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Source chaude

Une source chaude est une source dont l'eau qui sort du sol est chauffée par un processus géothermique. Il y a des sources chaudes sur tous les continents, ainsi qu'au fond des mers.

Source du Dragon vert Ă  Norris Geyser Basin (en) dans le parc national de Yellowstone.
Cuisson d'Ĺ“ufs dans une source chaude Ă  Nagano au Japon.

DĂ©finitions

Il n'y a pas de définition généralement acceptée de la notion de source chaude. Voici quelques définitions communément admises :

  • toute source gĂ©othermique ;
  • une source dont la tempĂ©rature est supĂ©rieure Ă  la tempĂ©rature de son environnement[1] ;
  • une source naturelle dont la tempĂ©rature est supĂ©rieure Ă  celle du corps humain (normalement entre 36,5 °C et 37,5 °C)[2] - [3] - [4] ;
  • une source thermale dont la tempĂ©rature est supĂ©rieure Ă  36,7 °C (98 °F)[5] - [6] - [7] ;
  • une source naturelle dont la tempĂ©rature est supĂ©rieure Ă  21,1 °C (70 °F) (synonyme d'eau thermale)[8] - [9] - [10] - [11] ;
  • une rĂ©surgence naturelle d'eau souterraine ayant une tempĂ©rature basse[12] ;
  • un type de source thermale dans laquelle l'eau chaude est amenĂ©e Ă  la surface. La tempĂ©rature de l'eau est en gĂ©nĂ©ral Ă  6,5 °C ou plus au-dessus de la tempĂ©rature ambiante[13] - [14]. Avec cette dĂ©finition, « source thermale » et « source chaude » ne sont pas synonymes ;
  • une source dont l'eau chaude est amenĂ©e Ă  la surface (synonyme de source thermale). La tempĂ©rature de l'eau de source est en gĂ©nĂ©ral 8,3 °C ou plus au-dessus de la tempĂ©rature ambiante[15] ;
  • une source dont la tempĂ©rature est supĂ©rieure Ă  la tempĂ©rature ambiante du sol ;
  • une source dont la tempĂ©rature est supĂ©rieure Ă  50 °C[16].

Le terme « source tiède » est appliqué à une source dont la température est inférieure à celle d'une source chaude. Pentecost et al. (2003)[4] suggère que le terme « source tiède » n'est pas utile et devrait être évité. Le Centre des données géophysiques américain (US NOAA Geophysical Data Center) définit une source tiède comme une source dont la température se situe entre 20 et 50 °C.

Source de chaleur

Geyser à Kamisuwa (上諏訪), Préfecture de Nagano, au Japon.

L'eau provenant d'une source chaude est chauffée par une chaudière géothermale (c’est-à-dire que l'énergie thermique provient de celle de la Terre). En général, la température des roches de la croûte terrestre augmente en fonction de la profondeur. On appelle cela le « gradient géothermique ». Si l'eau pénètre en profondeur, elle va se réchauffer au contact des roches chaudes, c'est de là que vient la chaleur des sources chaudes des régions non volcaniques.

Dans les rĂ©gions volcaniques, comme dans le parc de Yellowstone aux États-Unis, l'eau peut tout simplement ĂŞtre chauffĂ©e par contact direct avec le magma. La très haute tempĂ©rature thermique (de 1 000 Ă  5 000 °C) qui règne dans la poche magmatique est suffisante pour permettre Ă  l'eau d'entrer en Ă©tat d'Ă©bullition. On appelle « geyser » une source chaude dont l'eau bouillante et la vapeur jaillissent sous pression. Si seule la vapeur d'eau sort du sol, il s'agit d'une fumerolle. On peut aussi apercevoir parfois de l'eau surchauffĂ©e mĂ©langĂ©e Ă  de la boue et de l'argile bouillonnant, on appelle cela une mare de boue.

