Hattstatt
Hattstatt est une commune française située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.
Hattstatt | |
L'entrée du village. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Grand Est |
Collectivité territoriale | Collectivité européenne d'Alsace |
Circonscription départementale | Haut-Rhin |
Arrondissement | Thann-Guebwiller |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Rouffach, Vignobles et Châteaux |
Maire Mandat |
Pascal Di Stefano 2020-2026 |
Code postal | 68420 |
Code commune | 68123 |
DĂ©mographie | |
Population municipale |
809 hab. (2020 ) |
Densité | 135 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
Coordonnées | 48° 00′ 42″ nord, 7° 18′ 02″ est |
Altitude | Min. 195 m Max. 810 m |
Superficie | 5,98 km2 |
Type | Commune urbaine |
Aire d'attraction | Colmar (commune de la couronne) |
Élections | |
DĂ©partementales | Canton de Wintzenheim |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
Ses habitants sont appelés les Hattstattois et les Hattstattoises.
GĂ©ographie
Hattstatt est un petit village viticole situé à 8 km au sud-ouest de Colmar. On y accède par la route nationale 83. Les villages les plus proches sont dans l'ordre : Herrlisheim-près-Colmar, 1 km ; Gueberschwihr, 2 km ; Rouffach, 6 km.
C'est une des 188 communes[1] du parc naturel régional des Ballons des Vosges.
Urbanisme
Typologie
Hattstatt est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Colmar, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[5] - [6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (50,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,8 %), terres arables (28,5 %), cultures permanentes (22,5 %), zones urbanisées (8,2 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].
Toponymie
Le nom du village est probablement dérivé du patronyme Hatton ou Otto, premier propriétaire des lieux. Au XIIe siècle, l'endroit où se trouve le village portait le nom de Hadestal.
Histoire
Un village construit sur un ancien site gallo-romain
Ce village a probablement été construit sur un ancien emplacement gallo-romain appelé à l'époque Altévic. On a découvert à Hattstatt des tuyaux de conduits remontant à l'époque romaine. Ces tuyaux affectaient la forme d'un cône tronqué renflé à sa base et étaient lutés avec du ciment. Quelques-uns portaient la signature du potier Carpinius.
Au XIIe siècle, la famille des Hattstatt s’installe dans le village
Au XIIe siècle, on sait qu'une famille noble, les Hattstatt, contrôlait déjà le village depuis un certain temps car dès l'année 1180, Henri Ier, évêque de Strasbourg, par une sentence en faveur de l'abbaye de Marbach, s'était élevé contre les prétentions de trois membres de cette famille : Werner, Eppio et Conrad, qui revendiquaient la quatrième partie du droit de patronage de Marbach et la huitième partie de la dîme de l'église de Herrlisheim. Dès 1188, le village passe entre les mains d'un certain Conrad Warnier ou Werhner qui est investi dans la dignité de landvogt (bailli) par Rodolphe de Habsbourg.
En 1285, Conrad et son fils (avec Cunon de Bergheim) sont les invités du comte de Chiny lors des festivités qui se déroulèrent entre Montmédy et Chauvency-le-Château, aux joutes et mêlées du tournoi. Jacques Bretel, chargé d'écrire la chronique de ces journées, les range parmi les héros de ces jeux guerriers et raconte leurs exploits dans son poème : Le Tournoi de Chauvency.
La construction d'un château fort
La famille de Hattstatt fait construire un château fort à 826 mètres d'altitude à l'entrée de la vallée de Saint-Grégoire, qui restera dans la famille jusqu'au XVIe siècle. Ce château s'appelait le Haut-Hattstatt ou Barbenstein, de la montagne de Barby sur laquelle il était situé. Il est brûlé en 1466 par les habitants de Munster parce que Jean de Lupfen, seigneur de Haut-Hattstatt, avait attaqué les bourgeois de Turckheim. Après l'extinction des Lupfen, le château passe aux Hattstatt, puis aux Truchsess de Rheinfelden. Le village de Lengenberg, qui dépendait de Barbenstein, a disparu. Le bourg de Hattstatt a été en outre défendu par un autre château qui appartenait aux Hattstatt du XIIe au XVIe siècle et devint ensuite l'apanage des Schauenbourg.
À partir du XIIIe siècle, les biens du village passent à l’évêque de Strasbourg
Vers 1294, les Hattstatt sont contraints d'abandonner tous leurs biens dans le village à l'évêque de Strasbourg. Seul le château reste entre leurs mains, et le village de Soultzbach-les-Bains.
