de Monchy : Douvieux, Flez, Méréaucourt et Montécourt.
Urbanisme
Typologie
Monchy-Lagache est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [4] - [5] - [6]. La commune est en outre hors attraction des villes[7] - [8].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (84 %), forêts (7,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,4 %), zones urbanisées (4,1 %)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].
Toponymie
En 750, le village est dénommé Monciacum in Viromandensi Patria: « domaine des moines en pays de Vermandois »[11].
Contrairement à l'idée reçue, le nom du village ne vient pas de l'oiseau, fort commun dans la localité, nommé en picard agache et la pie en français . En réalité, Lagache viendrait de « Gachar » qui signifie « guet »[11]. Le « guet de l'Omignon » est attesté au XVe siècle, son emplacement se situe à proximité de l'église. La commune, instituée pendant la Révolution française sous le nom de Monchy la Gache, prend en 1801 celui de Mouchy-la-Gache avant d'utiliser sa dénomination actuelle de Monchy-Lagache[12].
Flez, en latin, signifie « détour du chemin[13] ».
Douvieux était connu sous le nom de Dooul, Du Viel, Douvieulet, Donviel, Domvieux, Doun Villa et Domus vetus. Le radical douva doun supposerait une antique forteresse entourée de fossés[13].
Montescourt est une ancienne dépendance de Monchy, nommée Montiscurt en 1150, Mons-ès-Cort en 1218 et Montescort en 1333[13].
Méréaucourt tient son nom de sa situation dans les marais[13].
Histoire
De nombreux vestiges gallo-romains sont mis au jour en 1989, lors des fouilles préalables aux travaux pour la construction de l'autoroute A29[2].
Une nécropole mérovingienne (Ve au VIIIe siècle) de 600 tombes découverte en 2016 lors de fouilles préventives atteste l'importance du village dès les temps les plus reculés[2] - [14].
Un fief correspondant à la moitié du village a été donné au chapitre cathédral de Beauvais entre, selon les sources, avant 750 et 1024 par l'évêque de Beauvais, qui en était le seigneur. L'autre moitié revint à Othon de Vermandois[15].
Dreux ou Drogon de Monchy était l'un des chevaliers vassaux du comte Hugues Ier de Vermandois, qui partirent avec lui à la première croisade[15].
Aux XIIe et XIIIe siècles, les templiers disposaient d'une maison à Montecourt, qui s'étendait du haut de la côte jusqu'aux abords de la rivière et comprenait un étang poissonneux. Après la suppression des Templiers en 1311, cet établissement passe aux religieux hospitaliers d'Eterpigny qui y placent des fermiers pour en cultiver les terres[15] - [16].
Au XVe siècle, la vicomté de Monchy appartenait au seigneur de Tertry. En 1411, le duc de Bourgogne allant assiéger la ville de Ham logea à Monchy-Lagache, ainsi que, en 1415, le roi d'Angleterre Henri V (roi d'Angleterre), avant la bataille d'Azincourt[15].
Le village fut desservi, de 1889 à 1949, par la ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique reliant Albert à Ham des chemins de fer départementaux de la Somme. Venant d'Albert, il avait une partie commune avec la ligne de Montdidier dont il se séparait à la gare de Fricourt. Arrivant à Péronne, la ligne desservait les arrêts de Le Quinconce, du Faubourg de Bretagne et la gare de Péronne Flamicourt où un dépôt atelier avait été aménagé. La ligne poursuivait par Mesnil Bruntel, Mons en Chaussée, Athies, traversant l'Omignon pour continuer vers Devise, Monchy Lagache, Fletz-Douvieux, Quivières, Croix Moligneaux, Matigny, Offoy, Canisy et enfin la gare de Ham, où l'on trouvait des correspondances pour Saint-Quentin, Noyon, Amiens et Laon.
