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ForĂȘt de Haye

La forĂȘt de Haye [fɔʁɛ də ɛ] est un vaste massif forestier, d'environ 11 000 hectares, dont 6 500 de forĂȘt domaniale, situĂ© sur un plateau allant de Toul Ă  Nancy, dans le dĂ©partement français de Meurthe-et-Moselle.

ForĂȘt de Haye
Image illustrative de l’article ForĂȘt de Haye
ForĂȘt de Haye Ă  Chaligny en pĂ©riode hivernale
Localisation
CoordonnĂ©es 48° 40â€Č 35″ nord, 6° 03â€Č 59″ est
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Grand Est
DĂ©partement Meurthe-et-Moselle
GĂ©ographie
Superficie 10 000 ha
Altitude
· Maximale

420[1] m
Compléments
Statut majorité domaniale
Administration ONF pour la partie domaniale
Essences principalement hĂȘtre
GĂ©olocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
ForĂȘt de Haye
GĂ©olocalisation sur la carte : Lorraine
(Voir situation sur carte : Lorraine)
ForĂȘt de Haye
GĂ©olocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
(Voir situation sur carte : Meurthe-et-Moselle)
ForĂȘt de Haye

Histoire

La forĂȘt de Haye est relativement rĂ©cente Ă  l'Ă©chelle historique ; des observations au Lidar ont en effet rĂ©vĂ©lĂ© que le site Ă©tait largement occupĂ© par des exploitations agricoles durant l'Ă©poque gallo-romaine avant d'ĂȘtre recouvert par la forĂȘt[2].

Comblement des fonds de Toul

Avant 1705, sur la route de Nancy Ă  Toul, la traversĂ©e de la forĂȘt de Haye Ă©tait pĂ©rilleuse Ă  cause des brigands. Une rumeur dit mĂȘme que le duc LĂ©opold y fut victime d'une attaque, ce qui le conduisit Ă  construire une levĂ©e du cĂŽtĂ© de Nancy, pour surĂ©lever la route par rapport aux sous-bois environnants.

Mais c'est sous Stanislas que dĂ©marra en 1745 le comblement des fonds de Toul prĂšs du lieu-dit les Baraques, Ă  la limite de Champigneulles, Laxou et Velaine-en-Haye. Le remblaiement de ces deux gouffres emploiera les corvĂ©ables des subdĂ©lĂ©gations de Nancy, Pont-Ă -Mousson, VĂ©zelise et LunĂ©ville. Ceux-ci Ă©taient mobilisĂ©s pour deux ou trois semaines, parfois davantage. Ils Ă©taient logĂ©s sur place, d'oĂč le nom du lieu-dit, et devaient fournir eux-mĂȘmes les outils et animaux de traits. Les travaux dureront quinze ans, jusqu'en 1760. Ils permirent d'Ă©lever la route de 48 mĂštres au-dessus de son niveau prĂ©cĂ©dent[3].

Exploitation forestiĂšre

Petite Haye

Le massif de Haye constitue une exploitation forestiÚre, divisée en trÚs exactement 500 parcelles domaniales, no 1 vers le nord à no 500 vers le sud, et possédant en moyenne une vingtaine de parcelles par commune limitrophe du massif.

La forĂȘt est majoritairement composĂ©e de hĂȘtres, favorisĂ©s par le climat et le sous-sol calcaire, mais aussi d'autres essences comme les chĂȘnes, frĂȘnes, charmes ou Ă©rables.

Au XVIe siĂšcle, la forĂȘt Ă©tait menacĂ©e par le surpĂąturage et de nombreuses zones se transformaient en fourasses : des taillis dĂ©gradĂ©s au point de rendre la rĂ©gĂ©nĂ©ration difficile. Les ducs de Lorraine encadreront ensuite plus strictement son exploitation.

Au XIXe siÚcle, les droits d'affouage étaient encore une source de revenus importants pour les localités du voisinage.

Vers 1860, la gestion est passĂ©e d'un traitement en taillis sous futaie, destinĂ© au bois de chauffage, Ă  un traitement en futaie rĂ©guliĂšre de hĂȘtre pour produire du bois d'Ɠuvre[4].

