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GRTgaz

GRTgaz est une société française créée le . L'entreprise est un des deux gestionnaires de réseau de transport de gaz naturel ou assimilé en France[Note 1].

GRTgaz
logo de GRTgaz

Création
Forme juridique société anonyme
Slogan Connecter les Ă©nergies d'avenir
Siège social 6, rue Raoul-Nordling
92277 Bois-Colombes Cedex
Drapeau de la France France
Direction Thierry Trouvé
Actionnaires 61 % Engie, 39 % (Consortium public SIG, composé de CNP Assurances, de CDC Infrastructure et de la Caisse des dépôts et consignations)[1]
Activité Transport de gaz naturel ou assimilé (biométhane, mélange hydrogène/gaz naturel,…)
Produits Services d'acheminement et de livraison de gaz naturel par canalisations (grâce à 32 527 km de canalisations haute pression,
26 stations de compression en France et 4 368 postes de livraison, Ă  fin 2019[2]).
Société mère Engie
Sociétés sœurs GRDF, Storengy,
Filiales Elengy,
GRTgaz Deutschland
Effectif 3 022 (dont 2304 hommes et 718 femmes en 2019[2]).
SIREN 440117620[3]
Site web grtgaz.com

Fonds propres en augmentation 3,808 Md € (+4.31 %; 2015)[4]
Dette 4,417 Md € (+3,03 %; 2015)[4]
Chiffre d'affaires en diminution 1,867 Md € (2015)[4]
-4,59 %
RĂ©sultat net en diminution 223 M € (2015)[4]
-11,87 %

GRTgaz reprend les activités préalablement assurées par le service transport de Gaz de France.

GRTgaz est filiale Ă  61% du groupe Engie[1].

Statuts et gouvernance

GRTgaz est une société anonyme.

Son conseil d'administration comprend des représentants de l'État et des salariés, des administrateurs indépendants, des représentants du groupe ENGIE et des autres actionnaires[5].

Thierry Trouvé est directeur général depuis le , date à laquelle il a succédé à Philippe Boucly[6].

Histoire

GRTgaz est une filiale du groupe industriel ENGIE pour 61 % environ (75 % prĂ©cĂ©demment) et d'un consortium public, nommĂ© SociĂ©tĂ© d'infrastructures gazières (SIG), pour 39 % environ (25 % prĂ©cĂ©demment)[1] ; ce consortium est composĂ© de :

La société a été créée le en application des directives européennes sur le marché européen de l’électricité et du gaz.

Lors de sa création, GRTgaz était une filiale de l'ancien groupe Gaz de France, fusionné avec l'ancien groupe Suez pour devenir GDF SUEZ, renommée Engie en mai 2015.

Une ouverture et augmentation du capital de GRTgaz Ă  hauteur de 25 % - impliquant un consortium public – pour 1,1 milliard d'euros a Ă©tĂ© finalisĂ©e le 12 juillet 2011.

GRTgaz agit dans le secteur rĂ©gulĂ© de l'Ă©nergie : les tarifs de ses prestations sont publics et dĂ©cidĂ©s par l’État, et son action est contrĂ´lĂ©e par la CRE[8] (Commission de rĂ©gulation de l'Ă©nergie).

Si l’activitĂ© de GRTgaz est un monopole naturel, la sociĂ©tĂ© ne gère pas l’ensemble du transport de gaz naturel en France : TerĂ©ga, filiale d'un consortium Snam / GIC / EDF, est le gestionnaire du rĂ©seau de transport dans le quart sud-ouest de la France.

GRTgaz possède également une filiale en Allemagne, GRTgaz Deutschland (30 salariés), qui opère en collaboration avec Open Grid Europe le gazoduc MEGAL reliant la République Tchèque, l’Allemagne, l’Autriche et la France. Cette canalisation assure notamment l'approvisionnement en gaz naturel du sud de l’Allemagne et de la France.

En 2017, GRTgaz a également acquis la société Elengy, précédemment filiale directe d'Engie[9].

