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Plusquellec

Plusquellec ([plyskɛlɛk] en breton : Pluskelleg) est une commune du département des Côtes-d'Armor, dans la région Bretagne, en France.

Plusquellec
Plusquellec
Église Notre-Dame de Grâces - XVIe siècle.
Blason de Plusquellec
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Guingamp
Intercommunalité Guingamp-Paimpol Agglomération
Maire
Mandat
Jacques Le Creff
2020-2026
Code postal 22160
Code commune 22243
Démographie
Gentilé Plusquellécois, Plusquellécoise
Population
municipale
546 hab. (2020 en diminution de 0,36 % par rapport à 2014)
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 23′ 12″ nord, 3° 29′ 02″ ouest
Altitude Min. 104 m
Max. 273 m
Superficie 26,31 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Callac
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Plusquellec
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Plusquellec
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Plusquellec

    Géographie

    Localisation

    Communes limitrophes de Plusquellec
    Plourac'h Calanhel Callac
    Plusquellec
    Carnoët Duault

    Géographie physique

    La commune est arrosée par l'Hyères, une rivière qui longe son territoire à l'est.

    • voir la légende ci-après
      Carte topographique de la commune de Plusquellec.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Ploescalec en 1268, Ploezescaelec vers 1330, Ploezkalleuc et Ploezescaelleuc en 1368, Plusqualec en 1381, Pluscallec en 1381, Pluscalleuc en 1407, Plusquellec en 1535 et en 1536[1].

    Plusquellec vient du breton : Plou signifiant « paroisse » et Askol, [ oscal ] en vieux breton, « chardon »[2], signifiant « paroisse du chardon »[3].

    Héraldique

    Armoiries de Plusquellec

    Les armoiries de Plusquellec se blasonnent ainsi :
    « D'argent aux trois chevrons de gueules, au chef d'azur chargé de deux burelles d'or. »

    Géographie

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 10,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 11 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 065 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 16,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Carhaix », sur la commune de Carhaix-Plouguer, mise en service en 1983[10] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[11] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 082,4 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Brieuc », sur la commune de Trémuson, mise en service en 1985 et à 49 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 11 °C pour la période 1971-2000[14] à 11,2 °C pour 1981-2010[15], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Plusquellec est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [17] - [18] - [19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (87,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (69,9 %), terres arables (10,2 %), prairies (9,4 %), forêts (8,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,4 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Économie

    Le tissu économique de Plusquellec est composé de : une dizaine d'agriculteurs, une école primaire, deux bars, un terrain de sports, plusieurs forgerons...

    Histoire

    Étymologie

    Plusquellec signifie en breton ploe (paroisse) et oscal (chardon). Plusquellec a connu plusieurs noms : Ploescalec (vers 1330), Ploezkalleuc, Ploezescaelleuc (en 1368), Plusqualec (en 1381), Pluscallec (en 1381), Pluscaleuc (en 1407), Ploesquellec, Plusquellec (en 1535-1536).

    Moyen-Âge

    La paroisse de Plusquellec, dont la première trace écrite remonte à 1330, avait pour trèves Calanhel et Botmel, qui devint ensuite Callac.

    La famille de Plusquellec, qui était à la tête de la seigneurie du même nom, serait issue de la famille des comtes du Poher, est attestée depuis 1268. À partir du XVe siècle cette famille résida aussi dans le château de Callac (raison pour laquelle par la suite Callac supplanta Botmel) construit par Olivier de Plusquellec et Jeanne de Trogoff, mariés en 1420. Leur fille aînée, Jeanne de Plusquellec (décédée en 1476) épousa Charles IX du Pont, baron du Pont et de Rostrenen.

    La seigneurie de La Rivière avait appartenu à Olivier de Gourvinec, capitaine des gardes du duc Jean IV, qui épousa Marguerite de Malestroit et mourut en 1403. En 1432, un sieur de Plusquellec commandait un corps de troupes au siège de Pouancé par le duc de Bretagne. En 1451, un Plusquellec siège aux États de Bretagne.

    À la même époque, les quatre fils du chevalier Alain de Plusquellec (1374-1433) et de Marie de Launay (1376-1427), Maurice, Henry, Yves et Guillaume, se délivrent eux-mêmes des lettres de marque, et se font corsaires.

    En 1487, le sire de Plusquellec et Louis son frère, ravagent le pays et pillent les châteaux des seigneurs restés fidèles au duc de Bretagne François II.

    Le manoir de Kerthomas appartenait à la famille éponyme, puis passa par mariages successifs d'héritiers, aux mains de la famille de Poulmic, puis de celle de Kerouartz, qui conservèrent Kerthomas jusqu'au XIXe siècle. Un autre manoir, celui de la Boëssière, appartenait à la famille du même nom, avant de passer successivement au fil des siècles suivants aux mains des de Lezandevez, puis Quellenec, Le Saint, de Boisguézennec et enfin de Crésolles. Un autre manoir, disparu, existait probablement à Coatléau[24].

    Époque moderne

    Carte de Cassini des paroisses de Plusquellec, Plourac'h et Carnoët (1784).

    Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Plusquellec en 1778 :

    « Plusquelec : à 14 lieues au Nord-Est de Quimper, son évêché ; à 19 lieues de Rennes ; et à 1 lieue de Callac, sa subdélégation. Cette paroisse relève du Roi, et ressortit à Carhaix ; elle compte 3 600 communiants[Note 7], y compris ceux de Botmel et Callanhuel, ses trèves : la cure est à l'alternative. La haute, moyenne et basse justice de Cotléan [Coatléau] appartient à Madame du Loch. Ce territoire, plein de vallons et de monticules, offre à la vue des terres en labeur, des prairies, des arbres fruitiers et des landes. (...)[25]. »

    Plusquellec possédait 4 chapelles : Coatléau (reconstruite en 1856), Locmélard, Saint-Fiacre (restaurée en 1933) et Saint-Julien (en ruine en 1807)[24].

