Maxéville
Maxéville (prononcer [maksevil][2] - [3] - [4] ou [maʃevil][5]) est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en Lorraine, dans la région administrative Grand Est.
Maxéville | |||||
Tour panoramique Les Aulnes. | |||||
Blason |
Logo |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Grand Est | ||||
Département | Meurthe-et-Moselle | ||||
Métropole | Métropole du Grand Nancy | ||||
Arrondissement | Nancy | ||||
Maire Mandat |
Christophe Choserot 2020-2026 |
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Code postal | 54320 | ||||
Code commune | 54357 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Maxévillois, Maxévilloises [1] | ||||
Population municipale |
9 816 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 1 744 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
286 041 hab. (2017) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 42′ 44″ nord, 6° 09′ 50″ est | ||||
Altitude | Min. 189 m Max. 365 m |
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Superficie | 5,63 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Nancy (banlieue) |
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Aire d'attraction | Nancy (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton Val de Lorraine Sud (bureau centralisateur) |
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Législatives | 6e circonscription de Meurthe-et-Moselle | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
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Liens | |||||
Site web | https://maxeville.fr/ | ||||
Géographie
Localisation
Maxéville est une commune limitrophe de Nancy, longée à l'est par la Meurthe et traversée par l'autoroute A31 en direction de Metz. On distingue globalement trois quartiers traditionnels : Meurthe-Canal, le Centre et Champ-le-Bœuf, ce dernier, à l'extrême ouest, partagé avec Laxou. Un quatrième quartier a vu le jour sur le Haut de Lesse, dominant la vieille ville de ses 320 mètres, les Aulnes, en bordure du Haut-du-Lièvre nancéien.
Carte OpenStreetMap. Carte topographique. Communes environnantes.
Urbanisme
Typologie
Maxéville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [6] - [7] - [8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nancy, une agglomération intra-départementale regroupant 28 communes[9] et 286 041 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[10] - [11].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12] - [13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (76,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (62,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (36,7 %), forêts (23,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (23,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (11,5 %), mines, décharges et chantiers (4,7 %)[14].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].
Habitat et logement
En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 4 454, alors qu'il était de 4 074 en 2014 et de 3 880 en 2009[I 1].
Parmi ces logements, 88,6 % étaient des résidences principales, 0,4 % des résidences secondaires et 11,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 26,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 67,4 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Maxéville en 2019 en comparaison avec celle de Meurthe-et-Moselle et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,4 %) inférieure à celle du département (2 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 33,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (33,8 % en 2014), contre 57,2 % pour la Meurthe-et-Moselle et 57,5 pour la France entière[I 3].
Voies de communication et transports
Maxéville est reliée au Grand Nancy grâce aux lignes du réseau de transport de l'agglomération nancéienne appelé Réseau Stan :
- Tempo 2 : Laxou Sapinière - Laneuveville Centre
- Ligne 13 : Maxéville St. Jacques - Dommartemont
- Ligne 32 : Maxéville Jean Lamour - Essey La Fallée
- Ligne 10 Sub : Chaligny / Neuves-Maisons / Vandœuvre CHU Brabois - Villers Campus Sciences / Pompey
- Ligne Corol (ligne circulaire desservant Vandœuvre, Jarville, Nancy, Laxou, Villers)
Toponymie
La commune est appelée dans les anciens titres Marchainville (village du marquis, ou aux marches, aux limites de la ville) et en patois Mahinville[16].
Autrefois Maxéville s'écrivait Machéville[17] et jusqu'au XXe siècle, les habitants ont appelé leur ville ainsi[18]. On peut toutefois voir sur la gravure de Melchior Tavernier sur le siège de Nancy durant la guerre de Trente Ans le nom de Marchinville[19].
Vocables : Marcheville (1224), Marcinvilla (1402), Maxéville (1600).
Histoire
Antiquité
Présences préhistorique et gallo-romaine.
Le chemin vicinal de Maxéville à Champigneulles, passe au dire de quelques personnes, pour une ancienne voie romaine. Cette tradition pourrait être appuyée par la découverte de vestiges d'un camp romain dans le bois qui domine ce chemin et le vallon de Champigneulles. Ce chemin s'appelle chemin de la Justice, à cause des fourches patibulaires qui se trouvaient à son extrémité[16].
Moyen Âge
Seigneurie en 1210.
