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Athies (Somme)

Athies est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Athies
Athies (Somme)
La mairie.
Blason de Athies
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité Communauté de communes de l'Est de la Somme
Maire
Mandat
Alain Acquaire
2020-2026
Code postal 80200
Code commune 80034
Démographie
Gentilé Althéiens
Population
municipale
596 hab. (2020 en diminution de 0,17 % par rapport à 2014)
Densité 56 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 51′ 20″ nord, 2° 58′ 46″ est
Altitude Min. CC de l'Est de la Somme m
Max. 88 m
Superficie 10,67 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Péronne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ham
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
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Athies
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Athies
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Athies
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Athies

    Géographie

    Description

    Athies est un village picard du Santerre, situé dans la vallée de l'Omignon et traversé par l'ancien tracé de la route nationale 37 (actuelle RD 937).

    L'ex-route nationale 29 (actuelle RD 1029) passe en limite nord du territoire communal tandis qu'une sortie de l'A29 a été aménagée en limite sud.

    En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 51, Mesnil-Bruntel - Saint-Christ-Briost - Ham)[1].

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Panorama du village depuis Devise.

    Hydrographie

    L'Omignon à Athies (Somme) en 2014
    L'Omignon à Athies (Somme) en 2014.

    La commune est baignée par les eaux de l'Omignon, un affluent rive droite du fleuve côtier picard la Somme.

    Urbanisme

    Typologie

    Athies est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Péronne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 52 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[5] - [6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86,9 %), forêts (7,7 %), zones urbanisées (4,6 %), zones agricoles hétérogènes (0,7 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Toponymie

    Atteiœ est mentionné au VIe siècle dans La Vie de sainte Radegonde de Fortunat. Un diplôme du roi Lothaire nous procure Atheyœ en 974. Atheyas est fourni par l'évêque Baudry dans un cartulaire de Noyon de 1100. Déjà, Honoré, évêque de Noyon écrit Athies en 1138 dans un cartulaire de son évêché[9].

    Les graphies Atis, Athis, Aties sont également relevées au cours des siècles[10].

    Il s'agit d'une formation semblable à tous les Athée, Athie, Athies, Athis du domaine d'oïl qui remontent tous au gaulois attegia (hutte, cabane). Il se décompose en ad- (préverbe) et tegia (maison) (cf. v. irlandais teg, v. breton tig, breton ti "maison").

    Athie en picard.

    Histoire

    Des substructions d'une villa gallo-romaine ont été retrouvées au Bois Saint-Jean par photographies aériennes[11] - [12], ainsi qu'au Chemin de Croix[13] et des vases romains ont été découverts dans le village[14].

    L'histoire d'Athies est émaillée de nombreux faits de guerre et de dévastations.

    • Les Romains on dévasté le village, si bien qu'on l'appelait encore « la ville désolée » au IIIe siècle[10].
    • Le village correspond à une ancienne ville fortifiée, résidence royale des rois de la « première race »[10].
    • Les Normands n'ont pas manqué de perpétrer à Athies un de leurs nombreux pillages[10].
    • Lors de la guerre de Cent Ans, les Bourguignons font à leur tour en 1406 de nombreuses destructions[10].
    • La localité est dotée, au Moyen Âge, d'une charte de commune.
    • En 1648, à la fin de la guerre de Trente Ans, les Espagnols brûlent et pillent le village, dont ils arasent les fortifications. Un massacre a lieu dans le cimetière. De nouveau, en 1676, les Espagnols détruisent le village, son église et l'hospice Sainte-Radegonde[15].
    La sucrerie

    Une sucrerie est construite dans le village en 1826 par Privat Théry (1800-1869), entre la rue de l'Abbaye, la rue Marin - qui n'existe plus - la rue du Pavé et la rue du Gourdin. Le fils de Privat, Louis (1828-1878), en prend ensuite la direction et devient maire du village de 1851 à sa mort.

    La sucrerie employait de 150 à 200 personnes pendant la saison - de septembre à décembre - Elle faisait vivre de nombreuses familles du village et était l'une des plus importantes de la région.

    L'électricité était fournie pendant la saison de production par trois grosses machines à vapeur. Après 1907 et en dehors de la période de production, le courant venait d'un alternateur installé à l'emplacement du moulin[16].

    Le Tortillard

    Le village a été desservi de 1889 à 1948 par une gare sur la ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique des chemins de fer départementaux de la Somme reliant Albert à Ham.

    Un embranchement particulier a été réalisé pour relier la ligne à la sucrerie installée face à l'église. Lors de sa construction, des sarcophages mérovingiens sont découverts. Les voies furent démontées sous l'occupation allemande lors de la Première Guerre mondiale[17]. On trouve à Athies les vestiges d'un ancien pont de cette ligne[18].