Il est important de signaler que dans la plupart des zones volcaniques, la température de sources chaudes est souvent proche de 100 °C (point d'ébullition à pression ambiante). Par imprudence, en particulier dans les sites peu sécurisés, des gens ont été sérieusement brûlés, parfois même tués en pénétrant accidentellement ou intentionnellement dans des sources chaudes, au contact des fumerolles ou alors en étant aspergés par un geyser. Dans la plupart des sites géothermiques, des panneaux signalent ces dangers.

Les sources tièdes sont parfois le résultat de la rencontre d'une source froide et d'une source chaude. Elles se trouvent le plus souvent en dehors des zones volcaniques.

DĂ©bits

Deildartunguhver en Islande : source d'eau chaude ayant le plus fort débit en Europe.

La gamme des débits des sources chaudes va du simple ruisseau à la véritable rivière. Il y a parfois même assez de pression pour créer des geysers ou des fontaines.

Aux États-Unis, une source très faible alimente par exemple le complexe Fales Hot Ditch (au nord de Bridgeport en Californie). En revanche, c'est un immense lac souterrain sous la ville de Tonopah en Arizona qui fournit de l'eau naturelle minérale chaude pour différentes sources chaudes.

Sources chaudes à haut débit

Les références sur les débits élevés des sources chaudes abondent. Voici une liste de quelques sources chaudes avec des débits élevés[17] :

  • le dĂ©bit cumulĂ© des 47 sources de Hot Springs, Arkansas est de 35 L/s ;
  • la source Hay-Yo-Kay Ă  Truth or Consequences au Nouveau-Mexique possède un dĂ©bit de 99 L/s ;
  • Lava Hot Springs en Idaho a un dĂ©bit de 130 L/s ;
  • Glenwood Springs dans le Colorado a un dĂ©bit de 143 L/s ;
  • Elizabeth Springs dans l'Ouest du Queensland, Australie aurait eu un dĂ©bit de 158 L/s Ă  la fin des annĂ©es 1800, aujourd'hui le dĂ©bit de L/s ;
  • Deildartunguhver, Ă  Reykholt en Islande a un dĂ©bit de 180 L/s ;
  • les sources chaudes de Caldas Novas au BrĂ©sil sont exploitĂ©es par 86 puits, dont 333 L/s sont pompĂ©s 14 h/j. Cela correspond Ă  un dĂ©bit moyen de pointe de 3,88 L/s par puits ;
  • les 2 850 sources chaudes de Beppu forment le site le plus Ă©levĂ© du Japon. Ensemble, elles produisent environ 1 592 L/s, soit une moyenne de 0,56 L/s par source ;
  • les 303 sources chaudes de Kokonoe au Japon produisent 1 028 L/s, soit un dĂ©bit moyen de 3,39 L/s par source ;
  • la prĂ©fecture d'ĹŚita possède 4 762 sources chaudes, pour un total de 4 437 L/s, soit un dĂ©bit moyen de 0,93 L/s ;
  • la source chaude au dĂ©bit le plus Ă©levĂ© du Japon est celle de Tamagawa dans la prĂ©fecture d'Akita, qui a un dĂ©bit de 150 L/s. La source de Tamagawa nourrit un courant de trois mètres de large Ă  une tempĂ©rature de 98 °C ;
  • il y a au moins trois sources chaudes dans la rĂ©gion de Nage, Ă  km au Sud-Ouest de Bajawa (en) en IndonĂ©sie, qui produisent un total de plus de 453,6 L/s ;
  • trois autres grandes sources chaudes (Mengeruda, Wae Bana et Piga) 18 km Nord-Est de Bajawa, produisent plus de 450 L/s ;
  • le site de Dalhousie Springs (en) en Australie avait un dĂ©bit total de pointe de plus de 23 000 L/s en 1915, ce qui, pour une source moyenne du complexe, reprĂ©sente un dĂ©bit de plus de 325 L/s. Il est descendu Ă  un dĂ©bit total de pointe de 17 370 L/s, ce qui donne pour une source moyenne un dĂ©bit de pointe de l'ordre de 250 L/s[18].

