Sury-près-Léré
Sury-près-Léré est une commune française située dans le département du Cher, en région Centre-Val de Loire.
Sury-près-Léré | |||||
La mairie de Sury-près-Léré. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Cher | ||||
Arrondissement | Bourges | ||||
Intercommunalité | CC Pays Fort Sancerrois Val de Loire | ||||
Maire Mandat |
Jean-François Castellano 2022-2026 |
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Code postal | 18240 | ||||
Code commune | 18257 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
662 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 37 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 29′ 02″ nord, 2° 52′ 05″ est | ||||
Altitude | Min. 132 m Max. 238 m |
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Superficie | 17,78 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Cosne-Cours-sur-Loire (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Sancerre | ||||
Législatives | 1re circonscription du Cher | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Cher
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | https://sury-pres-lere.fr/ | ||||
Géographie
Description
Sury-près-Léré est située à l’extrémité nord-est du département du Cher, en rive gauche de la Loire, à 75 km au nord-est de Bourges, à 33 km au sud-est de Gien et à 11 km au nord de Cosne-sur-Loire. Le bourg ancien s’est développé le long de la route départementale 751 qui relie Sancerre à Gien. Néanmoins c'est sur la route de Savigny (RD 152) que se trouve le centre du bourg : le cimetière, l'église, la mairie, la salle des fêtes, l'ancienne école.
La commune s’étend d’est en ouest des rives de la Loire aux collines de la région naturelle du Pays-Fort. La proximité de l’autoroute A77, met Paris à 180 km et Nevers à 60 km.
Localisation
Belleville-sur-Loire | Neuvy-sur-Loire (Nièvre) |
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N | La Celle-sur-Loire (Nièvre) | |||
O Sury-près-Léré E | ||||
S | ||||
Savigny-en-Sancerre | Léré |
Hydrographie
Sury-près-Léré est situé sur le bassin versant de la Balance, rivière permanente d’orientation sud-ouest/nord-est qui se jette en Loire à Beaulieu-sur-Loire (Loiret)
La commune est traversée par le canal latéral à la Loire, construit au XIXe siècle.
Urbanisme
Ses hameaux dispersés dans la campagne voient se côtoyer habitat traditionnel et constructions contemporaines. Le reste du territoire présente un caractère naturel prononcé. Les « hauts » de la commune sont constitués de vestiges du bocage et de nombreux bosquets ou petits massifs boisés qui offrent un paysage de qualité et une mosaïque d’écosystème : haies, bois de chênes et de charmes, prairies hygrophiles (fond du val de Balance), étangs, mares, etc. autant de milieux qui permettent d’avoir une biodiversité potentiellement riche.
Typologie
Sury-près-Léré est une commune rurale[Note 1] - [1]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[2] - [3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Léré, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[4] et 2 867 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[5] - [6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cosne-Cours-sur-Loire, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[7] - [8].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,1 %), prairies (17,8 %), zones agricoles hétérogènes (9 %), zones urbanisées (3,4 %), eaux continentales[Note 3] (2,8 %), forêts (2,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6 %)[9].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 408, alors qu'il était de 337 en 2013 et de 335 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 74,6 % étaient des résidences principales, 12,1 % des résidences secondaires et 13,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,8 % des appartements[I 1].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Sury-près-Léré en 2018 en comparaison avec celle du Cher et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (12,1 %) supérieure à celle du département (7,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 78,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (75,6 % en 2013), contre 67,1 % pour le Cher et 57,5 % pour la France entière[I 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Sury-près-Léré est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et[10]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[11].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le canal latéral à la Loire, la Loire et le Balance. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2001 et 2003[12] - [10].
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[13]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 98,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 387 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 387 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[14] - [Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2018, 2019 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[10].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[15].
En cas d’accident grave, certaines installations nucléaires sont susceptibles de rejeter dans l’atmosphère de l’iode radioactif. La commune étant située à proximité de la centrale nucléaire de Belleville, elle est exposée au risque nucléaire. À ce titre les habitants de la commune ont bénéficié, à titre préventif, d'une distribution de comprimés d’iode stable dont l’ingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroïde d’une exposition à de l’iode radioactif. En cas d'incident ou d'accident nucléaire, des consignes de confinement ou d'évacuation peuvent être données et les habitants peuvent être amenés à ingérer, sur ordre du préfet, les comprimés en leur possession[16].
Histoire
Moyen Âge
Le bourg de Sury s’est vraisemblablement formé autour de la motte. Le premier écrit mentionnant le nom de la commune date de l’an 1208, SERIACUM, puis en 1230 SERI, en 1320 SURIACO et en 1380 SURY.
Au Moyen Âge, la paroisse était sous la tutelle du prévôt (administrateur domanial) de Léré, représentant le chapitre de Saint-Martin de Tours, depuis au moins le XIIIe siècle.
Une coutume voulait que les chanoines de Léré se rendent à l’église Saint-Jean-Baptiste le mercredi des Rogations. Ils assistaient à la messe et durant l’offertoire, le curé de Sury devait leur donner une tarte de valeur assez élevée pour l’époque, équivalente à six livres tournois.
L’usage perdure jusqu'au XVIIIe siècle et en 1728, à la suite d’un procès la tarte est remplacée par un pain bénit de même valeur.
Les dîmes de la paroisse étaient prélevées par le chapitre de Saint-Étienne de Bourges. L’église Saint-Jean Baptiste est datée fin du XVe ou début XVIe siècle.