Les Hattstatt retrouvent leurs biens
Vers 1460, les Hattstatt retrouvent leurs biens. Cependant, vers 1466, le château est incendié et son donjon abattu. Vers 1505, Jacques de Hattstatt promulgue un nouveau règlement qui va mécontenter les habitants, mais devant la colère populaire un arrangement est trouvé. La famille Hattstatt est à l'origine de la création d'une maison de bains dont l'eau est réputée pour sa pureté. À l'extinction de la famille de Hattstatt vers 1587, les successeurs sont les Truchsess de Rheinfelden, une famille noble de Suisse qui vendent ensuite une partie du château en ruine à la ville de Colmar. Plus tard, c'est la famille des Schauenbourg qui prendra possession du village.
Les juifs sont pourchassés
Au début du Moyen Âge, le village de Hattstatt comporte une importante communauté juive qui est pourchassée impitoyablement en raison de rumeurs faussement colportées. Les juifs sont accusés d'avoir empoisonné les cours d'eau et sont soumis à des tortures dans le but de leur faire avouer leurs forfaits. Ils sont brûlés dans un lieu connu sous le nom de Judenbrand, un lieu-dit qui se trouve à Herrlisheim-près-Colmar. En 1375, quelques familles juives font à nouveau une apparition dans le village ; elles sont au nombre de 43 lors du dénombrement des juifs de 1784, avec 229 individus, mais quittent peu à peu le village, surtout après l'annexion de l'Alsace par l'Allemagne en 1871. Elles ont complètement disparu vers 1950.
Politique et administration
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
La commune se trouve depuis 2015 dans l'arrondissement de Thann-Guebwiller du département du Haut-Rhin. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la deuxième circonscription du Haut-Rhin.
Elle faisait partie du canton de Rouffach[9]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Wintzenheim.
Intercommunalité
La commune était membre de la communauté de communes du pays de Rouffach, créée en 1994. Celle-ci voit l'adhésion de nouvelles communes en 2011 et devient la communauté de communes Pays de Rouffach, Vignobles et Châteaux, dont Hattstatt demeure membre.
Organisation municipale
De 1789 à 1799, les agents municipaux (maires) sont élus au suffrage censitaire pour 2 ans et rééligibles, par les citoyens actifs de la commune, contribuables payant une contribution au moins égale à 3 journées de travail dans la commune. Sont éligibles ceux qui paient un impôt au moins équivalent à dix journées de travail.
De 1799 à 1848, la constitution du 22 frimaire an VIII () revient sur l’élection du maire, qui sont nommés par le préfet pour les communes de moins de 5 000 habitants. La Seconde Restauration instaure la nomination des maires et des conseillers municipaux. Après 1831, les maires sont nommés (par le roi pour les communes de plus de 3 000 habitants, par le préfet pour les plus petites), mais les conseillers municipaux sont élus pour six ans.
Du Ă 1851, les maires sont Ă©lus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants.
De 1851 à 1871, les maires sont nommés par le préfet, pour les communes de moins de 3 000 habitants et pour 5 ans à partir de 1855.
Au terme de la guerre franco-allemande de 1870, la commune comme une grande partie du Haut-Rhin est annexée en 1871 par l'Allemagne (traité de Francfort). Le département du Haut-Rhin devient « Bezirk Oberelsass ».
À la suite de la Première Guerre mondiale, elle redevient française en 1919 (traité de Versailles) et les maires sont élus par le conseil municipal à la suite de son élection au suffrage universel masculin jusqu'en 1945, de l'ensemble des électeurs et électrices depuis la Libération de la France.
Liste des maires
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[15].
En 2020, la commune comptait 809 habitants[Note 3], en augmentation de 0,5 % par rapport Ă 2014 (Haut-Rhin : +1,01 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Église Sainte-Colombe
L'église Sainte-Colombe se trouve perchée sur une colline des hauteurs de la localité de Hattstatt. Cette église porte encore quelques traces de l'époque médiévale (porte, remparts et fossés). Elle dépendait au début du XVe siècle d'une famille noble, les Schaller, puis des Rotberg. En 1470, elle passe entre les mains du chapitre de la cathédrale de Bâle. Un curé et un vicaire officient alors dans cette paroisse. Elle compte actuellement des éléments de l'ancienne église. Certains pans, datés des XIe, XIIe, XVe, XVIe et XVIIIe siècles, en constituent aujourd'hui l'ossature. Quatre chapellenies dédiées à Notre-Dame, saint Blaise, saint Germain et sainte Catherine sont attestées dès 1444. En 1488, une convention règle les droits de la dîme partagée entre les chapitres de Bâle, de Strasbourg et de l'abbaye de Marbach.
