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Calanhel

Calanhel [kalanɛl] est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne.

Calanhel
Calanhel
Vue du bourg de Calanhel.
Blason de Calanhel
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Guingamp
Intercommunalité Guingamp-Paimpol Agglomération
Maire
Mandat
Cyril Jobic
2020-2026
Code postal 22160
Code commune 22024
Démographie
Gentilé Calanhelois
Population
municipale
227 hab. (2020 en augmentation de 8,1 % par rapport à 2014)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 26′ 15″ nord, 3° 28′ 46″ ouest
Altitude Min. 168 m
Max. 295 m
Superficie 14,32 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Callac
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Calanhel
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Calanhel
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Calanhel
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Calanhel

    Géographie

    Situation

    Communes limitrophes de Calanhel
    Lohuec La Chapelle-Neuve
    Plourac'h Calanhel Callac
    Plusquellec
    Carte de Calanhel et des communes avoisinantes.

    Villages de Calanhel

    • Le Cosquer
    • Resperes
    • Kerland (Bihan et Braz)
    • Kerblouz
    • Kenhuel
    • Kergadou
    • St-Yves
    • Tressaint
    • Le Poullou
    • Le Restou
    • Kerfoën
    • St-Maur
    • La Haie douar
    • Magoarou (Bihan et Braz)
    • La Haie
    • Kermenguy
    • Kerden
    • Keromel
    • Guernevez
    • Moulin Merrien
    • Pont Forhic
    • Roujouas
    • Traou Quinquis
    • Collet Even
    • Trenivoaz
    • Runveur
    • Le Peignard
    • Kerzinou
    • La Roche-Droniou
    • Guervily
    • Kerhudu
    • Guerzouil
    • Kerespars

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 11,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 183 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 17 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Louargat », sur la commune de Louargat, mise en service en 1987[7] et qui se trouve à 18 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 1 013,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Brieuc », sur la commune de Trémuson, mise en service en 1985 et à 48 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,2 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[13].

    Géologie

    La carrière de la Roche exploité des amphibolites, une roche foliée et faite d’une hornblende vert sombre et d’un feldspath plagioclase blanchâtre, afin de produire des granulats[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Calanhel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,7 %), zones agricoles hétérogènes (40,6 %), forêts (5,4 %), prairies (3,6 %), mines, décharges et chantiers (3,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,3 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le nom breton de la commune est Kalanel[22]. Localement, ce nom se prononce parfois Kalaner[23].

    Calanhel est un hagionyme[24].

    Histoire

    Moyen-Âge

    Calanhel est issu d'un démembrement de l'ancienne paroisse de l'Armorique primitive de Plusquellec, dont elle est restée une trève jusqu'à la Révolution française.

    Une motte féodale se trouve à la Roche-Droniou ; son existence est attestée en 1088 et témoignée de l'existence d'un château qui appartenait alors à la famille Droniou[25].

    Temps modernes

    Saint Calanhel, qui serait un saint breton dont aucune trace écrite ou iconographique n'existe, est attesté pour la première fois comme étant le saint patron de Calanhel en 1620 dans un document.

    Carte de Cassini de Plusquellec et de sa trève de Calanhel.

    Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Calanhel en 1778 :

    « Calanhel ; trève de Plusquellec ; à 14 lieues au Nord Gest de Quimper, son évêché ; à 28 lieues ½ de Rennes ; et à 1 lieue ¼ de Callac, sa subdélégation : elle relève du Roi et ressortit à Carhaix. On y compte 800 communiants[Note 7]. Son territoire renferme plusieurs maisons nobles, qui sont : la Roche-Droniou, avec haute, moyenne et basse justice, à M. du Yage ; Kergadou, Resperis et Kermelin, hautes, moyennes et basses justices, à M. du Parc-Keryvon[Note 8] et [26]. »

    Le XIXe siècle

    A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Calanhel en 1843 :

    « Calanhel : commune formée de l'ancienne trève de Plusquellec ; aujourd'hui succursale. (...) Superficie totale 1 431 hectares 49 ares 64 centiares, dont (...) terres labourables 916 ha, prés et pâturages 162 ha, bois 13 ha, vergers et jardins 12 ha, landes et incultes 275 ha (...). Moulins 3. Il y a foire le premier jeudi de chaque mois, ou le lendemain si ce jour est férié. Géologie : roches amphiboliques. On parle le breton[27]. »

    Joachim Gaultier du Mottay écrit en 1862 qu'à Calanhel « des foires [ont été] nouvellement établies les 2èmes jeudi de juillet et septembre, à la suite d'importantes transactions qui s'y faisaient sur les bestiaux gras, entre les habitants du pays et les marchands étrangers qui s'y donnaient rendez-vous près d'une chapelle ». Il indiquée aussi que Cahanhel dispose d'une école de garçons ayant 40 élèves et qu'outre l'église, qui a pour saint patron saint Vincent Ferrier, Calanhel possède trois chapelles (Saint-Maur, Saint-Yves et Saint-Grégoire) et que « les deux premières attirent un grand nombre de paralytiques et la dernière de fiévreux »[28].

    L'église paroissiale Saint-Vincent-Ferrier, dédiée à saint Vincent Ferrier, est bénie le , remplaçant l'ancienne église Saint-Calanhel, longtemps dédiée à ce saint inconnu[25].

