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Gagnières

Gagnières est une commune française située dans le nord du département du Gard en région Occitanie, à la limite de l’Ardèche. De nos jours, Gagnières est un village principalement tourné vers le tourisme vert. Cette commune est connue pour son Centre Chrétien mais aussi un festival « Les in’attendus de Gagnières Â»

Gagnières
Gagnières
Vue de Gagnières.
Blason de Gagnières
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Alès
Intercommunalité Communauté de communes Cèze-Cévennes
Maire
Mandat
Olivier Martin
2020-2026
Code postal 30160
Code commune 30120
Démographie
Population
municipale
1 088 hab. (2020 en diminution de 8,65 % par rapport à 2014)
Densité 97 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 18′ 26″ nord, 4° 07′ 48″ est
Altitude Min. 159 m
Max. 516 m
Superficie 11,22 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bessèges
(banlieue)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Rousson
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Gagnières
Liens
Site web gagnieres.com

    Gagnières est une commune rurale qui compte 1 088 habitants en 2020, après avoir connu un pic de population de 3 250 habitants en 1901. Elle est dans l'unité urbaine de Bessèges. Ses habitants sont appelés les Gagniérois ou Gagniéroises.

    Géographie

    Localisation

    Gagnières est limitrophe de la commune de Bessèges (Gard) et des communes de Saint-Paul-le-Jeune et Saint-André-de-Cruzières (Ardèche).

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Ganière, le ruisseau de Doulovy et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « forêt de pins de Salzmann de Bessèges ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Hydrographie et relief

    Une rivière traverse Gagnières, la Ganière, affluent de la Cèze et longue de 27 kilomètres, dont 12 dans le département du Gard. Elle prend sa source à la Croix Rousse, après l'union de plusieurs ruisseaux sur la commune de Malons-et-Elze à 871 mètres d'altitude. C'est une rivière aurifère, ce qui a donné lieu à une activité minière au cours des temps. Des orpailleurs amateurs sillonnent toujours son cours à la recherche d'éventuelles pépites ou de paillettes d'or.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 12,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 14,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 17,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 396 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Sauveur Sa », sur la commune de Saint-Sauveur-de-Cruzières, mise en service en 2000[6] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[7] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,4 °C et la hauteur de précipitations de 1 033 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Lanas Syn », sur la commune de Lanas, dans le département de l'Ardèche, mise en service en 1990 et à 33 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour la période 1971-2000[10], à 13,5 °C pour 1981-2010[11], puis à 13,9 °C pour 1991-2020[12].

    Voies de communication et transports

    il y’a 4 taxis dans cette commune.

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13] - [14]. Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhésion du Parc national des Cévennes[Note 4]. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques : le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol[15].

    La commune fait partie de la zone de transition des Cévennes, un territoire d'une superficie de 116 032 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[16] - [17].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « forêt de pins de Salzmann de Bessèges »[19], d'une superficie de 743 ha, abritant le Pin de Salzmann, une des essences forestières les plus rares de France, et constitue à ce titre un enjeu majeur pour la conservation de l'habitat au niveau régional[20].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensées sur la commune[21] :

    • les « ruisseaux de la Ganière et d'Abeau » (167 ha), couvrant 6 communes dont 3 dans l'Ardèche et 3 dans le Gard[22] ;
    • la « vallée de la Ganière àChavagnac » (16 ha), couvrant 2 communes du département[23] ;
    • le « vallon du ruisseau du Ranc Corbier » (89 ha), couvrant 2 communes du département[24] ;

    et une ZNIEFF de type 2[Note 7] - [21] : le « bois de Bordezac et de Bessèges » (1 797 ha), couvrant 4 communes du département[25].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Gagnières.
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Gagnières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [26] - [I 1] - [27]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bessèges, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[I 2] et 4 358 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3] - [I 4]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 5] - [I 6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (81,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (72,4 %), prairies (11,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,7 %), zones urbanisées (4,3 %), zones agricoles hétérogènes (2,9 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Logement

    Évolution du nombre de logements
    Type de logement1968197519821990199920072010
    Résidences Principales457
    (76,54 %)
    431
    (70,54 %)
    400
    (63,49 %)
    399
    (60,54 %)
    437
    (68,28 %)
    529
    (75,25 %)
    536
    (75,28 %)
    Résidences Secondaires98
    (16,42 %)
    133
    (21,77 %)
    189
    (30,00 %)
    204
    (30,96 %)
    192
    (30,00 %)
    133
    (18,92 %)
    135
    (18,96 %)
    Logements Vacants42
    (7,04 %)
    47
    (7,69 %)
    41
    (6,51 %)
    56
    (8,50 %)
    11
    (1,72 %)
    41
    (5,83 %)
    41
    (5,76 %)
    Total597611630659640703712
    Sources des données : INSEE[29]

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Gagnières est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) d'Alès, regroupant 37 communes autour d'Alès, un des 31 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Rhône-Méditerranée[32], retenu au regard des risques de débordements de la Cèze et des Gardons. Parmi les dernières crues significatives qui ont touché le territoire figurent celles de 1958 et de septembre 2002. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[33] - [34]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1995, 1998, 2008 et 2015[35] - [30].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Gagnières.

