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Prison Saint-Lazare

La prison Saint-Lazare, qui deviendra l'hôpital Saint-Lazare, était située dans les anciens bâtiments de la maison mère de la congrégation de la Mission ou maison Saint-Lazare, à Paris, 10e arrondissement au no 107 de la rue du Faubourg-Saint-Denis, dans l'ancien enclos Saint-Lazare.

L'enclos Saint-Lazare, en 1705.
Prison de Saint-Lazare
Image de l'Ă©tablissement
La prison Saint-Lazare en 1912.
Localisation
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion ĂŽle-de-France
Ville Drapeau de Paris Paris
CoordonnĂ©es 48° 52′ 32″ nord, 2° 21′ 16″ est
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Prison de Saint-Lazare
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Prison de Saint-Lazare
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Prison de Saint-Lazare
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Prison de Saint-Lazare
Architecture et patrimoine
Destination initiale couvent
Propriétaire Drapeau de la France Ville de Paris
Installations
Type Maison d'arrĂŞt
Fonctionnement
Date d'ouverture 1794
Date de fermeture 1927

Origines

Une léproserie administrée par les Hospitaliers et placée sous l'invocation de saint Lazare avait été fondée le long de la route de Paris à Saint-Denis à la limite de la zone marécageuse de l'ancien lit de la Seine au XIIe siècle. Elle est cédée en janvier 1632 à saint Vincent de Paul et à la Congrégation de la Mission.

Dès le XVIIe siècle, Saint-Lazare sera « la prison des fils de famille », Chapelle y sera interné en 1646 et laissera des textes sur Saint-Lazare, qu'on peut lire dans les Œuvres de Chapelle et de Bachaumont[1] dont la Lettre à Monsieur Moreau et la Description de Saint-Lazare, puis une prison spéciale pour épouses et jeunes débauchés enfermés sur la demande de leur famille, aliénés, prêtres indisciplinés[2] - [3].

En mars 1785, Beaumarchais y sera enfermé quelques jours[4] et juste avant la Révolution Sylvain Maréchal y fera quatre mois de prison pour son Almanach des Honnêtes Gens. Étienne Antoine Boulogne y fut pour sa part incarcéré trois mois.

En 1792-1793, sous la Révolution, les Lazaristes sont dispersés à la suite du décret de la Convention sur la suppression des Ordres religieux et en 1794 un autre décret de la Convention reconnaît Saint-Lazare comme prison.

La prison Saint-Lazare sous la RĂ©volution et la Terreur

Appel des dernières victimes de la terreur dans la prison de saint Lazare.7, 9 thermidor 1794 par Charles Louis Müller

Sous la Terreur, Saint-Lazare connaitra ce qu'on appelle la conspiration des prisons « plan concerté d’élimination physique des prisonniers » avec un bilan de 165 exécutions les 6, 7 et 8 thermidor pour la seule prison Saint-Lazare.

Le peintre Charles-Louis Muller (1815-1892) a rĂ©alisĂ© un tableau intitulĂ© Appel des dernières victimes de la terreur Ă  la prison Saint-Lazare Ă  Paris les 7-9 Thermidor an II[5] sur lequel on distingue le poète AndrĂ© ChĂ©nier. La plus grande composition de ce tableau, d'une longueur de 8,90 m, est exposĂ©e au musĂ©e de la RĂ©volution française[6].

Le 3 octobre 1793, Hubert Robert, peintre, graveur et professeur de dessin reçoit un ordre d’arrestation, pour motif : « suspect pour son incivisme reconnu, ses liaisons avec les aristocrates ». Il est détenu à la prison Sainte-Pélagie puis à Saint-Lazare. Il craint pour sa vie et peint alors sur tous les supports à sa portée (notamment sur des assiettes), il exécute plusieurs scènes de la vie quotidienne des détenus de la prison Saint-Lazare. Hubert Robert est délivré le 4 août 1794[7].

Dès la fin de la Terreur, la prison Saint-Lazare est affectée aux femmes sur proposition de Pierre Paganel[8] - [9].

Prisonniers célèbres pendant la Révolution

Jean-Antoine Roucher Ă  la prison Saint-Lazare.

