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Saint-Just (Hérault)

Saint-Just [sɛ̃ ʒyst] est une commune française située dans l'est du département de l'Hérault en région Occitanie.

Saint-Just
Saint-Just (Hérault)
Vue aérienne
Blason de Saint-Just
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Montpellier
Intercommunalité CC du Pays de Lunel
Maire
Mandat
Yves Quesada
2022-2026
Code postal 34400
Code commune 34272
Démographie
Gentilé Saint-Justois
Population
municipale
3 290 hab. (2020 en augmentation de 7,59 % par rapport à 2014)
Densité 541 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 39′ 29″ nord, 4° 06′ 53″ est
Altitude Min. 2 m
Max. 9 m
Superficie 6,08 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Lunel
(banlieue)
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lunel
Législatives 3e circonscription de l'Hérault
Localisation
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Saint-Just
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Saint-Just
Liens
Site web https://saintjust34.com

    Saint-Just est une commune urbaine qui compte 3 290 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération de Lunel et fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelés les Saint-Justois ou Saint-Justoises.

    Géographie

    Description

    Carte

    Commune de l'Hérault de 608 ha dans le canton de Lunel dont vignes, vergers et autres cultures se dispersent dans un territoire encore marqué par le cadastre romain - le cami salinié (chemin du sel), qui traverse la partie nord du finage, en est un élément.

    Hydrographie

    Le Ruisseau des Cabanettes est le principal cours d'eau de la commune.

    Exposée à un climat méditerranéen, la commune est drainée par le Dardaillon, le Dardaillon-Ouest et par deux autres cours d'eau

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 11,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 679 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Marsillargues », sur la commune de Marsillargues, mise en service en 1988[6] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,8 °C et la hauteur de précipitations de 621,7 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et à 10 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[12].

    Réseau Natura 2000

    La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (l'« étang de Mauguio ») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux[14] - [15], mais aussi de la directive habitats, l'« étang de Mauguio » ou « étang de l'Or ». D'une superficie de 7 020 ha, cette lagune communique avec la mer par un grau qui relie le Sud-Ouest de l'étang au port de Carnon. L'étang est entouré par une gamme variée d'habitats naturels : un système dunaire, des milieux saumâtres à hyper salés sur les rives sud et est et des milieux saumâtres à doux influencés par l'eau douce sur les rives nord. Ce site présente une diversité des milieux et des conditions d'hygrométrie et de salinité, lui conférant un intérêt ornithologique remarquable[16].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[17] : le « marais de Tartuguière et du Grès » (662 ha), couvrant 5 communes du département[18].

    • Sites Natura 2000 sur le territoire communal.
      Sites Natura 2000 sur le territoire communal.
    • Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Just est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [19] - [I 1] - [20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lunel, une agglomération inter-départementale regroupant 9 communes[I 2] et 51 540 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3] - [I 4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 5] - [I 6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (81,7 %), zones urbanisées (14,9 %), cultures permanentes (3,3 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Morphologie urbaine

    Le centre ancien est entouré par plusieurs grands lotissements; cave coopérative, coopérative fruitière (Cofruidoc, 60 salariés). La commune n'avait que 580 hab. en 1975 et sa population a crû très vivement ensuite, passant par 1 600 hab. en 1990; le mouvement s'est toutefois ralenti, la commune ne gagnant que 120 hab. entre 1999 et 2005. Juste au sud, la commune de Saint-Nazaire-de-Pézan (540 habitants, 566 ha) s'avance dans la plaine submersible le long du canal de Lunel mais n'atteint pas l'étang de l'Or, dont la rive orientale appartient à Marsillargues.

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 1 402, alors qu'il était de 1 218 en 2013 et de 1 086 en 2008[I 7].

    Parmi ces logements, 93,2 % étaient des résidences principales, 2,1 % des résidences secondaires et 4,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 87,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 12,5 % des appartements[I 7].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Just en 2018 en comparaison avec celle de l'Hérault et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,1 %) très inférieure à celle du département (18,3 %) et inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 68,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (69,2 % en 2013), contre 53,2 % pour l'Hérault et 57,5 % pour la France entière[I 8].