En juillet 2021, Engie annonce la vente d'une participation de 11,5 % dans GRTgaz au consortium regroupant le groupe Caisse des dépôts et consignations et CNP Assurances[10] - [1]. Cette nouvelle structure du capital est effective le 22 décembre 2021, date du closing (en).

Activités

GRTgaz exploite, entretient et développe un réseau de gazoducs faisant circuler du gaz naturel à haute pression et commercialise des capacités de transport auprès de ses clients, les expéditeurs de gaz naturel présents sur le marché français du gaz (158 à fin 2019[2]).
GRTgaz offre aussi des prestations de raccordement au réseau de transport[11], et permet aux clients industriels (733 à fin 2019[2]) d'accéder directement aux marchés de gros du gaz naturel, en choisissant librement leur fournisseur.

GRTgaz assure l’équilibre gĂ©nĂ©ral du système entre les entrĂ©es et les sorties de gaz et remplit des missions de service public pour garantir la continuitĂ© d’acheminement (transport) de gaz naturel, y compris par grand froid. La loi française prĂ©voit en effet que, mĂŞme en cas de froid exceptionnel, le rĂ©seau doit ĂŞtre en mesure de rĂ©pondre au pic de la demande des consommateurs[12]. Cette notion de froid exceptionnel est dĂ©finie par la loi comme :

  • un hiver froid tel qu’il s’en produit un tous les 50 ans ; dans le jargon gazier, c'est le « risque 2 % Â»[13],
  • des tempĂ©ratures extrĂŞmement basses pendant une pĂ©riode de trois jours au maximum, telles qu’il s’en produit tous les 50 ans.

Début 2018, GRTgaz crée un centre de R&D (dit RICE pour Research & innovation center for energy). Il reçoit les laboratoires d’analyses de la qualité du gaz existants et les anciennes activités "R&D infrastructures gazières" d’ Engie Lab Crigen[14]. Environ 100 personnes y travaillent quatre thèmes : 1) analyse et comptage des gaz, 2) canalisations, 3) performance et sécurité industrielles, 4) innovation/valorisation. Le centre est implanté dans un site à Villeneuve-la-Garenne (Hauts-de-Seine), mais aussi à Alfortville (Val-de-Marne)[15].

Le réseau de transport de GRTgaz

Depuis sa création, GRTgaz est propriétaire du réseau de transport qui est son outil industriel et son actif principal.

Les canalisations de transport de gaz naturel de GRTgaz

Le réseau de canalisations géré par GRTgaz concerne l’ensemble de la France à l’exception du sud-ouest. Il est composé :

  • d’un rĂ©seau principal long de 7 904 km Ă  fin 2019[2] : les plus grandes artères (diamètres de 400 mm Ă  1 200 mm et pressions de 67,7 Ă  95 bar, voire davantage ponctuellement) ;
  • d'un rĂ©seau rĂ©gional, long de 24 623 km Ă  fin 2019[2] : de plus petit diamètre (de 80 mm Ă  300 mm ; pression de 16 Ă  40 bar), ces gazoducs ont pour objet d’alimenter les clients industriels et les distributions publiques.

Les gazoducs sont en France quasi-systĂ©matiquement enterrĂ©s[16]. Ils sont principalement situĂ©s dans les zones rurales (90 %) et sont repĂ©rables par des bornes et balises jaunes, en surface, qui signalent leur proximitĂ© ; une bande de servitude, de 5 Ă  20 mètres de large, sur laquelle aucune vĂ©gĂ©tation haute ne doit pousser et aucune construction ne doit ĂŞtre implantĂ©e, permet Ă©galement d'en deviner la prĂ©sence en zone boisĂ©e. C’est donc en forĂŞt que le passage des gazoducs est le plus « visible », car leur tracĂ© constitue une bande dĂ©pourvue d'arbres hauts, dits de « haute tige »[Note 2].

Les autres installations industrielles de GRTgaz

Le gaz circulant dans ces canalisations perd de la vitesse et de la pression au fur et Ă  mesure de son parcours ; il faut donc le re-comprimer Ă  intervalles rĂ©guliers. Tous les 150 Ă  200 km environ, des compresseurs sont rassemblĂ©s dans une station de compression (le rĂ©seau GRTgaz en compte 26 Ă  fin 2019[2]), pour redonner de l'Ă©nergie cinĂ©tique au gaz. En outre, des stations d’interconnexion permettent d’orienter le gaz dans telle ou telle canalisation, Ă  l'image d'un rĂ©seau de distribution d'eau.

