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Lycée Hoche

Le lycée Hoche est un établissement public français d'enseignement secondaire et supérieur, situé au 73, avenue de Saint-Cloud dans le quartier Notre-Dame à Versailles, dans les Yvelines. Lycée napoléonien créé en 1803, il a été nommé lycée Hoche en 1888 en hommage à Lazare Hoche, général français né à Versailles. La chapelle est classée monument historique depuis 1926, le reste des bâtiments conventuels est inscrit monument historique depuis 1969[1]. Le proviseur actuel est Guy Seguin.

Lycée Hoche
Description de cette image, également commentée ci-après
La cour principale du lycée ; au centre, sa chapelle dessinée par Richard Mique, anciennement église du couvent de la Reine.
Histoire et statut
Fondation 1807
Type École publique
Protection Logo monument historique ClassĂ© MH (1926)
Logo monument historique Inscrit MH (1969)
Administration
Composante ĂŽle-de-France
Académie Versailles
Proviseur Guy Seguin
Proviseure adjointe Anne-Laure Gueury
Budget 3 000 000 €
Études
Niveaux délivrés Bac, post-Bac
Formation Bac ES, S et SSI CPGE
CoordonnĂ©es 48° 48′ 25″ nord, 2° 08′ 14″ est
GĂ©olocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Lycée Hoche
GĂ©olocalisation sur la carte : Yvelines
(Voir situation sur carte : Yvelines)
Lycée Hoche

Il est réputé pour ses excellents résultats au baccalauréat et aux concours d'entrée aux grandes écoles, plus particulièrement scientifiques (Écoles normales supérieures, Polytechnique, Mines de Paris, CentraleSupélec, École des Ponts) et commerciales (HEC Paris).

Histoire du lycée Hoche

Librairie papeterie Maréchal et façade du lycée Hoche sur l'avenue de Saint-Cloud (carte postale du début du XXe siècle).
L'entrée du lycée Hoche (carte postale du début du XXe siècle).
Le petit collège, photographié par Jules David, ca. 1880-1900.
Le parloir, photographié par Jules David, ca. 1880-1900.

Le lycée s'est vu attribuer, après la nationalisation des biens du clergé au cours de la Révolution française, les bâtiments du couvent de la Reine à Versailles.

Construit entre 1767 et 1772 sous la direction de l’architecte Richard Mique, ce couvent de chanoinesses de Saint-Augustin avait déjà une mission d’enseignement, puisque les religieuses y prenaient en charge l’éducation des jeunes filles issues des familles des serviteurs de la cour.

La rentrée des premières pensionnaires s’effectue le 1er janvier 1773. Le couvent héberge en permanence 80 pensionnaires, 383 pensionnaires passeront par l’institution de 1772 à 1789. La qualité de l’enseignement en fait pour l’époque un succès considérable. Les religieuses devront cependant constamment résister pour conserver la volonté de la fondatrice et accueilleront peu de jeunes filles de la grande noblesse.

Le succès de l’établissement prend fin après vingt années, avec le départ de Versailles de la famille royale en octobre 1789.

  • Un inventaire des biens est ordonnĂ© en 1790, après la mise Ă  disposition de la Nation des biens du clergĂ©.
  • La congrĂ©gation abandonne dĂ©finitivement le couvent en 1792.
  • En 1793, la chapelle est occupĂ©e par la 2e section de la section versaillaise de la SociĂ©tĂ© des Droits de l’Homme.
  • En 1794, elle devient hĂ´pital militaire.
  • De 1795 Ă  1800, l’établissement reste inoccupĂ© et sert d’entrepĂ´t Ă  grains et Ă  fourrages.
  • En 1800, elle redevient un hĂ´pital militaire succursale des Invalides.
  • En 1801, après la fermeture de l’École centrale du dĂ©partement, la ville de Versailles souhaite la crĂ©ation d’un lycĂ©e pour offrir des facilitĂ©s scolaires aux riches familles Ă©trangères habitantes.
  • Le consulat crĂ©e 30 lycĂ©es en France le 22 novembre 1802.
  • Par dĂ©cret consulaire du 1er vendĂ©miaire an XII (24 septembre 1803), l’ancien couvent devient un lycĂ©e.
  • Le 23 octobre 1804, le prĂ©fet de Versailles obtient l’ouverture du lycĂ©e.
  • Son premier proviseur, DieudonnĂ© ThiĂ©bault, est chargĂ© de remettre en Ă©tat les bâtiments dĂ©vastĂ©s. Trois annĂ©es sont nĂ©cessaires pour mener Ă  bien cette tâche.
  • Par dĂ©cret impĂ©rial de Posen (aujourd’hui PoznaĹ„, en Pologne) du 7 mai 1806, le lycĂ©e devient lycĂ©e impĂ©rial. Le 15 dĂ©cembre 1806 sont nommĂ©s les treize premiers professeurs et les 150 premiers Ă©lèves.
  • Le 2 mai 1807, a lieu l’inauguration officielle de l’établissement, avec l’ouverture aux premiers lycĂ©ens.
  • En 1809, par le dĂ©cret impĂ©rial de Schönbrunn (Vienne), le lycĂ©e de Versailles devient l’un des huit lycĂ©es de première classe de l’Empire. Cette reconnaissance tĂ©moigne des premiers succès scolaires des Ă©lèves, deux d’entre eux Ă©tant entrĂ©s cette annĂ©e-lĂ  Ă  Polytechnique.
  • En 1819, le lycĂ©e de Versailles, assimilĂ© aux lycĂ©es parisiens, peut participer au concours gĂ©nĂ©ral.