Utilisations thérapeutiques

Source chaude japonaise à l'air libre à Nachikatsuura, Wakayama, utilisée comme bain public.

L'eau chaude ayant une meilleure capacité de dissolution, elle peut porter plus d'éléments dissous : ainsi, les sources tièdes et surtout chaudes sont souvent très chargées en minéraux, du simple calcium au lithium, parfois même du radium. La coutume populaire, ainsi que des propriétés médicales avérées, font de ces sources des destinations populaires, et des lieux pour des centres de soins (réhabilitation, handicaps divers).

Infections venant de sources chaudes

Malheureusement, les sources chaudes peuvent créer un milieu idéal pour répandre des infections. Par exemple :

  • le naegleria fowleri une amibe vivant dans les rĂ©seaux d'eaux et sols chauds peut ĂŞtre la cause de mĂ©ningites[19] - [20]. Plusieurs morts ont Ă©tĂ© attribuĂ©es Ă  cette amibe, qui entre dans le cerveau en passant par les sinus[21] - [22] ;
  • Acanthamoeba pourrait aussi se diffuser via les sources chaudes, (source : centre de contrĂ´le des maladies amĂ©ricain[23]) ;
  • la bactĂ©rie Legionella fait partie de la flore aquatique, par consĂ©quent celle-ci est prĂ©sente dans de nombreuses sources d'eaux douces chaudes[24].

Sources chaudes dans le monde

Distribution des sources géothermales aux États-Unis.
Gunnuhver, source chaude en Islande.

Des sources chaudes existent dans de très nombreux pays, sur tous les continents. Les pays renommés pour leur sources chaudes sont l'Islande, la Nouvelle-Zélande, le Chili, l'Algérie ou le Japon et Taïwan, mais il y a des sources chaudes intéressantes et uniques dans de très nombreux endroits comme :

