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La Chapelle (Charente)

La Chapelle est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente, en région Nouvelle-Aquitaine.

La Chapelle
La Chapelle (Charente)
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Charente
Arrondissement Confolens
IntercommunalitĂ© CommunautĂ© de communes CƓur de Charente
Maire
Mandat
Catherine Cecchin
2020-2026
Code postal 16140
Code commune 16081
DĂ©mographie
Population
municipale
215 hab. (2020 en diminution de 4,02 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 28 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 50â€Č 26″ nord, 0° 02â€Č 17″ est
Altitude Min. 45 m
Max. 111 m
Superficie 7,69 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction AngoulĂȘme
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Boixe-et-Manslois
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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La Chapelle
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La Chapelle
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La Chapelle
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La Chapelle

    GĂ©ographie

    Localisation et accĂšs

    La Chapelle est une commune situĂ©e Ă  23 km au nord d'AngoulĂȘme et Ă  6,5 km au sud d'Aigre.

    Le bourg de La Chapelle est Ă  km de Montignac-Charente et de Saint-Amant-de-Boixe, 10 km de Rouillac, 12 km de Mansle, 33 km de Cognac[1].

    Sur la rive gauche de la Charente, elle fait partie du canton de Saint-Amant-de-Boixe. Elle est situĂ©e sur la D 737, route d'AngoulĂȘme Ă  Aigre et Chef-Boutonne, qui traverse le fleuve par un pont dit Grand pont la sĂ©parant de Marcillac-Lanville.

    La D 116 part du bourg vers Xambes. Au sud de la commune, la D 118 traverse la Charente venant de Genac[2].

    La gare la plus proche est celle de LuxĂ© (Ă  km), desservie par des TER Ă  destination d'AngoulĂȘme, Poitiers et Bordeaux.

    Hameaux et lieux-dits

    La commune comporte un seul hameau important, celui du Fouilloux, situé au sud-est. Bissac, au nord-est, possÚde un moulin. Le Logis et la Sangle bordent la Charente en aval du bourg[2].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de La Chapelle
    Ambérac
    Marcillac-Lanville La Chapelle Coulonges
    Genac-Bignac Vouharte

    GĂ©ologie et relief

    Le sol de la commune est composé de calcaire datant du Jurassique supérieur (Kimméridgien). Des alluvions datant du Quaternaire couvrent la vallée de la Charente, les plus récentes étant dans la partie inondable[3] - [4] - [5].

    Le relief de la commune est celui de l'intĂ©rieur d'un mĂ©andre du fleuve, et il s'Ă©lĂšve doucement vers l'est. Le point culminant est Ă  une altitude de 111 m, situĂ© sur la limite orientale. Le point le plus bas est Ă  45 m, situĂ© le long de la Charente en limite sud. Le bourg, construit au bord du fleuve sur sa rive gauche, est Ă  53 m d'altitude[2].

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Charente, et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[7] - [Carte 1].

    La Charente borde la commune sur ses trois quarts nord, ouest et sud. D'une longueur totale de 381,4 km, prend sa source en Haute-Vienne, dans la commune de ChĂ©ronnac, et se jette dans le Golfe de Gascogne, aprĂšs avoir traversĂ© 117 communes[8]. Elle se divise en de nombreux bras, dont la Petite RiviĂšre et la Grande RiviĂšre, au sud du bourg, crĂ©ant ainsi de nombreuses Ăźles. La Prairie de la Ligne et l'Ăźle de Coulonges en sont les plus importantes.

    Des Ă©tangs occupent d'anciennes sabliĂšres Ă  la Sangle. On trouve aussi quelques sources, comme au Fouilloux et au Logis[2].

    • La Charente vue vers l'amont, depuis le pont de la route dĂ©partementale 737.
    • Carte en couleur prĂ©sentant le rĂ©seau hydrographique de la commune
      RĂ©seaux hydrographique et routier de La Chapelle

    Gestion des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin Charente[9]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [10].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    La Chapelle est une commune rurale[Note 1] - [11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12] - [13].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'AngoulĂȘme, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[14] - [15].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (93,2 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (94,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (74,9 %), prairies (15,6 %), forĂȘts (6,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (2,7 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de La Chapelle est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e)[17]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[18].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Charente. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999 et 2021[19] - [17].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Chapelle.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 63,8 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 121 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 96 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 79 %, Ă  comparer aux 81 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[21].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[17].