Le lycĂ©e compte plus de 500 Ă©lèves sous le provisorat de M. ThĂ©ry[2], et est intĂ©grĂ© aux Collèges Royaux de Paris qui dĂ©veloppent des classes prĂ©paratoires aux grandes Ă©coles en 1819.

En 1848-1849, Ernest Renan vient suppléer en philosophie le professeur Ernest Bersot[3].

En 1888, le lycée est appelé lycée Hoche, en mémoire du général révolutionnaire Lazare Hoche, né à Versailles.

Entre 1914 et 1919, le petit lycée Hoche est un hôpital militaire géré par la Croix-Rouge[4].

En 2003, plusieurs hommes politiques et entrepreneurs du bâtiment furent condamnĂ©s par la cour d'appel de Versailles pour avoir truquĂ© des marchĂ©s publics portant sur le lycĂ©e Hoche. Cette condamnation fut confirmĂ©e en 2004 par la Cour de cassation[5]. En 2011, l'intendante du lycĂ©e fut condamnĂ©e pour harcèlement moral sur quatre des employĂ©es du lycĂ©e, ainsi qu'Ă  11 000 € d'amende[6].

Surnom populaire

Le lycée était traditionnellement surnommé « Baz Hoche » par ses élèves de classes préparatoires[7]. Ce nom figurait notamment sur le khâlot fièrement arboré par les élèves. Cette tradition tend à disparaître.

Le lycée au XXe siècle

Années 1970

En 1974, dans un objectif novateur d'initiation Ă  l'informatique des Ă©lèves et enseignants intĂ©ressĂ©s, le lycĂ©e Hoche de Versailles a fait partie de l'opĂ©ration ministĂ©rielle dite « ExpĂ©rience des 58 lycĂ©es »[8] : utilisation de logiciels et enseignement du langage de programmation LSE[9], en club informatique de lycĂ©e[10], pour 58 Ă©tablissements de l’enseignement secondaire[11], en France. Ă€ cet effet, dans une première phase, quelques professeurs du lycĂ©e, enseignants de diverses disciplines, furent prĂ©alablement formĂ©s de manière lourde Ă  la programmation informatique. L'Ă©tablissement fut alors dotĂ©, dans une seconde phase, d'un ensemble informatique en temps partagĂ© comportant initialement : un mini-ordinateur français TĂ©lĂ©mĂ©canique T1600[12] avec disque dur, un lecteur de disquettes 8 pouces, plusieurs terminaux Ă©crans claviers Sintra TTE, un tĂ©lĂ©imprimeur Teletype ASR-33 (en) et le langage LSE implĂ©mentĂ©[13] ; tous ces moyens ayant permis la mise en Ĺ“uvre de cette dĂ©marche expĂ©rimentale sur le terrain, avec du matĂ©riel informatique ultra-moderne pour l'Ă©poque.

Le lycée aujourd'hui

Le lycée accueille des élèves du collège aux classes préparatoires. Il offre à ses élèves du lycée une filière générale avec toutes les spécialités, à l'exception de : Littérature, Langues et Cultures de l'Antiquité et Langues, Littératures et Cultures étrangères. Il propose aussi à ses étudiants de classes préparatoires deux filières : Scientifique (spécialisation MP, PSI, PC ou BCPST) ou Économique et Commerciale (spécialisation ECE ou ECS).