La prison des XIXe et XXe siècles

Le chemin de ronde, en 1913.
Les cryptes, en 1913.

La prison Saint-Lazare est cédée au département de la Seine par un acte du 9 avril 1811[11].

C'est une prison et un « hôpital-prison », intimement liée au développement de la prostitution. En effet, alors qu'est instituée en 1802 la visite médicale obligatoire des prostituées et que le nombre de maisons closes s'accroit rapidement, les prostituées sont étroitement contrôlées par la Brigade des mœurs : les filles de rue sont dites « en carte » et celle des maisons closes « à numéro ». À Paris, les « insoumises » sont incarcérées dans la seconde section de Saint-Lazare, lieu d'internement administratif et hôpital pour les prostituées[12]. L'internement est possible sur simple avis médical[13] jusqu'à la loi Marthe Richard du 13 avril 1946 qui ferme les maisons closes.

À l'occasion de la démolition de l'église Saint-Lazare, qui menaçait ruine, en 1823 l’administration pénitentiaire décide de réorganiser l’ensemble des bâtiments.

L'ancien édifice de la prison est rasé vers 1824[14], la construction de la nouvelle chapelle, qu'on peut voir au fond du square Alban-Satragne, et de l’infirmerie est alors confiée à Louis-Pierre Baltard par le comte de Chabrol, préfet de la Seine[15].

On fait Ă©galement Ă©lever des murs et un chemin de ronde.

L'architecte y construit en 1834 l'« infirmerie spéciale », pour soigner les femmes de la prison Saint-Lazare.

Pour l'annĂ©e 1837 c'est un total de 11 063 « femmes et jeunes filles » qui sont passĂ©es par Saint-Lazare[16].

À partir de 1838, à l'initiative du baron Delessert, alors préfet de police de Paris, la garde des détenues est assurée par des femmes[14], ce sont les Sœurs de Marie-Joseph, dites Sœurs des prisons[17], qui assurent cette tâche à partir de 1849 ou 1850[18].

Vers 1857 la prison Saint-Lazare, placĂ©e sous l'administration de la prĂ©fecture de police, renferme une population gĂ©nĂ©rale de 1 300 dĂ©tenues environ, elle est divisĂ©e en trois sections principales, la première contient les prĂ©venues et condamnĂ©es, la seconde est Ă  la fois un lieu de punition et un hĂ´pital pour les prostituĂ©es, la troisième est affectĂ©e aux jeunes filles renfermĂ©es soit par application des articles 66 et 67 du Code pĂ©nal[19], soit par voie de correction paternelle[20] - [21].

« Ces jeunes filles, dont l'état intellectuel offre un grand intérêt pour le médecin et le moraliste, sont pour la plupart de malheureuses petites créatures que l'on enferme dès l'âge de sept à huit ans pour abriter leur enfance contre les atteintes funestes de la corruption. Rien de plus digne d'éloges que le but que se propose l'autorité en enlevant ces pauvres petites filles, les unes à d'infâmes parents qui les vouaient à une vie honteuse, les autres à des parents faibles ou impuissants à les gouverner, à les protéger, et en les maintenant sous sa tutelle jusqu'à seize, dix-huit et vingt ans[22]. »

— S. Rossignol, Aperçu médical sur la maison de Saint-Lazare, p. 8.

Au 31 décembre 1856 il y a 48 jeunes filles mineures détenues à Paris, dont 33 à la prison Saint-Lazare par voie de correction paternelle[23].

Toujours vers 1857, la durée de traitement dans la seconde section est 45 jours pour les « filles publiques inscrites » et 3 mois pour les « insoumises », la sortie de l'hôpital-prison n'est possible qu'après une contre-visite assurée par la préfecture[24].

Pour l'annĂ©e 1885 c'est un total de 10 907 « femmes et jeunes filles » qui sont passĂ©es par Saint-Lazare[25].

En 1913, les anciennes cryptes du XVIIe siècle existaient toujours[26] - [27], elles feront l'objet d'une demande de classement[28], en 1971 le parking souterrain « Magenta Alban Satragne » occupera l'espace[29].

