Tincourt-Boucly
Tincourt-Boucly est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Tincourt-Boucly | |||||
École communale. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Péronne | ||||
Intercommunalité | CC de la Haute Somme | ||||
Maire Mandat |
Vincent Morgant 2020-2026 |
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Code postal | 80240 | ||||
Code commune | 80762 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
343 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 27 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 56′ 25″ nord, 3° 02′ 36″ est | ||||
Altitude | Min. 59 m Max. 133 m |
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Superficie | 12,8 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Péronne (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Péronne | ||||
Législatives | 5e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Géographie
Localisation
À quelques kilomètres à l'est de Péronne, Tincourt-Boucly est un village rural accessible au niveau routier par la route départementale n° 6. Il occupe le fond et les deux versants de la vallée de la Cologne.
En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 44, Montdidier - Chaulnes - Péronne - Roisel et ligne no 49, Péronne - Roisel - Saint-Quentin)[1].
Communes limitrophes
Hydrographie
Le village est drainé par plusieurs bras de la Cologne, affluent du fleuve côtier la Somme.
Urbanisme
Typologie
Tincourt-Boucly est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Péronne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 52 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[5] - [6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (89,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (82,4 %), prairies (6,9 %), forêts (5,3 %), zones urbanisées (2,9 %), zones agricoles hétérogènes (2,5 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].
Habitat et logement
En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 181, alors qu'il était de 176 en 2014 et de 167 en 2009[I 1].
Parmi ces logements, 84,5 % étaient des résidences principales, 1,7 % des résidences secondaires et 13,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,7 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Tincourt-Boucly en 2019 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,7 %) inférieure à celle du département (8,3 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 79,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (78,4 % en 2014), contre 60,2 % pour la Somme et 57,5 pour la France entière[I 3].
Énergie
Au début des années 2020, l'implantation de deux éoliennes est envisagée pour une puissance totale de 11,2 MW , en vue d'une mise en service souhaitée par l'entreprise WPD vers 2027. Ces appareils se rajouteraient à l'éolienne existante implantée en 2019 et qui fait partie du parc éolien de la Boule Bleue à Marquaix, suscitant l'opposition de certains habitants[9] - [10].
Toponymie
La commune de Tincourt, instituée par la Révolution française, absorbe entre 1790 et 1794 celle de Boucly et prend le nom de Tincourt-le-Boucly puis celui de Tincourt-Boucly[11].
Histoire
Moyen Âge
Boucly a possédé un château-fort ; le roi de France, Philippe-Auguste en a été le seigneur.
Époque contemporaine
Une mairie-école est construite sous le mandat du maire Elysée Caffart, en 1886[12].
- L'ancienne gare de Tincourt-Boucly
Tincourt-Boucly a possédé une gare sur la ligne de Saint-Just-en-Chaussée à Douai, portion comprise entre Péronne et Roisel ; la gare la plus proche était celle de Cartigny en direction de Péronne et celle de Marquaix-Hamelet vers Roisel.
Ouverte en d'abord à voie unique, doublée en 1908, cette ligne a cessé d'être exploitée dans les années 1970. Le tracé est aujourd'hui un sentier de randonnée " La voie verte" ; la gare est devenue une salle communale.
Un train à l'arrêt en gare
de Tincourt-Boucly vers 1910.L'ancienne gare de Tincourt-Boucly en . Carte de la section
Péronne-Roisel
vers 1910.Horaire des trains
en 1910.
- Première guerre mondiale
Le village a subi les combats de la Première Guerre mondiale. Tincourt Boucly échappe à la destruction totale durant le premier conflit mondial bien qu'étant située dans une zone de combats intenses en territoire d'occupation allemand. Elle doit cette issue particulière au regard du sort qu'ont connu les autres communes du canton de Roisel au fait qu'elle a servi de lieu de regroupement pour les populations environnantes.
Notamment, une grande partie des roiseliens s'y réfugie. Cinq cents personnes y campent : une centaine d'Hervilly, autant de Jeancourt. Deux cent huit habitants de Roisel sont amenés à Tincourt Boucly le par l'armée allemande.
Le village est décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [13].
- Retraite allemande pendant des inondations à Tincourt-Boucly, avril 1917.
- Transport d'un canon américain de 17 pouces sur la voie ferrée.
- Dépôt du 12th Engineer Regiment américain à Tincourt
- Locotracteur acheminant des soldats australiens sur un pont provisoire à Tincourt
- L'église Saint-Quentin de Tincourt en 1919
- Seconde Guerre mondiale
Le , lors des combats de la fin de la Seconde Guerre mondiale, le bombardier américain B17 J 42-51226 du 36th Bomb squadron, s'écrase dans la commune[14] - [15].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Roisel[11]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Péronne
Intercommunalité
La commune était membre de la communauté de communes du canton de Roisel, créée fin 1994.