Maxéville, village de l'ancien duché de Lorraine, qui a dépendu de la prévôté et du bailliage de Nancy, remonte à une époque assez éloignée : il en est parlé dans des titres du XIIe siècle. La maison de Lénoncourt y possédait des terres qu'elle tenait de la générosité des ducs de Lorraine. Cette seigneurie, après lui avoir appartenu, fut ensuite partagée à titre d'héritage, d'où vient qu'il y eut plusieurs châteaux[16].
Vers 1298, pendant la guerre qui eut lieu entre le duc Thiébaut II et le comte de Vaudémont, celui-ci étant entré en Lorraine avec 600 hommes, brula le village de Maxéville. C'est dix ans à peu près avant cet événement que Ferry III, qui par les affranchissements donnés aux serfs de ses États, s'était attiré la haine des seigneurs, fut enlevé par ces derniers dans les bois de Heys et amené prisonnier dans la tour de Maxéville[16].
M. Beaupré, après avoir établi l'authenticité de l'emprisonnement de Ferry III, a cherché à déterminer l'emplacement qu'occupait la fameuse tour où le duc fut détenu par Andrian des Armoises, et que les bourgeois de Nancy rasèrent complètement. D'autre part, deux seigneuries distinctes, dit-il, se partageaient au XVIIIe siècle le village de Maxéville[16].
Temps modernes
Sous l'ancien régime, ce village était pour l'époque considérable : on estime qu'avant la peste de 1630, il y avait plus de 900 habitants. Et il y existait, au XVIIe siècle, quelques usages religieux assez inhabituels[16].
Un lieu-dit de Maxéville porte le nom de Côte-le-Prêtre : c'était, dit-on, sur cette montagne voisine du village, que l'on déposait les pestiférés en attendant leur mort, et que le prêtre venait leur apporter les derniers secours[16].
Époque contemporaine
La grande brasserie viennoise de Maxéville a été construite en 1869 par Nicolas Galland (1816-1886), célèbre pour ses travaux de recherche sur le maltage ; mais la société est mise en liquidation en 1877 et vendue aux enchères. Elle devient alors la « Grande Brasserie de l'Est », qui produit 67 000 hectolitres en 1885. Elle fusionne en 1898 avec la brasserie Betting, sous le nom de « Grandes Brasseries réunies de Maxéville ». Elle a été remplacée par l'usine B2 et a disparu[20].
Deux mines de fer ont été exploitées au XXe siècle à Maxéville :
- la mine de Boudonville débouchant à côté de l'église Saint Martin (le train de la mine passe sous l'église) et dont le minerai alimentait les hauts-fourneaux de Maxéville ;
- la mine Arbed débouchant près du cimetière, qui a fermé en 1967 et dont le minerai était envoyé par transport fluvial pour alimenter les hauts-fourneaux du nord de la Lorraine[21].
D'autre part, sur les hauteurs, Maxéville possède un important gisement de calcaire oolithique qui a été exploité d'abord par la Société des Carrières de Maxéville, puis à partir de 1914 par la société Solvay. En 1927, Solvay a mis en service le TP Max pour acheminer le bâlin depuis la carrière jusqu'à son usine de Dombasle-sur-Meurthe. La carrière cessant son activité, le transporteur a été démonté en 1984.
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune se trouve dans l'arrondissement de Nancy du département de la Meurthe-et-Moselle.
Elle faisait partie de 1801 à 1973 du canton de Nancy-Nord, année où elle intègre le canton de Pompey. En 1997, elle intègre le canton de Villers-lès-Nancy[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune est depuis 2014 le bureau centralisateur du canton Val de Lorraine Sud
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de Meurthe-et-Moselle.
Intercommunalité
Maxéville est membre de la Métropole du Grand Nancy, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2016 par transformation de l'ancienne communauté urbaine Le Grand Nancy créée en 1996 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Tendances politiques et résultats
Lors du premier tour des élections municipales de 2014 en Meurthe-et-Moselle, la liste PS-PCF-EELV menée par Christophe Choserot obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1224voix (52,50 %, 22 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires), devançant de 117 voix la liste UDI menée par le maire sortant Henri Bégorre, qui a recueilli 1 107 voix (47,49 %, 7 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
Lors de ce scrutin42,47 % des électeurs se sont abstenus[23].
