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Lamelouze

Lamelouze est une commune française située dans le nord du département du Gard en région Occitanie.

Lamelouze
Lamelouze
Blason de Lamelouze
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Gard
Arrondissement AlĂšs
Intercommunalité AlÚs Agglomération
Maire
Mandat
Laure Barafort
2020-2026
Code postal 30110
Code commune 30137
DĂ©mographie
Gentilé Lamelouzien
Population
municipale
138 hab. (2020 en augmentation de 8,66 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 16 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 11â€Č 41″ nord, 3° 57â€Č 52″ est
Altitude Min. 231 m
Max. 900 m
Superficie 8,83 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction AlĂšs
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de La Grand-Combe
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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Lamelouze
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Lamelouze
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Lamelouze
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Lamelouze

    ExposĂ©e Ă  un climat mĂ©diterranĂ©en, elle est drainĂ©e par le Galeizon et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les CĂ©vennes, la commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « vallĂ©e du Galeizon ») et deux zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Lamelouze est une commune rurale qui compte 138 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu un pic de population de 384 habitants en 1841. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'AlĂšs. Ses habitants sont appelĂ©s les Lamelouziens ou Lamelouziennes.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune est située dans le nord-ouest du département du Gard. Elle est limitrophe de la LozÚre.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[2].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 4,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 13 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 489 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 8,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 4,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Jean-du-Gard », sur la commune de Saint-Jean-du-Gard, mise en service en 1989[7] et qui se trouve Ă  12 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 379,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « NĂźmes-Courbessac », sur la commune de NĂźmes, mise en service en 1922 et Ă  51 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 14,8 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă  15,1 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  15,6 °C pour 1991-2020[13].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[14] - [15]. Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhĂ©sion du Parc national des CĂ©vennes[Note 4]. Ce parc national, crĂ©Ă© en 1967, est un territoire de moyenne montagne formĂ© de cinq entitĂ©s gĂ©ographiques : le massif de l'Aigoual, le causse MĂ©jean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont LozĂšre, les vallĂ©es cĂ©venoles ainsi que le piĂ©mont cĂ©venol[16].

    La commune fait partie de la zone de transition des CĂ©vennes, un territoire d'une superficie de 116 032 ha reconnu rĂ©serve de biosphĂšre par l'UNESCO en 1985 pour la mosaĂŻque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversitĂ© exceptionnelle, avec 2 400 espĂšces animales, 2 300 espĂšces de plantes Ă  fleurs et de fougĂšres, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[17] - [18].

    RĂ©seau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive habitats : la « vallĂ©e du Galeizon »[20], d'une superficie de 8 637 ha, une vallĂ©e trĂšs enclavĂ©e est restĂ©e sauvage. On y remarque une pinĂšde de Pin de Salzmann, des landes sĂšches Ă  Ciste de Pouzolz (Cistus pouzolzii) et des ravins humides qui abritent de nombreuses fougĂšres[21].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 6] est recensĂ©e sur la commune[22] : la « vallĂ©e du Galeizon Ă  Lamelouze » (83 ha), couvrant 2 communes dont 1 dans le Gard et 1 dans la LozĂšre[23] et une ZNIEFF de type 2[Note 7] - [22] : les « Hautes vallĂ©es des Gardons » (73 898 ha), couvrant 48 communes dont 27 dans le Gard et 21 dans la LozĂšre[24].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Lamelouze.
    • Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Lamelouze est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [25] - [I 1] - [26].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'AlĂšs, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (93,9 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (94 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (85,8 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (8,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (6 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Logement

    Le nombre de logements sur la commune a été estimé à 99 en 2007. Ces logements se composent de 41 résidences principales, 51 résidences secondaires ou occasionnelles ainsi que 7 logements vacants.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Lamelouze est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque particulier : le risque de radon[28]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[29].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Galeizon. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 2002 et 2008[30] - [28].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lamelouze.