    Le logement à Saint-Just en 2018.
    Typologie Saint-Just[I 7] Hérault[I 9] France entière[I 10]
    Résidences principales (en %) 93,2 74,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,1 18,3 9,7
    Logements vacants (en %) 4,7 7,3 8,2

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Just est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Montpellier-Lunel-Maugio-Palavas, regroupant 49 communes du bassin de vie de Montpellier et s'étendant sur les départements de l'Hérault et du Gard, un des 31 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Rhône-Méditerranée[24], retenu au regard des risques de submersions marines et de débordements du Vistre, du Vidourle, du Lez et de la Mosson. Parmi les événements significatifs antérieurs à 2019 qui ont touché le territoire, peuvent être citées les crues de septembre 2002 et de septembre 2003 (Vidourle) et les tempêtes de novembre 1982 et décembre 1997 qui ont touché le littoral. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[25]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994, 2003, 2007, 2009, 2014 et 2016[26] - [22].

    Saint-Just est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 8] - [27].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Just.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 182 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 182 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[30].

    Histoire

    Moyen Âge

    • en 1202, Raymond de Saint-Just cède au seigneur de Lunel certains droits de justice et de finance qu’il avait au marché de Lunel. En échange, il reçoit en fief et hommage, pour lui et les siens, le lieu de Saint-Just, avec les forteresses qui y sont, et toutes les justices des hommes et des femmes, excepté celles des procès qui surgiront au sujet du bétail ou qui auront lieu entre un étranger et un habitant de Saint-Just, lesquels procès devront être menés, agités et terminés par la Cour de Lunel. En outre, le suzerain promet au vassal de ne plus faire à l’avenir aucune levée de taille, de quêtes sur les habitants du fief concédé, se réservant toutefois les chevauchées et corvées nécessaires pour son château de Lunel, ainsi que le droit de pouvoir lui faire « Bien et Mal qui lui plaira ».
      À Saint-Just, il ne reste des forteresses qu’un vieux mur avec les traces de deux portes romanes et de la Renaissance, rue Frédéric-Mistral, et le nom d’une ferme communément appelée « Le Château ». La superficie cadastrée est de 587 hectares environ, à laquelle il faut ajouter un territoire de marais. En effet, un acte en date du , atteste d’une donation faite au monastère d’Arboras, des marais s’étendant de l’Hournède à l’étang, par Gaucelin, seigneur de Lunel.
    • Vers 1430, les sÅ“urs du monastère d’Arboras, font don à leur tour des marais aux villages avoisinants. C’est ainsi que Saint-Just possède 43,50 hectares de ces marais.
    • Vers 1883, il est procédé à la reconstruction du mazet communal de Portaïe, situé dans les marais, et qui était d’une grande utilité aux fermiers.

    Époque contemporaine

    Plan cadastral napoléonien (1812).
    • En 1891, on note déjà la présence de taureaux à Saint-Just pour la fête du village. Le bétail était fourni par le sieur Prosper Riey du Cailar.

    Des traditions tauromachiques bien ancrées et qui se perpétuent chaque année, durant la fête locale qui a lieu à partir du premier dimanche d’août et les cinq ou six qui suivent. Pendant la fête, des journées à thème sont proposées : journée à l’ancienne, journée du taureau, journée du sport. Plusieurs déjeuners aux prés sont organisés afin de partager et de perpétuer la tradition camarguaise dans la convivialité.

    Saint-Pierre d’Obilion

    Le site de Saint-Pierre d’Obilion se trouve sur la commune de Saint-Just, à 250 m à l’est de la limite communale avec Lansargues, près du Mas de Viala. D’après les écrits : « Le , un certain Bernardus fait don aux chanoines de Nîmes de tout ce qu’il possède dans plusieurs domaines… ». Dans ce texte, Obilion ne possède pas le statut de ville, mais apparaît comme simple lieu-dit.

    En juin, 1168, Obilion, est rattaché au diocèse de Maguelone. L’église d’Obilion était dédiée à saint Pierre. On peut considérer que ce lieu est le site historique et originel de Saint-Just.