Le tortillard transportait autant les marchandises que les voyageurs, et approvisionnait les sucreries et râperies de betteraves, et transportait les pulpes, ainsi que ce qui était nécessaire à la fabrication du sucre, charbon, craie... Les voies furent démontées sous l'occupation allemande lors de la Première Guerre mondiale, et reconstruites lors de l'Entre-deux-guerres. La desserte était assurée par des trains à vapeur, puis, à compter de 1945, par des autorails[17].
La sucrerie Lapierre existait en effet dans le village à la fin du XIXe siècle et disposait en 1897 de quatre chaudières et de divers appareils à vapeur. L'installation industrielle est très endommagée par les bombardements et le pillage opérée par les Allemands en 1917 et 1918, lors de la Première Guerre mondiale[18].
- Le clocher de l'église.
- Entrée principale de l'église.
- Le chœur de l'église.
- Transept et cimetière.
- La Grande Place.
- Première Guerre mondiale
La commune est longuement occupée par l'armée allemande[19].
Le village est évacué à partir de décembre 1916, l'occupant détruit et brûle les constructions[19]. Il est considéré comme détruit après l'armistice[20].
Il a été décoré de la croix de guerre 1914-1918 le [21].
- Reconstruction
La Compagnie Nouvelle des Sucreries Réunies est créée en 1919 et regroupe les indemnités de dommages de guerre de quatorze sucreries (Ercheu, Moyencourt, Monchy-Lagache, Mons-en-Chaussée, Eppeville, Péronne, Lesdin, Courcelle, Villers-Saint-Christophe, Flavy-le-Martel, Séraucourt, Arthies et Montescourt-Lizerolles).
Ses dirigeants, dont Edmé Sommier, important raffineur parisien, chargent l'architecte Juste Lisch de construire une nouvelle sucrerie à Eppeville, avec le souhait d’en faire la « plus grande sucrerie de France ». L'usine est mise en service pour la saison betteravière 1922-1923[22]. Néanmoins, la compagnie décide d'utiliser le site de Monchy-Lagache, distant de 12 km d'Eppeville, pour y installer l'une des quatre râperies, complémentaires au fonctionnement de l'usine principale. Les travaux de reconstitution sont menés par les mêmes entreprises qu'à Eppeville, notamment l'usine de Châlon-sur-Saône de la société tchèque Skoda (Établissements Réunis de Prague), filiale de Schneider en France[23].
- Ruines de la mairie en 1920.
- La Place : baraquements de l'école et de la Poste.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.
La commune fait partie depuis 1801 du canton de Ham[12]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune fait toujours partie, est modifié, passant passe de 19 à 67 communes.
Intercommunalité
La commune faisait partie de la communauté de communes du Pays Hamois, qui succédait au district de Ham, créé en 1960, que Brouchy avait rejoint en 1961.
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, prévoyant que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[24], le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) arrêté par le préfet de la Somme le 30 mars 2016 prévoit notamment la fusion des communautés de communes du Pays Hamois et celle du Pays Neslois, afin de constituer une intercommunalité de 42 communes groupant 20 822 habitants, et précise qu'il « s'agit d'un bassin de vie cohérent dans lequel existent déjà des migrations pendulaires entre Ham et Nesle. Ainsi Ham offre des équipements culturels, scolaires et sportifs (médiathèque et auditorium de musique de grande capacité, lycée professionnel, complexe nautique), tandis que Nesle est la commune d'accueil de grandes entreprises de l'agroalimentaire ainsi que de leurs sous-traitants »[25].
La fusion intervient le et la nouvelle structure, dont la commune fait désormais partie, prend le nom de communauté de communes de l'Est de la Somme[26] - [27].
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].
En 2020, la commune comptait 593 habitants[Note 2], en diminution de 11,49 % par rapport à 2014 (Somme : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Dans les années 2000, les élus du Pays hamois travaillent à la construction d'un ensemble scolaire qui regrouperait les élèves des sept communes de Monchy-Lagache, Tertry, Ugny-L’Equipée, Y, Quivières, Croix-Moligneaux et Matigny à Monchy-Lagache[2]. Sa réalisation est perturbée par la découverte d'une nécropole mérovingienne à l'emplacement retenu, qui amène à déplacer l'équipement[37]. La nouvelle école est mise en service en 2020 pour accueillir les 145 élèves actuels et jusqu'à 200 enfants[38].
