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Philippe Meyer (journaliste)

Philippe Meyer, né le à Germersheim (Allemagne), est un journaliste (chroniqueur), humoriste, écrivain, homme de radio et de télévision français. Animateur des émissions hebdomadaires La prochaine fois je vous le chanterai sur France Inter et L'Esprit public sur France Culture jusqu'à l'été 2017[1], il produit et présente par la suite Le Nouvel Esprit Public[2], une émission en baladodiffusion en partenariat avec l'hebdomadaire Le 1 et le studio de podcasts Nouvelles Écoutes[3].

Philippe Meyer
Image illustrative de l’article Philippe Meyer (journaliste)
Philippe Meyer en octobre 2015.

Naissance
Germersheim (Allemagne)
Nationalité Drapeau de la France Français
Profession Journaliste
MĂ©dias actuels
Pays France
MĂ©dia Radio
Historique
Radio France Inter (1982-2016)
France Culture (1984-2017)
Podcast radio Nouvelles Écoutes depuis 2017

Biographie

Études et voyages

Philippe Meyer suit des études de droit et de sociologie à Nanterre à partir de 1965. Pendant ses études, il travaille comme éducateur dans un club de prévention de la délinquance juvénile à Paris. À Nanterre, il préside en le comité de grève, dans lequel il parvient à rassembler des étudiants syndiqués (conduits par Yves Stourdzé et Jean-François Godchau) et non syndiqués. En mai 68, il milite aux côtés de Paul Ricœur, figure emblématique de la réforme de l'Université, avec un groupe composé de militants d'obédience chrétienne et de membres d'un comité d'action qui devient le mouvement « Nous sommes en marche » (1968-1972) et publie un bulletin radical d'inspiration libertaire[4]. Après « les événements », il s’intéresse de plus en plus à la sociologie.

À l'automne 1968, grâce à une bourse de l'Office franco-québécois pour la jeunesse, il effectue un séjour de plusieurs mois au Québec pour y étudier les réponses qu’on y apporte aux questions posées par la délinquance, notamment juvénile[5]. Il se passionne pour les transformations que vit ce pays, sa chanson, son cinéma, sa littérature, sa poésie. Il se lie avec les fondateurs du Parti québécois comme René Lévesque, des cinéastes comme Denys Arcand, des syndicalistes comme Michel Chartrand ou des chanteurs comme Gilles Vigneault. Pendant 15 ans, il revient à Montréal une ou plusieurs fois par an.

Comme le rapporte Louis Joinet, juriste et haut magistrat, conseiller de plusieurs ministères, dans l'émission de Jean Lebrun La Marche de l'Histoire du , Philippe Meyer part s'installer quelque temps au Chili pour soutenir la gauche chilienne sous la dictature d'Augusto Pinochet. Il se fait embaucher pour mener une étude sur la pêche[6]. Il dénonce également l'utilisation de la psychiatrie par la police dans les États communistes[5].

En 1977, sous la direction d'Annie Kriegel et de Philippe Ariès, il soutient sa thèse de doctorat, « L'Enfant et la raison d'État », une histoire et une sociologie des politiques publiques face à l'enfance irrégulière (délinquants, malades mentaux, etc.). Il est par ailleurs chercheur au Centre de santé mentale du professeur Philippe Paumelle. En 1980, en désaccord avec la réforme menée par Alice Saunier-Seïté qui aboutit à la suppression du statut des chercheurs « hors-statut » (indépendants), il décline une invitation à entrer au CNRS et devient journaliste[5].

Carrière de journaliste

Pendant plusieurs années, il anime le Journal à plusieurs voix de la revue Esprit et collabore successivement à L'Express (1980-1986), au Point, à L'Événement du jeudi (1991-1994) et de nouveau au Point (1994-2002).

À la radio il travaille à partir de pour des stations de service public. Il anime de nombreuses émissions sur France Culture, France Inter et France Musique, parfois simultanément, sur des thèmes très variés (musique classique et chansons, histoire des idées, déchiffrage de l'information, des médias et de l'actualité). On peut citer :