    La commune est vulnĂ©rable au risque de mouvements de terrains constituĂ© principalement du retrait-gonflement des sols argileux[31]. Cet alĂ©a est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 0 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 116 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 0 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 0 %, Ă  comparer aux 90 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[32] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[33].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Lamelouze est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[34].

    Toponymie

    Provençal La Melouso, La Mialouso (languedocien), du roman et bas latin Melosa[35]. Racine provençale melous, du latin mellosus : mielleux, visqueux[35].

    Lamelouze s'Ă©crivait La Melouze en 1728[36] et La Melouse au moins jusqu'Ă  la fin du XIXe siĂšcle[36] - [35].

    Les habitants de Lamelouze se nomment les Lamelouziens et les Lamelouziennes.

    Histoire

    Moyen Âge

    Le village est mentionnĂ© sous le nom de Melosa Ă  partir de 1092 et durant tout le Moyen Âge[36].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    2001 2014 Patrick Astier DVG
    2014 En cours Laure Barafort PG Retraitée de l'enseignement
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[38].

    En 2020, la commune comptait 138 habitants[Note 10], en augmentation de 8,66 % par rapport Ă  2014 (Gard : +2,1 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    268252277381371358384358364
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    360360336322325342330333277
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    256280255224227210189130121
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    10510581727986818399
    2015 2020 - - - - - - -
    139138-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee Ă  partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 4]15 %9,2 %5,3 %
    DĂ©partement[I 5]10,6 %12 %12 %
    France entiĂšre[I 6]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  75 personnes, parmi lesquelles on compte 68,4 % d'actifs (63,2 % ayant un emploi et 5,3 % de chĂŽmeurs) et 31,6 % d'inactifs[Note 11] - [I 4]. En 2018, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement, alors qu'en 2008 la situation Ă©tait inverse.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'AlĂšs, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 3] - [I 7]. Elle compte 14 emplois en 2018, contre 32 en 2013 et 9 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 49, soit un indicateur de concentration d'emploi de 28,6 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 43,4 %[I 8].

    Sur ces 49 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 13 travaillent dans la commune, soit 27 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 79,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2 % les transports en commun, 8,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

    Activités hors agriculture

    7 Ă©tablissements[Note 12] sont implantĂ©s Ă  Lamelouze au [I 11]. Le secteur du commerce de gros et de dĂ©tail, des transports, de l'hĂ©bergement et de la restauration est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 57,1 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (4 sur les 7 entreprises implantĂ©es Ă  Lamelouze), contre 30 % au niveau dĂ©partemental[I 12].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations7377
    SAU[Note 13] (ha)1688175128

    La commune est dans les Cévennes, une petite région agricole occupant l'ouest du département du Gard[41]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes[Carte 4]. Sept exploitations agricoles ayant leur siÚge dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 15] (sept en 1988). La superficie agricole utilisée est de 128 ha[43] - [Carte 5] - [Carte 6].

    Culture locale et patrimoine

    Édifices religieux

    HĂ©raldique

    Blason de Lamelouze Blason
    D’azur, Ă  un violon accompagnĂ© de quatre abeilles mises en croix, le tout d’or.
    DĂ©tails
    L’azur et l’or indiquent la prĂ©sence de cours d’eau, la deuxiĂšme couleur par les alluvions qu’ils dĂ©posent le long de leurs berges. Il s’agit ici du Fau (Le hĂȘtre), du Galeizon et du Pont.

    Le violon est l’un des symboles de sainte CĂ©cile la sainte patronne du village. Elle est la patronne des musiciens. Les abeilles traduisent le nom de Lamelouze qui dĂ©signe un lieu oĂč la production de miel est facilitĂ© par une abondante vĂ©gĂ©tation.

    Les ornements reprĂ©sentent du chĂątaignier, honorant ainsi les forĂȘts communales.

    Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.

    La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien Ă  voir avec des fortifications.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[19].
    6. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    12. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    13. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[42].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    4. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Lamelouze » (consulté le ).
    5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    8. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Lamelouze » (consulté le ).
    9. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    10. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    11. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Lamelouze » (consulté le ).
    12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
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