La prison Saint-Lazare a Ă©mis de la monnaie de nĂ©cessitĂ© qui n'est hĂ©las pas datĂ©e[30]. En France c'est la pĂ©riode de 1914 Ă  1926 qui constitue l'âge d'or de la monnaie de nĂ©cessitĂ©. La monnaie de nĂ©cessitĂ© de Saint-Lazare comportait des pièces de 5 centimes, 25 centimes, 50 centimes, 1 franc, 2 francs et mĂŞme 5 francs

La prison Saint-Lazare est le cadre de la chanson d'Aristide Bruant À Saint-Lazare[31]. Cette chanson sera reprise par de nombreux artistes[32] : Eugénie Buffet, Germaine Montero, Lina Margy, Patachou, Barbara, Véronique Sanson, le groupe de punk rock Parabellum, Marc Ogeret, etc.

La prison Saint-Lazare ferme en 1927[14] - [33].

Le portrait de Joseph Cange, gardien à la prison Saint-Lazare pendant la Terreur, qui aida financièrement la famille d'un détenu au péril de sa vie et que la nation honorera après la chute de Robespierre, est conservé au musée de la Révolution française[34].

Prisonnières célèbres

Personnel notoire

De la prison Ă  l'hĂ´pital

Site de l'ancien hôpital Saint-Lazare, le « carré historique », en 2010.

L'ancienne prison devient vers 1930 la « maison de santé Saint-Lazare » et continuera de fonctionner comme lieu de traitement pour femmes[37] jusqu'en 1955 alors que l'ancienne prison est démolie en 1940[35].

En 1955 la préfecture de Police cède une partie de ses lits à l'Assistance publique et l'hôpital Saint-Lazare devient un service de désencombrement de l'hôpital Lariboisière[38].

Le 1er janvier 1961 la préfecture cesse d'administrer l'hôpital qui dépendra alors de l'Assistance publique, cela sera l'hôpital Saint-Lazare, qui dépendra du groupe hospitalier Lariboisière - Fernand-Widal - Saint-Lazare[38].

En 1975, année internationale de la Femme, c'est la fermeture à Saint-Lazare du service où les femmes prostituées étaient encore conduites après les rafles par la police[39].

L'hôpital Saint-Lazare ferma définitivement fin 1998, il ne comportait alors plus que 55 lits[38].

Le site de l'ancien hĂ´pital Saint-Lazare

Il ne reste actuellement de la prison et de l'hôpital Saint-Lazare que l'infirmerie et la chapelle construites toutes deux par Louis-Pierre Baltard en 1834 et dont les bâtiments ont été restaurés en 1931 par Gaston Lefol[40].

Classé monument historique. Les restes de la prison et de l'hôpital Saint-Lazare encore existants ont été inscrits au titre des monuments historiques en novembre 2005[41].

L’ancien hôpital Saint-Lazare formait un îlot délimité par la rue du Faubourg-Saint-Denis, la rue de Paradis, la rue de Chabrol et la rue d’Hauteville.

À la suite du départ de l'assistance publique un vaste projet de réaménagement de cet îlot, délimité par la rue du Faubourg-Saint-Denis, la rue de Paradis, la rue de Chabrol et la rue d’Hauteville, a été initié à partir de 1999 par la Ville de Paris : réalisation d'équipements culturels, sportifs et scolaires, mise en valeur des bâtiments historiques et création d'un parc paysager[42] - [43] - [44] - [45].

Le projet de rĂ©habilitation des architectes StĂ©phane Bigoni et Antoine Mortemard a donnĂ© naissance Ă  la mĂ©diathèque Françoise-Sagan. InaugurĂ©e le 16 mai 2015, elle possède une superficie d'environ 4 000 m2 rĂ©partis sur quatre niveaux et des magasins en sous-sol, avec un bâtiment principal et deux ailes, ce qui en fait l'une des plus vastes mĂ©diathèques municipales de la capitale. Elle prĂ©sente un fonds de 100 000 documents[46]. Cette mĂ©diathèque accueille Ă©galement le Fonds patrimonial L'Heure Joyeuse, fonds historique exceptionnellement riche de documents pour la jeunesse.