  • TĂ©lescopages (France Inter), de 1982 Ă  1989 ;
  • Allegro serioso (France Culture), diffusĂ© le samedi Ă  18 h 50 dans les annĂ©es 1984-1995 ;
  • Libre examen (France Culture), diffusĂ© le samedi Ă  18 h 50 dans les annĂ©es 1995-1998 ;
  • une chronique quotidienne (France Inter), diffusĂ©e Ă  7 h 45 entre 1989 et 2000 ; ces billets humoristiques commencent invariablement par la formule « Heureux habitants de (suivi du nom d'un dĂ©partement diffĂ©rent chaque jour) et des autres dĂ©partements français… » et se termine par « Nous vivons une Ă©poque moderne »[7] ou « Le progrès fait rage », dont il tire plusieurs livres ; il rĂ©alise aussi le portrait de l'invitĂ© politique jusqu'en octobre 1999 ;
  • de 1998 Ă  2017 : L'Esprit public (France Culture), diffusĂ©e le dimanche matin entre 11 heures et midi ; puis en podcast, Ă  partir de septembre 2017, sous le titre : Le Nouvel Esprit public ;
  • La prochaine fois je vous le chanterai[8] (France Inter), diffusĂ©e le dimanche, puis le samedi de midi Ă  13 heures, Ă©mission musicale hebdomadaire dans laquelle le journaliste partage avec les auditeurs sa passion pour la chanson française, de septembre 2000 Ă  juin 2016[9]
  • de septembre 2010 Ă  juillet 2014[10]: une chronique quotidienne dans Les Matins de France Culture (France Culture), La Chronique du toutologue ; chaque chronique dĂ©bute presque invariablement par « Auditeur sachant auditer, ça n'est pas pour me vanter, mais… »[11].

Il reçoit en 1994 le prix Richelieu.

À la télévision, de 1986 à 1988, il anime sur M6 une émission consacrée à la musique classique (Revenez quand vous voulez), puis sur Arte Anicroches. Pendant quelques mois (2000-2001), il se fait portraitiste de l'invité de l'émission L'Heure de vérité, développant son sens de la formule et son talent de pamphlétaire. Il collabore aussi à des documentaires pour la télévision, notamment le fameux De Nuremberg à Nuremberg, de Frédéric Rossif, dont il rédige et enregistre le texte[5].

De 1984 à 2007 il est maître de conférences à Sciences Po. Il y enseigne d'abord la sociologie des médias puis, à partir de 1997, y anime un séminaire consacré à Paris, son histoire et ses problématiques urbaines contemporaines. En 2016-2017 il dirige un séminaire à l'École nationale supérieure des mines de Paris.

Acteur au cinéma (Ça commence aujourd'hui, de Bertrand Tavernier, L'Affaire Picpus, de Jacques Fansten) et à la télévision (série télévisée Maigret, épisodes Un échec de Maigret et Signé Picpus), Philippe Meyer interprète également ses propres textes sur scène : Causerie, un monologue sur l'humour, joué au théâtre Mouffetard en 1997, puis au théâtre de la Ville en 1999 ; Paris la Grande (2001), spectacle de textes et de chansons consacrés à Paris, écrit à la demande du Théâtre de la Ville[12] ; L'Endroit du cœur (avec vue sur l'envers), une pièce de théâtre sur le thème de l'absence, mise en scène par Jean-Claude Penchenat. Pour la Comédie-Française (Studio Théâtre) il écrit et dirige en octobre 2010 Chansons des jours avec et chansons des jours sans, puis Chansons défendues et au Théâtre éphémère Nos meilleurs souvenirs.

Il présente sa candidature à l'Académie française pour l'élection au fauteuil 40 le 8 décembre 2011 et obtient 10 voix au premier tour, se trouvant en tête, puis passe à trois voix puis cinq aux deux tours suivants, tandis que l'élection est finalement blanche[13]. Il renouvelle sa candidature au fauteuil 33, le 18 avril 2013, et réunit huit voix contre quinze à Dominique Bona, qui est élue au premier tour[14]. Il est candidat une troisième fois, en 2014, au fauteuil de François Jacob[5], mais n'obtient que deux voix au troisième tour, Marc Lambron étant élu.

Le Philippe Meyer annonce en direct son limogeage par Radio France lors de son émission L'Esprit public sur France Culture[15]. Meyer présente sur Twitter son licenciement comme étant lié à des motifs politiques (parce qu'il avait notamment critiqué publiquement Mathieu Gallet, alors président de Radio France ; selon la direction de France Culture en revanche, il s'agit d'un départ lié à son âge (il est alors âgé de 70 ans) et à sa nécessaire mise à la retraite ainsi qu'à un différend quant à son statut lié au droit du travail ; Meyer, qui est alors, comme la plupart des producteurs de la chaîne, un intermittent du spectacle, est à l'origine d'une plainte contre Radio France, réclamant d'être titularisé[16] - [17] - [18]. L'émission L'Esprit public est maintenue, et est animée après son départ par la journaliste Émilie Aubry. De son côté, Philippe Meyer créé une nouvelle émission en podcast : Le Nouvel Esprit public.