Le Puits Mardelon
Ce puits de volume trapu, au couvrement en forme de cul de four dessert le quartier situé derrière l’église. Quelques maisons anciennes s’y trouvent encore, notamment un vieux logis, aux abords de l’église qui pourrait être un ancien logement ecclésiastique. Quatre autres puits sont dénombrés dans le bourg, l’un près de la mairie et celui de la rue de Bretagne, un autre se dresse en bordure de la route de Léré.
La Grande Borne
Cette borne est ancrée à la limite de quatre communes : Belleville-sur-Loire, Santranges, Savigny en Sancerre et Sury près Léré. Il s’agit d’un bloc de grès sur une face duquel est gravée une croix à deux branches entourée des lettres « S » et « E ». Des signes similaires sont gravés sur des bornes en calcaire qui existaient aux alentours du village de Beaulieu. Ces dernières ont été enlevées de leurs emplacements d’origine lors des remembrements. Ces bornes marquaient les anciennes limites des possessions du chapitre de Saint-Étienne de Bourges à Beaulieu et à Santranges, fixées dès le XIIe siècle avec le comte de Sancerre. « S » et » E » ne sont autres que les initiales de Saint-Étienne, et la croix à deux branches est la croix archiépiscopale.
Époque contemporaine
Le maire PS de la commune décide le à la suite des résultats des élections présidentielles dans son village de priver les habitants de la fête nationale du . En effet les électeurs du village ont voté majoritairement au premier et second tour pour Marine Le Pen. Le maire choqué de ce résultat démocratique décide de prendre en otage avec le conseil municipal la traditionnelle fête nationale[17].
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Bourges du département du Cher.
Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Léré[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Sancerre
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription du Cher.
Intercommunalité
Sury-près-Léré était membre de la petite communauté de communes Cœur du Pays Fort, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2002 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes Pays Fort Sancerrois Val de Loire dont est désormais membre la commune.
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].
En 2020, la commune comptait 662 habitants[Note 4], en augmentation de 3,76 % par rapport à 2014 (Cher : −3,01 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
La proximité du pôle économique de Cosne-Cours-sur-Loire, ainsi que l’installation de la centrale nucléaire de Belleville, avec son apport de nouvelle population, ont participé au développement de Sury-près-Léré. La commune connait toujours une activité agricole très présente, avec la production de céréales, l’élevage bovin et caprin.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Jean-Baptiste, du XVIe siècle et de style gothique tardif, qui fait l'objet d'un classement au titre des Monuments historiques depuis le [25].
- Site d’intérêt communautaire Natura 2000 « Vallées de la Loire et de l’Allier » : l’ensemble du lit endigué à l’est de la levée de la Loire.
Personnalités liées à la commune
- Pierre Louis André Sabathier (1739-1813), député du Cher à l'Assemblée nationale législative, y est né
- Charles Ferdinand Gambon (1820-1887), grande figure républicaine du XIXe siècle, démocrate-socialiste, représentant du peuple en 1848 siégeant à la Montagne, membre de la Commune de Paris, membre de l’Association internationale des travailleurs durant son exil en Suisse, il s’oriente vers un courant anarchisant, a été agriculteur à Sury.
- Virginia Hall (1906-1982), agent secret américain qui, pendant la Seconde Guerre mondiale, œuvra contre l'occupant allemand en France : de 1941 à 1943 dans le cadre du service secret britannique SOE, puis en 1944-1945 dans le cadre du service secret américain OSS. Opératrice radio et chef de réseau, elle soutint la résistance française
Héraldique
Blason | D'azur à la tierce ondée et haussée d'argent, à la bande d'or brochant sur le tout, chargée de trois tiercefeuilles de gueules posées à plomb et accompagnée en pointe d'un gland, tigé et feuillé d'or posé en barre[26]. |
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Détails | Les fasces ondées : au nombre de trois, rappellent les cours d'eau qui traversent la commune, soit la Balance, le canal Latéral et la Loire. Le gland d'or feuillé : cet élément figure dans les armoiries de Léré (rappel de Sury-près-Léré). Le tierce feuille : évoque les armes de la famille de Prie, dont la pierre tombale où figure ce motif figure dans l'église de Sury. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- « Dossier complet : Commune de Sury-près-Léré (18257) », Recensement général de la population de 2019/2020, INSEE, (consulté le ).
- « Sury-près-Léré » sur Géoportail.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Site de l'Insee
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Sury-près-Léré - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Sury-près-Léré - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Cher - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Léré », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Sury-près-Léré », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
- Centre France, « Présidentielle - Vote FN dans sa commune : le maire de Sury-près-Léré pousse un coup de gueule », Le Berry républicain, (lire en ligne, consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « « L’administratif a pris le pas sur l’humain » : maire de Sury-près-Léré, Pascal Viguié a démissionné : Pascal Viguié a décidé de quitter son poste de maire de Sury-près-Léré. Il déplore « un changement radical de la fonction d’élu » », Le Berry républicain, (lire en ligne, consulté le ) « Maire depuis 2001, Pascal Viguié a décidé de démissionner de son mandat ».
- « Le maire de Sury-près-Léré a été reconduit dans ses fonctions », Le Berry républicain, (lire en ligne, consulté le ) « Sans surprise, Pascal Viguié a été élu à l'unanimité. Au conseil municipal depuis 1988, il débute, cette année, son quatrième mandat de maire ».
- « Jean-François Castellano a été élu maire de Sury-près-Léré », Le Berry républicain, (lire en ligne, consulté le ) « Jean-François Castellano a été élu à l’unanimité des quinze votants ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « L'Église Saint-Jean-Baptiste de Sury-près-Léré », notice no PA00096911, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Blason… », sur armorialdefrance.fr.