Nancras
Nancras (prononcĂ© [nÉÌ.kÊa]) est une commune du sud-ouest de la France situĂ©e dans le dĂ©partement de la Charente-Maritime (rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine).
Nancras | |||||
Une rue du centre-bourg de Nancras. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Charente-Maritime | ||||
Arrondissement | Saintes | ||||
IntercommunalitĂ© | CommunautĂ© de communes Charente-Arnoult-CĆur de Saintonge | ||||
Maire Mandat |
David Raffé 2020-2026 |
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Code postal | 17600 | ||||
Code commune | 17255 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Nancrassiens | ||||
Population municipale |
796 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 260 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 45° 44âČ 46âł nord, 0° 52âČ 49âł ouest | ||||
Altitude | Min. 22 m Max. 39 m |
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Superficie | 3,06 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Royan (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Saint-Porchaire | ||||
LĂ©gislatives | CinquiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Charente-Maritime
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Ses habitants sont appelés les Nancrassiens et les Nancrassiennes[1].
GĂ©ographie
La commune de Nancras se situe dans le sud-ouest du dĂ©partement de la Charente-Maritime, en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine, dans l'ancienne province de Saintonge. Appartenant au Midi atlantique[2], au cĆur de l'arc atlantique, elle est partie intĂ©grante du Grand Sud-Ouest français, et est parfois Ă©galement incluse dans un Grand Ouest aux contours plus flous.
La commune, s'étendant sur 306 hectares, occupe un plateau de faible altitude qui s'est constitué à la fin de l'Úre secondaire, durant la période du crétacé. D'une altitude comprise entre 22 mÚtres et 39 mÚtres, celui-ci est partiellement recouvert de terrains siliceux, en particulier dans ses parties occidentales et méridionales.
Durant une partie du Moyen Ăge, le territoire communal fut couvert par une vaste forĂȘt, connue sous le nom de forĂȘt de Baconnais. Aujourd'hui, seuls quelques bosquets tĂ©moignent de sa prĂ©sence. L'essentiel du territoire est consacrĂ© Ă l'agriculture, en particulier aux cultures cĂ©rĂ©aliĂšres. BlĂ© et maĂŻs prĂ©dominent, tandis que des portions de terre sont dĂ©volues au pacage des animaux domestiques, en particulier des ovins et des bovins.
Le principal cours d'eau traversant la commune est le Mérard. Plusieurs ruisseaux de taille et de débit variables serpentent dans la partie occidentale de la commune.
Communes limitrophes
Climat
Le climat est de type océanique : la pluviométrie est relativement élevée en automne et en hiver et les hivers sont doux. L'été reste tempéré grùce à la brise marine. Deux vents venant de l'océan, le noroßt et le suroßt, soufflent sur les cÎtes du département. L'ensoleillement de la cÎte charentaise est trÚs important : avec 2 250 heures par an, il est comparable à celui que connaßt une partie de la cÎte méditerranéenne[4].
Données générales
Ville | Ensoleillement (h/an) |
Pluie (mm/an) | Neige (j/an) | Orage (j/an) | Brouillard (j/an) |
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MĂ©diane nationale | 1 852 | 835 | 16 | 25 | 50 |
Nancras[6] | 2250 | 755 | 4 | 13 | 26 |
Paris | 1 662 | 637 | 12 | 17 | 8 |
Nice | 2 724 | 733 | 1 | 27 | 1 |
Strasbourg | 1 693 | 665 | 26 | 28 | 51 |
Brest | 1 530 | 1 210 | 7 | 12 | 76 |
Bordeaux | 2 035 | 944 | 3 | 31 | 69 |
Mois | Jan | Fév | Mar | Avr | Mai | Jui | Jui | Aoû | Sep | Oct | Nov | Déc | Année |
Températures minimales (°C) | 3,4 | 4,0 | 5,4 | 7,4 | 10,7 | 13,7 | 15,8 | 15,7 | 13,7 | 10,5 | 6,3 | 3,9 | 9,2 |
Températures maximales (°C) | 8,5 | 9,9 | 12,1 | 14,7 | 17,9 | 21,3 | 23,8 | 23,5 | 21,8 | 18,0 | 12,6 | 9,2 | 16,1 |
Températures moyennes (°C) | 5,9 | 6,9 | 8,7 | 11,1 | 14,3 | 17,5 | 19,8 | 19,6 | 17,8 | 14,2 | 9,4 | 6,6 | 12,7 |
Ensoleillement (h) | 84 | 111 | 174 | 212 | 239 | 272 | 305 | 277 | 218 | 167 | 107 | 85 | 2 250 |
Pluviométrie (mm) | 82,5 | 66,1 | 57,0 | 52,7 | 61,1 | 42,9 | 35,1 | 46,4 | 56,5 | 81,6 | 91,8 | 81,8 | 755,3 |
TempĂȘte de dĂ©cembre 1999
La Charente-Maritime est le dĂ©partement français qui a Ă©tĂ© le plus durement touchĂ© par la tempĂȘte Martin du . Les records nationaux de vents enregistrĂ©s ont Ă©tĂ© atteints avec 198 km/h sur l'Ăźle d'OlĂ©ron et 194 km/h Ă Royan.
