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Marcel Henri Alphonse Fontaine

Marcel Henri Alphonse Fontaine, est né à Venaco, en Corse du sud le et mort pour la France, le à la Bataille de Diégo Suarez à Madagascar, est un Officier de la Marine française

Marcel Henri Alphonse Fontaine
Naissance
Venaco (Corse)
Décès
Diégo Suarez (Madagascar)
Mort au combat
Origine Drapeau de la France France
Allégeance Drapeau de la France République française
Drapeau de l'État français État français
Arme Marine
Grade Commandant
Années de service 1918 – 1942
Conflits Seconde Guerre mondiale
Faits d'armes Bataille de Madagascar
Distinctions Commandeur de la LĂ©gion d'honneur

Biographie

Fils de Charles Antoine Fontaine (1864-1943) officier de la Marine nationale française, directeur des mouvements du port de Cherbourg, et directeur des chemins de Fer de Corse, chevalier de la Légion d'honneur, et de Mathilde Julienne Fortier son épouse.

Il fait ses études primaires en Corse, puis secondaires et supérieurs à l'Institut Stanislas de Cannes, et entre à l'École navale, de Brest en 1918. Il embarque sur le croiseur école Jeanne d'Arc, et en 1920 il est affecté sur le croiseur-cuirassé: Montcalm en Extrême-Orient dans le cadre de la mission Joffre en Extrême-Orient entre le (- ) qui est une mission diplomatique ayant pour but de renforcer l'influence française dans les pays émergents asiatiques (Indochine, Cambodge, Siam, Japon, Corée et république de Chine) et de les remercier pour leur participation à la Grande Guerre. Le gouvernement fait appel au maréchal Joffre, héros de la bataille de la Marne, comme ambassadeur de prestige pour cette mission. En 1922, il embarque sur l'aviso Chamois, puis sur le Lapérouse, navire hydrographique en Indochine en 1925, et à nouveau sur la Jeanne d'Arc en 1927. En 1928 il est affecté sur le croiseur Edgar Quinet, puis en 1931 sur l'aviso l' Alerte, stationnaire en Indochine. En 1933, il est à Cherbourg, à bord du torpilleur le Cyclone[Note 1].

De 1935 Ă  1937 il enseigne Ă  l'Ă©cole navale de Brest. En 1938, il embarque sur le contre-torpilleur : Mogador, avec le grade de capitaine de corvette.

Seconde Guerre mondiale

En 1939, la France possède une vraie puissance navale placée sous le commandement de l’amiral Darlan depuis 1937. En 1939, Marcel Fontaine fait la campagne du Maroc à bord du torpilleur le Basque, basé à Casablanca ou il est promu capitaine de frégate en 1940. Il reste à Casablanca jusqu’en , il rejoint ensuite Brest.

Après l’armistice de juin 1940, il est affectĂ© sur le Casque, un torpilleur de 1 800 tonnes qui vient de sortir en juin 1940 de l'arsenal de Toulon, et qui part pour Mers-el-KĂ©bir ou les anglais dĂ©truisent une partie la flotte française le .

La bataille de Mers el-KĂ©bir

Une fois la France occupée, il n'est pas un marin qui ne soit décidé à poursuivre le combat aux côtés des Anglais, mais tout ceci prit une autre tournure après la destruction de l'escadre française au mouillage à Mers-el-Kébir. Ce geste d'une grande lâcheté devant une flotte dans l'impossibilité de se défendre fut une erreur monumentale de Winston Churchill qui lança cette offensive sans même en référer à Charles de Gaulle pas plus qu'au maréchal Pétain et va exacerber la rancune de la Royale envers la Perfide Albion. Il est certain que l'Angleterre ne craignait qu'une chose c'est que cette flotte française ne tombe aux mains des Allemands et pour éviter cela elle était prête aux pires vilénies.