Le Nouvel Esprit public

Le Philippe Meyer annonce donc en préambule à l'Esprit Public du jour que l'émission ne sera pas reconduite à la rentrée de et lit la lettre qu'il a reçue de la direction de Radio France[19]. Deux pétitions[20] - [21] sont lancées pour demander au président de Radio France, Mathieu Gallet, et à la directrice de France Culture, Sandrine Treiner, de revenir sur leur décision et de maintenir L'Esprit public sur l'antenne de France Culture.

Le France Culture diffuse finalement, sous le même titre et sur la même tranche horaire, une nouvelle formule de l'émission, sous la forme d'un tour de table dirigé par la journaliste Émilie Aubry. Au même moment Philippe Meyer annonce vouloir maintenir son émission via une diffusion par podcast et un financement participatif et enregistre en public « Le Nouvel Esprit public » au théâtre de l’École alsacienne, conviant quatre invités (Jean-Louis Bourlanges, Nicole Gnesotto, Marc-Olivier Padis et Michaela Wiegel (de)). Philippe Meyer avait initialement voulu garder le nom de L'esprit public pour son nouveau podcast, mais le groupe Radio France s'y était opposé, puisqu'il était propriétaire du titre. La tentative d'interdire à Philippe Meyer l'utilisation du nom « le Nouvel Esprit public » échoua en justice[22] - [23].

Les intervenants au début en sont :

Engagements

À 17 ans il est séduit par Michel Rocard et son discours sur la « modernisation », et participe à ses campagnes législatives de 1967, 1968 et 1969 et à sa campagne pour l'élection présidentielle de 1969. Il devient son ami, et c'est Michel Rocard qui lui remettra en novembre 2012 les insignes de commandeur de la Légion d'honneur. Plus tard il milite avec Michel Foucault au Groupe d'information des prisons, participant à son séminaire au Collège de France[5].

L'« affaire Duhamel »

Le deux des employeurs du journaliste Alain Duhamel (France Télévisions et RTL) décident de suspendre la présence de celui-ci à l'antenne jusqu'à la fin de la campagne présidentielle française pour avoir exprimé, lors d'une réunion organisée à l'Institut d'études politiques de Paris, devant les « Jeunes UDF », sa préférence pour François Bayrou. Philippe Meyer réagit et s'inquiète de ce que « n'importe quel journaliste amené, comme tout le monde, à exprimer ses choix […] peut se retrouver dans la même situation ». À l'antenne de France Culture, le , il appelle donc les journalistes chargés des affaires publiques à déclarer « sans haine et sans crainte pour quel candidat ils penchent ». Il ajoute « c'est en vertu de cette analyse que je déclare que, si je devais me rendre aux urnes ce dimanche, je voterais pour François Bayrou »[24]. Dans cette logique il accepte, sans devenir membre du MoDem, de prendre la tête de la liste présentée dans le 5e arrondissement de Paris par le mouvement de François Bayrou lors des élections municipales de 2008[25].

Les élections municipales de 2008 avec François Bayrou

Le le MoDem annonce que Philippe Meyer sera tête de liste, pour les élections municipales de 2008, dans le 5e arrondissement de Paris[25]. Il obtient 14,3 % des voix au premier tour. Le Parti socialiste ayant refusé l'alliance, il maintient sa candidature au second tour, où il réunit 10,9 % des suffrages, face à Jean Tiberi (45 %) et Lyne Cohen-Solal (44,1 %)[26]. Cette dernière lui reproche d'avoir, par son maintien, contribué à la réélection de Jean Tibéri pour un cinquième mandat de maire du 5e — alors que l'arrondissement aurait pu, à cette occasion et selon elle, changer de bord politique[27]. Lyne Cohen-Solal n'avait toutefois pas accepté l'offre de Philippe Meyer d'un accord programmatique en vue du second tour.

Campagne présidentielle de 2017

Philippe Meyer aurait proposé son aide à l'équipe du candidat Macron pour organiser une rencontre avec des acteurs du secteur culturel[28] - [29].