    Toujours d’après certains écrits, il semble que c’est en 1173 que les habitants des différents domaines agricoles, jusque-là dispersés (dont certains à Saint-Pierre d’Obilion), se regroupent et forment « Castum San Justi », qui signifie « Le château de Saint-Just ».

    Un document des archives nous permet de nous faire une idée sur les droits seigneuriaux et les mœurs de l’époque :

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Montpellier du département de l'Hérault.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Lunel[31]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Lunel

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de l'Hérault.

    Intercommunalité

    Saint-Just est membre de la communauté de communes du Pays de Lunel, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1993 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes du Haut Pays du Montreuillois dont est désormais membre la commune.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1792 1795 Antoine Castan
    1795 1798 Louis Boulet
    1798 1808 Antoine Castan
    1808 1816 André Boulet
    1816 1826 Pierre Boulet
    1826 1832 Etienne Boulet
    1832 1838 Jacques Granier
    1838 1843 Jacques Heraud
    1843 1848 Pierre Manse
    1848 1848 Pierre Castan
    1848 1852 Antoine Castan
    1852 1855 Louis Lambremon
    1855 1865 Jean Raynaud
    1865 1867 André Blaquisse
    1867 1870 Simon Vidal
    1870 1874 Jacques Astruc
    1874 1876 Simon Vidal
    1876 1877 Jacques Astruc
    1877 1877 Simon Vidal
    1877 1878 Jacques Astruc
    1878 1879 André Castan
    1879 1887 Jacques Vidal
    1887 1888 Jean Alverny
    1888 1892 Honoré Salvet
    1892 1896 Jacques Astruc
    1896 1900 Pierre Euzeby
    1900 1904 Eugène Lafon
    1904 1905 Guillaume Euzeby
    1905 1910 Adrien Menteyne
    1910 1915 Pierre Lignon
    1915 1915 Charles Castan Adjoint qui remplace le Maire mobilisé
    1915 1917 Albert Sondart
    1917 1919 Charles Castan Adjoint qui remplace le Maire mobilisé
    1919 1919 Pierre Lignon
    1919 1944 Alphonse Arnaud
    1944 1947 Léonce Boulet Président du Comité local de Libération
    1947 1959 Fernand Peyronnet
    1959 1971 Louis Mazauric
    1971 1983 René Valette[Note 9] - [Note 10] DVG
    mars 1983 novembre 2022[32] Hervé Dieulefes PS Retraité
    Vice-président de la CC du Pays de Lunel ( ? → 2022)
    Mort en fonction
    décembre 2022[33] En cours
    (au 16 décembre 2022)
    Yves Quesada Fonctionnaire de la police nationale
    Vice-président de la CC du Pays de Lunel (2022 → )

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].

    En 2020, la commune comptait 3 290 habitants[Note 11], en augmentation de 7,59 % par rapport à 2014 (Hérault : +7,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    234247232286360424426459472
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    450480522518486474451480500
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    508535530568571591538440456
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    5115445811 0341 5682 4932 6102 6362 851
    2015 2020 - - - - - - -
    3 1533 290-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 1 252 ménages fiscaux[Note 12], regroupant 3 253 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 430 â‚¬[I 11] (20 330 â‚¬ dans le département[I 12]). 52 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 13] (45,8 % dans le département).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 13]9,4 %9,7 %7,6 %
    Département[I 14]10,1 %11,9 %12 %
    France entière[I 15]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 Ã  64 ans s'élève à 2 080 personnes, parmi lesquelles on compte 79,5 % d'actifs (71,9 % ayant un emploi et 7,6 % de chômeurs) et 20,5 % d'inactifs[Note 14] - [I 13]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3] - [I 16]. Elle compte 466 emplois en 2018, contre 462 en 2013 et 458 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 522, soit un indicateur de concentration d'emploi de 30,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 65,2 %[I 17].

    Sur ces 1 522 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 232 travaillent dans la commune, soit 15 % des habitants[I 18]. Pour se rendre au travail, 86,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,5 % les transports en commun, 5,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 19].