Dans la culture populaire

C'est à la prison pour femmes Saint-Lazare que sont un temps enfermées La Louve et Fleur-de-Marie (la Goualeuse), deux des protagonistes les plus importantes du roman Mystères de Paris, par Eugène Sue. La prison est régulièrement citée au fil du récit, et donne même son titre à un chapitre de l'ouvrage[47].

Bibliographie

  • Jacques Hillairet, Gibets, Piloris et Cachots du vieux Paris, Paris, les Éditions de Minuit, , 336 p. (ISBN 2-7073-1275-4)
  • Agnès Chauvin, « La Chapelle de l’ancien hĂ´pital Saint-Lazare Ă  Paris », In situ, revue des Patrimoines, nos 11/2009,‎ (lire en ligne)

Notes et références

  1. Œuvres de Chapelle et de Bachaumont, texte établi et annoté par Tenant de Latour, 1854
  2. Histoire de Saint-Lazare (1122-1912) (1re  Ă©d. / Eugène Pottet, 1912, (p. 22)
  3. {pdf} Histoire de Paris par J. A. Dulaure - 1853 (p. 331)
  4. Guillaume Perrault, « Comment Beaumarchais, le père de Figaro, ruse avec la censure royale », sur Le Figaro, (consulté le )
  5. Notice no 000PE011795, base Joconde, ministère français de la Culture
  6. histoire-image.org, Appel des dernières victimes de la Terreur à la prison Saint Lazare
  7. « Musée du Louvre - Exposition Hubert Robert(1733-1808)- Un peintre visionnaire » [PDF], sur Exposition, (consulté le )
  8. [PDF] L'Abeille de la Nouvelle-OrlĂ©ans - 1913 - Prison Saint-Lazare
  9. Les prisons de l'Europe — Bicêtre, la Conciergerie, la Force, la Salpêtrière, le For-l'évêque, Saint-Lazare, le Châtelet, la Tournelle, l'Abbaye, Sainte-Pélagie, Pierre en Cize, Poissy, Ham, Fenestrelles, le château d'If, Château Trompette, le Mont Saint-Michel, Clairvaux, les îles…, Volume 8 (p. 171)
  10. Dictionnaire administratif et historique des rues de Paris et de ses monuments par Félix Lazare… et Louis Lazare… 1844-1849 (p. 370)
  11. Vie et histoire du Xe arrondissement - Ă©ditions Hervas - (p. 54)
  12. Les Prisons de Femmes - Albert Letellier et Robert Debled (aperçu en ligne) (p. 56,64,67)
  13. La medecine anecdotique, historique, litteraire : recueil a l'usage des medecins, chirurgiens et apothicaires erudits, curieux et chercheurs (1902) (p. 280 Ă  292)
  14. [PDF] La chapelle de l’ancien hôpital Saint-Lazare (Paris) Agnès Chauvin, Documentaliste-recenseur, Direction régionale des affaires culturelles d'Île-de-France (p. 2)
  15. [PDF] La chapelle de l’ancien hôpital Saint-Lazare (Paris) Agnès Chauvin, Documentaliste-recenseur, Direction régionale des affaires culturelles d'Île-de-France (p. 3)
  16. Revue de Paris - Louis Désiré Véron - 1839 (p. 179)
  17. Philippe Poisson, « Les religieuses des prisons », CRIMINOCORPUS, (consulté le )
  18. Mémoires de Monsieur Claude, chef de la police de sûreté sous le Second… (1881) (p. n51)
  19. Comte d’Argout, « Circulaire sur le placement en apprentissage des enfants jugés en vertu de l’article 66 du Code pénal », CRIMINOCORPUS, (consulté le )
  20. De la prostitution dans la ville de Paris : considĂ©rĂ©e sous le rapport de l'hygiène publique, de… (1857) (p. n42)
  21. La prison Saint-Lazare
  22. De la prostitution dans la ville de Paris : considérée sous le rapport de l'hygiène publique, de ... (1857)(p. n132)
  23. Éléments de droit pénal : pénalité, juridictions, procédure - Joseph Louis Elzéar Ortolan - 1859 Effectifs des prisons (p. 706)
  24. De la prostitution dans la ville de Paris : considĂ©rĂ©e sous le rapport de l'hygiène publique, de… (1857) (p. n44)
  25. Journal d'hygiene (1888) (p. n36)