La partie inférieure de l'église date du XIIe siècle, c'est donc l'un des plus anciens édifices de la région. Le chœur est de style gothique. Une des fenêtres, renfermant deux lancettes trilobées surmontées sous l'arcade d'un trèfle, l'attribuerait au XIVe siècle si les baies voisines n'étaient géminées de même, mais dont les cintres trilobés et la broderie révèlent le XVe siècle. La nef est coupée par deux rangées d'arcades reposant sur des colonnes basses à chapiteaux cubiques. L'étage intermédiaire du clocher renferme des traces d'arcatures romanes[17] - [18].
Le mécanisme d'horloge de clocher est de 1765[19] et l'orgue de 1834[20] - [21] - [22] - [23] - [24].
- Arbre de Jessé : dans l'église Sainte-Colombe on trouve une fresque découverte en 1926 lors de travaux de rénovations de l'église. Située sur le côté nord de la nef, elle est semble-t-il contemporaine de la construction de l'église romane. Sur cette fresque, on découvre un arbre avec des ramifications plus communément appelées arbre de Jessé qui symbolise la généalogie du Christ. Selon la légende, ces branches représentent des hommes et des femmes qui forment la descendance de Jessé et l'ascendance du Christ. Sur la couronne sont dessinés deux trônes, sur l'un desquels repose le Christ, l'autre n'étant pas occupé. Dans la partie inférieure du dessin, on découvre le nom de la donatrice.
- Statues de Marie-Madeleine, de Catherine, de saints Blaise et Sébastien : ces statues sont datées du XVIIIe siècle. Sur la travée ouest de l'église sont exposés des chandeliers de procession et les porte-cierges de la Confrérie Saint-Sébastien. Elle avait succédé à la Confrérie Sain Blaise dont la première mention est signalée dans un document de 1330.
- Fonts baptismaux : dans l'église paroissiale Sainte Colombe se trouve une cuve monolithe posée sur un pied sculpté dont on peut voir sur le côté les armes de la puissante famille des Hattstatt et un écu martelé.
Châteaux
Le château de Bas-Hattstatt, ou Niederhattstatt, se trouve dans la commune même. Son emprise est principalement visible dans le tracé du bâti au sud de l’église, un îlot de maisons suivant le contour de l’ancien château. Très peu de vestiges en sont en effet visibles, à l’exception d’une petite portion de mur à l’entrée de l’impasse du château. Construit avant 1282, ce château est au début du XIVe siècle la propriété de l’évêque de Strasbourg, qui le remet en fief aux Hattstatt en 1304. La propriété passe en 1324 aux Habsbourg, mais les Hattstatt en conservent l’investiture jusqu’à leur extinction en 1585. Le fief est alors remis aux Truchsess qui le gardent jusqu’à sa destruction par les Français en 1635 puis en vendent les pierres à Colmar[30].
À l’écart de la commune, dans la montagne, se trouve le Château de Haut-Hattstatt élevé par la famille Hattstatt en 1280. Il remplace une précédente forteresse érigée à cet emplacement, et qui est déjà citée au Xe siècle. Il reste en leur possession jusqu'à la fin du XVIe siècle, époque au cours de laquelle il subit plusieurs assauts. Le château est d'abord incendié en 1466 et son donjon détruit. Les successeurs de la famille des Hattstatt, les Truchsess de Rheinfelden, vendent en partie les matériaux à la ville de Colmar vers 1646-1647. Actuellement, ce château est en ruine et envahi par la végétation[31].
Maisons
- Maison vigneronne, 18 rue des Seigneurs, 1703 : cet édifice dont les pierres de taille sont visibles possède un rez-de-chaussée qui était probablement destiné à entreposer les fûts. Dans la partie inférieure du bâtiment, on trouve des ouvertures permettant le libre passage de l'air indispensable pour la fermentation du vin. Ces bouches d'aération possédaient des volets permettant la fermeture des aérations en cas de grand froid. Les tonneaux transitaient par une porte cochère formée d'un grand arc dont le linteau porte l'année 1703 et les initiales du propriétaire (M.R.). Le premier étage était occupé par les propriétaires et comportait de petites fenêtres. L'ensemble de la maison est construit en bois et en torchis[32].
