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Saint-Groux

Saint-Groux est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Saint-Groux
Saint-Groux
Mairie de Saint-Groux.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Charente
Maire
Mandat
Sigrid Faure
2020-2026
Code postal 16230
Code commune 16326
Démographie
Population
municipale
134 hab. (2020 en augmentation de 1,52 % par rapport à 2014)
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 53′ 52″ nord, 0° 10′ 07″ est
Altitude Min. 53 m
Max. 90 m
Superficie 4,50 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Boixe-et-Manslois
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Groux
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Saint-Groux

    Géographie

    Localisation et accès

    Saint-Groux est une commune du Nord Charente située à 2,5 km au nord-ouest de Mansle et 28 km au nord d'Angoulême, dans un méandre de la Charente.

    Le bourg de Saint-Groux est aussi à 12 km à l'est d'Aigre et 15 km au sud de Ruffec[1].

    À l'écart des grandes routes, la commune est traversée par la D 361 qui longe la Charente depuis Mansle, passe au bourg et franchit le fleuve par un pont métallique. La D 739 entre Mansle et Aigre limite la commune au sud. La N 10 entre Angoulême et Poitiers passe à km à l'est de la commune[2].

    La gare la plus proche (km) est celle de Luxé, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Poitiers et Bordeaux.

    Hameaux et lieux-dits

    La commune ne compte qu'un seul hameau, Villorioux, au sud[2].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Saint-Groux
    Fontenille
    Luxé Saint-Groux Mansle-les-Fontaines
    Cellettes

    Géologie et relief

    Le sol de la commune est constitué de calcaire datant du Jurassique supérieur (Oxfordien-Kimméridgien). La vallée de la Charente est occupée par des alluvions du quaternaire. Sur la rive convexe (entre le Perradet et le bourg) on trouve d'autres dépôts de sable et gravier (glaciation de Würm), et des gros galets sur le plateau au sud-est de la commune (glaciation de Mindel)[3] - [4] - [5].

    Le territoire communal est compris dans un méandre de la Charente et le relief s'élève doucement vers le sud. Le point culminant de la commune est à une altitude de 90 m, situé sur la limite méridionale. Le point le plus bas est à 53 m, situé le long de la Charente sur la limite ouest. Le bourg, construit au bord du fleuve, est à 60 m d'altitude[2].

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Charente, le Pontil et l'Etouyer, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[7] - [Carte 1].

    La commune est bordée par la Charente en aval de Mansle, et elle est sur sa rive gauche.

    La Charente forme de nombreuses îles sur la commune (prairie de Saint-Groux, le Grand Guin, île des Anguillards), et un bras assez important appelé l'Étouyer. Un autre bras, plus petit, parcourt l'aval de la commune et s'appelle l'Échallat, près duquel se trouve une source, la Fontaine Bruneau[2].

    • Vue du pont de Fontenille vers l'amont.
    • Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
      Réseaux hydrographique et routier de Saint-Groux

    Gestion des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en Å“uvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[8]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [9].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Groux est une commune rurale[Note 1] - [10]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[11] - [12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13] - [14].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,5 %), prairies (23,2 %), zones agricoles hétérogènes (9,6 %), forêts (8,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,7 %)[15].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Groux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Charente. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999 et 2021[18] - [16].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Groux.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 74,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 82 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 60 sont en en aléa moyen ou fort, soit 73 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[16].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[21].

    La commune est en outre située en aval du barrage de Mas Chaban, un ouvrage de classe A[Note 2]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[23].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont Sanctus Gratulfus en 1059-1075[24], Stus Gradulfus, Stus Gradulphus en 1405[25], Stus Gratulphus (non datée)[26], Saint-Graoulx, St-Groulx[27], Saint-Gros en 1597, Saint-Grauld[28].

    Gradulfus (nom à racine germanique) aurait été un ermite de l'Angoumois au IVe ou VIe siècle. En 1636 son nom fut effacé du Propre du diocèse. Il y fut remplacé en 1884[29] - [30] - [31].