Le commandant Fontaine demande le commandement qui lui est accordĂ© en septembre 1941 du croiseur auxiliaire Bougainville, ex cargo bananier : Victor Schoelcher, de la compagnie gĂ©nĂ©rale transatlantique, Ă  nouveau rĂ©quisitionnĂ© le transformĂ© et reconditionnĂ© en navire de guerre ou il appareille de Toulon dans le plus grand secret le pour Casablanca, sous le faux nom de Tamara peint en lettres noires de 5 mètres de haut. Il est rĂ©armĂ© en croiseur auxiliaire avec un armement composĂ© de 3 pièces de 138,6 ; 2 pièces de 75m/m et 2 pièces de 37. Il est alors baptisĂ© Bougainville, après avoir franchit sans ĂŞtre arraisonnĂ© le dĂ©troit de Gibraltar, occasion pour le commandant Fontaine d'offrir le champagne Ă  son Ă©quipage. Il va dès lors effectuer des missions de ravitaillement vers Madagascar et la CĂ´te Française des Somalis, et ravitaille par deux fois Djibouti Ă  travers le blocus anglais. Il a acceptĂ© comme second Ă  son bord Raymond Émile Maggiar (1905-1995). Parmi son Ă©quipage, le lieutenant de vaisseau Gabriel Bonnet (11918-1993), chef du service artillerie, le mĂ©decin de Ière Classe Gaston Moretti (1915-2003), les ingĂ©nieurs de 1ère et 2ème Classe Gachet et Dutray, les enseignes de vaisseau de 1ère Classe : Charles Eugène ChĂŞne (1917-2008), Joseph Louis Hinden (1917-1999), François Eugène Herriberry (1919-1997); les enseignes de vaisseau de 2ème Classe promotion 1939, un an seulement Ă  l'Ă©cole navale: Jean du Moulin de la Barthete (1919-1997), François Pierre Vilarem (1920-2005), Bernard, Michel Joseph Le Harivel de de Gonneville (1919-1997), et Robert AndrĂ© Durville (1919-2013).

Les Anglais craignant cette fois un débarquement des Japonais en Inde, décident de monter une opération maritime en vue de se saisir d'un port stratégique à la pointe de Madagascar en réitérant le même coup qu'à Mers-el-Kébir.

L'amiral Edward Neville Syfret (1889-1972) commanda Ă  partir de 1941 les forces navales, et lors de l'opĂ©ration Ironclad, visant de l'invasion de Madagascar. Les troupes britanniques dĂ©barquent dans la baie d’Ambararata et dans la baie Courrier, juste Ă  l'ouest du grand port de Diego-Suarez, Ă  la pointe nord de Madagascar. La garnison, sous le commandement du gĂ©nĂ©ral Alfred Guillemet (1884-1955) et du capitaine de vaisseau Paul Maerten (1896-1970), d'environ 4 000 hommes, dont 800 EuropĂ©ens, rĂ©ussit Ă  contenir les assaillants durant toute la journĂ©e. Le , le commandant Fontaine est surpris Ă  bord de son navire au mouillage de DiĂ©go-Suarez par l'attaque anglaise. AttaquĂ© par 5 ou 6 avions Fairey Swordfish, il reçoit deux torpilles et coule pavillon haut, sa DCA continuant Ă  tirer malgrĂ© l'incendie. Le commandant Fontaine et les rescapĂ©s de son Ă©quipage, ainsi que ceux du sous-marin BĂ©vĂ©ziers, commandĂ© par le lieutenant de vaisseau RenĂ© Christian Richard (1912-1993), qui tente d'appareiller avec deux tiers de son Ă©quipage pour sortir de la grande rade, vers 6 heures. Trois Swordfish le grenadent et il commence Ă  dĂ©river. Il subit deux nouvelles attaques qui atteignent sa coque. Ă€ 6 h 10, le sous-marin commence Ă  couler. Le commandant fait surface pour permettre Ă  l'Ă©quipage d'Ă©vacuer le bâtiment qui s'enfonce. C’est alors qu’un des trois Swordfish vire, revient sur le lieu de l’attaque et mitraille les naufragĂ©s, faisant deux disparus et quatre blessĂ©s parmi les marins du BĂ©vĂ©ziers[1]. Le sous-marin disparaĂ®t Ă  la position 12° 16' 30" Sud et 49° 17' 05" Est. Les Ă©quipages survivants rĂ©ussissent Ă  rejoindre la base navale pour poursuivre le combat. Ils sont envoyĂ©s au sud de la ville pour renforcer la ligne de dĂ©fense terrestre entre les forts G de BetaĂŻtra et H d’Anamakia. C’est sur ce front de 2 000 mètres qu’ont lieu les combats les plus meurtriers. La ligne de front est percĂ©e en son centre par les Anglais dans la soirĂ©e du 6 mai et encerclent les derniers points de dĂ©fense tenus par les marins. Le commandant de la compagnie malgache perd son capitaine qui est tuĂ©. Le commandant Fontaine en prend le commandement, mais il sera tuĂ© Ă  son tour dans la soirĂ©e du , vers 22 h 30, près du blockhaus de la route d’Anamakia, qui abritait un canon de 75 mm. Il avait conduit hĂ©roĂŻquement, Ă  la tĂŞte de ses troupes, les combats du cĂ´tĂ© français sur cette partie de la ligne de dĂ©fense, durant deux jours sans interruption. Il est alors citĂ© Ă  l'ordre de l'armĂ©e de mer. Le lendemain le Capitainede rĂ©serve Jean Assollant sera tuĂ© en combat aĂ©rien lui qui fut un des trois premiers français Ă  avoir traversĂ© l'Atlantique nord en avion le . Le commandant Fontaine fut inhumĂ© au cimetière militaire de DiĂ©go Suarez.