Celle-ci fusionne avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes de la Haute Somme, dont est désormais membre la commune.
Liste des maires
Équipements et services publics
Enseignement
Les enfants de la commune sont scolarisés depuis la rentrée 2017-2018 au sein d'un regroupement pédagogique concentré (RPC) situé dans le village. Il accueille également les élèves de Aizecourt-le-Bas, Driencourt, Longavesnes, Marquaix-Hamelet et Templeux-la-Fosse.
En 2017, ce « pôle scolaire de la voie verte » accueille 90 élèves, dans quatre classes. Les locaux du périscolaire sont aménagés dans l'école antérieure agrandie pour un coût d'environ 800 000 euros dont seuls 32 % restent à la charge de la commune[20] - [21].
Autres équipements
À la suite de la mise en service du pôle scolaire de la voie verte, les locaux de l'ancienne école maternelle ont été transformés par la municipalité pour devenir la maison du temps partagé, un lieu de convivialité et d'échange des habitants[22].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].
En 2020, la commune comptait 343 habitants[Note 3], en diminution de 7,05 % par rapport à 2014 (Somme : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Manifestations culturelles et festivités
La municipalité est à l'initiative de la création de « l'Université rurale de la Cologne » qui organise depuis 2019 des conférences régulières. La première, animée par Dominique Frère, de l'Historial de Péronne, est consacrée aux « anecdotes et petites histoires de la Grande Guerre » et le seconde consacrée par l'enseignant de philosophie Gautier Maës à « la lutte pour la reconnaissance »[26] - [27].
Le festival « les musicales Tincourt-Boucly » anime la commune en juin[28] - [29].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Quentin de Tincourt, rue de l'église[30] - [31], construite en 1786 toute en brique. La brique et la pierre en façade datent d'avant 1914. Elle est l'une des rares du secteur à ne pas avoir été détruite pendant la Première Guerre mondiale[32].
Tous les , une procession a lieu entre l'église et la chapelle de Moyenpont à Marquaix-Hamelet, durant laquelle la statue de Notre-Dame de Moyenpont est vénérée[33].
- Chapelle Saint-Omer à Boucly, toute en pierre, rebâtie après la Première Guerre mondiale, dans les années 1920, mais dont l'architecture et le mobilier « n’ont pas une grande valeur patrimoniale ».
L'édifice, en 2022, n'est plus utilisé pour les besoins du culte mais n'est pas désacralisé. La municipalité envisage de lui donner une nouvelle affectation afin de sauver le bâtiment, et qui pourrait accueillir « Un espace ouvert à la culture, avec des expositions, des petits concerts, du cinéma[34] ».
- Oratoire à la Vierge à Boucly. Il a été construit à la suite d'une mission, avec des pavés de grès[35].
- La « voie verte », itinéraire de randonnée qui reprend le tracé de l'ancienne voie de chemin de fer.
- Le cimetière militaire britannique, où reposent 2 139 soldats, majoritairement britanniques, mais également australliens, allemands, chinois, sud-africains et indiens.
- L'église Saint-Quentin à Tincourt.
- L'église Saint-Omer à Boucly.
- La place et, au fond, l'école.
- L'oratoire à la Vierge à Boucly.
- Blockhaus d’une place construit par les Allemands pour surveiller l'aiguillage de la voie ferrée toute proche.
- Monument aux aviateurs américains
- Vue générale depuis le cimetière britannique.
- Nouveau cimetière britannique.
Personnalités liées à la commune
- Pierre de Cardevac de Gouy et son épouse Lucie de la Myre ont un fils né en 1699 au village : Charles-François-Alexandre qui sera évêque de Perpignan[35].
- Jean-Charles-Joseph Souplet, capitaine de cavalerie sous le Premier Empire, né le à Boucly, décédé le à Péronne. Chevalier de la Légion d'honneur en 1807[36].
- Louis Lebel (1888-1960), né dans le village, homme politique.
- Le second lieutenant F. Gray, les sergents R. Mears et F. Bartho, qui s'écrasèresnt à bord de leur B-24 Liberator le , ainsi que le premier lieutenant H. Robbins et le sous-sergeant W. Glass, victimes d'un crash à bord de leur B-26 Marauder le . Des plaques commémoratives rendent hommage à ces aviateurs américains.
Voir aussi
Bibliographie
- Hector Josse, Notice historique sur la commune de Tincourt-Boucly : Cantonb de Roisel, Péroinne, E. Quentin, , 50 p. (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
Articles connexes
Liens externes
- « Dossier complet : Commune de Tincourt-Boucly (80762) », Recensement général de la population de 2019, INSEE, (consulté le ).
- « Tincourt-Boucly », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- « Tincourt-Boucly » sur Géoportail.