    Le XIXe siècle

    A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée décrivent ainsi Plusquellec en 1853 :

    « Plusquellec : commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom, moins ses trèves Botmel (aujourd'hui Callac) et Calanhel. (...) Principaux villages : Rundunec, Liffernec, Kernon, Kerlouas, Kerbouzard, Kerambréton, Restineuff, la Boissière, Kerdirion, Resclas, Kerugant, Kerorgant, Helloét, Goasmin, Runervy, Lindilé, le Guellec, Coatanec'h, Guébihan-Guelec, Lestrédiec, Kercortes, Coat-Léan. Superficie totale 2 631 hectares, dont (...) terres labourables 1 496 ha, prés et pâturages 32 ha, bois 62 ha, vergers et jardins 51 ha, landes et incultes 604 ha, étangs 4 ha (...). Moulins 5 (du Pont, de la Boissière, de Coat-Léan ; à eau). La grande route de Carhaix à Callac traverse cette commune dans sa partie sud, depuis le pont de Coat-Léan jusqu'à celui d'Ar-Varquès. (...) Géologie : roches feldspathiques dans le nord-est ; anciens gisements de plomb. On parle le breton[26]. »

    La Première Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Plusquellec porte les noms de 63 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale. Parmi eux 5 soldats (François Auffret, François Guézennec, Yves Guillaume, René Le Borgne, Louis Le Guilloux) sont décédés sur le front belge ; un soldat (Jean Le Fer) est décédé de maladie alors qu'il était interné en Suisse après avoir été prisonnier en Allemagne et un autre (Jean Daniel) pendant sa captivité en Allemagne, les autres sont décédés sur le sol français, dont Louis Le Gall, qui fut décoré de la croix de guerre[27].

    François Denès, né en 1889 à Plusquellec, soldat au 47e régiment d'infanterie fut fusillé pour l'exemple le à Vienne-le-Château (Marne) pour « ivresse et abandon de poste en présence de l'ennemi »[28].

    La Seconde Guerre mondiale

    Emmanuel Thépault, né le à Plusquellec, terrassier-cimentier à Aulnay-sur-Iton (Eure), fut fusillé le au Mont Valérien[29] et Yves Guinamant, aussi originaire de Plusquellec, cheminot et résistant, fut assassiné par les Allemands le à Mégrit (Côtes-du-Nord)[30].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1965 juin 1995 Marcel Milbeau PCF Agriculteur
    juin 1995 mars 2001 Christian Le Gac
    mars 2001 en cours Jacques Le Creff PS Chef de production
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

    En 2020, la commune comptait 546 habitants[Note 8], en diminution de 0,36 % par rapport à 2014 (Côtes-d'Armor : +1,05 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0629231 2011 1521 2741 3681 3421 4421 502
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4321 5111 5611 4791 5701 5501 5971 6481 650
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6121 6821 6611 5741 5181 3311 2601 1901 003
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    902825699575551521498504570
    2015 2020 - - - - - - -
    533546-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    • Charles Hercule de Keranflec'h, né en 1711 à Botmel, alors trève de Plusquellec, décédé le au château de Rosneven en Pestivien, écrivain et philosophe, auteur de plusieurs ouvrages, dont "L'Hypothèse des petits tourbillons", d'une "Dissertation sur les miracles" et d'une "Explication de l'Apocalypse" publiés entre 1760 et 1782[36].
    • François Abgrall né en 1757 au manoir de Kerthomas, commune de Plusquellec et décédé en 1805 à Quimper, homme politique.
    • Gal Vallerius, baron de la drogue du "dark-web" condamné en Octobre 2018 à 20 ans de réclusion criminelle pour trafic de stupéfiant résidait dans la commune avant son arrestation[37]

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Personnes en âge de communier.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Plusquellec ».
    2. Plusquellec sur le site de la Communauté de Communes de Callac-Argoat
    3. Hervé Abalain, « Noms de lieux bretons - Page 98, Editions Jean-paul Gisserot, ISBN 2877474828 ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Carhaix - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Plusquellec et Carhaix-Plouguer », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Carhaix - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Plusquellec et Trémuson », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. François Moal, Carhaix et le Poher x, Spézet, Nature et Bretagne, (ISBN 2-85257-000-9).
    25. Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, vol. 3, Nantes, Vatar Fils Aîné, (lire en ligne), pages 445-446.
    26. A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, vol. 2, Rennes, Deniel, (lire en ligne), page 363.
    27. Memorialgenweb.org - Plusquellec : monument aux morts
    28. Anne Lessard, « 14-18. 51 fusillés bretons et toujours pas de réhabilitation », sur Le Telegramme, (consulté le ).
    29. http://memoiredeguerre.pagesperso-orange.fr/fusilles/fusilles-22.htm
    30. https://www.ouest-france.fr/yves-guinamant-resistant-cheminot-mort-le-3-aout-1944-2737429
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. « Eglise Notre-Dame des Grâces », notice no PA00089531, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. http://centredhistoiredebretagne.com/un-hercule-breton-le-philosophe-charles-hercule-de-keranflec/.
    37. « Vingt ans de prison pour Gal Vallerius, le barbu du dark Web », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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