    Histoire

    L'époque romaine a laissé quelques vestiges dans la commune, qui témoignent d'une occupation ancienne. La voie romaine de Chassenon à La Terne sert de limite de commune au sud. À l'ouest du bourg de Saint-Groux, un site à tegulae et céramiques noires a été trouvé. Au sud du bourg, une sépulture mérovingienne a été mise à jour avec des « verroteries »[32].

    L'église primitive était un monument du XIe siècle qui fut donné, vers 1067, par Robert de Montberon, seigneur de Château-Renaud, au chapitre de la cathédrale d'Angoulême. Vers la fin du XIIe siècle, cette église fut remplacée par une autre, dont seul le portail a subsisté.

    Les plus anciens registres paroissiaux à Saint-Groux remontent à 1649.

    À la veille de la Révolution, une partie des dîmes de Villorioux relevait du chapitre de la cathédrale d'Angoulême. Entre Villorioux et la forêt de Boixe, le domaine de Villedondé a appartenu aux moines de Clairvaux avant de devenir la propriété de l'abbaye de Saint-Amant-de-Boixe[33] - [Note 3].

    Administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981 ? Albert Boireau
    1995 2008 Gérard Robin PS
    2008 En cours Gérard Bouchaud DVG Retraité de l'industrie

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[34].

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].

    En 2020, la commune comptait 134 habitants[Note 4], en augmentation de 1,52 % par rapport à 2014 (Charente : −0,6 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    361798804812830210209186208
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    193196205207222208187190179
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    148146138142136109123100104
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
    849194114122139132139132
    2019 2020 - - - - - - -
    135134-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 41,5 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 64 hommes pour 72 femmes, soit un taux de 52,94 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,6
    90 ou +
    1,4
    12,5
    75-89 ans
    12,7
    26,6
    60-74 ans
    28,2
    18,8
    45-59 ans
    16,9
    10,9
    30-44 ans
    12,7
    15,6
    15-29 ans
    15,5
    14,1
    0-14 ans
    12,7
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1
    90 ou +
    2,5
    8,9
    75-89 ans
    11,8
    20
    60-74 ans
    20,3
    21
    45-59 ans
    20,8
    16,9
    30-44 ans
    16,2
    15,6
    15-29 ans
    13,7
    16,6
    0-14 ans
    14,7

    Remarques

    Entre 1800 et 1831, Saint-Groux a eu 500 habitants de plus.

    Économie

    Agriculture

    L'agriculture est principalement céréalière. La viticulture occupe une partie négligeable de l'activité agricole. La commune est cependant classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[41].

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    L'église.

    L'église paroissiale possède un clocher-mur.

    Patrimoine environnemental

    La prairie à l'entrée du bourg.

    La prairie de Saint-Groux longeant la Charente a été aménagée en un parc agréable.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[22].
    3. Villedondé était situé sur la route de Cellettes, en bordure de la paroisse de Saint-Groux. On peut encore en voir une chapelle mentionnée sur la carte de Cassini.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Saint-Groux » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mansle », sur Infoterre, (consulté le )
    6. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    7. « Fiche communale de Saint-Groux », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
    8. « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    9. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    10. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    16. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Groux », sur Géorisques (consulté le )
    17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Groux », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    22. Article R214-112 du code de l’environnement
    23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    24. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 82
    25. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 43,145,186
    26. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. II, Angoulême, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p., p. 178
    27. Louis Adolphe Terracher, Étude de géographie linguistique: Les aires morphologiques dans les parlers populaires du nord-ouest de l'Angoumois (1800-1900), H. Champion, , 700 p. (lire en ligne), p. 20
    28. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 39,105
    29. Maratu, Les Saints d'Angoumois, 1897
    30. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    31. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 604.
    32. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 149
    33. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 334
    34. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Groux (16326) », (consulté le ).
    40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
    41. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    42. « Pierre Dubois-Labernade », sur Assemblée nationale (consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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