Les gazoducs et les stations de compression sont les principaux composants du rĂ©seau de transport de gaz naturel ; ils sont complĂ©tĂ©s par les stations d’interconnexion, les postes de sectionnement ou de coupure (4 812 Ă  fin 2019[2]) et les postes de dĂ©tente-livraison (4 368 Ă  fin 2019[2]). Des stations d'odorisation (31 Ă  fin 2019[2]) permettent d'injecter dans le rĂ©seau de transport un produit odorant, le tĂ©trahydrothiophène (THT), destinĂ© Ă  mettre en Ă©vidence d'Ă©ventuelles fuites notamment sur les rĂ©seaux avals de distribution.

Les investissements sur l'outil industriel

Chantier de pose de gazoduc.

GRTgaz a un programme d’investissements sur dix ans, pour développer et optimiser son outil industriel[17]. Les finalités de ce programme sont :

  • le dĂ©veloppement du rĂ©seau : dĂ©congestion des points d’entrĂ©e, de sortie du rĂ©seau, augmentation de la capacitĂ© de transport ;
  • le respect des obligations de service public : notamment le dimensionnement du rĂ©seau rĂ©gional afin de rĂ©pondre aux pics de consommation en cas d’hiver très froid ;
  • la sĂ©curitĂ© du rĂ©seau : dĂ©ploiement des normes de sĂ©curitĂ© rĂ©gissant les ouvrages de transport de gaz revues en 2006, sur les ouvrages Ă  venir comme les gazoducs et stations de compression existantes, pour une protection optimale des populations et de l’environnement ;
  • le respect de l’environnement : application des Ă©volutions de la rĂ©glementation environnement aux ouvrages, certification ISO 14001 des stations de compression ;
  • la fiabilisation et la maintenance des installations ;
  • le raccordement de nouveaux consommateurs sur le rĂ©seau de transport : notamment les centrales de production d’électricitĂ©.

En 2015, l'entreprise a investi 624 millions d'euros, dont 287 millions pour la maintenance des installations et 337 millions pour le développement des installations[18].

GRTgaz a dĂ©jĂ  investi plus de deux milliards d'euros entre 2013 et 2015, notamment dans le dĂ©veloppement des projets « Hauts de France II Â» et « Arc de Dierrey Â» (180 km) pour raccorder le nouveau terminal mĂ©thanier de Dunkerque, ou dans le dĂ©veloppement des interconnexions avec la Belgique, l’Allemagne et l’Espagne[17].

GRTgaz est responsable de l'entretien régulier de la signalétique associée à son réseau.

Critiques et controverses

GRTgaz a lancĂ© en 2007 un nouveau projet de gazoduc de 220 km entre les Bouches-du-RhĂ´ne et la DrĂ´me, pour augmenter les capacitĂ©s de transport de gaz naturel dans le Sud-Est français[18]. Ce projet, baptisĂ© Eridan, a fait l’objet d’études approfondies pour trouver les solutions de moindre impact, associĂ©es Ă  une politique de concertation sur plus de cinq ans, avec un dĂ©bat public organisĂ© sous l’égide de la Commission nationale du dĂ©bat public en 2009[19], une enquĂŞte publique en 2013 et de nombreuses rĂ©unions publiques.

Eridan a cependant suscité plusieurs critiques, notamment de la part des exploitants agricoles et des associations de riverains[20] en raison :

  • des contraintes de plusieurs infrastructures industrielles que subit dĂ©jĂ  la vallĂ©e du RhĂ´ne : LGV, autoroutes, centrale nuclĂ©aire… ;
  • des risques de servitude d'utilitĂ© publique dans les propriĂ©tĂ©s environnantes ;
  • de l'impact des produits acheminĂ©s sur l’environnement en cas d’incident.