    Secteurs d'activités

    242 établissements[Note 15] sont implantés à Saint-Just au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 16] - [I 20].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble242100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    135,4 %(6,7 %)
    Construction4116,9 %(14,1 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    5924,4 %(28 %)
    Information et communication83,3 %(3,3 %)
    Activités financières et d'assurance41,7 %(3,2 %)
    Activités immobilières156,2 %(5,3 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    4317,8 %(17,1 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    3313,6 %(14,2 %)
    Autres activités de services2610,7 %(8,1 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 24,4 % du nombre total d'établissements de la commune (59 sur les 242 entreprises implantées à Saint-Just), contre 28 % au niveau départemental[I 21].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[38] :

    • Cofruid'oc Mediterranee, commerce de gros (commerce interentreprises) de fruits et légumes (31 473 k€)
    • Symbiotik SAS, édition de revues et périodiques (483 k€)
    • Charpente Couverture Bardage Fesquet & Banos - CCB - Fb., travaux de charpente (227 k€)
    • Cadoule Entretien Et Renovation, autres travaux de finition (123 k€)
    • JR Distribution, location de terrains et d'autres biens immobiliers (47 k€)

    Agriculture

    La commune est dans la « Plaine viticole », une petite région agricole occupant la bande côtière du département de l'Hérault[39]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 17] sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations49301418
    SAU[Note 18] (ha)444508310214

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 49 lors du recensement agricole de 1988[Note 19] à 30 en 2000 puis à 14 en 2010[41] et enfin à 18 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 63 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67 % de ses exploitations[42] - [Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 444 ha en 1988 à 214 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 9 à 12 ha[41].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armoiries de Saint-Just se blasonnent ainsi :

    Parti : au premier d'or aux lettres capitales de sable ST, J, U, S, T, rangées en pal, au second de sinople à la croix cléchée, pommetée d'or et remplie de gueules, posée dans le canton senestre de la pointe ; à saint Just de carnation habillé d'une tunique de gueules et tenant dans sa senestre une palme d'argent, brochant sur la partition.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Louise Guiraud, « La reconstruction des églises du diocèse de Montpellier, après les guerres de religion : documents inédits », Revue historique du diocèse de Montpellier,‎ 1911-1912, p. 82-89
    • Christine Marichy, Réalité toponymique et représentation administrative : contribution méthodologique à une étude de microtoponymie portant sur 17 communes du département de l'Hérault (34), S.l., s.n., , 1848 p.
    • Benno Sternberg-Sarel, « Grands et moyens propriétaires dans deux villages de l'Hérault [Saint-Just et Saint-Nazaire de Pézan] », Revue françaises de sociologie, t. II, no 4,‎ , p. 259-271

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

    sur le site de l'Insee]

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
    9. A parrainé la candidature de Huguette Bouchardeau (PSU) en 1981.
    10. Une salle communale porte le nom de ce maire.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    12. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    13. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    14. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    15. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    16. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    17. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    18. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    19. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[40].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
    2. « Unité urbaine 2020 de Lunel » (consulté le ).
    3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    7. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Just - Section LOG T2 » (consulté le ).
    8. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Just - Section LOG T7 » (consulté le ).
    9. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Hérault - Section LOG T2 » (consulté le ).
    10. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
    11. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Just » (consulté le ).
    12. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    13. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Just » (consulté le ).
    14. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    15. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    16. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    17. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Just » (consulté le ).
    18. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    19. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    20. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Just » (consulté le ).
    21. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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    7. « Orthodromie entre Saint-Just et Marsillargues », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Marsillargues - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Saint-Just et Mauguio », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. « Décès du maire de Saint-Just et 1er vice-président de la communauté de communes du Pays de Lunel, ce jeudi 24 novembre », Midi libre,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Celui qui dirigeait le village du Lunellois depuis 1983 était un précurseur, un innovateur ».
    33. « Élu maire, Yves Quesada succède à Hervé Dieulefès », Midi libre,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Seul candidat et donc sans surprise, c’est Yves Quesada, le premier adjoint, qui est élu premier magistrat de la commune [...] C’est en 1995 qu’il intègre le conseil municipal et c’est en 2008 qu’il accède au poste de premier adjoint ».
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. « La fête votive, une très longue histoire et des traditions à maintenir », Midi libre,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    38. « Entreprises à Saint-Just », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    39. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    40. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    41. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-Just - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    42. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Hérault » (consulté le ).
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