DĂ©corations

  • Chevalier de la LĂ©gion d'honneur le
  • Officier de la LĂ©gion d'honneur le
  • Commandeur de la LĂ©gion d'honneur[2]
  • Ordre de l'armĂ©e de mer citation pour ses actions de ravitaillement et d'humanitaires « Officier que la noblesse de ses sentiments et ses qualitĂ©s professionnelles ont toujours fait considĂ©rer comme un sujet hors pair. Modèle des vertus militaires. Commandant le croiseur auxiliaire Bougainville, basĂ© sur Madagascar, s'est vu confier des missions dĂ©licates menĂ©es avec succès grâce Ă  son intelligente minutie dans la prĂ©paration, Ă  son audace dans l'exĂ©cution, et en toutes circonstances, Ă  la conscience intĂ©grale de son devoir. A rĂ©ussi en particulier Ă  deux reprises en forçant le blocus britannique Ă  amener Ă  Djibouti un important ravitaillement contribuant ainsi Ă  prolonger l'hĂ©roĂŻque rĂ©sistance de la colonie. A rĂ©ussi Ă  Ă©vacuer de Djibouti sur son bâtiment, dans des conditions dĂ©licates 600 femmes enfants et malades... »
  • Ordre de l'armĂ©e de mer citation par ordre n°532 FMF/3 du 23 mai 1942 : « Le capitaine de vaisseau Fontaine commandant le croiseur auxiliaire Bougainville, au cours de l'attaque britannique sur DiĂ©go Suarez, son bâtiment ayant Ă©tĂ© coulĂ© par les premières bombes anglaises, a combattu dĂ©sespĂ©rĂ©ment Ă  terre avec les dĂ©fenseurs de la place. S'est exposĂ© avec une magnifique bravoure pour venger la perte de son bâtiment, forçant par sa conduite l'admiration de tous. Est mort en hĂ©ros »
  • Ordre de l'armĂ©e de mer le croiseur auxiliaire Bougainville a reçu la citation suivante : citation par ordre n°634 FMF/3 du 21 juin 1942 : « Le croiseur auxiliaire Bougainville, atteint par deux torpilles au mouillage de DiĂ©go Suarez dès le dĂ©but de l'attaque du 5 mai 1942, a coulĂ© pavillon haut, tirant sur les avions ennemis jusqu'Ă  sa disparition complète. Tout l'Ă©quipage valide a ensuite participĂ© avec le plus bel Ă©lan, suivant le magnifique exemple du capitaine de frĂ©gate Fontaine, son commandant, glorieusement tombĂ© le 6 mai »
  • Croix de guerre 1939-1945 (France) avec palmes