Les négociations avec les parties prenantes locales ont conduit GRTgaz à faire évoluer le tracé du projet[21] - [22].

Le projet a reçu le feu vert du gouvernement français et a été déclaré d'utilité publique par arrêté interpréfectoral le 27 octobre 2014[21], mais un recours en annulation a été porté par des associations et communes[19]. GRTgaz a par la suite obtenu l’autorisation ministérielle de construire et d’exploiter l’ouvrage le (arrêté publié au Journal officiel le 16 janvier[23]).

Si Eridan reste inscrit dans le plan décennal de développement 2015-2024 de GRTgaz[17] (pour une mise en service après 2020), l'ouvrage est désormais conditionné par l’éventuelle création de nouvelles capacités d’entrée de gaz par le sud de la France :

  • renforcement de l’interconnexion gaz entre la France et l'Espagne (Projet MidCat-STEP en cours de nĂ©gociation) ;
  • nouvelles capacitĂ©s d’entrĂ©e crĂ©Ă©es dans les terminaux mĂ©thaniers de Fos-Tonkin et de Fos-Cavaou.

Nouvelles solutions énergétiques

GRTgaz participe Ă  la filière dite « gaz renouvelable Â»

Biométhane

GRTgaz permet l'injection dans le réseau de transport du biométhane issu du biogaz produit par méthanisation d'ordures ménagères, de biomasse-énergie ou de boues de stations d'épuration.

Le premier poste de raccordement de biométhane au réseau de transport français a été mis en service à Chagny (Saône-et-Loire) en 2015[24].

Power to gas

DĂ©monstrateur Power-to-Gas Jupiter 1000.

GRTgaz investit également dans la conversion d'électricité en gaz (ou power to gas), qui permet d’utiliser conjointement les surplus d’électricité d’origine renouvelable et de recycler les émissions de CO2 industrielles. Le méthane de synthèse ainsi produit par méthanation peut ensuite être injecté dans le réseau de transport de gaz. Décidé en 2015, le premier pilote industriel de ce type, Jupiter 1000, coordonné par GRTgaz, est en service depuis début 2020 à Fos-sur-Mer, en collaboration avec le Grand port maritime de Marseille[25].

Mobilité gaz

En matière de mobilité, GRTgaz contribue à développer le réseau d’avitaillement des véhicules roulant au gaz naturel véhicule (GNV), carburant contribuant à réduire les gaz à effet de serre (- 25 % de CO2 par rapport à l’essence et – 10 % de CO2 par rapport au diesel). Lorsqu’il est issu du biométhane (bioGNV), le GNV est 100 % renouvelable[26]. En 2022, 253 points d'avitaillement en gaz naturel comprimé ou en gaz naturel liquéfié sont ouverts au public et 81 sont en projet[27].

Innovations technologiques

Dans le domaine de l'innovation technologique, GRTgaz fait notamment usage de drones pour la surveillance de son réseau[28] et l'entretien de ses bandes de servitude, pour une meilleure prévention des risques naturels et humains, en complément des dispositifs traditionnels (survols en avion ou hélicoptère, inspections terrestres, centres de contrôle).

La récupération d'énergie thermique sur les postes de détente pour produire de l'électricité fait l'objet d'un projet avec le fabricant de turbines Enertime[29].

La rĂ©alitĂ© virtuelle est en outre utilisĂ©e par la sociĂ©tĂ© pour la formation des techniciens de maintenance : un casque immersif leur permet de simuler des actions de maintenance peu frĂ©quentes, sans pĂ©naliser le fonctionnement courant du rĂ©seau[30].

Notes et références

Notes

  1. Teréga est le second gestionnaire de réseau de transport de gaz naturel ou assimilé en France ; Teréga gère le réseau du sud-ouest de la France
  2. En cas de travaux publics ou privés à proximité de ces canalisations enterrés, il ne faut pas se fier uniquement aux indices que constituent la signalétique et les bandes de servitudes pour déterminer la position précise des canalisations enterrées. Pour des raisons de sécurité, la règlementation oblige à déclarer, avant tout terrassement, l'intention de commencement de travaux auprès des gestionnaires d'ouvrages situés dans la commune. Ces gestionnaires, dont GRTgaz, donneront alors toute consigne et effectueront tout repérage permettant de réaliser les travaux sans risquer d'atteindre les canalisations enterrées et de créer une fuite de gaz.