Aujourd'hui le lycée Hoche de Versailles assure des cours pour les collégiens du secteur, les lycéens admis sur dossier et les prépas. Les locaux du lycée, entièrement rénovés, représentent la richesse culturelle de Versailles avec les bâtiments conventuels et la chapelle restitués dans la disposition voulue initialement par Richard Mique. Cette dernière conserve la peinture La Crucifixion (1626) d'Aubin Vouet.

Classement du lycée

En 2022, le lycée se classe 45e sur 193 au niveau académique et 412e sur 2315 au niveau national selon L'Étudiant[14]. Ces classements ont, d'après l'émetteur, été établis sur cinq critères : le taux de réussite au bac, la capacité à faire progresser les élèves, la capacité à conserver les élèves, le taux de mention et la capacité à faire briller les élèves.

En 2018, le lycée se classe 3e sur 53 au niveau départemental en termes de qualité d'enseignement, et 20e sur 2277 au niveau national selon L'Express[15]. Ces classements sont établis sur trois critères : le taux de réussite au bac, la proportion d'élèves de première qui obtiennent le baccalauréat en ayant fait les deux dernières années de leur scolarité dans l'établissement, et la valeur ajoutée (calculée à partir de l'origine sociale des élèves, de leur âge et de leurs résultats au diplôme national du brevet)[16].

Un autre classement datant de 2015 le place 1er sur 1501 au niveau national[17], ex-æquo avec le lycĂ©e Henri-IV et le lycĂ©e Louis-le-Grand. Ce classement est Ă©tabli sur quatre critères : le taux de rĂ©ussite au bac, la capacitĂ© Ă  faire progresser les Ă©lèves, le taux d'accès de la première Ă  la terminale, et la stabilitĂ© du lycĂ©e dans les classements des deux annĂ©es prĂ©cĂ©dentes. Tout lycĂ©e prĂ©sentant moins de 60 % d’élèves en sĂ©rie gĂ©nĂ©rale ou 50 Ă©lèves a Ă©tĂ© exclu de ce classement (soit 800 lycĂ©es au niveau national).

Bâtiments

Il existe quatre bâtiments distincts :

  • Le bâtiment S (bâtiment des sciences) oĂą se trouvent les salles de cours et de TP de sciences de la vie et de la Terre, de sciences physiques et de chimie pour les classes du collège, du lycĂ©e et des CPGE. Dans ce bâtiment, il y a aussi au sous-sol une salle de gymnastique, d'acrosport, de tennis de table et de danse ainsi qu'un grand gymnase multi-sport (volley, basket, badminton…).
  • Le bâtiment C (ancien couvent de la Reine) loge les salles de français, de langues vivantes et de mathĂ©matiques du collège et du lycĂ©e. Au sein de ce batiment, se trouve aussi le CDI du collège et les permanences du collège et du lycĂ©e. Il y a les bureaux des vies scolaires du collège et lycĂ©e, le bureau de la CPE collège et de la CPE 1re S et terminale, ainsi que le secrĂ©tariat du Proviseur. Enfin, il y a l'intendance. Au sous-sol, se trouvent une salle informatique, une salle de musculation ainsi que deux serveurs informatiques protĂ©gĂ©s.
  • Le bâtiment D qui loge les cours d'histoire, de gĂ©ographie, d'Ă©ducation morale et civique, de sciences Ă©conomiques et sociales, l'internat et les salles de classe des CPGE. Dans le bâtiment D, on trouve aussi le rĂ©fectoire du lycĂ©e Hoche, le CDI du lycĂ©e et des CPGE, l'infirmerie, le bureau des CPE de seconde, 1re ES et classes prĂ©paratoires ainsi que des salles d'examens.
  • Le bâtiment B (bâtiment des arts) qui renferme les salles d'arts plastiques, de musique et du club informatique du lycĂ©e.

Collège Hoche

Le collège Hoche accueille cinq classes de sixième, de quatrième et de troisième, ainsi que six classes en cinquième. Ouvert aux secteurs avoisinants, il n’y a plus de sĂ©lection pour y entrer. Le taux de rĂ©ussite au diplĂ´me national du brevet (DNB) y Ă©tait de 91,5 % en 2009 avec 11 Ă©lèves refusĂ©s sur 130.