Jumelages
La commune de Hattstatt est jumelée avec Wiggensbach (Allemagne).
Personnalités liées à la commune
- Famille Hattstatt (famille noble et puissante d'Alsace).
- Moïse Ginsburger, rabbin et historien, né à Hastatt en 1865.
- Paul Biéchy (1887-1960), missionnaire spiritain, vicaire apostolique de Brazzaville au Congo.
HĂ©raldique
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Les armes de Hattstatt se blasonnent ainsi : |
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La commune arbore les armoiries de la « puissante et noble » famille des Hattstatt, d'or au sautoir de gueules. Déjà en 1285, ce blason est décrit (avec de nombreux autres) dans le poème Le Tournoi de Chauvency, œuvre de Jacques Bretel.
Voir aussi
Bibliographie
- Veronika Feller-Vest, Die Herren Von Hattstatt, Rechtliche, wirtschaftliche und kulturgeschichtliche Aspekte einer Adelsherrschaft (13. bis 16 Jahrhundert) - Peter Lang, Bern, Frankfurt am Main, 1982, 458 pages (ouvrage très complet sur cette famille noble avec tableau généalogique)
- Auguste Scherlen, Die Herren von Hattstat und ihre Besitzungen, Colmar, 1908 (Histoire de cette famille)
- Jean-Daniel Schoepflin, Alsatia Illustrata, Colmar, 1751-61 - 2 volumes
- Jean Daniel Schoepflin, L'Alsace illustrée, ou son histoire sous les empereurs d'Allemagne et depuis sa réunion à la France, traduite par L.W Ravenez, Strasbourg, 1849-52 , 5 volumes, François Perrin éditeur, Mulhouse, 1852
- Édouard Sitzmann, Dictionnaire de biographie des hommes célèbres de l'Alsace, Rixheim, Imprimerie F. Sutter & Cie, 1910 (2 volumes)
- Dominique Toursel-Harster, Jean-Pierre Beck, Guy Bronner, Dictionnaire des monuments historiques d’Alsace, Strasbourg, La Nuée Bleue, , 663 p. (ISBN 2-7165-0250-1)Hattstatt, Église catholique Sainte-Colombe, pp. 186-187
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Hattstatt, p. 603
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Liste des 188 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, 3e Charte 2012 - 2024
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Colmar », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « mairie », notice no IA68004260, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le maire Jean-Jacques Felder est décédé », Dernières Nouvelles d'Alsace,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Pascal Di Stefano, nouveau maire », Dernières Nouvelles d'Alsace,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « église paroissiale Sainte-Colombe », notice no IA68004258, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Eglise catholique Sainte-Colombe », notice no PA00085456, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PM68001617, base Palissy, ministère français de la Culture mécanisme d'horloge de clocher
- Notice no PM68000883, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune
- Notice no PM68000889, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune : buffet d'orgue
- Notice no PM68000119, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune : partie instrumentale de l'orgue
- Notice no IM68007571, base Palissy, ministère français de la Culture orgue
- Claude-Ignace Callinet, 1834
- Notice no IM68007553, base Palissy, ministère français de la Culture maître-autel du couvent d'Unterlinden
- Notice no PM68000118, base Palissy, ministère français de la Culture peinture murale : Arbre de Jessé
- Notice no PM68000116, base Palissy, ministère français de la Culture statue : sainte Catherine d'Alexandrie
- Notice no IM68007562, base Palissy, ministère français de la Culture statue : Sainte Catherine d'Alexandrie
- Notice no IM68007556, base Palissy, ministère français de la Culture fonts baptismaux
- Nicolas Mengus et Jean-Michel Rudrauf, Châteaux forts et fortifications médiévales d’Alsace, Strasbourg, La Nuée bleue, , 376 p. (ISBN 978-2-7165-0828-5), p. 130
- « château fort dit Haut-Hattstatt », notice no IA68004294, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « maison de vigneron », notice no IA68004293, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « oratoire », notice no IA68004259, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- État récapitulatif des fiches de la commune
- Hattstatt - monument aux morts
- Notice no IM68007580, base Palissy, ministère français de la Culture puits
- « maison, école », notice no IA68004278, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « maison de vigneron », notice no IA68004265, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « ferme de vigneron », notice no IA68004268, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00107323, base Palissy, ministère français de la Culture croix monumentale
- Notice no IM68007579, base Palissy, ministère français de la Culture fontaine monumentale