La Gripperie-Saint-Symphorien
La Gripperie-Saint-Symphorien est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).
La Gripperie-Saint-Symphorien | |||||
Centre de la commune (La Gripperie). | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Charente-Maritime | ||||
Arrondissement | Rochefort | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Rochefort Océan | ||||
Maire Mandat |
Denis Rouyer 2020-2026 |
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Code postal | 17620 | ||||
Code commune | 17184 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Griphoriens | ||||
Population municipale |
585 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 32 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 45° 47′ 59″ nord, 0° 56′ 56″ ouest | ||||
Altitude | Min. 2 m Max. 39 m |
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Superficie | 18,16 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Rochefort (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Marennes | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Charente-Maritime
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Ses habitants sont appelés les Griphoriens et les Griphoriennes[1].
GĂ©ographie
Localisation et accès
La commune de La Gripperie-Saint-Symphorien se situe dans le sud-ouest du département de la Charente-Maritime, dans l'ancienne province de la Saintonge. Le territoire communal, dont la superficie est de 1816 hectares, est partagé entre les marais de Broue (également appelés marais de Brouage), lesquels ont succédé vers le début du XVIIe siècle à un golfe marin progressivement comblé par les dépôts d'alluvions, et les collines de La Gripperie. Le village de Saint-Symphorien est situé à proximité de l'ancien littoral, dont le tracé est encore lisible dans le paysage. Il est situé sur un plateau calcaire de faible altitude, où cultures maraîchères et forêts dominent. En surplomb, les collines de La Gripperie sont principalement occupées par des exploitations agricoles tournées vers la culture des céréales, du maïs et du colza.
La commune se situe à mi-distance des villes de Rochefort et de Royan (soit environ 20 kilomètres), à 30 kilomètres à l'ouest de Saintes et environ 25 kilomètres de la ville de Marennes.
À proximité de Saint-Sornin, Nieulle-sur-Seudre
Communes limitrophes
Climat
Le climat est de type océanique aquitain : la pluviométrie est relativement élevée en automne et en hiver et les hivers sont doux. L'été reste tempéré grâce à la brise marine. Deux vents venant de l'océan, le noroît et le suroît, soufflent sur les côtes du département. L'ensoleillement de la côte charentaise est très important : avec 2 250 heures par an, il est comparable à celui que connaît une partie de la côte méditerranéenne[2].
Données générales
Ville | Ensoleillement (h/an) |
Pluie (mm/an) | Neige (j/an) | Orage (j/an) | Brouillard (j/an) |
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MĂ©diane nationale | 1 852 | 835 | 16 | 25 | 50 |
La Gripperie-Saint-Symphorien[4] | 2250 | 755 | 4 | 13 | 26 |
Paris | 1 662 | 637 | 12 | 17 | 8 |
Nice | 2 724 | 733 | 1 | 27 | 1 |
Strasbourg | 1 693 | 665 | 26 | 28 | 51 |
Brest | 1 530 | 1 210 | 7 | 12 | 76 |
Bordeaux | 2 035 | 944 | 3 | 31 | 69 |
Mois | Jan | Fév | Mar | Avr | Mai | Jui | Jui | Aoû | Sep | Oct | Nov | Déc | Année |
Températures minimales (°C) | 3,4 | 4,0 | 5,4 | 7,4 | 10,7 | 13,7 | 15,8 | 15,7 | 13,7 | 10,5 | 6,3 | 3,9 | 9,2 |
Températures maximales (°C) | 8,5 | 9,9 | 12,1 | 14,7 | 17,9 | 21,3 | 23,8 | 23,5 | 21,8 | 18,0 | 12,6 | 9,2 | 16,1 |
Températures moyennes (°C) | 5,9 | 6,9 | 8,7 | 11,1 | 14,3 | 17,5 | 19,8 | 19,6 | 17,8 | 14,2 | 9,4 | 6,6 | 12,7 |
Ensoleillement (h) | 84 | 111 | 174 | 212 | 239 | 272 | 305 | 277 | 218 | 167 | 107 | 85 | 2250 |
Pluviométrie (mm) | 82,5 | 66,1 | 57,0 | 52,7 | 61,1 | 42,9 | 35,1 | 46,4 | 56,5 | 81,6 | 91,8 | 81,8 | 755,3 |
Ouragan de décembre 1999
La Charente-Maritime est le département français qui a été le plus durement touché par la tempête Martin du . Les records nationaux de vents enregistrés ont été atteints avec 198 km/h sur l'île d'Oléron et 194 km/h à Royan.
Urbanisme
Typologie
La Gripperie-Saint-Symphorien est une commune rurale[Note 1] - [6]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[7] - [8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rochefort, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9] - [10].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (35,6 %), forêts (24,7 %), terres arables (18 %), zones agricoles hétérogènes (13,4 %), mines, décharges et chantiers (3,2 %), zones urbanisées (2,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,7 %), eaux continentales[Note 3] (0,9 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de La Gripperie-Saint-Symphorien est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[12]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[13].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par submersion marine, notamment le chenal de Brouage. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2010[14] - [12].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[15]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[16].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 88 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 276 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 276 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 57 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[16].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003 et 2005 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[12].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[18].
