Préchacq-Navarrenx
PrĂ©chacq-Navarrenx [pÊeÊak navaÊÉÌks] (en bĂ©arnais Preishac-Navarrencs ou Prechac-NabarrĂ©ncs) est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques, en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.
Préchacq-Navarrenx | |||||
L'Ă©glise Sainte-Marie-Madeleine. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Oloron-Sainte-Marie | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Béarn des Gaves | ||||
Maire Mandat |
Florent Laborde 2020-2026 |
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Code postal | 64190 | ||||
Code commune | 64459 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Préchacquais | ||||
Population municipale |
176 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 35 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 43° 16âČ 38âł nord, 0° 42âČ 58âł ouest | ||||
Altitude | Min. 139 m Max. 262 m |
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Superficie | 5,10 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Oloron-Sainte-Marie (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton du CĆur de BĂ©arn | ||||
LĂ©gislatives | QuatriĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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GĂ©ographie
Localisation
La commune de Préchacq-Navarrenx se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].
Elle se situe Ă 39 km par la route[Note 1] de Pau[3], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă 15 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-prĂ©fecture, et Ă 19 km de Mourenx[5], bureau centralisateur du canton du CĆur de BĂ©arn dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Navarrenx[2].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : PrĂ©chacq-Josbaig (1,3 km), Lay-Lamidou (1,7 km), Dognen (2,6 km), SaucĂšde (2,7 km), Aren (2,9 km), GeĂŒs-d'Oloron (3,0 km), Gurs (3,2 km), Saint-Goin (3,5 km).
Sur le plan historique et culturel, PrĂ©chacq-Navarrenx fait partie de la province du BĂ©arn, qui fut Ă©galement un Ătat et qui prĂ©sente une unitĂ© historique et culturelle Ă laquelle sâoppose une diversitĂ© frappante de paysages au relief tourmentĂ©[7].
Hydrographie
La commune est drainée par le gave d'Oloron, le Layoû, un bras du gave d'Oloron, un bras du Layoû, et par deux petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 5 km de longueur totale[9] - [Carte 1].
Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Sorde-l'Abbaye, aprÚs avoir traversé 64 communes[10].
Le Layoû, d'une longueur totale de 17,2 km, prend sa source dans la commune de Lucq-de-Béarn et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Jasses, aprÚs avoir traversé 7 communes[11].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[12]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroßt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[13].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[15] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[16] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Monein », sur la commune de Monein, mise en service en 1971[17] et qui se trouve Ă 12 km Ă vol d'oiseau[18] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 183,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[19]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et Ă 27 km[20], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[21], Ă 13,4 °C pour 1981-2010[22], puis Ă 13,8 °C pour 1991-2020[23].
RĂ©seau Natura 2000
Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »[25], d'une superficie de 2 547 ha, une riviĂšre Ă saumon et Ă©crevisse Ă pattes blanches[26] - [Carte 2].
Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 7] est recensée sur la commune[27] - [Carte 3] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[28].
Urbanisme
Typologie
Préchacq-Navarrenx est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [29] - [30] - [31].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[32] - [33].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (56,3 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (56,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (39,2 %), terres arables (30,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (21,6 %), zones urbanisĂ©es (4,5 %), prairies (4,3 %)[34].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 4].
Lieux-dits et hameaux
- Le Village.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de PrĂ©chacq-Navarrenx est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[35]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[36].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par une crue torrentielle ou Ă montĂ©e rapide de cours d'eau, notamment le gave d'Oloron et le Layous. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983 et 2009[37] - [35].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[38]. 60,5 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 10] - [39].
Toponymie
Attestations anciennes
Le toponyme Préchacq-Navarrenx apparaßt[40] sous les formes Preciani (commentaires de César), Prexag (XIIIe siÚcle, titres de Béarn[41]), Prexac-d'Arribere (1368, notaires de Lucq-de-Béarn[42]), Presxac (1385, censier de Béarn[43]), la nau de Prexac e lo passadge d'aquere (bac permettant la traversée du gave d'Oloron, 1385, notaires de Navarrenx[44]), Prexacq-de-Rivere et Prechac-deça[45] (respectivement 1548 et 1675, réformation de Béarn[46]).
Histoire
Paul Raymond[40] note que la commune comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.
En 1385, Préchacq-Navarrenx comptait 39 feux et dépendait du bailliage de Navarrenx.
Politique et administration
Intercommunalité
La commune fait partie de sept structures intercommunales[49] :
- la Communauté de communes du Béarn des Gaves ;
- le SIVU du Layou ;
- le syndicat AEP d'Aren - Préchacq-Josbaig ;
- le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat de la perception de Navarrenx ;
- le syndicat intercommunal des gaves et du Saleys ;
- le syndicat mixte forestier des chĂȘnaies des vallĂ©es basques et bĂ©arnaises.
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[51].
En 2020, la commune comptait 176 habitants[Note 11], en augmentation de 11,39 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
L'activitĂ© est principalement agricole (Ă©levage, pĂąturages, polyculture). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty. Avec le soutien du mouvement Ănergie partagĂ©e[54], un groupement d'agriculteurs y a dĂ©veloppĂ© le projet MĂ©thalayou : un mĂ©thaniseur injectant le biomĂ©thane purifiĂ© dans le rĂ©seau de gaz de TIGF[55].
Culture locale et patrimoine
Les fĂȘtes de Prechacq-Navarrenx ont lieu le deuxiĂšme week-end de septembre.
Patrimoine religieux
L'Ă©glise Sainte-Marie-Madeleine date[56] de la fin du XIXe siĂšcle.
Ăquipements
- La commune dispose d'une école élémentaire ;
- Salle des fĂȘtes ;
- Terrains de football et basket-ball.
Personnalités liées à la commune
- Anacarsis Lanus (1820-1888), nĂ©gociant et homme politique argentin, dont le pĂšre, Jean Lanusse, Ă©tait originaire de PrĂ©chacq-Navarrenx (1786-18..). Il est aussi connu comme le fondateur de la ville de Lanus au sud de Buenos Aires d'oĂč est originaire Diego Maradona.
- Alejandro Agustin Lanusse (1918-1996), général et président de l'Argentine de 1971 à 1973, descendant de Jean Lanusse (Préchacq-Navarrenx 1784-1865), oncle du précédent.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[14].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les Ătats membres s'engagent Ă maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[24].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Préchacq-Navarrenx » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intĂ©rĂȘt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de PrĂ©chacq-Navarrenx », sur www.geoportail.gouv.fr.
- « ZNIEFF de type II sur la commune de Préchacq-Navarrenx », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Gentilé sur habitants.fr
- « Métadonnées de la commune de Préchacq-Navarrenx », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Préchacq-Navarrenx et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Préchacq-Navarrenx et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Préchacq-Navarrenx et Mourenx », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Préchacq-Navarrenx », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- « Fiche communale de Préchacq-Navarrenx », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le gave d'Oloron ».
- Sandre, « le Layoû ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
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- Notaires de Lucq-de-Béarn - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
- Prechac-deça : par opposition à Prechac-dela, c'est-à -dire Préchacq-Josbaig
- Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siÚcle ».
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- E.N, « Energie : TIGF va utiliser du "gaz vert" produit en Béarn pour alimenter son réseau », sur larepubliquedespyrenees.fr, (consulté le ).
- MinistÚre de la culture, base Mérimée - Notice sur l'église Sainte-Marie-Madeleine
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Préchacq-Navarrenx sur le site de la communauté de communes du canton de Navarrenx