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Sainte-Marie-de-RĂ©

Sainte-Marie-de-Ré est une commune du sud-ouest de la France, située sur l'île de Ré, dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).

Sainte-Marie-de-RĂ©
Sainte-Marie-de-RĂ©
La ville de Sainte-Marie-de-RĂ©.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Charente-Maritime
Arrondissement La Rochelle
Intercommunalité Communauté de communes de l'île de Ré
Maire
Mandat
Gisèle Vergnon
2020-2026
Code postal 17740
Code commune 17360
DĂ©mographie
Gentilé Maritais
Population
municipale
3 356 hab. (2020 en diminution de 0,77 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 341 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 09′ 02″ nord, 1° 18′ 35″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 17 m
Superficie 9,84 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction La Rochelle
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de l'ĂŽle de RĂ©
Législatives Première circonscription
Localisation
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Sainte-Marie-de-RĂ©
Liens
Site web www.mairie-sainte-marie-de-re.fr

    Ses habitants sont appelés les Maritais et les Maritaises[1].

    C'est la commune la plus peuplée de toute l'île de Ré.

    GĂ©ographie

    Situation de Sainte-Marie sur l'île de Ré.

    Cette petite ville[2] a aggloméré le hameau de la Noue s'étendant sans interruption le long de la côte Sud de l'Île de Ré, de la pointe de Chauveau jusqu'à la plage des Grenettes, face à l'Île d'Oléron. Elle est devenue la commune la plus peuplée de l'Île de Ré.

    Sa côte est bordée de plages et de petites falaises, où se découvrent à marée basse les vestiges de nombreuses écluses à poissons. Certaines de ces écluses sont restaurées et entretenues par l'Association de Défense des Écluses à Poissons de l'île de Ré (ADEPIR).

    La présence de nombreux blockhaus du Mur de l'Atlantique sur la côte rappelle les sombres heures que la commune a vécues pendant la Seconde Guerre mondiale.

    Urbanisme

    Typologie

    Sainte-Marie-de-RĂ© est une commune rurale[Note 1] - [3]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[4] - [5]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Sainte-Marie-de-RĂ©, une unitĂ© urbaine monocommunale[6] de 3 366 habitants en 2017, constituant une ville isolĂ©e[7] - [8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Rochelle, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[9] - [10].

    La commune, bordĂ©e par l'ocĂ©an Atlantique, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[11]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[12] - [13].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (70,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (60 %), zones urbanisées (28,8 %), forêts (4,4 %), zones agricoles hétérogènes (3,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,4 %), prairies (1,2 %), zones humides côtières (0,4 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Sainte-Marie-de-Ré est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) de La Rochelle-ĂŽle de RĂ©, regroupant 21 communes concernĂ©es par un risque de submersion marine de la zone cĂ´tière, un des 21 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂŞtĂ©s fin 2012 sur le bassin Loire-Bretagne et confirmĂ© en 2018 lors du second cycle de la Directive inondation[17]. Les submersions marines les plus marquantes des XXe et XXIe siècles antĂ©rieures Ă  2019 sont celles liĂ©es Ă  la tempĂŞte du , Ă  la tempĂŞte du , aux tempĂŞtes Lothar et Martin des 26 et et Ă  la tempĂŞte Xynthia des 27 et . Cette tempĂŞte a eu pour consĂ©quence l’instauration de zones de solidaritĂ©, oĂą les parcelles considĂ©rĂ©es comme trop dangereuses pour y maintenir des maisons pouvaient Ă  terme ĂŞtre expropriĂ©es (Loix, La Flotte, Nieul-sur-Mer, La Rochelle,…). Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă  30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă  300 ans) et extrĂŞme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout système de protection)[18] - [19]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999 et 2010[20] - [15].

    Sainte-Marie-de-RĂ© est exposĂ©e au risque de feu de forĂŞt, un massif classĂ© Ă  risque dans le plan dĂ©partemental de protection des forĂŞts contre les incendies (PDPFCI), Ă©laborĂ© pour la pĂ©riode 2017-2026 et qui fait suite Ă  un plan 2007-2016[21]. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par divers arrĂŞtĂ©s prĂ©fectoraux et s’appliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂŞt et Ă  moins de 200 mètres de celles-ci. L’article L.131-1 du code forestier et l’arrĂŞtĂ© du règlementent l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions[22]. Un autre arrĂŞtĂ© du rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 3] - [21] - [23] - [24].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[15].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].

    Toponymie

    Le nom de la commune provient de la Vierge Marie, à qui la paroisse avait été dédiée.

    Pendant la Révolution, la commune portait le nom de L’Union.

    Le , la commune de Sainte Marie prend le nom de Sainte Marie de RĂ©[27] .

    Histoire

    En 1928 en association avec la commune de La Flotte, Sainte-Marie-de-RĂ© donne une partie de son territoire pour former la commune de Rivedoux-Plage.

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie de Sainte-Marie-de-RĂ©.
    Tableau des maires.
    Liste des maires de la Révolution française à la Libération
    Période Identité Étiquette Qualité
    1792 1796 Gabriel Millet
    1796 1798 Bertrand Jacques Desnouy
    1798 1800 Thomas Cousin-Vallée
    1800 1800 Jean Bouyé
    1800 1814 Bertrand Jacques Desnouy
    1814 1816 Jean René Cheminet
    1816 1835 Auguste Lallé
    1835 1843 Jean René Cheminet
    1843 1875 Albert Got
    1875 1876 François Victor Lefort
    1876 1882 Jules Triou
    1882 1884 Lucien Favreau
    1884 1888 Jean Jaunatre
    1888 1912 Lucien Favreau
    1912 1913 Jules Paris
    1913 1919 Martial Bouet
    1919 1921 Louis Martineau
    1921 1945 Emile Neau
    1945 1947 Théophile Héraudeau
    Liste des maires depuis la Libération
    Période Identité Étiquette Qualité
    1947 1959 Emile Neau
    1959 1977 André Chaigne DVD
    1977 1989 Louis Gaucher PS
    1989 1995 Paul Chaigne DVD
    1995 2008 Jacques Boucard PS
    2008 en cours Gisèle Vergnon DVD Conseillère départementale (2015-2021)

    DĂ©mographie

    • Habitants de Sainte-Marie-de-RĂ© : Maritais, Maritaises.
    • Habitants de La Noue : Nouais, Nouaises.