Lycée Hoche

Le lycée Hoche recrute ses élèves sur dossier dès l'entrée en seconde. Il propose une filière générale avec toutes les spécialités à l'exception : Littérature, Langues et Cultures de l'Antiquité et Langues, Littératures et Cultures étrangères. Pour arriver à ce niveau, il faut faire partie du meilleur quart d'élèves d'une classe de troisième à Hoche, et des trois meilleurs d'une classe d'un autre collège (à Versailles autant qu'à Marseille).

Classes préparatoires aux grandes écoles

Le lycée Hoche accueille des classes préparatoires scientifiques (MP, PC, PSI et BCPST), et économiques et commerciales (ECE et ECS). Un internat est disponible pour une partie des élèves.

Classements des CPGE

Le classement national des classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) se fait en fonction du taux d'admission des élèves dans les grandes écoles. En 2018, L'Étudiant donnait le classement suivant pour les concours de 2017 :

Filière Élèves admis dans
une grande Ă©cole*
Taux
d'admission*
Taux moyen
sur 5 ans
Classement
national
Évolution
sur un an
ECE [18] 11 / 44 élèves 25 % 19 % 12e
sur 105
en augmentation 10
ECS [19] 24 / 47 élèves 51 % 54 % 8e
sur 91
en diminution 1
MP / MP* [20] 44 / 78 élèves 56 % 54 % 4e
sur 113
en diminution 1
PC / PC* [21] 36 / 73 élèves 49 % 48 % 5e
sur 106
=
PSI / PSI* [22] 36 / 42 élèves 86 % 89 % 2e
sur 118
en diminution 1
BCPST [23] 59 / 93 élèves 63 % 64 % 9e
sur 54
en diminution 4
Source : Classement 2018 des prépas - L'Étudiant (Concours de 2017).
* le taux d'admission dépend des grandes écoles retenues par l'étude. En filières ECE et ECS,
ce sont HEC, ESSEC, et l'ESCP. Pour les khâgnes, ce sont l'ENSAE, l'ENC, les 4 ENS, et 5 écoles
de commerce (HEC, ESSEC, ESCP, EM Lyon et EDHEC). En filières scientifiques, ce sont un panier
de 11 à 17 écoles d'ingénieurs qui ont été retenus selon la filière (MP, PC, PSI, PT ou BCPST).

Associations et activités

Foyer socio-Ă©ducatif (FSE)

Le foyer socio-éducatif est une association administrée par des élèves, des parents d'élèves et l'administration du lycée. Il donne lieu à de nombreuses activités scientifiques, culturelles et artistiques. Il favorise l'apprentissage de la vie civique et de la prise de responsabilité.

Il est possible de noter par exemple la présence du club info qui a donné lieu à un projet de jeu « Virtual Hoche » qui reprend le concept de jeux comme Myst ou Versailles à l'intérieur du lycée Hoche.

Le foyer socio-éducatif du lycée Hoche donne lieu régulièrement à des réalisations remarquées, dont certaines sont primées au niveau national (voir infra le site du foyer socio-éducatif). En 2020, il est remplacé par la MDL (Maison des lycéens).

Club informatique du lycée Hoche (CIH)

Créé dans les années 1990, le club informatique de ce lycée est géré par un président et un vice-président, nommé tous les ans par les anciens détenteurs du rôle. Cette association est financée par le biais de la Maison des lycées. On peut y trouver du matériel informatique et des ordinateurs, accessibles en libre accès, pour faire des tâches de construction ou de programmation[24].

Interact Hoche

CrĂ©Ă©e en 2014 avec l'aide du Rotary et du Rotaract de Versailles, Interact Hoche est une association du LycĂ©e Hoche. Elle est ouverte Ă  tous les Ă©lèves de la Seconde Ă  la Terminale. Cette association humanitaire organise des actions qui ont pour but d'aider les personnes qui ont besoin d'aide que ce soit pour des raisons mĂ©dicales, de logement, migratoires… L'association et ses 40 membres permanents organise donc tout au long de l'annĂ©e scolaire des actions. Interact Hoche fait surtout deux types d'actions :

  • Le premier type d'action consiste Ă  rĂ©colter des fonds qui sont reversĂ©s Ă  de plus grandes associations comme la Croix-Rouge, SOS MĂ©diterranĂ©e, L'ordre de Malte, L'Ă©toile de Martin qui pourront directement aider des personnes du monde entier… Ces actions sont souvent des ventes de gâteaux, de croissants…
  • Le deuxième genre d'action est plus direct, des membres de l’association se rendent sur le terrain pour aider les personnes. Par exemple, chaque semaine, des membres d'Interact Hoche se rendent Ă  l'HĂ´pital GĂ©rontologique et MĂ©dico-Social de Plaisir dans le but de distraire les personnes âgĂ©es, en jouant de la musique, en Ă©tant Ă  leur cĂ´tĂ©.