AprĂšs 1870 la forĂȘt sera considĂ©rĂ©e comme un organe stratĂ©gique important pour la dĂ©fense du camp retranchĂ© de Toul. Son dĂ©frichement sera sĂ©vĂšrement contrĂŽlĂ© par l'autoritĂ© militaire[5].

GĂ©ographie

Situation

La forĂȘt de Haye, situĂ©e Ă  l'Ouest de l'agglomĂ©ration de Nancy, se dĂ©veloppe sur le vaste plateau calcaire de Haye. C'est le plus vaste massif forestier proche de Nancy et de son agglomĂ©ration.

Massif Haye (rĂ©partition du HĂȘtre sur les plateaux calcaires) OpenStreetMap et QGIS, mentions additionnelles[6]. Le village de Lironville a Ă©galement fait partie des « terres de Haye » (Leronville-en-Helz (1308))

DĂ©limitĂ©e, sur sa façade Ouest, par la boucle de la Moselle de Messein jusqu'Ă  Toul et par la cĂŽtes de Moselle sur la façade Est, la forĂȘt de Haye s'Ă©tend sur une vingtaine de communes meurthe-et-mosellanes, Ă  savoir : Aingeray, Bois-de-Haye (regroupement de Velaine-en-Haye et Sexey-les-Bois), Chaligny, Champigneulles, Chavigny, Frouard, Gondreville, Houdemont, Laxou, Liverdun, Ludres, Maron, MaxĂ©ville, Messein, Neuves-Maisons, VandƓuvre-lĂšs-Nancy, Villers-lĂšs-Nancy et Villey-le-Sec.

Contexte

Depuis 1937, l'urbanisation a rĂ©duit sa superficie d'environ 1 000 hectares. Durant la tempĂȘte Lothar de 1999, 2 000 hectares d'arbres furent balayĂ©s.

Elle est morcelée par les autoroutes A31 et l'A33 à la fois d'Est en Ouest en son centre et du Nord au Sud à l'Est, en rocade de l'agglomération de Nancy.

La forĂȘt possĂšde tous les amĂ©nagements nĂ©cessaires Ă  la randonnĂ©e ainsi qu'une base de loisirs, le parc de Haye. Une autre zone Ă  vocation touristique sont les fourasses de Laxou et Villers-lĂšs-Nancy, entre l'A33 et l'agglomĂ©ration nancĂ©ienne. Ces zones font l'objet d'une exploitation sylvicole adaptĂ©e pour prĂ©server les paysages.

GĂ©ologie

Il y a 164 à 170 millions d'années, lorsque son cours était au plus haut, la Moselle creusa la roche calcaire en formant des grottes, comme le gouffre des Chiens à Maron, la grotte du Chaos, la grotte de la CarriÚre et la grotte du Géant situées à Gondreville, etc. dont certaines furent occupées par les Hommes dÚs le néolithique[7] - [8]. Au total les communes du massif hébergent une soixantaine de grottes et diaclases explorées par les spéléologues[9].

Climat

Le plateau de Haye abrite le vallon de Bellefontaine, une entaille forestiĂšre aux versants encaissĂ©s disposant d'un microclimat dit de vallon froid[10]. Ce site accueille le seul ruisseau du plateau et l'on peut y trouver une vĂ©gĂ©tation de type submontagnard ainsi qu'une flore relique des Ă©poques glaciaires telle que l'ornithogale des PyrĂ©nĂ©es[11]. La tempĂ©rature la plus basse relevĂ©e a Ă©tĂ© atteinte lors de l'hiver de 1879-1880 avec −30 °C en [12]. Les prĂ©cipitations enregistrĂ©es sont de l'ordre de 800 mm par an[13].