La municipalité prévoit de transformer l'ancienne école maternelle en médiathèque[38].
Économie et tourisme
- L'aérodrome de Péronne est situé sur les communes de Monchy-Lagache et d'Estrées-Mons. Il accueille un aéroclub et le Centre de Parachutisme Paris Péronne Haute Somme, le CPPHS[39], un centre très actif en raison de la proximité de Paris[40].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Pierre, des XII e et XIIIe siècles, dont le clocher-porche octogonal a été reconstruit à l'identique en 1922 avec un décor sculpté néo-roman dû à J. Parrain, après les destructions de la Première Guerre mondiale.
La nef et le transept flamboyants, avec le porche méridional, ont été simplement restaurés. La reconstruction, conçue par l'architecte Clément Cocquempot a été achevée en 1926, avec des vitraux réalisés en 1927 par le maître-verrier Jacques Gruber, qui a utilisé les thématiques usuelles à l'issue de la Grande Guerre : sainte Jeanne-d'Arc, Marguerite-Marie Alacoque, sainte Bernadette... L'édifice rénové a été béni le par Monseigneur Lecomte, évêque d'Amiens[41] - [42].
- Vierge en pierre, rue de la chapelle. La chapelle funéraire est tombée en ruines après la guerre 1914-1918, une statue la remplace en 1958[11].
- Ancienne râperie de betteraves, dite Cie Nouvelle des sucreries Réunies, puis usine de matières plastiques de Mitry, construite en 1920 par les Établissements réunis Prague Schneider et Cie pour la Compagnie nouvelle des Sucreries Réunies. L'activité a cessé avant 1962, elle a été remplacée par la société plastiques de Mitry[43].
- Les deux étangs, lieux de pêche, objet de rempoissonnement[44].
L'église côté ouest. Détail du clocher octogonal. Le portail ouest de l'église. Le monument aux morts. Calvaire de pierre.
Héraldique
Blason | De gueules à trois maillets d'or. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Personnalités liées à la commune
- Maurice Leriche, né à Maretz en 1875 et mort en 1948 à Monche-Lagache, paléontologue et universitaire français.
- Jacky Kulik, qui a habité la commune de nombreuses années, et dont la fille Élodie Kulik, directrice d'une agence bancaire de Péronne âgée de 24 ans, a été violée et assassinée dans une zone non habitée de la commune voisine de Tertry au début de l'année 2002. Cette affaire est connue sous le nom d'affaire Kulik, qui défraie la chronique judiciaire depuis le début des années 2000. Tous les ans, depuis la mort de sa fille, il participe à une cérémonie en souvenir de sa fille, dans l'église de la commune. L'un des coupables est mort en 2003, un complice présumé doit être jugé par la cour d'assises d'Amiens à la fin de l'année 2019.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Le site de la mairie de Monchy-Lagache
- Monchy-Lagache sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune de Monchy-Lagache », Recensement général de la population de 2017, INSEE, (consulté le ).
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 22 NO, Laon [Nord-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Le réseau Trans'80 en ligne ».
- « Monchy-Lagache : Des squelettes découverts sur le chantier de la future école : Les fouilles archéologiques du terrain où doit être construite la future école ont permis de mettre au jour des squelettes, indiquant la présence d’une nécropole mérovingienne », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Photo E. Souillard-Castel, éditeur, « Carte postale ancienne : Monchy-Lagache - L'Omignon et le Pont », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 24, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, début du xxe siècle (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 275 (ASIN B000WR15W8).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Monchy-Lagache », Les villages, sur http://www.omignon.fr (consulté le ).