    Un bureau de poste est créé à Athies en 1840, avec monsieur Pointier pour directeur. Le télégraphe arrive en 1866, suivi du téléphone en 1909[19].

    Première Guerre mondiale

    Le village a beaucoup souffert des affrontements liés au conflit et a été occupé par l'armée allemande. Dès octobre 1914 une Kommandantur s'installe à Athies et réquisitionne sucre, charbon, vins, etc. Les villageois sont mis à contribution pour fournir des vivres. En 1915, la sucrerie d'Athies est démontée par les Allemands afin d'en récupérer les matériaux[20] - [21].

    En 1916, durant la bataille de la Somme, la Kommandantur installée d'Athies ordonne l'évacuation du village : le convoi s'ébranle et traverse Devise, Montescourt, Méreaucourt, Tertry, Caulaincourt et Vermand. De là avec des wagons à bestiaux et à marchandises, ils sont dirigés vers Saint-Quentin. À partir du 5 octobre des obus dévastent l'église[21].

    La zone est dévastée par les combats de 1917[22] - [23].

    À la fin de la guerre, la commune est considérée comme totalement détruite[24]. Elle a été décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [25].

    • Le village, pendant la Première Guerre mondiale, avant sa destruction (carte postale allemande).
      Le village, pendant la Première Guerre mondiale, avant sa destruction (carte postale allemande).
    • Le grand cratère à Athies (dessin de guerre de Muirhead Bone, 1918).
      Le grand cratère à Athies (dessin de guerre de Muirhead Bone, 1918).

    Après la guerre, les dommages de guerre de différentes sucreries locales de l'Aisne et de la Somme sont rassemblés pour constituer la CNSR (Compagnie Nouvelle des Sucreries Réunies). Les vestiges de la sucrerie d'Athies sont rachetés par la CNSR d'Eppeville créée en 1919[16].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

    Après avoir été chef-lieu d'un fugace canton d'Athies en 1793, elle intègre en 1801 le canton de Ham[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune fait toujours partie, est modifié, passant de 19 à 67 communes.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie depuis 2007 de la communauté de communes du Pays Hamois, qui succédait au district de Ham, créé en 1960, et qui a intégré depuis plusieurs communes.

    La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, prévoyant que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[27], le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) arrêté par le préfet de la Somme le 30 mars 2016 prévoit notamment la fusion des communautés de communes du Pays Hamois et celle du Pays Neslois, afin de constituer une intercommunalité de 42 communes groupant 20 822 habitants, et précise qu'il « s'agit d'un bassin de vie cohérent dans lequel existent déjà des migrations pendulaires entre Ham et Nesle. Ainsi Ham offre des équipements culturels, scolaires et sportifs (médiathèque et auditorium de musique de grande capacité, lycée professionnel, complexe nautique), tandis que Nesle est la commune d'accueil de grandes entreprises de l'agroalimentaire ainsi que de leurs sous-traitants »[28].

    La fusion intervient le et la nouvelle structure, dont la commune fait désormais partie, prend le nom de communauté de communes de l'Est de la Somme[29] - [30].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[31]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1851 1878 Louis Théry Propriétaire de la sucrerie
    avant 1968[32] Jean-Louis Nouguier
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1983 1995 Annie Paerels
    mars 1995 2008 Marie-Paule Verbrugge
    mars 2008 2014 Pierre Fenot
    avril 2014[33] En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Alain Acquaire DVD Réélu pour le mandat 2020-2026[34] - [35]

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].

    En 2020, la commune comptait 596 habitants[Note 3], en diminution de 0,17 % par rapport à 2014 (Somme : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    760738725770766876859860929
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0041 0721 1121 1101 1571 1481 1091 1231 132
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0911 0861 023678672633578543619
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    549495607600633632637611595
    2020 - - - - - - - -
    596--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Les enfants de la commune sont scolarisés à Monchy-Lagache au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal qui regroupe Monchy-Lagache, Athies, Devise et Tertry. Cent-quatre enfants sont attendus à la rentrée 2017-2018[39]. Le Sisco des Étangs de la Haute-Somme assure la gestion financière.

    Sports

    La société de longue paume d'Athies compte 89 licenciés en 2016[40]. Trois de ses équipes ont participé aux demi-finales du championnat de France 2017[41].

    Équipements divers

    Athies, qui disposait d'un bureau de poste depuis 1849, a subi sa transformation en agence postale communale en 2009[42]. Afin de la rendre accessible aux personnes handicapées, celle-ci est déplacée en janvier 2017 à la mairie[19].