Étymologie

La premiĂšre attestation du nom de la forĂȘt est silva Heis en 960[14]. Il s'agit d'une ancienne forme du mot haie, qui est issu du vieux bas francique *hagja. Le sens initial de la racine germanique est « enclos Â». En ancien français, il dĂ©signe une clĂŽture faite d'arbres, d'arbustes et d'Ă©pineux qui s'entrelacent. On a des attestations Ă  partir du XIIe siĂšcle de l'emploi du terme au sens de « terrain boisĂ© servant de zone de dĂ©fense, clĂŽturĂ© et rĂ©servĂ© Ă  la chasse Â». L'exemple de la forĂȘt de Haye et d'autres issus de la toponymie mĂ©diĂ©vale montrent que ce nom a Ă©tĂ© donnĂ© Ă  des forĂȘts clĂŽturĂ©es dĂšs le haut Moyen Âge[15].

Activités

Parc de Haye

La base de loisirs est située à Velaine-en-Haye, sur le terrain d'un ancien camp militaire américain appelé Les Baraques. Le site accueille des aires de jeu, un parcours de santé, les terrains d'entraßnement et le centre de formation de l'ASNL, un club de tennis, de boules, un centre équestre, le musée automobile de Lorraine, une ferme forestiÚre (ancien zoo), un minigolf, de nombreuses associations sportives ou de loisirs, un restaurant ainsi qu'une auberge.

Protection environnementale

À la suite des nombreuses atteintes Ă  ce massif, dues principalement Ă  l’urbanisation et Ă  la crĂ©ation d'infrastructures routiĂšres, plusieurs associations ont initiĂ©, le 4 octobre 2006, la dĂ©marche pour obtenir le classement en forĂȘt de protection. Plusieurs Ă©lĂ©ments, dont le refus en 2007 de la CommunautĂ© urbaine du Grand Nancy d’inscrire cette protection dans son projet d’agglomĂ©ration, ont conduit Ă  la crĂ©ation d’un collectif d’associations (Association pour la promotion et la sauvegarde du massif forestier de Haye, qui comporte 62 associations Ă  ce jour) et au lancement d’une pĂ©tition[16]. Le prĂ©fet de Meurthe-et-Moselle a rĂ©uni le comitĂ© de suivi du massif de Haye le 30 avril 2009 et a proposĂ© le lancement officiel des Ă©tudes visant Ă  ce classement, avec la crĂ©ation de cinq groupes de travail. Ceci a conclu Ă  un accord ministĂ©riel pour la rĂ©alisation d'une enquĂȘte publique qui a arrĂȘtĂ© un pĂ©rimĂštre, et a abouti au classement du massif le 30 octobre 2018[17].

Lieux et monuments

  • La source de La Vaux-de-Clef, sur la commune de Liverdun[18] (48° 44â€Č 51″ N, 6° 08â€Č 28″ E)
  • Abreuvoir Ă  chevaux, sur la commune de Liverdun (48° 44â€Č 10″ N, 6° 05â€Č 29″ E), datĂ© et utilisĂ© durant la PremiĂšre Guerre mondiale.
  • La source de l'AsnĂ©e Ă  Villers-lĂšs-Nancy (Ă©mergence des eaux du SpĂ©lĂ©odrome de Nancy) dont le captage fut construit de 1898 Ă  1906 et dont l'eau alimenta Nancy jusqu'en 1932[19].

Fort de Frouard

Le fort de Frouard, construit de 1879 à 1883 aprÚs l'annexion de l'Alsace-Lorraine en 1871, situé sur la commune de Champigneulles.

Batterie de l'Éperon

La batterie de l'Éperon Ă©galement construite de 1879 Ă  1883 aprĂšs l'annexion de l'Alsace-Lorraine en 1871, situĂ©e Ă  1,5 km au Nord-Est du fort de Frouard, sur la commune de Frouard[20] - [21].