- Picardie: découverte d'une ancienne nécropole, lefigaro.fr, .
- « Histoire de Monchy-Lagache », sur http://www.omignon.fr (consulté le ).
- « Les Templiers de Montercourt », sur http://www.omignon.fr (consulté le ).
- « L'histoire du tortillard », sur http://www.omignon.fr/ (consulté le ).
- « Cartes postales de la sucrerie de Monchy-Lagache », sur http://www.omignon.fr (consulté le ).
- Pierre Dalliez et André Ducastel (préface), « Monchy-Lagache sous l'occupation Allemande - 1914-1917 » [PDF], sur https://www.monchy-lagacheinfomairie.fr, (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Journal officiel du 30 octobre 1920, p. 16879.
- Service Régional de l'Inventaire, « La sucrerie d'Eppeville », sur le site du Conseil régional (consulté le ).
- Dufournier Benoît, Fournier Bertrand, « Ancienne sucrerie de betteraves de Monchy-Lagache, puis râperie de betteraves de la Compagnie Nouvelle des Sucreries Réunies (C.N.S.R.), devenue usine de matières plastiques Mitry », L'inventaire général du patrimoine culturel, Conseil régional des Hauts-de-France, (consulté le ).
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- Projet de SDCI du 13 octobre 2015, p. 20.
- V.F.; C.La., « Les fusions ne vont pas toutes se faire en douceur », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne) « Imposée par l’État, la fusion des communautés de communes se fait parfois naturellement. Mais elle engendre aussi des difficultés, comme entre celles de Ham et Nesle ».
- « Dernière réunion pour les élus du pays hamois », Le Journal de Ham, no 50,‎ , p. 5 « Éric Legrand peut conclure : « Dans quelques jours, le Pays Hamois cédera définitivement la place à la communauté de communes de l’Est de la Somme : une nouvelle appellation pour un territoire nouveau mais aussi, et surtout, pour une ambition nouvelle ».
- « Les maires de Monchy-Lagache », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- Site de la Préfecture de la Somme
- « Toutes les écharpes ont trouvé preneur », Le Journal de Ham, nos 15/2014,‎ , p. 2 (ISSN 0755-1398).
- « Municipales 2020: c’est fini pour le maire de Monchy-Lagache : Philippe Levert, maire de Monchy-Lagache, a informé les conseillers municipaux : il ne briguera aucun mandat aux prochaines élections », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Âgé de 67 ans, Philippe Levert aura œuvré pendant 37 ans au service de Monchy-Lagache, commune de 665 habitants : trois mandats de conseiller, deux d’adjoint et un dernier en tant que maire ».
- Arnaud Brasseur, « Municipales à Monchy-Lagache : Jacques Pinchon conforte son avance », Le Journal de Ham,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Avec seulement deux sièges supplémentaires obtenus, les candidats de la liste Horizon 2026 seront dix au conseil municipal contre 5 de la liste menée par Jean-Claude Iste qui s’était finalement retiré ».
- Justine Esteve, « Monchy Lagache : Jacques Pinchon officiellement maire », Le Journal de Ham,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Exaspération aux vœux du maire : Lors de la cérémonie des vœux, le maire de Monchy-Lagache n’a pas mâché ses mots », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Ludovic Lascombe, « La rentrée dans la nouvelle école de Monchy-Lagache de nouveau repoussée : Suite à des retards de chantier, l’ouverture du regroupement scolaire devrait avoir lieu après les vacances de février. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « CPPHS ».
- « Aller à l'aérodrome de Péronne ».
- « L'église paroissiale », notice no PA80000007, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Histoire de l'église de Monchy-Lagache », Églises, sur http://www.omignon.fr (consulté le ).
- « Râperie de betteraves dite Cie Nouvelle des sucreries Réunies, puis usine de matières plastiques de Mitry », notice no IA00076542, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Plus de 800 kg de poisson dans l'étang », Courrier picard,‎ , p. 19C.