    La commune accueille une résidence pour personnes âgées, la résidence Sainte-Radegonde., équipement public créé en 1970 à l'initiative de la commune[32], ainsi qu'une pharmacie. Le médecin du village a pris sa retraite fin 2016, et n'est pas remplacé[43]. L'établissement (EHPAD) compte 84 résidents en mars 2020[44].

    Cultes

    La paroisse d'Athies, recréée en 1997, regroupe 14 villages et appartient au secteur apostolique de la Haute-Somme avec la paroisse Notre-Dame-de-l'Assomption (Ham et villages avoisinants) et la paroisse Notre-Dame (Nesle et environs)[45].

    Manifestations culturelles et festivités

    Le village a accueilli une étape du Tour de Picardie 2015.

    Le championnat de France de longue paume a lieu à Athies le [46].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    On peut noter :

    • Au lieu-dit les Pendants ou le Bois Saint-Jean, vestiges d'une villa gallo-romaine : cave avec niches semi-circulaires, absides[47], céramiques et monnaies.
    • L'emplacement exact du palais mérovingien d'Athies n'est pas connu.
    • Église Notre-Dame-de-l'Assomption[48] - [49] - [50], du XIIe siècle, dont Il ne reste plus, après les destructions de l'attaque de 1916[51] - [52] - [53] - [54], que quelques vestiges ainsi que l'intégralité du portail sud[55] du XIIIe siècle.
    La tour, les voûtes et le clocher furent reconstruits de 1929 à 1931 par la Société coopérative de reconstruction des églises dévastées du diocèse d'Amiens. L'atelier Gaudin réalise de 1930 à 1931 la coupole en dalles de verre de la croisée du transept ainsi que la totalité des vitraux de la nef et du chœur[56].
    Le portail sud[57] du XIIIe siècle comporte des colonnes surmontées de chapiteaux à voussures sculptées[58].
    Au tympan, figurent des sculptures représentant la Naissance du Christ et la Fuite d'Égypte[59] (restaurées en 2008).
    • L'église Notre-Dame-de-l'Assomption
    • Façade de l'église, surmontée de son clocher moderne.
      Façade de l'église, surmontée de son clocher moderne.
    • Athies (Somme) - la nef de l'église
      Nef de l'église.
    • Le chevet.
      Le chevet.
    • Quelques vestiges des anciennes fortifications, sous la forme de remparts[60].
    • Calvaire des Bourguignons[60].
    • Grotte de Lourdes reconstituée, près de l'église. Bâtie en 1963 avec des pierres provenant de l'ancien cimetière[61].

    Personnalités liées à la commune

    • Radegonde de Poitiers (sainte Radegonde), née vers 519 à Erfurt et décédée en 587 à Poitiers. Princesse thuringienne, prisonnière du roi de Soissons, Clotaire Ier, à l'âge de trois ans. Elle fut détenue dans la villa royale d'Athies pendant une dizaine d'années. Éduquée dans la foi chrétienne, elle devint la quatrième femme du roi Clotaire Ier mais se retira à l'abbaye Sainte-Croix de Poitiers qu'elle avait fondée en 552 ou 553.
    • Frère Lesage, originaire d'Athies, moine capucin qui occupait un rang important dans la hiérarchie de son ordre, avant la Révolution[10].

    Héraldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :
    d'argent à trois fasces de sable, à la barre de gueules brochant sur le tout.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Sophie Carton, Athies en Vermandois : de la ville fortifiée au village, Ed. Sophie Carton, , 210 p..