Lors du premier tour des élections municipales de 2020 en Meurthe-et-Moselle, la liste DVG menée par le maire sortant Christophe Choserot obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 027 voix (73,72 %, 26 conseillers municipaux élus dont 3 métropolitains), devançant très largement celle DIV menée par Alexandre Lamarque, qui a recueilli 366 voix (26,27 %, 3 conseillers municipaux élus)
Lors de ce scrutin marqué pat la pandémie de Covid-19 en France, 67,04 % des électeurs se sont abstenus[24].
Liste des maires
Distinctions et labels
- Ville fleurie : deux fleurs au palmarès 2007 du concours des villes et villages fleuris[30].
Jumelages
- Ramstein-Miesenbach (Allemagne)
- Poienile Izei (Roumanie), voir Poienile Izei (ro)
- Immouzer du Kandar (Maroc)
- Gao (Mali) (Mali)[31].
Équipements et services publics
Justice, sécurité, secours et défense
- 2009 : construction d’un centre pénitentiaire de 690 places.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].
En 2020, la commune comptait 9 816 habitants[Note 5], en diminution de 1,24 % par rapport à 2014 (Meurthe-et-Moselle : +0,06 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château de Gentilly construit en 1620 pour Henri Philippe argentier du duc Henri II de Lorraine, remanié au XVIIIe et fortement, dans sa décoration et sa distribution intérieures, dans la seconde moitié du XIXe. C'est également à cette époque que sont construits les dépendances, le pavillon du gardien et l'imposant jardin d'hiver ovale. Gentilly fut acheté par l'industriel lorrain Camille Cavallier en 1921 et il y mourut en 1926[35]. Ce château est aujourd'hui la maison de retraite N.-D. du Bon Repos, tenue par les sœurs de Saint Charles. De nombreux bâtiments ont été construits dans le parc à la fin du XXe et au début du XXIe pour les besoins de l'établissement.
- Château-Bas XVIIIe, remanié XIXe, actuellement mairie. Il possède un rare plafond peint à rapprocher de celui de l'hôtel Ferraris à Nancy.
- Château-Haut (a existé, mais il ne reste plus rien).
- Château Le Sauvoy, dit la « Grande-Maison », d'origine XVIe, remanié XIXe.
- Vieilles maisons de vignerons.
- Canal de la Marne au Rhin : port.
- Anciennes brasseries et caves des vins de la Craffe (ancien établissement viticole)
- Complexe Marie-Marvingt (dojo handball volley)
- Tour panoramique Les Aulnes
- Zénith de Nancy
- Chêne du Bon Dieu
- École supérieure du professorat et de l'éducation, équipée d'un planétarium numérique
- Maison d'arrêt de Nancy-Maxéville
- Église Saint-Martin XIXe : Vierge XIVe, tapisseries, orfèvrerie.
- Chapelle à l'institution Jean-Baptiste Thiery.
Personnalités liées à la commune
- Ferry III, dit le Chauve, duc de Lorraine fut enlevé et emprisonné sur les hauteurs du village[Note 6] par Adrian des Armoises, seigneur de Maxéville. Il parvint à faire parvenir sa bague à la duchesse Marguerite par l'intermédiaire d'un charpentier-couvreur appelé Petit Jean Dethillon. Celui-ci, en réparant le toit du pigeonnier, chantait la chanson de Ferry III, qui se signala à lui. Le couvreur prévint la femme du duc. Celle-ci envoya une troupe de soldats libérer son époux. Adrian des Armoises libéra le duc sans combattre.
Le duc punit Adrian des Armoises en saisissant terres et châteaux et il proscrivit les armoiries du blason maxévillois. Pendant plusieurs générations les seigneurs maxévillois ont payé par le sang les fautes de leurs ancêtres en envoyant à la guerre les fils de Maxéville. Petit Jean fut retrouvé par les seigneurs maxévillois et assassiné. Cependant le duc anoblit ses fils et sa famille, donnant souche à la famille du Hautoy[36]. - Camille Cavallier (1854-1926), grand industriel lorrain, acheta le château de Gentilly à Maxéville où il vécut de 1921 à sa mort en 1926[35].
- Jean Prouvé (1901-1984), architecte, avait ses ateliers à Maxéville.
- Guy Béart (1930-2015), chanteur français et père de l'actrice Emmanuelle Béart, ingénieur des Ponts et Chaussées de formation, y dirigea la construction d'un pont au-dessus de la route, à travers bois, des carrières SOLVAY.