    La Belle Époque

    • La fontaine Saint-Maur (en Calanhel et non Lohuec) un jour de pardon au début du XXe siècle.
      La fontaine Saint-Maur (en Calanhel et non Lohuec) un jour de pardon au début du XXe siècle.
    • L'école communale des garçons vers 1912.
      L'école communale des garçons vers 1912.
    • Le bourg de Calanhel au début du XXe siècle (carte postale).
      Le bourg de Calanhel au début du XXe siècle (carte postale).
    • Le bourg de Calanhel au début du XXe siècle (carte postale).
      Le bourg de Calanhel au début du XXe siècle (carte postale).

    La Première Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Calanhel.

    Le monument aux morts de Calanhel porte les noms de 50 soldats morts pour la Patrie pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux 5 sont morts en Belgique (Joseph Fournier, François Follézou, Théophile Salaun et Yves Simon dès 1914 et Jean Prigent en 1916) ; tous les autres sont décédés sur le sol français, dont Guillaume Le Bon et Henri Le Gall, tous deux décorés de la Médaille militaire et de la Croix de guerre[29].

    L'Entre-deux-guerres

    • L'église paroissiale de Calanhel vers 1920.
      L'église paroissiale de Calanhel vers 1920.
    • Le bourg de Calanhel vers 1930.
      Le bourg de Calanhel vers 1930.

    La Seconde Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Calanhel porte les noms de 5 personnes mortes pour la France durant la Seconde Guerre mondiale ; parmi elles François Le Cam et Auguste Le Coz sont des soldats tués à l'ennemi au printemps 1940 lors de la Bataille de France ; Thépile Le Flohic, quartier-maître chauffeur, a péri lors du naufrage du paquebot Meknès le au large de Dieppe ; André Penglaou, résistant FFI, a été tué à l'ennemi le à Toull-an-Héol en Plourac'h[29].

    Héraldique

    Blason Blasonnement :
    D'or à la montagne de trois coupeaux de gueules, sommée d'une tour de sable ; chapé de sable, à deux mouchetures d'hermine de gueules brochant sur les traits du chapé.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1952 Guillaume Lucas (2 mandats) (décédé accidentellement)
    1952 1962 Paul Bourdonnec (3 mandats)
    1962 1983 Arthur Lucas (4 mandats) DVG
    1983 2014 Yves Le Quéré (5 mandats) MoDem Retraité
    2014 En cours
    (au 31 mai 2020)
    Cyril Jobic[30]
    Réélu pour le mandat 2020-2026
    Centriste Chef d'entreprise
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    617553730767722840808926935
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    8918969699759731 0351 1271 0551 039
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0261 0171 0011 005982834794759668
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    585522422362318264255252210
    2018 2020 - - - - - - -
    224227-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Au dernier recensement de 1999, Calanhel comptait 264 habitants pour une superficie de 14 km2, soit une densité de 18 hab./km2. La population est en baisse de 17 % depuis le recensement de 1990. La commune compte beaucoup de personnes âgées car même si les plus de 60 ans ne sont que 94, ils représentent 35,6 % de la population (21,3 % au niveau national). À l'opposé, les 50 jeunes de moins de 20 ans représentent 18,9 % (24,6 % au niveau national). Depuis une dizaine d'années, on assiste comme dans l'ensemble du Centre Bretagne à l'arrivée d'une nouvelle population : les Britanniques[33].

    Lieux et monuments

    • Fontaine Saint-Maur : vue d'ensemble.
      Fontaine Saint-Maur : vue d'ensemble.
    • Fontaine Saint-Maur : vue partielle.
      Fontaine Saint-Maur : vue partielle.
    • Fontaine Saint-Maur : vue partielle.
      Fontaine Saint-Maur : vue partielle.
    • Fontaine Saint-Maur : vue partielle.
      Fontaine Saint-Maur : vue partielle.
    • Chapelle Saint-Maur datée de 1778.
    • Chapelle Saint-Maur : vue extérieure d'ensemble.
      Chapelle Saint-Maur : vue extérieure d'ensemble.
    • Chapelle Saint-Maur : façade et clocher.
      Chapelle Saint-Maur : façade et clocher.
    • L'église Saint-Vincent-Ferrier (XVe siècle).
    • Le baptistère (XVIe-XVIIe siècles).

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Personnes en âge de communier.
    8. René du Parc, né le à Trébrivan, décédé en 1779, seigneur de Keryvon en Trémel.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Louargat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Calanhel et Louargat », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Louargat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Calanhel et Trémuson », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Site culturel - Visitez Carrière de la roche Calanhel (22160) », sur sortir-en-bretagne.fr (consulté le ).
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Calanhel, geobreizh.bzh.
    23. « ar stal ver barzh kalaner », sur Brezhoneg Digor.
    24. Hervé Abalain, Noms de lieux bretons, Jean-paul Gisserot (ISBN 2877474828, lire en ligne), p.60.
    25. « Étymologie et histoire de Calanhel », sur infobretagne.com (consulté le ).
    26. Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, vol. 1, Nantes, Vatar Fils Aîné, (lire en ligne), page 137 et 138.
    27. A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, vol. 1, Rennes, Molliex, (lire en ligne), page 131.
    28. Joachim Gaultier du Mottay, Géographie départementale des Côtes-du-Nord, (lire en ligne), pages 490 et 491.
    29. « MémorialGenWeb Relevé », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
    30. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. Source : Insee.

    Liens externes

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