Références

  1. « Le Groupe Caisse des Dépôts monte au capital de GRTgaz », sur grtgaz.com, (consulté le )
  2. « Chiffres clés GRTgaz 2019 », sur grtgaz.com, (consulté le )
  3. Système national d'identification et du répertoire des entreprises et de leurs établissements, (base de données)
  4. Bilan 2015 de la société GRTgaz, sur societe.com, consulté le 10 avril 2017.
  5. « Composition du conseil d'administration », sur grtgaz.com, (consulté le )
  6. « Energymed, avril 2013 »
  7. « Portefeuille de la CDC Infrastructure », sur cdcinfrastructure.com (consulté le )
  8. cre.fr Site officiel de la Commission de régulation de l'énergie.
  9. « Délibération CRE N°2017-168 » [PDF], sur cre.fr, (consulté le )
  10. (en) Benjamin Mallet, « Utility ENGIE strikes deal to sell 11.5% in GRTGgaz and raises its 2021 outlook », sur Reuters,
  11. « Legifrance.gouv.fr, Délibération du 20 avril 2016 portant approbation des conditions générales des contrats de raccordement aux réseaux de transport de gaz de GRTgaz et TIGF »
  12. « Legifrance.gouv.fr, Décret n° 2015-1823 du 30 décembre 2015 relatif à la codification de la partie réglementaire du code de l'énergie »
  13. Ministère de l’industrie, de l’énergie et de l’économie numérique, Direction générale de l’énergie et du climat, Evaluation des risques susceptibles d’affecter la sécurité d’approvisionnement en gaz de la France, , 56 p. (lire en ligne)
  14. « ENGIE Lab CRIGEN | ENGIE », sur Engie.com (consulté le )
  15. Gomez E (2018) article GRTgaz crée un nouveau centre R&D| Environnement-Magazine |4 janvier 2018
  16. « Le gaz, comment ça marche ? », Module pédagogique, sur Commission de régulation de l'énergie (consulté le ).
  17. « Plan décennal de développement du réseau de transport de GRTgaz 2015-2024 » [PDF], sur GRTgaz, (consulté le ).
  18. « L'essentiel », Plaquette institutionnelle 2016 [PDF], sur GRTgaz, (consulté le ).
  19. « Projet Eridan », sur Commission nationale du débat public (consulté le ).
  20. Christophe Coffinier, « Le gazoduc Eridan est-il toujours pertinent ? », sur La Marseillaise (consulté le ).
  21. « CPDP Eridan Gaz », sur cpdp.debatpublic.fr (consulté le ).
  22. « Eridan: le protocoleagricole est dans les tuyaux » [PDF], sur GRTgaz, L'Agriculture Drômoise, (consulté le ).
  23. « Arrêté du 5 janvier 2015 autorisant la société GRTgaz à construire et exploiter la canalisation de transport de gaz naturel ou assimilé DN 1200 dite « ERIDAN » entre Saint-Martin-de-Crau (13) et Saint-Avit (26) », sur Légifrance, .
  24. « L'usine de méthanisation enverra le méthane dans le réseau GRTgaz », sur Le Journal de Saône-et-Loire, (consulté le ).
  25. « Site du projet Jupiter 1000 ».
  26. « Gaz renouvelables et économie circulaire », sur grtgaz.com, (consulté le )
  27. « Faire le plein de GNV », sur gnv-grtgaz.opendatasoft.com, (consulté le )
  28. « GRTgaz met le drone à l'épreuve », sur L'Usine nouvelle, (consulté le ).
  29. Eric Saudemont, « Enertime : une commande de 1,6 M€ de GRTgaz dans le cadre du projet Tenore », sur PĂ©trole & Gaz-Energies Nouvelles (consultĂ© le ).
  30. « GRTgaz préfère la réalité virtuelle à la réalité augmentée », sur Les Échos, (consulté le ).

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Bibliographie

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