  • la ville de Spa en Belgique, Ă  l'origine du terme « spa », a des eaux Ă  32 °C. L'empereur Joseph II lui donna le nom de CafĂ© de l'Europe en . Casanova vint Ă  Spa en 1783 cherchant des occasions pour ses affaires sans suite[25] ;
  • la bien nommĂ©e ville de Chaudfontaine Ă  20 km de Spa possède des sources d'eau chaude dont les caractĂ©ristiques sont de s'infiltrer Ă  1 600 m de profondeur, d'atteindre 55 °C et de surgir après 60 ans Ă  une tempĂ©rature de 37 °C ;
  • il y a plus de 275 sources chaudes au Chili incluant la plus grande d'AmĂ©rique du Sud Ă  Liquiñe et l'ensemble des geysers et piscine d'El Tatio Ă  4000m d'altitude dans la rĂ©gion chilienne d'Atacama au nord de San Pedro, oĂą la gĂ©othermie a Ă©tĂ© expĂ©rimentĂ©e il y a plusieurs dĂ©cennies ;
  • la ville d'Ikaria en Grèce abrite une source d'eau chaude radioactive utilisĂ©e depuis le IVe siècle av. J.-C. ;
  • il y a un grand nombre de sources chaudes au Groenland, comme Ă  Uunartoq. Il y a plus de 2 000 sources chaudes rien que sur l'Ă®le de Disko, qui reprĂ©sente seulement 0,4 % de la surface du Groenland ;
  • les sources d'eau chaude de Geysir en Islande ont donnĂ© le mot geyser ;
  • l'Islande a de nombreuses sources d'eaux chaudes cĂ©lèbres, ainsi celle alimentant le spa du lagon bleu Ă  GrindavĂ­k et Deildartunguhver est la source d'eau chaude europĂ©enne ayant le plus gros dĂ©bit. L'eau de Deildartunguhver Ă©merge Ă  97 °C et est canalisĂ©e pendant des kilomètres pour le chauffage public ;
  • aux Açores, et notamment Ă  Furnas ;
  • le parc national « Northwest Spitsbergen » sur l'Ă®le Spitzberg en Norvège contient deux des sources d'eaux chaudes les plus au nord de la Terre, Ă  80° Nord ;
  • il y a de nombreuses sources au Royaume-Uni, mais la plus chaude se trouve dans la ville de Bath. Selon certaines sources ce serait en fait la seule source d'eau chaude des ĂŽles britanniques ;
Macaques s'Ă©battant dans un onsen Ă  Nagano au Japon.
  • localisĂ© sur la ceinture de feu du Pacifique, le Japon se trouve dans une rĂ©gion volcanique, et abrite de nombreuses sources d'eaux chaudes. Le « onsen » (un mot japonais pour « source chaude ») joue un rĂ´le notable dans la culture japonaise. Visiter un onsen est la quintessence de l'expĂ©rience japonaise et constitue une activitĂ© touristique populaire ;
  • le Parc national japonais Shiretoko Ă  Hokkaido a des chutes d'eau chaude appelĂ©es « Kamuiwakkayu-no-taki » ;
  • les sources chaudes de Chutsen Chugang sont situĂ©es au pied du Zhoto Terdrom / Monastère Tidro, Ă  une altitude de 4 400 m Ă  Maldrogongkar / comtĂ© de Mozhugongka, Lhassa, Tibet. Des moines bouddhistes et le « serpent des sources chaudes » cohabitent près de ce groupe de sources chaudes en haute altitude ;
  • il y a Ă©galement des sources d'eau chaudes en Antarctique, comme celle de l'ĂŽle de la DĂ©ception ;
  • Champaign Hot Springs est un ensemble de sources gĂ©othermales sous-marines peu profondes le long de la cĂ´te de la Dominique, Petites Antilles[26] ;
  • Bouillante est une commune de la CĂ´te-sous-le-vent de la Guadeloupe, ville de flanc de volcan, elle est parsemĂ©e de sources d'eaux chaudes naturelles en mer et Ă  l'intĂ©rieur des terres. Les rĂ©cits historiques de l'histoire de Bouillante regorgent de documents prĂ©cis sur leurs multiples emplacements ; il reste encore aujourd'hui des sources accessibles aux touristes, notamment le « bain du curĂ© » et la « source de Thomas » ;
  • il y a une centaine de sources d'eau chaude Ă  TaĂŻwan, les plus connues sont situĂ©es dans le district de Beitou Ă  Taipei et Ă  Wulai (sud de Taipei) ;
  • en Nouvelle-ZĂ©lande, de nombreuses sources chaudes sont prĂ©sentes, principalement sur l'Ă®le du nord autour de la rĂ©gion de Rotorua et Taupo et Ă  Hanmer Springs sur l'Ă®le du sud. Les touristes apprĂ©cient tout particulièrement les sources de la cĂ©lèbre plage de « Hot Water Beach » dans la pĂ©ninsule du Coromandel oĂą ils creusent des trous dans le sable pour se baigner dans l'eau chaude surgissante.

Sources chaudes en France (hors DOM-TOM)