Urbanisme
Typologie
Nancras est une commune rurale[Note 1] - [8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9] - [10].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Royan, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11] - [12].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (84,5 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (91,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (68,9 %), zones urbanisĂ©es (14,7 %), cultures permanentes (8,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (6,8 %), forĂȘts (0,7 %)[13].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Nancras est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[14]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[15].
Risques naturels
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[16].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 79,6 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (54,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 355 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 126 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 35 %, Ă comparer aux 57 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[18].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2010. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[14].
Risques technologiques
Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă sa traversĂ©e par une ou des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible dâavoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions dâurbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[19].
Toponymie
L'origine du nom de la commune semble d'origine celtique : certaines hypothĂšses font de Nancras une dĂ©formation de nava, racine prĂ©-gauloise signifiant plaine. Au Moyen Ăge, le village a portĂ© les noms de Notre-Dame de Naveras puis Notre-Dame de Nancras[20]
Administration
Liste des maires
RĂ©gion
à la suite de la réforme administrative de 2014 ramenant le nombre de régions de France métropolitaine de 22 à 13, la commune appartient depuis le à la région Nouvelle-Aquitaine, dont la capitale est Bordeaux. De 1972 au , elle a appartenu à la région Poitou-Charentes, dont le chef-lieu était Poitiers.
Canton
La commune appartient au canton de Saint-Porchaire depuis . Avant cette date, elle dépendait du canton de Saujon.
Intercommunalité
Jusqu'au , la commune faisait partie de la Communauté de communes des bassins Seudre-et-Arnoult; cette derniÚre a été officiellement dissoute le [21].
Depuis, la commune de Nancas adhĂšre Ă la communautĂ© de communes Charente-Arnoult-CĆur de Saintonge renommĂ©e en communautĂ© de communes CĆur de Saintonge en .
DĂ©mographie
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[23].
En 2020, la commune comptait 796 habitants[Note 3], en augmentation de 0,25 % par rapport Ă 2014 (Charente-Maritime : +2,92 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
Ăglise de la NativitĂ© de la Sainte Vierge
Cet édifice, qui fut édifié entre le XIIIe et le XIVe siÚcle, présente des éléments tout à la fois romans et gothiques, caractéristiques de cette époque de transition. Si l'histoire de ce sanctuaire est relativement méconnue, l'église semble avoir souffert de destructions au cours des siÚcles : on peut notamment apercevoir les restes d'un arc gothique sur le mur sud de l'édifice, vestige d'un croisillon qui n'existe plus aujourd'hui. Celui-ci supportait le clocher primitif, également démoli. Le clocher actuel fut aménagé dans l'ancienne tour d'escalier, rehaussée au XVIIe siÚcle.
Le sanctuaire actuel se compose d'une nef unique, comportant deux travĂ©es, et flanquĂ©e au sud d'une chapelle, formant la base du clocher primitif. Le chĆur, quant Ă lui, forme une unique travĂ©e et se termine par un chevet plat, d'inspiration cistercienne.
L'intérieur renferme une statue polychrome représentant la Vierge, et dont les origines remontent à la fondation du sanctuaire : endommagée pendant la Révolution, elle ne fut restaurée qu'à la fin du XIXe siÚcle, à la demande de l'abbé Auguste André, curé de la paroisse. Elle reprit sa place dans l'église aprÚs une messe solennelle le .
Cette statue en bois est connue pour ĂȘtre la source d'un pĂšlerinage, et passe pour ĂȘtre miraculeuse. Lors de sa restauration par le sculpteur Arnold, Ă©tabli Ă Saintes, celui-ci affirmera qu'en la dĂ©capant, la statue aurait laissĂ© s'Ă©couler un liquide ayant « l'aspect du sang »[26]. La statue de la Vierge aurait Ă©galement permis de circonscrire un incendie ayant Ă©clatĂ© dans la commune le [27].
Le pÚlerinage en l'honneur de Notre-Dame-de-la-Foi, institué en 1899, est depuis lors célébré chaque .
L'église est inscrite à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1925[28].
Lavoir
Ce lavoir en pierre de taille est établi sur une des sept sources que compte la commune. Il se compose d'un simple bassin, aménagé au centre d'une cour pavée. Datant du début du XXe siÚcle, le lavoir fut récemment restauré par la municipalité.
Ăquipements et services
Vie locale
Personnalités liées à la commune
- La rue de Saintonge Ă Nancras.
- Le carrefour de Nancras.
- La place de l'Ăglise Ă Nancras.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Les gentilés de Charente-Maritime
- Louis Papy, Le midi atlantique, atlas et géographie de la France moderne, Flammarion, Paris, 1984
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Données Météo France.
- Données de la station de La Rochelle, sources l'Internaute, INSEE et Lameteo.org
- Données de la station de La Rochelle, sources l'Internaute, INSEE et Lameteo.org
- Relevés météorologiques de La Rochelle, Charente-Maritime (17), de 1961 à 1990 (infoclimat.fr)
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Nancras », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Nancras », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
- Ătymologie du nom de Nancras
- « La carte intercommunale de la Charente-Maritime en 2013 »(Archive.org ⹠Wikiwix ⹠Archive.is ⹠Google ⹠Que faire ?)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- in Le patrimoine des communes de la Charente-Maritime, tome II, page 1053
- Les pĂšlerinages des habitants de Sainte-Gemme, par Anne Audier
- Notice no PA00104821, base Mérimée, ministÚre français de la Culture