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Péronne », sur insee.fr (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique du département de la Somme, 1868-1878, Archives départementales de la Somme, Amiens, Lire en ligne l'ouvrage sur le site des archives départementales, vue 28/269, p. 48.
    10. Notice géographique et historique, réalisée par l'instituteur(trice), 1899, Archives départementales de la Somme, Amiens, Lire en ligne sur le site des archives départementales.
    11. « Photographie aérienne de Roger Agache : Villa gallo-romaine. Des fouilles archéologiques ont porté essentiellement sur le bâtiment principal, dont les murs ont été longés par des tranchées de 0,50 m de large », notice no ARR22_sd80403ZA, base Mémoire, ministère français de la Culture.
    12. « Photo aérienne de Roger Agache (1967) : Parallèlement à la fouille, l'activité a été consacrée à l'aménagement et à la préservation du site. Afin de les préserver des intempéries, les vestiges ont cependant dû être réenfouis en 1985. », notice no ARR22_6780469ZA, base Mémoire, ministère français de la Culture.
    13. « Photo aérienne de Roger Agache (1989) : Substructions gallo-romaines », notice no ARR22_8980477ZA, base Mémoire, ministère français de la Culture.
    14. Ch. Gomart, « Gravures : A) Vases romains trouvés à Athies. B) Sceau de la commune de Ham en 1223 et contre-sceau (Gravures tirées de "Ham, son château") », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville, (consulté le ).
    15. « Histoire d'Athies », Villages, sur http://www.omignon.fr (consulté le ).
    16. « Histoire de la sucrerie d'Athies », Sucreries, sur http://www.omignon.fr (consulté le ).
    17. « L'histoire du tortillard », Trains, sur http://www.omignon.fr (consulté le ).
    18. « Traces du tortillard dans le paysage », sur http://www.omignon.fr (consulté le ).
    19. Arnaud Brasseur, « Une nouvelle agence postale dans la mairie », Le Journal de Ham, nos 2/2017,‎ , p. 9.
    20. Section photographique de l'armée, « Photo : Athies : Sucrerie Théry », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 24, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    21. « Les batailles », La Guerre 1914-1918, http://www.omignon.fr (consulté le ).
    22. Cliché colonel Spiers, Section photographique de l'armée, « Photo : Athies. Ruines », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    23. Cliché Spire, Section photographique de l'armée, « Photo : Athies. Panorama », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 24, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    24. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    25. Journal officiel du 7 novembre 1920, p. 16879.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    28. Projet de SDCI du 13 octobre 2015, p. 20.
    29. V.F.; C.La., « Les fusions ne vont pas toutes se faire en douceur », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne) « Imposée par l’État, la fusion des communautés de communes se fait parfois naturellement. Mais elle engendre aussi des difficultés, comme entre celles de Ham et Nesle ».
    30. « Dernière réunion pour les élus du pays hamois », Le Journal de Ham, no 50,‎ , p. 5 « Éric Legrand peut conclure : « Dans quelques jours, le Pays Hamois cédera définitivement la place à la communauté de communes de l’Est de la Somme : une nouvelle appellation pour un territoire nouveau mais aussi, et surtout, pour une ambition nouvelle ».
    31. « Les maires de Athies », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    32. « La Résidence Sainte-Radegonde », Bulletin municipal de la commune de Athies,‎ , p. 3-5 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
    33. Vincent Fouquet, « L’édile d’Athies a appris énormément de choses « très vite et très bien » : Propulsé maire d’Athies en 2014 par hasard, Alain Acquaire a vite pris goût à ses nouvelles fonctions », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Alain Acquaire, 57 ans, avait été conseiller municipal de 2002 à 2008, jusqu’à l’élection de Pierre Fenot. Et quand les élections municipales de 2014 se sont présentées, trois listes se sont bâties. « J’ai été sollicité par l’une des trois, cinq jours avant la date limite de dépôt des candidatures. Je ne visais pas le fauteuil de maire. J’étais premier sur la liste, parce que j’étais le premier dans l’ordre alphabétique », s’amuse-t-il à rappeler. Personne n’est élu au premier tour, mais deux listes s’unissent. « Sur la nôtre, nous avions 9 ou 10 éligibles, sur l’autre il y en avait 5 ou 6. Nous nous sommes rencontrés, nous avons discuté, car nous voulions contrer la troisième liste, celle du maire sortant, Pierre Fenot, et nous avons gagné ».
    34. Arnaud Brasseur, « Athies : Alain Acquaire candidat à un deuxième mandat », Le Journal de Ham,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    35. Vincent Fouquet, « Un deuxième mandat pour Alain Acquaire à Athies », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    39. Arnaud Brasseur, « Les parents d’élèves veulent une 5e classe : Les parents d’élèves se mobilisent. Alors que les effectifs doivent encore augmenter à la rentrée prochaine, ils s’inquiètent du projet de classes de triple niveaux », Le Journal de Ham, nos 26/2017,‎ .
    40. « Organisation pour le championnat de France à Athies », Le Journal de Ham, nos 3/2017,‎ , p. 20.
    41. « Les paumistes titrés dimanche : Le programme de ce dimanche est chargé pour les paumistes : les finales des championnats de France vont se succéder à Athies », Le Journal de Ham, nos 26/2017,‎ , p. 18.
    42. Sandra Mical, « Bienvenue dans votre nouveau point de contact postal », Bulletin municipal de la commune de Athies,‎ , p. 16-17 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
    43. « Un village sans médecin », Le Journal de Ham, nos 52/2016,‎ , p. 2.
    44. « Rester en contact avec l'extérieur », Courrier picard,‎ , p. 22.
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