  • Chaudes-Aigues est un bourg français connu pour ses sources chaudes, notamment la source du « Par » avec des eaux de 82 °C dont le dĂ©bit est voisin de 450 000 L/j.
  • La ville de Plombières-les-Bains dans les Vosges possède des sources chaudes (entre 57 °C et 84 °C). Cette ville possède la source la plus chaude d'Europe.
  • La commune de Vecoux, situĂ©e Ă©galement dans les Vosges, dispose de la source de Chaude-Fontaine, dont l'eau Ă©merge Ă  21 °C.
  • Dax possède la Fontaine chaude qui a un dĂ©bit journalier de 2 400 000 L d'eau Ă  64 °C.
  • Salins-les-Thermes en Savoie.
  • La Bourboule et le Mont-Dore sont des villes thermales. On y trouve des sources sauvages et captĂ©es d'eau chaude : les thermes Choussy par exemple, ou les sources chaudes de Croizat (40 °C) et FĂ©lix.
  • Nancy a une source Ă  70 °C.
  • Bagnols-les-Bains en Lozère, au pied du mont Lozère, possède une source chaude, Ă  la tempĂ©rature constante de 41 °C. Cette station thermale Ă©tait dĂ©jĂ  connue Ă  l'Ă©poque gallo-romaine.
  • Bagnoles-de-l'Orne est l'unique station thermale du Grand Ouest avec des eaux Ă  24,6 °C.
  • Évaux-les-Bains en Creuse, 65 °C.
  • Les sources d'EugĂ©nie-les-Bains, de 22 Ă  41 °C.
  • Ax-les-Thermes en Ariège, dans la vallĂ©e de l'Ariège a plus de soixante sources chaudes, certaines utilisĂ©es pour les thermes, d'autres accessibles au public (simple fontaine ou bassins). Les eaux sulfurĂ©es sodiques d’Ax sont les plus chaudes des PyrĂ©nĂ©es, de 43 Ă  78 °C. Elles appartiennent au groupe des eaux hyper-thermales. Elles Ă©taient dĂ©jĂ  connues Ă  l'Ă©poque gallo-romaine et furent utilisĂ©es par Saint Louis pour soigner la lèpre.
  • Thuès-les-Bains dans les PyrĂ©nĂ©es-Orientales est situĂ©e près de sources chaudes et sulfureuses.
  • Bourbonne-les-Bains dans la Haute-Marne dont la principale source atteint 68 °C.
  • MonĂŞtier-les-Bains dans les Hautes-Alpes, source Ă  37 °C.
  • La Corse possède de nombreuses sources chaudes, mais peu sont exploitĂ©es Ă  l'instar de Pietrapola, des bains de Caldane ou de Baracci.

Sources chaudes en Algérie

Guelma en Algérie.

L'Algérie est l'un des pays qui compte le plus de sources chaudes. Les plus réputées sont les suivantes :

  • le Hammam Essalihine de Khenchela qui dispose de plusieurs bassins d'eau chaude. SituĂ© dans les montagnes des Aurès, c'est la plus belle source thermale d'AlgĂ©rie et l'une des plus belles au monde ;
  • le Hammam Meskhoutine de Guelma dont l'arrivĂ©e en eau chaude se fait par le biais d'une cascade. Il est avec le hammam Essalihine le hammam le plus chaud d'AlgĂ©rie et la deuxième source d'eau la plus chaude (97 °C) au monde après celles d'Islande ;
  • le Hammam Guedjima Ă  Gosbat, près de Batna, dispose de l'une des sources d'eau les plus chaudes d'AlgĂ©rie avec une tempĂ©rature de 40,8 °C. Il est visitĂ© par environ 150 personnes par jour, malgrĂ© le manque de publicitĂ© et de dĂ©veloppement du site, par le simple bouche Ă  oreille[27] ;
  • la source de SaĂŻda jaillit Ă  63 °C ;
  • le Hammam Sidi Yahia El Aidli, soufrĂ© et fumerolles Ă  45 °C.

Parcs des sources chaudes aux États-Unis

Source chaude dans le Parc national volcanique de Lassen, Californie, États-Unis.

Le parc national des sources chaudes, dans Hot Springs en Arkansas a été le premier parc national des États-Unis. Il y a aujourd'hui au moins six parcs nationaux dans ce pays qui présentent des sources chaudes :