Forteresse des Rays

La forteresse des Rays Ă©galement appelĂ© chĂąteau de Frouard qui est nommĂ© dans un acte du duc de Lorraine Ferry III en 1262[22]. SituĂ© sur un promontoire, il ne reste de cet Ă©difice qu’une enceinte polygonale flanquĂ©e de tours carrĂ©es, noyĂ©e dans la forĂȘt qui surplombe la vallĂ©e. FrĂ©quemment engagĂ©, il ne semble pas avoir subi de siĂšge avant d’avoir Ă©tĂ© entiĂšrement dĂ©truit au cours de la guerre de Trente Ans en 1633 sous le rĂšgne de Louis XIII, puis fut dĂ©mantelĂ© par Richelieu vers 1635. Les vestiges surplombent les villes de Frouard et Pompey et offrent un panorama d’exception sur la Moselle. Le chĂąteau se place en vis-Ă -vis avec le chĂąteau de l'Avant-Garde Ă  Pompey, un souterrain reliait ceux-ci sous la Moselle, ce souterrain a Ă©tĂ© dĂ©truit lors des travaux de canalisation en grand gabarit de celle-ci.

Mine du Val de Fer

La mine du Val de Fer à Neuves-Maisons, exploitée de 1874 à 1968.

Sites archéologiques

Fossés de la Cité d'Affrique envahis par la végétation

L'extrĂ©mitĂ© sud-est de la forĂȘt de Haye comporte les vestiges d'un site archĂ©ologique datant du Ve siĂšcle avant notre Ăšre.

Plus récemment, le plateau de Haye fut habité et cultivé à l'époque romaine, constituant un gigantesque site archéologique agraire antique réparti de part et d'autre d'une voie romaine allant de Frouard à Maron[23].

Site spéléologique

À la suite du fort accroissement de la population de l'agglomĂ©ration nancĂ©ienne liĂ© Ă  l'annexion de 1871, les besoins en eaux furent considĂ©rablement augmentĂ©s et un ensemble de galeries a Ă©tĂ© amĂ©nagĂ© par l'homme afin de rĂ©cupĂ©rer les eaux d'infiltration du plateau de Haye[24]. AbandonnĂ©es dĂšs les annĂ©es 1930, ces galeries dĂ©veloppant environ 6,6 km ont Ă©tĂ© rĂ©habilitĂ©es pour la pratique de la spĂ©lĂ©ologie par l'Union spĂ©lĂ©ologique de l'agglomĂ©ration nancĂ©ienne (USAN) en 1991[25] et sont gĂ©rĂ©es par la Ligue spĂ©lĂ©ologique lorraine (LISPEL)[26]. DĂ©sormais appelĂ©es le spĂ©lĂ©odrome de Nancy, elles servent de lieu de formation Ă  la spĂ©lĂ©ologie et la plongĂ©e souterraine. Chaque annĂ©e le site est ouvert au grand public par l'USAN Ă  l'occasion des JournĂ©es europĂ©ennes du patrimoine.

Au niveau de la commune de Pierre-la-Treiche un endokarst, situé sous le fond de la vallée de la Moselle et recoupé lorsque la riviÚre s'est encaissée, a conduit à la création du plus grand ensemble de cavités souterraines naturelles (39) du département et le plus important développement cumulé du département. Ces cavités, comme celles de Gondreville et Villey-le-sec, se développent en partie sous le massif forestier de Haye.