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2019 à Tincourt-Boucly » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Tincourt-Boucly - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Tincourt-Boucly - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la Somme » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
- « Le réseau Trans'80 en ligne ».
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Péronne », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Vincent Fouquet, « Les anti-éoliens ont gâché la fête de l’inauguration du parc de la Boule Bleue à Marquaix : Le parc éolien de la Boule Bleue, à Marquaix-Hamelet, a été inauguré en grandes pompes samedi 29 juin dans la matinée. Mais pas aussi bien que l’espéraient certains élus et responsables de l’entreprise WPD : environ 80 opposants aux éoliennes sont venus clamer leur colère. Et si le ton est parfois monté, tous ont pu échanger leurs points de vue, chacun restant cependant sur ses positions », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Hugues Chaigneau, « Le projet éolien de Tincourt-Boucly suscite l’inquiétude : Pas encore ficelé, le projet d’implantation de deux éoliennes à Tincourt-Boucly entraîne déjà une contestation. Une association a été créée pour dénoncer l’arrivée de nouveaux mâts autour de la commune », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- H. Josse, ouvrage mentionné en bibliographie, p. 49.
- Journal officiel du 30 octobre 1920, p. 16879.
- André Bauduin, « Le B17 "Lady Jeannette" et la verite sur le crash de Tincourt Boucly », Somme aviation 39-45, (consulté le ).
- « Tincourt-Boucly - L’incroyable histoire du crash de l’avion fantôme américain en 1944 : L’histoire pourrait servir de trame à un film : en 1944, les Américains ont maquillé le crash d’un avion espion en Haute-Somme. Le mensonge a tenu plus de cinquante ans. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- « Liste des maires de la Somme » [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- « Vincent Morgant ne manque pas d’idées pour un deuxième mandat à Tincourt-Boucly », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Conseiller municipal en 2001, premier adjoint en 2008, Vincent Morgant est devenu maire de Tincourt-Boucly, un village de 490 habitants, en 2014, succédant à Yvonne Gronnier. Il est aussi un des vice-présidents de la Communauté de communes de Haute-Somme ».
- « Ça continue pour Vincent Morgant à Tincourt-Boucly », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élu au conseil municipal en 2001, Vincent Morgant s’est assis dans le fauteuil de maire en 2014, succédant à Yvonne Gronnier. Réélu le 15 mars dernier (...), il s’engage pour un second mandat ».
- « Vincent Morgant, il s’anime pour sa commune », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « « Le nouveau pôle scolaire de Tincourt-Boucly est prêt » », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
- « La nouvelle école de Tincourt-Boucly va aussi faire sa rentrée : Il n’y aura pas que les petits écoliers qui devront trouver leurs marques dans ce pôle éducatif tout neuf », Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Bernard Devillers, « L’ancienne école maternelle devenue la maison du temps partagée à Tincourt-Boucly », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « L’Université rurale de la Cologne est née à Tincourt-Boucly : Des conférences de type universitaire vont se tenir à un rythme régulier à la campagne », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Tincourt-Boucly: seconde conférence à l’université rurale de la Cologne », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Les musicales Tincourt-Boucly copieusement arrosées », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Après plus d’une année d’absence sur scène et devant un public, l’énergie et l’enthousiasme des deux groupes musicaux, l’Araignée du plafond et B2GC faisaient plaisir à voir et à entendre, samedi 19 juin pour la première soirée des musicales de la voie verte ».
- « À Tincourt-Boucly, c’est la Fête de la musique avant l’heure : Les Musicales de la voie verte reviennent ce week-end des 18 et 19 juin 2022 », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Tincourt-Boucly d'après nature, 17 juin 1874 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
- Oswald Macqueron, « A) Église de Boucly, commune de Tincourt. D'après nature, 25 août 1883 B) Image de ND de Moyenpont conservée dans une chapelle de la paroisse de Tincourt-Boucly. Voir "Les sanctuaires de la Ste Vierge dans le diocèse d'Amiens", Amiens, 1891. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
- « L'église Saint-Quentin de Tincourt-Boucly », Découvrir, Destination Haute-Somme (consulté le ).
- Bernard Devillers, « Les tribulations d’une statuette vénérée : L’une des dernières processions de l’Assomption dans la Somme a lieu ce dimanche à Tincourt-Boucly. L’occasion de découvrir celle qui est à l’honneur et dont l’histoire ets pleine de rebondissements. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Bernard Devillers, « Bientôt une nouvelle affectation pour l’église de Boucly : Samedi 17 septembre, à l’occasion des Journées du patrimoine, l’église du hameau de Boucly sera exceptionnellement ouverte, de 14 à 17 heures », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 258 (ASIN B000WR15W8).
- « * SOUPLET Jean-Charles-Joseph », sur Samariens sous l'Empire (consulté le )