Notes et références

  1. (en) Dictionnaire Online Miriam-Webster pour hot spring.
  2. (en) DĂ©finition pour hot spring, Wordsmyth.
  3. (en) définition of hot spring, American Heritage dictionary, 4e éd., 2000.
  4. (en) Allan Pentecost, B. Jones et R.W. Renaut, What is a hot spring?, Can. J. Earth Sci./Rev. can. sci. Terre, 40(11), 1443-1446 (2003) fournit une discussion critique de la définition de source chaude.
  5. (en) Definition Infoplease pour hot spring.
  6. (en) Random House Unabridged Dictionary, Random House, Inc., 2006, définition pour hot spring.
  7. Les températures données dans les dictionnaires Infoplease et Random House Unabridged Dictionary ne sont pas exactes.
  8. (en) Definition de Wordnet 2.0 pour hot spring.
  9. (en) Definition de Interlingua Online Dictionary pour hot spring.
  10. (en) Definition de Rhymezone pour hot spring.
  11. (en) Definition de Lookwayup pour hot spring.
  12. (en) hot spring, Columbia Encyclopedia, 6e Ă©d..
  13. (en) Don L. Leet, Physical Geology, 6e Ă©d., Prentice-Hall, Englewood Cliffs, NJ, 1982.
  14. Une source thermale est définie comme une source qui apporte de l'eau chaude ou tiède à la surface, par Don L. Leet, Physical Geology, 6e éd., Prentice-Hall, Englewood Cliffs, NJ, 1982, and Leet states that there are two types of thermal springs; hot springs and warm springs.
  15. (en) Definition de Lake and water glossary pour hot spring.
  16. (en)US NOAA Geophysical Data Center definition.
  17. Il y a beaucoup plus de sources non thermales à haut débit que de sources géothermales.
  18. (en) W. F. Ponder, Desert Springs of Great Australian Arterial Basin [PDF], Conference Proceedings. Spring-fed Wetlands: Important Scientific and Cultural Resources of the Intermountain Region, 2002.
  19. (en) emedicine article on naegleria.
  20. (en) Shinji Izumiyama, Kenji Yagita, Reiko Furushima-Shimogawara, Tokiko Asakura, Tatsuya Karasudani et Takuro Endo, Occurrence and Distribution of Naegleria Species in Thermal Waters in Japan, The Journal of Eukaryotic Microbiology, vol. 50, no s1, p. 514, juillet 2003.
  21. (en) Primary amebic meningoencephalitis due to Naegleria fowleri: An autopsy case in Japan, Yasuo Sugita, Teruhiko Fujii, Itsurou Hayashi, Takachika Aoki, Toshirou Yokoyama, Minoru Morimatsu, Toshihide Fukuma et Yoshiaki Takamiya, Pathology International, vol. 49 p. 468, mai 1999.
  22. (en) Southern New Mexico web site article about some local hot springs, including a warning about Naegleria fowler.
  23. (en) CDC description de acanthomoeba.
  24. « Légionellose », sur Institut Pasteur, (consulté le ).
  25. (en)Spa: Belgium's healthy-living retreat, Gareth Bourne et Sarah Hajibagheri, The Independent, .
  26. (en) Kevin T. McCarthy, Thomas Pichler et Roy E. Price, Geochemistry of Champagne Hot Springs shallow hydrothermal vent field and associated sediments, Dominica, Lesser Antilles [PDF], Chemical Geology, 224, p. 55-68, 2005.
  27. Tourisme Ă  Batna.

Bibliographie

  • (en) Marjorie Gersh-Young, Hot Springs and Hot Pools of the Southwest: Jayson Loam's Original Guide, Aqua Thermal Access, 2004 (ISBN 1-8908-8005-1).
  • (en) Marjorie Gersh-Young, Hot Springs & Hot Pools Of The Northwest, Aqua Thermal Access, 2003 (ISBN 1-8908-8004-3).
  • (en) G. J Woodsworth, Hot springs of Western Canada: a complete guide, West Vancouver: Gordon Soules Book Publishers, 1999 (ISBN 0-9195-7403-3).
  • (en) Clay Thompson, Tonopah: It's Water Under The Bush, the Arizona Republic, 1-12-03, p. B12.
  • Werner Xhrouet, La connaissance des eaux minĂ©rales d'Aix-la Chapelle, de Chau-fontaine et de Spa, par leur vĂ©ritable principe, Leyde, 1714, in-12 et Liège, 1729, in-12.

Annexes

Articles connexes

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