  26. Saint-Lazare, la crypte : photographie de presse / Agence Rol 1913
  27. La Ville lumière : anecdotes et documents historiques, ethnographiques, littéraires, artistiques, commerciaux et encyclopédiques (1909) (p. 556)
  28. « Correspondance : découverte d'une crypte ; demande de classement ; documentation 1884-1933 », Ministère de la culture, Médiathèque de l'Architecture et du Patrimoine, 2001. (consulté le )
  29. Mathieu Flonneau, « Notre-Dame de Paris défiée par l’automobile », Histoire urbaine, no 7,‎ , p. 163-188 (lire en ligne)
  30. « Prison St Lazare »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ), Monnaies de Nécessité et Jetons
  31. « ARISTIDE BRUANT - A Saint-Lazare » (consulté le )
  32. Texte de : À Saint-Lazare
  33. Itinéraire d'un pénitentiaire sous les Trente Glorieuses, par Lucien Lemoisson (p. 52)
  34. Benjamin Delessert, Les Bons Exemples : nouvelle morale en action, Paris, Didier, , 440 p., 2 vol. in-18 (OCLC 457747627, lire en ligne), p. 147-8
  35. « Marianne », sur Gallica, (consulté le )
  36. Nuala O’Faolain, « L’Histoire de Chicago May », 2005, prix Fémina étranger en 2006.
  37. Dans son autobiographie, Histoires de ma vie, Éditions Albin Michel, 1975, pages 42-43, Jean Marais raconte comment dans sa jeunesse, il découvrit que sa mère, kleptomane, était enfermée dans cette prison de femme.
  38. Le service des archives de l’AP-HP, « Saint-Lazare », AP-HP (consulté le )
  39. « La prostitution en question - Dates clés en France », Mouvement du Nid (anti-prostitution) (consulté le )
  40. [PDF] La chapelle de l’ancien hôpital Saint-Lazare (Paris) Agnès Chauvin, Documentaliste-recenseur, Direction régionale des affaires culturelles d'Île-de-France (p. 7)
  41. Notice no PA75100008, base Mérimée, ministère français de la Culture
  42. Conseil Municipal de Paris - Délibérations 26 et 27 mai 2003 : Ref 2003 DPA 209-1 (Restructuration du site de l'ancien hôpital Saint Lazare - Bilan de la concertation)
  43. Conseil Municipal de Paris - Délibérations 26 et 27 mai 2003 : Ref 2003 DPA 209-2 (Restructuration du site de l'ancien hôpital Saint Lazare - Avis favorable au projet d'aménagement envisagé et au programme des équipements publics)
  44. Conseil Municipal de Paris - Délibérations 26 et 27 mai 2003 : Ref 2003 DPA 209-3 (Restructuration du site de l'ancien hôpital Saint Lazare - Autorisation à M. le Maire de Paris de signer une convention de mandat de maîtrise d'ouvrage avec la Société d'Économie Mixte d'Aménagement de la Ville de Paris (SEMAVIP) chargeant cette société de concevoir et de réaliser, au nom et pour le compte de la Ville de Paris, la première phase du programme et du projet d'aménagement envisagés ainsi que la poursuite des études relatives à la seconde phase)
  45. Conseil Municipal de Paris - Délibérations 26 et 27 mai 2003 : Ref 2003 DPA 209-4 (Restructuration du site de l'ancien hôpital Saint Lazare - Autorisation à la SEMAVIP, maître d'ouvrage délégué, de déposer les demandes de permis de construire pour l'ensemble de la première phase, à l'exception de l'école, et des demandes de permis de démolir concernant les parties à réhabiliter du "carré historique")
  46. Paris : l’étonnante reconversion de la prison Saint-Lazare - Le Parisien, 16 mai 2015
  47. Eugène Sue, « Chapitre VII. Saint-Lazare », dans Les Mystères de Paris, t. 5, Paris, Librairie de Charles Gosselin, (lire en ligne), p. 99-127.

Voir aussi

Articles connexes

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