    Toponymie

    Une forme ancienne est Capella prope Marciliacum en 1302[22]. La traduction du latin en est « La Chapelle prÚs de Marcillac ».

    Capella est le diminutif du latin vulgaire capa, chape, manteau; une chapelle Ă©tait primitivement un petit sanctuaire oĂč l'on rĂ©vĂ©rait un morceau du manteau de saint Martin[23].

    Pendant la période révolutionnaire, la Chapelle s'est appelé la Champagne[24].

    Histoire

    Au Moyen Âge, La Chapelle faisait partie de la principautĂ© de Marcillac.

    Une commanderie de Templiers donnée ensuite aux Hospitaliers de Jérusalem a existé au Fouilloux, église dont on retrouve encore des vestiges[25].

    Principalement aux XIIe et XIIIe siĂšcles, La Chapelle se trouvait sur une variante nord-sud de la via Turonensis, itinĂ©raire du pĂšlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle qui passait par Nanteuil-en-VallĂ©e, Tusson, Marcillac-Lanville, Saint-Amant-de-Boixe, AngoulĂȘme, Mouthiers, Blanzac et Aubeterre[26].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1976 1983 Gabriel Poirier
    1983 2005 Alain Gendrault
    2005 2015
    (démission)
    Sylvain Loison[27] SE Directeur de collĂšge
    2015 En cours Catherine Cecchin[28]

    DĂ©mographie

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[30].

    En 2020, la commune comptait 215 habitants[Note 3], en diminution de 4,02 % par rapport à 2014 (Charente : −0,6 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    254292261323350360374368363
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    372350338333339311272264216
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    237224214194200192166131157
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    137140150148151181185214214
    2020 - - - - - - - -
    215--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee Ă  partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement ĂągĂ©e. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  29,9 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 33,1 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 32,3 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 110 hommes pour 104 femmes, soit un taux de 51,4 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,9
    90 ou +
    3,8
    9,1
    75-89 ans
    10,6
    20,9
    60-74 ans
    21,2
    19,1
    45-59 ans
    19,2
    16,4
    30-44 ans
    19,2
    7,3
    15-29 ans
    7,7
    26,4
    0-14 ans
    18,3
    Pyramide des ùges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    1
    90 ou +
    2,5
    8,9
    75-89 ans
    11,8
    20
    60-74 ans
    20,3
    21
    45-59 ans
    20,8
    16,9
    30-44 ans
    16,2
    15,6
    15-29 ans
    13,7
    16,6
    0-14 ans
    14,7

    Économie

    Agriculture

    L'agriculture est principalement céréaliÚre. La viticulture occupe une partie négligeable de l'activité agricole. La commune est cependant classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrÎlée du cognac[35].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    L'Ă©glise paroissiale Saint-Antoine Ă©tait un ancien prieurĂ©, qui dĂ©pendait peut-ĂȘtre du prieurĂ© conventuel voisin de Lanville[24].

    L'ancienne chapelle du Fouilloux, devenue bùtiment agricole, possÚde une cave voûtée d'ogives. C'était une ancienne commanderie templiÚre.

    • Église.
      Église.
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.
    • Croix.
      Croix.
    • Autre croix.
      Autre croix.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de la Chapelle » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    2. Carte IGN sous GĂ©oportail
    3. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    4. Carte du BRGM sous GĂ©oportail
    5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mansle », sur Infoterre, (consulté le )
    6. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    7. « Fiche communale de la Chapelle », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
    8. Sandre, « la Charente »
    9. « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    11. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    17. « Les risques prÚs de chez moi - commune de La Chapelle », sur Géorisques (consulté le )
    18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    21. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de La Chapelle », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    22. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, Ă©vĂȘque d'AngoulĂȘme [« Liber feodorum »], t. 5, SociĂ©tĂ© archĂ©ologique et historique de la Charente, (1re Ă©d. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 135
    23. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    24. Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimĂ© Ă  Rioux-Martin, Le vent se lĂšve, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 107
    25. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Chùteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 115
    26. Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne)
    27. « Sylvain Loison, un maire en colÚre (+vidéo) », sur CharenteLibre.fr (consulté le ).
    28. « La Chapelle : un trio de femmes Ă  la tĂȘte de la mairie! », sur CharenteLibre.fr (consultĂ© le ).
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Chapelle (16081) », (consultĂ© le ).
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de la Charente (16) », (consultĂ© le ).
    35. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
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