Associations

  • Il prĂ©side l'association pour la renaissance du Vieux Palais, qui a pour vocation de faire vivre ce monument emblĂ©matique d'Espalion (Aveyron), et organise Ă  ce titre chaque annĂ©e entre octobre et mai une saison musicale dont les concerts ont lieu dans plusieurs villes du dĂ©partement et Ă  Aurillac (Cantal). Les concerts sont prĂ©cĂ©dĂ©s et suivis d'actions pĂ©dagogiques en partenariat avec l'Ă©ducation nationale et le conservatoire dĂ©partemental[30].
  • Il prĂ©side Ă  partir de 2011 les « Rencontres des cĂ©pages modestes[31] » qui ont lieu chaque annĂ©e en novembre Ă  Saint-CĂ´me-d'Olt dans l'Aveyron, manifestation rassemblant vignerons, cavistes, Ĺ“nologues, sommeliers, amateurs et curieux[32].
  • De 2006 Ă  2010, il prĂ©side la commission de terminologie et de nĂ©ologie au ministère de la Culture[5].
  • De 2014 Ă  2018, il est prĂ©sident du festival international du théâtre de rue d'Aurillac, fondĂ© en 1986 par Michel Crespin, succĂ©dant Ă  l'ancienne ministre de la Culture Catherine Tasca[5]. Il dĂ©missionne en dĂ©cembre 2018 Ă  la suite d'un dĂ©saccord avec les organisateurs[33].

Acteur

Il joue dans deux films de Bertrand Tavernier, Ça commence aujourd'hui et Laissez-passer, dans le 44e épisode Signé Picpus de la série Maigret de Jacques Fansten, ainsi que dans plusieurs pièces de théâtre[34].

Entre novembre et juin 2019 il interprète à Paris, au théâtre de l'Athénée, puis au théâtre du Lucernaire, "Ma Radio : Histoire amoureuse", une apologie de la radio, mise en scène par Benoit Carré avec l'accordéoniste Jean-Claude Laudat. Ce spectacle est repris en juillet 2019 au théâtre du Chêne noir à Avignon.

Ouvrages

Essais
  • L'Enfant et la Raison d'État, Paris, Le Seuil, 1977
  • Justice en miettes avec Hubert Lafont, Paris, PUF, 1980
  • Le Nouvel Ordre gendarmique avec Hubert Lafont, Paris, Le Seuil, 1980
  • Pointes sèches, Paris, Le Seuil, 1993, coll. Points, 152 p. (ISBN 2-02022-508-5)
  • Eaux-fortes, Paris, Flammarion, 1995 ; Ă©d. poche, Paris, Hachette, coll. Le Livre de poche
  • DĂ©molition avant travaux, Paris, Robert Laffont, 2002 ; Ă©d. poche, Paris, Pocket, 2004
  • Brusque Chagrin, Paris, Fallois, 2005 ; Ă©d. poche, Paris, Hachette, coll. Le Livre de Poche, 2007
  • Sanguines : Croquis politiques, Paris, Robert Laffont, 2011 (ISBN 9782221123263)[35]
Humour
  • Le communisme est-il soluble dans l'alcool ? en collaboration avec son frère Antoine Meyer, 1978, Paris, Le Seuil, coll. Essais (ISBN 2-02004-914-7)
Recueils de chroniques
  • Heureux habitants de l'Aveyron et des autres dĂ©partements français, Paris, Le Seuil, 1990
  • Ça n'est pas pour me vanter, Paris, Le Seuil, 1991
  • Nous vivons une Ă©poque moderne, Paris, Le Seuil, 1992
  • Dans le huis-clos des salles de bains, Paris, Le Seuil, 1993
  • Chroniques matutinales, Paris, Le Seuil, 1994
  • Portraits acides et autres pensĂ©es Ă©difiantes, Paris, Le Cherche midi, 1999
  • Du futur faisons table rase (chroniques), Paris, Gallimard, 2000
  • Le ciel vous tienne en joie. Chroniques du toutologue, Paris, Fallois, 2013
Sur la France et sur Paris
  • Dans mon pays lui-mĂŞme, Paris, Flammarion, coll. Documents, 1993, 220 p. (ISBN 2-08066-825-0)
  • Paris la Grande, Paris, Flammarion, 1997; Ă©d. poche, Paris, Gallimard, coll. Folio, 2000
  • Un Parisien Ă  travers Paris, Paris, Robert Laffont, 2009
  • Les Gens de mon pays, Paris, Robert Laffont, 2014 (ISBN 978-2221137062))
Divers
  • QuĂ©bec, Paris, Le Seuil, coll. Petite Planète, 1980