Association sportive, Hoche Athletic Club

Comme la plupart des établissements secondaires, le lycée possède une association sportive pour les collégiens et lycéens, dans divers sports. Cette association sportive hérite du Hoche Athletic Club, créé dans les années 1950-1960, qui s'est rapidement hissé à un bon niveau académique dans plusieurs disciplines athlétiques.

Personnalités liées au lycée

L'Association amicale des anciens élèves du collège et du lycée de Versailles a été fondée au milieu du XIXe siècle et reconnue d'utilité publique par décret impérial du 1er février 1868. Tout ancien élève du lycée Hoche peut faire partie de cette association. En plus de sa mission d'entretien de relations amicales et solidaires, de sa contribution à la prospérité du lycée, l'amicale entretient le souvenir de ses anciens les plus illustres.

Élèves

Liste des proviseurs

  • 1733-1807 : DieudonnĂ© ThiĂ©bault
  • 1756-1826 : Pierre-Antoine Robert de Saint-Vincent (auparavant proviseur du lycĂ©e de Caen de 1810 Ă  1812)
  • 1864-1865 : Fleury
  • 1902-1905 : Suerus
  • 1905-1919 : Gustave Friteau
  • 1937-1938 : Chattelun
  • 1974-1979 : M. Pouessel
  • 2008-2016 : LoĂŻc Toussaint de QuiĂ©vrecourt
  • 2016-2017 : Isabelle Bourhis
  • 2017 : StĂ©phane François
  • Depuis 2017 : Guy Seguin