Toponymie
Lors de sa création en 1790, la commune prit le nom de l'ancienne paroisse : Saint-Simphorien[19]. Rebaptisée La Révolution, elle recouvre son nom d'origine en 1793. Devenue Saint-Symphorien en 1801, elle fut parfois appelée de manière non officielle Saint-Symphorien-du-Bois jusqu'en 1922, date à laquelle elle prit son nom actuel de La Gripperie-Saint-Symphorien.
L'adjonction du toponyme La Gripperie, tirant son origine du vieux français « gripper » signifiant grimper, monter, s'explique par la croissance de la population de cet ancien hameau au début du XXe siècle, et par sa situation géographique au sommet d'une colline.
Administration
Liste des maires
RĂ©gion
À la suite de la réforme administrative de 2014 ramenant le nombre de régions de France métropolitaine de 22 à 13, la commune appartient depuis le à la région Nouvelle-Aquitaine, dont la capitale est Bordeaux. De 1972 au , elle a appartenu à la région Poitou-Charentes, dont le chef-lieu était Poitiers.
DĂ©mographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].
En 2020, la commune comptait 585 habitants[Note 4], en diminution de 1,35 % par rapport Ă 2014 (Charente-Maritime : +2,92 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (29 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,1 % la même année, alors qu'il est de 34,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 315 hommes pour 274 femmes, soit un taux de 53,48 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (47,85 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Église Saint-Symphorien
Les parties les plus anciennes de cet édifice mêlant les styles romans et gothiques remontent au XIIe siècle. Construite initialement sur un plan en forme de croix latine, cette église devient rapidement le siège d'un pèlerinage dédié à saint Symphorien : des reliques de ce martyr des premiers temps de l'ère chrétienne auraient en effet été ensevelies dans le sanctuaire. La tradition rapporte que ces reliques auraient tout d'abord été offertes à l'église de Sainte-Marie-d'Arvert. Au moment des invasions normandes, les reliques auraient été cachées dans la nef du sanctuaire, lequel fut finalement détruit. Retrouvées par la suite, elles auraient été mises à l'abri dans cette église ultérieurement. De même, sur le flanc droit du sanctuaire, une « fontaine miraculeuse » était une étape importante du pèlerinage. Celle-ci est toujours visible, dépassant légèrement du sol, entourée d'une petite chapelle recouverte de chaux.
Les conflits franco-anglais causeront des dégâts importants à l'édifice, qui perdit à cette époque les deux bras de son transept, et probablement son clocher. Plus tard, au XVe siècle, une campagne de reconstruction et d'agrandissement fut menée, ce qui explique la juxtaposition des styles : nef et abside romane, et collatéraux gothiques. Le clocher actuel, de forme cylindrique, est issu de cette campagne de reconstruction. Il est coiffé d'une flèche en ardoise.
La façade de l'église est caractéristique du style art roman saintongeais. Si deux contreforts massifs, rajoutés au XVe siècle, déparent un peu celle-ci, elle a conservé l'essentiel de sa composition d'origine. Trois voussures encadrent un portail en plein-cintre. Celles-ci sont ornées de riches sculptures reprenant les thèmes traditionnels de l'époque : motifs végétaux, griffons et animaux extraordinaires. L'archivolte présente trente-deux claveaux portant chacun un personnage debout, dont l'attitude semble suggérer la danse. Le portail est surmonté d'une grande baie romane ornée de deux voussures. (voir photo ci-contre)
L'église se compose d'une nef unique formant trois travées, prolongée d'un chevet bordé de collatéraux et terminé par une abside. L'ancien carré du transept est marqué par une coupole sur trompe de forme octogonale, supportant le poids du clocher. L'intérieur comporte deux peintures à huile de l'artiste saintongeais Bragny, l'une, datée de 1641, représentant le martyre de saint Symphorien, l'autre, datée de 1676, montre l'assomption de la Vierge. Plusieurs dalles funéraires sont également visibles.
L'église est classée monument historique depuis 1995.
Domaine de la Massonne
Le domaine de la Massonne est un logis noble dont les origines semblent remonter au XVIIe siècle. Cette seigneurie, qui relevait autrefois du comte de Blénac, appartenait à une famille convertie au protestantisme. Le logis forme un bâtiment en équerre de deux étages, largement éclairé par de grandes fenêtres à meneaux, sans négliger toutefois certains éléments défensifs, comme le prouve la présence d'une échauguette à l'un de ses angles. L'intérieur conserve un salon orné de boiseries et de peintures contemporaines de celles du château de la Rochecourbon.
Le domaine est entouré par la Réserve naturelle régionale de la Massonne.
Personnalités liées à la commune
- René Caillié, explorateur français, y est mort le , au domaine de L'Abadaire qui lui appartenait.
HĂ©raldique
Blason | Tiercé en pairle renversé: au 1er de sinople à saint Symphorien, évêque, d'or, au 2e de gueules au héron d'argent, becqué et membré d'or, au 3e d'or à la tortue de sable en pal. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Équipements et services
Voir aussi
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Lete-Maritime
- Données Météo France.
- Données de la station de La Rochelle, sources l'Internaute, INSEE et Lameteo.org
- Données de la station de La Rochelle, sources l'Internaute, INSEE et Lameteo.org
- Relevés météorologiques de La Rochelle, Charente-Maritime (17), de 1961 à 1990 (infoclimat.fr)
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de La Gripperie-Saint-Symphorien », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de La Gripperie-Saint-Symphorien », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur www.charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Gripperie-Saint-Symphorien (17184) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente-Maritime (17) », (consulté le ).