DĂ©corations

Notes et références

  1. « Sur la suppression de l'émission », sur www.franceculture.fr,
  2. « Site web du Nouvel Esprit Public », sur www.lenouvelespritpublic.fr,
  3. « Site web de Nouvelles Écoutes », sur www.nouvellesecoutes.fr,
  4. http://archivesautonomies.org/spip.php?article2215
  5. Guillaume Perrault, « Philippe Meyer, esprit public », Le Figaro, encart « Culture », mercredi 18 juin 2014, page 40.
  6. « Le témoin du vendredi : Louis Joinet et la justice internationale » Accès libre, sur franceinter.fr, (consulté le ).
  7. Cette formule finale est retenue comme titre du livre réunissant ces chroniques quotidiennes
  8. Le titre de l'émission fait référence à une pièce de théâtre homonyme de l'auteur britannique James Saunders, mise en scène par Claude Régy au théâtre Antoine en 1966.
  9. « Sur France Inter, une génération laisse la place à une autre », sur lemonde.fr, (consulté le )
  10. « La Chronique de Philippe Meyer / 13-14 : podcast et réécoute sur France Culture », sur franceculture.fr (consulté le ).
  11. avec parfois d'infimes variantes, « ça n'est pas pour la (ou les) vanter », lorsqu'il évoque une femme ou un groupe de personnes ou « Le Ciel vous tienne en joie et ne vous tombe pas sur la tête », le 5 janvier 2012, après une chronique évoquant les Gaulois.
  12. disque Harmonia Mundi, Chant du Monde 2001
  13. Élection blanche au fauteuil de M. Pierre-Jean Rémy (F40) sur le site de l'Académie française.
  14. Élection de Mme Dominique BONA (F33) sur le site de l'Académie française.
  15. « Radio France vire Philippe Meyer de France Culture », sur www.ozap.com, (consulté le ).
  16. « France Culture : Philippe Meyer contraint à arrêter “L'Esprit public” », sur Télérama (consulté le )
  17. 6 Medias, « Radio France congédie Philippe Meyer », sur Le Point, (consulté le )
  18. Laurent Mauduit, « Radio France: Mathieu Gallet évince Philippe Meyer », sur Mediapart (consulté le )
  19. « Sur la suppression de l'émission. », sur franceculture.fr, (consulté le ).
  20. Pour la reconduction de "L'Esprit public" sur France Culture.
  21. Conservons #EspritPublic sur France Culture.
  22. « Philippe Meyer lance son propre “Esprit public”, ultimatum de France Culture », sur ladepeche.fr, .
  23. « Philippe Meyer peut diffuser son nouvel “Esprit public” », sur lepoint.fr, .
  24. Patrick Roger, « Philippe Meyer presse les journalistes d'afficher leur choix », dans Le Monde, 27 février 2007.
  25. « Le MoDem annonce ses têtes de listes dans les 20 arrondissements parisiens », dans Le Monde, 10 janvier 2008.
  26. Résultats officiels - Municipales 2008, sur le site du Ministère de l'Intérieur.
  27. S.R., « Cinq défaites pour Lyne Cohen-Solal », sur www.leparisien.fr, S.N.C. Le Parisien Libéré, (consulté le )
  28. « Les bonnes ondes de Macron sur France culture - La Lettre A », La Lettre A,‎ (lire en ligne, consulté le )
  29. (en) « WikiLeaks - Macron Campaign Emails », sur wikileaks.org (consulté le )
  30. http://www.vieux-palais.org/association.php4
  31. Voir le Site officiel de la manifestation
  32. Olivier Bertrand, « Vignes de front », Libération,‎ (lire en ligne).
  33. Marie-Edwige Hebrard, « Philippe Meyer, président du Festival international de théâtre de rue d'Aurillac, a démissionné », sur www.lamontagne.fr, (consulté le )
  34. Noël Blandin. Philippe Meyer. La république des lettres, 2 juin 2010.
  35. François Bazin, « Philippe Meyer assassine les politiques », sur http://bibliobs.nouvelobs.com, (consulté le )
  36. « Espalion. Légion d'honneur : Michel Rocard épingle Philippe Meyer », La Dépêche du Midi,
  37. Décret du 2 mai 2017 portant élévation aux dignités de grand'croix et de grand officier
  38. « Philippe Meyer », La République des Lettres (consulté le )

Annexes

Bibliographie

  • Martine Delahaye, « La prochaine fois je vous le chanterai », dans Le Monde tĂ©lĂ©vision, 26 mars 2005
  • Armelle Cressard, « Un dilettante Ă©clairĂ© », dans Le Monde, 17 janvier 1999

Liens externes

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