Notes et références

  1. Notice no PA00087671, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  2. Marie-Louise Mercier-Jouve, Le lycée Hoche de Versailles , deux cents ans d'histoire, Paris, Patrice du Puy, , 344 p., p. 78
  3. Marie-Louise Mercier-Jouve, Le lycée Hoche, deux cents ans d'histoire, Paris, Partrice du Puy éditeur, , 344 p. (ISBN 9782908004526), p. 99
  4. Marie-Louise Mercier-Jouve, Un exemple de lycée-hôpital de guerre, le lycée Hoche de Versailles (1914-1919), suivi de Les Poilus du lycée Hoche, Versailles, auto-édition, , 222 p. (ISBN 979-10-699-4173-1)
  5. Cour de Cassation, 15 décembre 2004, 03-83474, Juricaf.org
  6. http://www.leparisien.fr/yvelines-78/l-intendante-du-lycee-hoche-condamnee-15-11-2011-1720583.php
  7. « À modifier - slogan », sur lyc-hoche.net (consulté le ).
  8. Jacques BaudĂ©, « L’expĂ©rience des « 58 lycĂ©es » », « 1024 » : bulletin de la SociĂ©tĂ© informatique de France, SociĂ©tĂ© informatique de France, no 4,‎ , p. 105-115 (DOI 10.48556/SIF.1024.4.105, lire en ligne [PDF], consultĂ© le )
  9. Jacques Baudé, « Le système LSE », « 1024 » : bulletin de la Société informatique de France, Société informatique de France, no 7,‎ , p. 41-56 (DOI 10.48556/SIF.1024.7.41, lire en ligne [PDF], consulté le )
  10. Daniel Caous, « TĂ©moignage d'un ancien Ă©lève sur l'ambiance d'un club informatique « 58 lycĂ©es » des annĂ©es 1975 », EPInet : la revue Ă©lectronique de l'EPI Association, Association Enseignement public & informatique (EPI), no 231,‎ (ISSN 2429-3067, lire en ligne, consultĂ© le )
  11. EPI Association, « Liste des 58 lycées », sur epi.asso.fr, Enseignement public et informatique, (consulté le )
  12. Association pour un conservatoire de l'informatique et de la télématique, « Collection ACONIT, les mini-ordinateurs français Télémécanique T1600 et CII Mitra 15 », sur db.aconit.org (consulté le )
  13. Daniel Caous et Jacques Baudé, « Les mini-ordinateurs « Éducation nationale » de la décennie 1970 », « 1024 » : bulletin de la Société informatique de France, Société informatique de France, no 19,‎ , p. 41-48 (DOI 10.48556/SIF.1024.19.41, lire en ligne [PDF], consulté le )
  14. L'Etudiant, « Classement des lycées français en 2022 » Accès libre (consulté le ).
  15. Classement Départemental et National des lycées français
  16. Méthodologie du classement national des lycées français
  17. Palmarès national des lycées Figaro 2015
  18. Classement 2018 des prépas ECE
  19. Classement 2018 des prépas ECS
  20. Classement 2018 des prépas MP
  21. Classement 2018 des prépas PC
  22. Classement 2018 des prépas PSI
  23. Classement 2018 des prépas BCPST
  24. « Site du Club Informatique du Lycée » Accès libre, (consulté le ).
  25. Biographie de M. Said Aidi, 30 janvier 2011, Tunisie Focus.
  26. Fonds Charles Andler, Collège de France. Consulté le 1er février 2017.
  27. Un livre sur le lycée Hoche, 13 septembre 2010, Le Parisien.
  28. Philippe-Georges Capelle, In Memoriam : Jean-Paul Béchat, 28 novembre 2014, site officiel des Anciens du lycée Hoche.
  29. Lycée Hoche, Le Parisien. Consulté le 26 janvier 2017.
  30. Toute la communauté de Hoche pleure la disparition de Cabu, un ancien du Lycée que nous n’oublierons pas, 8 janvier 2015, site officiel des Anciens de Hoche.
  31. Jacques Chevalier, Entretiens avec Bergson, 1959.
  32. Le lycée Hoche célèbre son bicentenaire, 17 mars 2010, Le Parisien.
  33. Luc Le Vaillant , Corine Blue, 42 ans, « coach » d'acteurs. Fut l'amante de Cyril Collard, mort du sida, et l'accoucheuse des « Nuits fauves ». La fauvette, Libération, 11 mai 1999.
  34. Notice « Comolli, Jean-Dominique, Daniel » (nĂ© en 1948), page 584 in Who’s Who in France : Dictionnaire biographique de personnalitĂ©s françaises vivant en France et Ă  l’étranger, et de personnalitĂ©s Ă©trangères rĂ©sidant en France, 44e Ă©dition pour 2013 Ă©ditĂ©e en 2012, 2371 p., 31 cm (ISBN 978-2-85784-053-4).
  35. Tanguy de Lamotte : “Je ne suis pas un skipper mais un architecte et un aventurier”, L'Étudiant, 21 mai 2007.
  36. Le Maire : François de Mazières, site officiel de la ville de Versailles. Consulté le 1er février 2017.
  37. Conférence de Michel de Rosen, directeur général d’Eutelsat, 31 mai 2012, site officiel des Anciens de Hoche.
  38. Christophe Ferré, Polars Pourpres. Consulté le 01/02/2017.
  39. La chapelle du lycée Hoche à Versailles, Église catholique des Yvelines. Consulté le 1er février 2017.
  40. [PDF] Jean-Yves Lallemand, Hommage à Marc Julia, 9 octobre 2012, Académie des Sciences.
  41. G. Lacombe, ancien élève de Hoche, site du Lycée Hoche - Académie de Versailles. Consulté le 1er février 2017.
  42. Sébastien Lapaque, Ariane Bavelier, Claire Bommelaer et Thierry Hilleriteau, Versailles, l'invitée surprise, 9 décembre 2009, Le Figaro.
  43. Jacques Leprette, Who’s Who in France.
  44. SĂ©bastien Lapaque, Mort du peintre Georges Mathieu, 12 juin 2012, Le Figaro.
  45. Avant-propos , André Mazon Revue des études slaves, 1961
  46. Phoenix - Biographie, site d'Universal. Consulté le 1er février 2017.
  47. Expliquez-nous… le général Piquemal, France Info. Consulté le 1er février 2017.
  48. Une exposition consacrée au cinéaste, 26 juin 2009, Le Parisien
  49. « Jean-Luc Pouliquen », lepetitvehicule.com, consulté le 28 avril 2021.
  50. Antoine Silber, Le Silence de ma mère, 2011, Éditions Denoël.
  51. Jean-Cyril Spinetta, chahuteur mais pas meneur, 7 janvier 2009, Journal du Net.
  52. Marie-Laure Delaporte, Maïthé Vallès-Bled et Itzhak Goldberg, Valtat, indépendant et précurseur, 2011, Beaux Arts Éditions.
  53. Martine Betti-Cusso, Wendelin Werner : la formule savante en toute simplicité, 10 août 2007, Le Figaro.
  54. (es) Galeria de Acaldes de Managua, Manfut. Consulté le 1er février 2017.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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