    La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[36]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 40,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 525 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 337 sont en en aléa moyen ou fort, soit 64 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[37] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[38].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1983[30].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Gagnières est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[39].

    Toponymie

    • Ganière (rivière) : occitan Ganhièira[40], racine occitane gagna, du roman guaniar : gagner, obtenir, remporter ; triompher, franchir[41].
      Au XIXe siècle, l'orthographe en français est Gagnère[42] - [41].

    Histoire

    Époque moderne

    En 1774, Gagnières compte 9 mines de charbon, galeries creusées dans des propriétés privées.

    Époque contemporaine

    en 1841, Castillon-de-Courry est renommé Castillon-de-Gagnières

    en 1857, Le Travers et Le Villard sont séparés de Castillon-de-Gagnières pour former la nouvelle commune de Bessèges

    en 1922, Castillon-de-Gagnières est renommée Gagnières

    en 1926, Foussignargues et Castillon sont séparés de Gagnières pour former la nouvelle commune de Foussignargues

    en 1972, Foussignargues est annexé à Bessèges.

    Les mines

    Gagnières a été une cité minière jusqu’en 1929. En ce qui concerne l'or, il y a 120 personnes employées en 1913.

    Mais c'est surtout le charbon qui était important. Au XIXe siècle, l'exploitation devint industrielle. Sept puits de 4 mètres de diamètre sont forés :

    • le puits Parran, utilisé de 1870 à 1930 : avec 810 m de profondeur, un des puits les plus profonds de France
    • le puits de Lavernède (1880-1926), 220 mètres de profondeur, utilisé pour le pompage et la descente du matériel
    • le puits du viaduc (1880-1925), 350 mètres de profondeur, utilisé pour l'exploitation
    • le puits Thomas, 80 mètres de profondeur, puits d'aération
    • le puits Sirodo
    • le puits Chavagnac
    • le puits Julien

    Aujourd'hui, ne subsistent que quelques vestiges de cette activité :

    • le bâtiment de la centrale électrique construit en 1910 à côté du puits Parran ;
    • les anciennes galeries à flanc de coteaux et du puits de Chavagnac ;
    • le puits Sirodo et le puits Thomas ont été transformés en maison d'habitation.

    Tous les puits ont été mis en sécurité en 1972 et en 2005.

    • Le puits Parran et l'usine électrique en 1909.
      Le puits Parran et l'usine électrique en 1909.
    • 100 ans plus tard, vestige de l'usine d'électricité à côté du puits Parran, caché derrière les broussailles.
      100 ans plus tard, vestige de l'usine d'électricité à côté du puits Parran, caché derrière les broussailles.

    Cette centrale n'existe plus. Pour plus d'informations voir : Musée de la mine Gagnieres site internet.

    L'ancienne ligne de chemin de fer

    Ancienne gare de Gagnières.

    Le village était desservi, jusqu'en 1982, par la voie ferrée PLM puis SNCF de la ligne Vogüé - Robiac-Rochessadoule. L'ancienne gare, toujours visible, a été transformée en restaurant, et le site de la gare, anciennement occupé par des usines de traitement du charbon et le carreau du puits Parran, est en pleine mutation, un lotissement y a été construit.

    Le pont des piles

    Afin de faire traverser la ligne de chemin de fer PLM au-dessus de la Ganière pour relier Gagnières à Bessèges, un viaduc en pierre est construit à l'ouverture de la ligne en 1871. Ébranlé par les travaux miniers, il est démoli et un nouveau viaduc à poutres treillis est construit en 1888. Après la fermeture définitive de la ligne, le viaduc est démoli en 1990 ; seuls subsistent aujourd'hui les anciennes piles du pont. Un petit monument en hommage aux anciens mineurs fut érigé à l'emplacement des anciennes piles du pont sur la route de Gagnières à Bessèges.

    • Le second viaduc de Gagnières à poutres treillis en 1903.
      Le second viaduc de Gagnières à poutres treillis en 1903.
    • Vestiges des anciennes piles du viaduc.
      Vestiges des anciennes piles du viaduc.
    • Monument hommage aux anciens mineurs.
      Monument hommage aux anciens mineurs.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1983 1987 François Laurent
    1995 2014 Olivier Martin DVG Président de la Communauté de communes des Cévennes Actives
    2014 2016 Antoinette Moussu DVG Retraitée
    2016 En cours Carlos Balmes DVG

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[44].