Avancement

Affectations et commandements

  • 1918-1919 : École navale Brest (Laninon) sous l'autoritĂ© du commandant de l'Ă©cole : Lucien Pierre François Latourette (1868-1937).
  • 1919-1920 : Croiseur cuirassĂ© Jeanne d'Arc, École d'application des enseignes de vaisseau, sous le commandement du capitaine de vaisseau Eugène Charles Jolivet (1868-1926)
  • 1920-1922 : Croiseur cuirassĂ© Montcalm, sous le commandement de Georges Emmanuel Joseph Duc (1870-1925), porte pavillon du contre amiral FĂ©lix Thomine (1866-1941) commandant la Division navale d'ExtrĂŞme-Orient.
  • 1922-1924 : Aviso Chamois, Ă©cole de pilotage de Brest-Saint-Servan sous le commandement du commandant Marcel Traub (1878-1954), en mĂŞme temps que le futur amiral Darlan.
  • 1925-1925 : Aviso Ancre qui depuis mars 1924 est affectĂ© Ă  l’école de pilotage de Saint Servan en remplacement du Chamois, et sous le commandement du capitaine de frĂ©gate Jean Louis Xavier François Darlan[3].
  • 1925-1925 : Service hydrographique de la Marine Ă  Paris
  • 1925-1925 : Canonnière anti sous-marines: Ardent, Ă  Cherbourg
  • 1925-1927 : Astrolabe, bâtiment hydrographe en Indochine officier en second sous le commandement du lieutenant de vaisseau Morazzini [Note 2]
  • 1927-1928 : Croiseur cuirassĂ© Jeanne d'Arc, Ă©cole d'application des enseignes de vaisseau
  • 1928-1929 : Croiseur cuirassĂ© Edgar Quinet, dĂ©part de Brest, au large de Vigo, , Maroc (Casablanca, Fez et Rabat), Saint-Vincent du Cap Vert, en direction de Trinidad, , le canal de Panama, Los Angeles, Hollywood, , San Francisco, San Diego, La Havane, Les Saintes, La Martinique, Balata, La TrinitĂ©, Dakar, Alger[4]. École d'application du chiffre et secrĂ©taire du commandant Darlan
  • 1929-1930 : Officier d'ordonnance du Ministre de la Marine Georges Leygues et secrĂ©taire du chef du cabinet Militaire.
  • 1930-1931 : État-major de la Marine (AlgĂ©rie) sous le vice-amiral Louis-Hippolyte Violette (1869-1950), participe Ă  la TraitĂ© naval de Londres avec le contre-amiral Darlan pour la France.
  • 1931-1933 : Lieutenant de vaisseau de la canonnière Alerte Ă  SaĂŻgon, en Indochine
  • 1933-1935 : Torpilleur Cyclone, 1ère Escadre Ă  Toulon[5]sous le commandement du capitaine de frĂ©gate Jean-Louis NĂ©gadelle (1893-1944).
  • 1935-1937 : École navale Ă  Brest (Saint-Pierre Quilbignon,) comme professeur de navigation, nommĂ© capitaine de corvette, sous le commandement du capitaine de vaisseau Ven (1934-1937).
  • 1937-1939 : Contre-torpilleur Mogador, Ă  Lorient, sous le commandement de Paul Maerten
  • 1939-1939 : Capitaine de corvette, commandant du bâtiment ocĂ©anographique PrĂ©sident ThĂ©odore Tissier, Brest
  • 1939-1940 : Capitaine de corvette, commandant du torpilleur Casque, Ă  Toulon
  • 1940-1940 : Capitaine de corvette affectĂ© au Groupe des torpilleurs en gardiennage
  • 1941-1941 : Capitaine de frĂ©gate du croiseur auxiliaire Victor Schoelcher, DiĂ©go Suarez (Madagascar)
  • 1941-1942 : Capitaine de frĂ©gate du croiseur auxiliaire Bougainville, ex Victor Schoelcher, DiĂ©go Suarez (Madagascar)

Famille

Trois enfants qui ont respectivement, 6, 3 et 2 ans à la mort de leur père. La famille avait une habitation à Saint-Servan.