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].

    En 2020, la commune comptait 3 356 habitants[Note 4], en diminution de 0,77 % par rapport Ă  2014 (Charente-Maritime : +2,92 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    3 3002 0351 9662 1652 5562 5152 5732 5792 544
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 5012 6472 7032 5182 5562 5412 5742 6082 608
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 5742 3822 2361 9201 9021 3101 2141 0471 232
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 1781 1951 1651 3171 8062 6553 0273 0823 283
    2017 2020 - - - - - - -
    3 3663 356-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee Ă  partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2007[32], la commune de Sainte-Marie-de-RĂ© a dĂ©passĂ© le chiffre des 3 000 habitants, elle s'affirme comme Ă©tant la commune la plus peuplĂ©e de toute l'Ă®le de RĂ©.

    Économie

    • Agriculture : vignes, asperges, pommes de terre.
    • Tourisme.
    • ThalassothĂ©rapie. Le centre de thalassothĂ©rapie situĂ© sur le bord de mer au sud-est de Sainte-Marie, a Ă©tĂ© agrandi en 2004 et est dotĂ© d'une piscine d'eau de mer.

    Commerces

    Lieux et monuments

    Église de Sainte-Marie-de-Ré.

    Patrimoine religieux

    • L' Ă©glise Notre-Dame-de-l'Assomption est une Ă©glise paroissiale fortifiĂ©e. La paroisse existait Ă  la fin du XIIe siècle. En 1467, l'Ă©glise Ă©tait fortifiĂ©e et entourĂ©e d'un fossĂ©[33]. Son clocher, qui date du XVe siècle, autrefois peint en noir, servait d'amer. La plate-forme de ce clocher est dotĂ©e d'un parapet sur corbeaux formant des mâchicoulis qui ont Ă©tĂ© obturĂ©s lors des restaurations et mĂŞme en partie de reconstruction au XIXe siècle[34].

    Dans l'église Notre-Dame-de-l'Assomption des ex-voto sous forme de maquettes de bateaux sont exposés.

    • La chapelle Saint-Sauveur Ă  La Noue
    • La chapelle Port-Notre-Dame

    Patrimoine civil

    • L'ANCRE Maritaise, musĂ©e de la pĂŞche Ă  pied et des Ă©cluses.
    • Monument aux morts, guerres 14/18 et 39/45, canons.
    • Monument « La Connaissance », Ĺ“uvre du sculpteur MĂ©lanie Quentin installĂ©e en 2006 devant la mĂ©diathèque de la PlĂ©iade.
    • La maison du Meunier
    • La Souillarde

    Galerie

    • Notre-Dame-de-l'Assomption
    • Notre-Dame-de-l'Assomption.
    • Nef.
      Nef.
    • MaĂ®tre-autel.
      Maître-autel.
    • Autel Jehanne-d'Arc.
      Autel Jehanne-d'Arc.
    • Autel de la PietĂ .
      Autel de la PietĂ .
    • Ex-voto.
      Ex-voto.
    • Confessionnal.
      Confessionnal.

    Patrimoine environnemental

    Les Grenettes.

    Personnalités liées à la commune

    Les Cahiers de la MĂ©moire.

    Jumelages

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 7 mètres minimum de part et d’autre des voies privĂ©es y donnant accès.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Les gentilés de Charente-Maritime
    2. Sainte-Marie-de-Ré est classée officiellement commune urbaine depuis le recensement de 1999 par les services statistiques de l'INSEE - voir également le SPLAF CHARENTE-MARITIME
    3. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Sainte-Marie-de-Ré », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    12. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. « Les risques près de chez moi - commune de Sainte-Marie-de-Ré », sur Géorisques (consulté le )
    16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    17. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Loire-Bretagne, actualisée par arrêté du préfet coordonnateur en date du 22 octobre 2018. », sur www.centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    18. « cartographie des risques d'inondations du TRI de La Rochelle-Île de Ré », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le )
    19. « La cartographie du risque d’inondation sur les Territoires à Risque Important (TRI) du bassin Loire-Bretagne », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le )
    20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    21. « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie 2017 – 2026 », sur draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    22. « Réglementation des feux en extérieur. », sur www.charente-maritime.gouv.fr, (consulté le )
    23. « Les Obligations Légales de Débroussaillement (OLD). », sur www.charente-maritime.gouv.fr, (consulté le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
    25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Sainte-Marie-de-Ré », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    26. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    27. Registres de l'Ă©tat civil de Sainte-Marie-de-RĂ©.
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. Dernier recensement officiel de la population Ă©tabli par les services statistiques de l'INSEE. Le chiffre de population indiquĂ© dans le tableau est celui de la population municipale. Avec les doubles comptes, la commune compte 3 167 habitants.
    33. base Mérimée
    34. L'architecture gothique en Saintonge et en Aunis, Yves Blomme, Ă©ditions Bordessoules, (ISBN 2-903504-33-4).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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