    En 2020, la commune comptait 1 088 habitants[Note 9], en diminution de 8,65 % par rapport à 2014 (Gard : +2,1 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9939691 1051 1651 2611 3621 4161 5661 827
    1856 1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 4841 3691 3992 1822 5812 9852 9103 1973 250
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    3 1492 9282 9351 9781 5141 1961 2141 3691 242
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
    1 1741 0459208789191 0481 0801 1601 085
    2020 - - - - - - - -
    1 088--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    État civil
    Événement1999200020012002200320042005200620072008200920102011201220132014
    Naissances5657554535957
    Décès17911413111418201310107
    Solde-12-3-63-8-6-10-13-17-8-1-50

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 476 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 935 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 520 â‚¬[I 7] (20 020 â‚¬ dans le département[I 8]).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 9]13,7 %15,6 %15,2 %
    Département[I 10]10,6 %12 %12 %
    France entière[I 11]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 Ã  64 ans s'élève à 606 personnes, parmi lesquelles on compte 66,3 % d'actifs (51,2 % ayant un emploi et 15,2 % de chômeurs) et 33,7 % d'inactifs[Note 11] - [I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 3] - [I 12]. Elle compte 133 emplois en 2018, contre 131 en 2013 et 139 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 317, soit un indicateur de concentration d'emploi de 41,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 43,6 %[I 13].

    Sur ces 317 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 107 travaillent dans la commune, soit 34 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 89,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,6 % les transports en commun, 3,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

    Secteurs d'activités

    78 établissements[Note 12] sont implantés à Gagnières au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13] - [I 16].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble78
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    810,3 %(7,9 %)
    Construction2228,2 %(15,5 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    2937,2 %(30 %)
    Information et communication11,3 %(2,2 %)
    Activités immobilières11,3 %(4,1 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    56,4 %(14,9 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    33,8 %(13,5 %)
    Autres activités de services911,5 %(8,8 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 37,2 % du nombre total d'établissements de la commune (29 sur les 78 entreprises implantées à Gagnières), contre 30 % au niveau départemental[I 17].

    Entreprises et commerces

    Les trois entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[47] :

    • Mc-Pro, commerce de gros (commerce interentreprises) de fournitures et équipements divers pour le commerce et les services (619 k€)
    • Transports Chabal Ghislain, travaux de terrassement courants et travaux préparatoires (177 k€)
    • Azzolini Jeremie Travaux Publics - AJTP, travaux de terrassement courants et travaux préparatoires (34 k€)

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations10951
    SAU[Note 14] (ha)1528742

    La commune est dans les Cévennes, une petite région agricole occupant l'ouest du département du Gard[48]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 4]. Une seule exploitation agricole ayant son siège dans la commune est recensée lors du recensement agricole de 2020[Note 16] (dix en 1988). La superficie agricole utilisée est de 42 ha[50] - [Carte 5] - [Carte 6].

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils

    Galerie historique et culturelle :GTMA Musée de la mine. 52, rue de l'Eglise.

    Édifices religieux

    Personnalités liées à la commune

    • Le couturier Louis Féraud est né à Gagnières.
    • Alain Fabre-Pujol (né en 1957) a été adjoint au maire de Gagnières.
    • L'artiste peintre Daneïs vit depuis 1981 à Gagnières (nature morte et paysage).
    • Le chancelier allemand Willy Brandt a vécu à Gagnières (résidence secondaire)
    • Gagnières est le village de naissance du chansonnier et homme politique Jules Mathieu
    • Roland Fangile, créateur de la course cycliste " L'étoile de Bessèges" a résidé à Gagnières
    • le peintre Boletti, ami de Picasso, a vécu à Gagnières (Chavagna)c.

    Héraldique

    Blason de Gagnières Blason
    De sinople à la fasce losangée d'argent et d'azur.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
    6. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    10. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    12. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    14. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    15. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    16. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[49].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Unité urbaine 2020 de Bessèges » (consulté le ).
    3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Gagnières » (consulté le ).
    8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Gagnières » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Gagnières » (consulté le ).
    14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Gagnières » (consulté le ).
    17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Saint-Sauveur Sa - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Gagnières et Saint-Sauveur-de-Cruzières », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Saint-Sauveur Sa - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Gagnières et Lanas », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Lanas Syn - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Lanas Syn - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Lanas Syn - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    14. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    15. « Parc national des Cévennes - les cinq massifs », sur le site du parc national des Cévennes (consulté le )
    16. « Réserve de biosphère des Cévennes », sur mab-france.org (consulté le )
    17. « Cévennes - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    19. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Gagnières », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « site Natura 2000 FR9101366 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    21. « Liste des ZNIEFF de la commune de Gagnières », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF les « ruisseaux de la Ganière et d'Abeau » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF la « vallée de la Ganière àChavagnac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    26. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    29. Insee - Chiffres clés.
    30. « Les risques près de chez moi - commune de Gagnières », sur Géorisques (consulté le )
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    41. (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français : embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne.., Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 1179 p., 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, BNF 37258238), p. 6, t. 2
    42. Eugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298 p., in-4 (BNF 30500934), p. 94
    43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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    45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    47. « Entreprises à Gagnières », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    48. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    49. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    50. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Gagnières - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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