Hommages

  • « ...basĂ© sur Madagascar, s'est vu confier des missions dĂ©licates menĂ©es avec succès grâce Ă  son intelligente minutie dans la prĂ©paration, Ă  son audace dans l'exĂ©cution et, en toutes circonstances, Ă  la conscience intĂ©grale de son devoir. A rĂ©ussi en particulier Ă  deux reprises en forçant le blocus britannique Ă  amener Ă  Djibouti un important ravitaillement, contribuant ainsi Ă  prolonger l'hĂ©roĂŻque rĂ©sistance de la colonie. A rĂ©ussi Ă©galement Ă  Ă©vacuer de Djibouti sur son bâtiment, dans des conditions dĂ©licates, 600 femmes, enfants et malades. »[6]
  • Un plaque commĂ©morant son souvenir a Ă©tĂ© posĂ©e sur le mur du collège de l'Institut Stanislas de Cannes Ă  la fin de la guerre.

Écrits

  • "Le guide cĂ´tier de l'Indochine", qui lui a valu les remerciements du ministre de la Marine: Georges Leygues par dĂ©cision ministĂ©rielle du

Voir aussi

Bibliographie

  • Raymond Maggiar (contre-amiral), Les Fusiliers Marins de Leclerc: une route difficile vers de Gaulle par leur commandant, 1984, Éditions France Empire.
  • Jean du Moulin de la Barthete, Des Marins dans la Tourmente 1990, Nouvelles Éditions Palatines
  • Raymond de Belot, (contre-amiral), La Marine française pendant la campagne 1939-1940 , Revue n° 124 Avril 1955 - p. 501-502, Éditions Plon, 1954 , 318 p.
  • B. Costagliola, La Marine de Vichy. Blocus et collaboration, juin 1940-novembre 1942, Tallandier, novembre 2009.
  • « RĂ©cit de l'opĂ©ration Ironclad dans le livre La flotte convoitĂ©e d'Anthony Heckstall-Smith (1964) », sur Livres de Guerre
  • Eric Jennings, Vichy Ă  Madagascar: conjoncture, mutations, et RĂ©volution nationale dans la Grande ĂŽle, histoire-sociale.univ-paris1.fr.
  • Hilaire Legentil, RĂ©pertoire numĂ©rique sommaire de la sous-sĂ©rie 1M: Matricules des officiers et autres agents de la Marine (an VII-1959), Service historique de la Marine Ă  Cherbourg, Cherbourg; 2001, p. 102, dossiers: 1M 19 28, 94.

Iconographie

  • Portrait du commandant Marcel Fontaine, pastel, signĂ© et datĂ© 1936, par Anne-Marie Feuchères (1892-1956), collection Laurent Fontaine[7]

Références

  1. Picard 2006, p. 44
  2. Par décision ministérielle n°1777 du 13 juin 1942 (JO du 14 juin 1942)
  3. Par décret du 4 mars 1924 (J.O. 3 mars 1924, p. 2.269), le capitaine de frégate Darlan, fut nommé au commandement de l’aviso Ancre, ainsi qu’à celui de l’École de pilotage
  4. Collectif, Edgar-Quinet Croiseur-Cuirassé Album de Campagne 1928-1929 (École D'Application Des Enseignes De Vaisseau), Edité par sans date, vers 1929, Brest, volume in-4 à l'italienne, non paginé, 70 pages de photographies n/b, sépia, illustrations, sous serpentes, reliure pleine percaline noire de l'éditeur
  5. Cyclone (torpilleur)
  6. MĂ©morial national des marins
  7. Portait de Marcel Fontaine

Notes

  1. Historique du torpilleur le Cyclone
  2. Le patrouilleur Mauviette, construit en 1918 aux Forges et chantiers de la MĂ©diterranĂ©e Ă  la Seyne n° de chantier 1110, 460 tonnes, 43,5 x 7,3 x 4,20 m, une machine compound de 500 cv, vitesse : 10 nĹ“uds, I x 120, I x 75, 1 mitrailleuse. 32 hommes. Le , il devient Astrolabe, bâtiment hydrographique, affectĂ© Ă  la mission hydrographique du Maroc et en 1922, affectĂ© Ă  la mission hydrographique d'Indochine. Il est coulĂ© le Ă  Tourane (Indochine) par des avions embarquĂ©s de l'US Navy
  3. Dont la sœur est l'artiste peintre Anne-Marie Feuchères. On trouve le nom également orthographié sans s final dans la famille

Articles connexes

Liens externes

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