Notes et références

  1. « Carte IGN classique » sur Géoportail.
  2. Michel ReddĂ©, « OĂč est passĂ©e la forĂȘt gauloise ? », L'Histoire, no 503,‎ , p. 47.
  3. (fr)Albert Thiébaut, Laxou : Sa belle histoire, 1963, 198 p. ; reprod. en fac-sim. Le Livre d'histoire, coll. « Monographies des villes et villages de France » (no 1877), Paris, 2002 (ISBN 2-84373-254-9).
  4. (fr)Jacques Beckel, Michel Clausse, Jean-Luc Flot, Jean-Yvon Picard, et GĂ©rard Schwaller, « Écologie forestiĂšre et sylviculture », congrĂšs de l'Association des professeurs de biologie-gĂ©ologie (APBG) en Lorraine, 12 juillet 1994, sur le site de l'AcadĂ©mie de Nancy-Metz.
  5. (fr)Marc Gateau Leblanc, « L'usage militaire de la forĂȘt dans le Toulois de 1871 Ă  1914 », Institut de stratĂ©gie comparĂ©e (ISC), Commission française d'histoire militaire (CFHM) - Institut d'histoire des conflits contemporains (IHCC).
  6. Jean-Pierre Husson, « Le classement en forĂȘt de protection du massif de Haye », Revue gĂ©ographique de l'Est, Nancy, Association des gĂ©ographes de l'Est, vol. 49, nos 2-3,‎ (ISSN 0035-3213, lire en ligne, consultĂ© le )
  7. Michel Louis (dir.) et Daniel Lehmuller (dir.), Contribution à l'avancement du catalogue des cavités de Meurthe-et-Moselle, vol. 1 (Texte), t. III, Nancy, Union spéléologique de l'agglomération nancéienne, coll. « Travaux et recherches spéléologiques », , 124 p. (lire en ligne)
  8. Michel Louis (dir.) et Daniel Lehmuller (dir.), Contribution à l'avancement du catalogue des cavités de Meurthe-et-Moselle, vol. 2 (Planches), t. III, Nancy, Union spéléologique de l'agglomération nancéienne, coll. « Travaux et recherches spéléologiques », , 68 p. (lire en ligne)
  9. « IKARE : inventaire des phénomÚnes karstiques et des écoulements en milieu calcaire - Base de données spéléo-karstologique du bassin Rhin-Meuse et des régions limitrophes », sur université de Lorraine (consulté le )
  10. « Meurthe-et-Moselle. Le vallon de Bellefontaine à Champigneulles, au bonheur des amphibiens », sur L'Est républicain (consulté le )
  11. « Le Vallon de Bellefontaine », sur Champigneulles.fr (consulté le )
  12. Bulletin de la Société de Géographie de l'Est, Berger-Levrault, (lire en ligne)
  13. Maurice Bonneau, La forĂȘt française mĂ©tropolitaine Ă  l'aube du XXIĂšme siĂšcle, Editions L'Harmattan (ISBN 978-2-296-60161-1, lire en ligne)
  14. Pierre-Henri Billy, Dictionnaire des noms de lieux de la France : DNLF, Paris, Ă©ditions Errance, , 639 p. (ISBN 978-2-87772-449-4), p. 292.
  15. Pierre-Henri Billy, op. cit., p. 292.
  16. (fr)PĂ©tition pour la mise en place d'une forĂȘt de protection sur le massif de Haye
  17. DĂ©cret n° 2018-930 du 29 octobre 2018 portant classement comme forĂȘt de protection du massif de Haye
  18. « Fiche du phénomÚne no 54318009 (source de la Vaux de Clef) », sur IKARE, université de Lorraine
  19. « Promenade de l'Asnée », sur Villers-lÚs-Nancy (consulté le )
  20. « La batterie de l'Éperon », sur Fortiff’SĂ©rĂ©
  21. « La batterie de l’Éperon », sur ASPFF
  22. « Le chùteau fort de Frouard », sur association e-frouard
  23. Murielle Georges-Leroy, JĂ©rĂŽme Bock, Étienne Dambrine et Jean-Luc Dupouey, « Le massif forestier, objet pertinent pour la recherche archĂ©ologique : L'exemple du massif forestier de Haye (Meurthe-et-Moselle) », Revue gĂ©ographique de l'Est, Nancy, Association des gĂ©ographes de l'Est, vol. 49, nos 2-3 « Le massif forestier, objet gĂ©ographique »,‎ (ISSN 0035-3213, lire en ligne)
  24. J. Pertuy et M. Pertuy, « Notes historiques sur Hardeval Ă  Villers-lĂšs-Nancy », Villers au fil du temps, Raon-l'Ă©tape, Association des amis de l'histoire de Villers-lĂšs-Nancy, no 11,‎ , p. 33-48 (ISSN 0244-6391)
  25. « Le spéléodrome de Nancy », sur le site l'Union spéléologique de l'agglomération nancéienne (USAN) (consulté le )
  26. « commission Protection, environnement, patrimoine et équipements de la LISPEL », sur le site la Ligue spéléologique lorraine (LISPEL) (consulté le )

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