- Mgr Jean-Pierre Cattenoz (né en 1945), archevêque d'Avignon, né à Maxéville.
- La mathématicienne Nicole El Karoui, pionnière des mathématiques financières a fréquenté l'école communale de Maxéville[37],
Héraldique
Blason | D'argent au pal engrêlé de gueules. |
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Détails | Il s'agit du blason de la maison de Maxéville, d'ancienne chevalerie, déjà éteinte au XVIe siècle. Il est utilisé par la commune depuis 1975. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel de la ville de Maxéville
- « Maxéville », Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, sur https://galeries.limedia.fr
- « Dossier complet : Commune de Maxéville (54357) », Recensement général de la population de 2019, INSEE, (consulté le ).
- « Maxéville », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- « Maxéville » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- La rue conduisant à l’Institut national supérieur du professorat et de l’éducation de Lorraine porte le nom de ce maire.
- Les écoles maternelles et élémentaires de la commune portent le nom de ce maire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- devenues par la suite les carrières Solvay, puis le site du Zénith de Nancy
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2019 à Maxéville » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Maxéville - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Maxéville - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la Meurthe-et-Moselle » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
- https://www.habitants.fr/meurthe-et-moselle-54
- « Eurofins à Maxéville analyse les eaux usées à la recherche de traces du Covid 19 » (consulté le )
- « Vœux 2021 du Maire de Maxéville Christophe Choserot » (consulté le )
- « Brasserie Hoppy Road : une affaire qui mousse à Maxéville » (consulté le )
- Jean-Marie Pierret, Phonétique historique du français et notions de phonétique générale, Peeters, Louvain-la-Neuve, 1994, p. 104.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Nancy », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Henri Lepage, Le département de La Meurthe : statistique historique et administrative, deuxième partie, Nancy, 1843
- Durival, Mémoire sur la Lorraine et le Barrois, Nancy, Henry Thomas, 1753, p. 479, « Maxéville, vulg. Machéville ».
- Le Pays lorrain, Volume 27, 1935
- Une guerre de trente ans en Lorraine, de Philippe Martin, professeur d'histoire moderne à l'université de Nancy 2, page 75
- Le grand livre de la bière en Lorraine, Philippe Voluer, éd. Pl Stanislas. p. 71.
- Michel Siméon, Petite histoire de la carrière Solvay de Maxéville et de son transporteur aérien : 1920-1984, Nancy, Mairie de Maxéville, , 1re éd., 251 p. (ISBN 978-2-9531841-0-5), p. 16-17.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Résultats officiels pour la commune Maxéville
- « Meurthe-et-Moselle (54) - Maxéville », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
- « Maire pendant près de 20 ans, qui était Paul Richard ? : Paul Richard a été élu maire en 1925 et a occupé cette fonction 19 ans durant. À Maxéville, une rue porte son nom. Mais savez-vous ce que l’élu a apporté à la commune ? », L'Est républicain, (lire en ligne, consulté le ).
- Céline Lutz, « Henri Begorre, l’ambassadeur français de l’eau : Depuis sa défaite aux municipales de mars dernier, l’ancien maire de Maxéville s’est consacré entièrement à sa mission au sein du Partenariat français pour l’Eau dont il est président. Il intervenait hier au premier Forum franco-jordanien de l’eau organisé à Amman », La Semaine Metz Nancy Thionville, (lire en ligne, consulté le ).
- Inès Pons-Teixeira, « Investiture d'Emmanuel Macron : Christophe Choserot, maire de Maxéville, parmi les invités », France 3 Grand Est], (lire en ligne, consulté le ) « Ce membre du parti "Renaissance" (anciennement la République en marche) nous relate ce temps fort de la politique française, vu de l'intérieur ».
- « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- Source : Villes et Villages Fleuris
- « Henri Bégorre, maire de Maxéville : Comment reconstruire le Mali après la prise de pouvoir des islamistes dans le Nord et l'intervention militaire française ? De nombreuses communes jumelées avec des villes maliennes se posent la question. C'est le cas notamment en Meurthe et Moselle », France Bleu Sud Lorraine, 27/3/2013 mise à jour le 24/12/2015 (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Mémoire de Maxéville - Domaine de Gentilly.
- références : la tour de Maxéville, Ferry 3
- Nicole El Karoui La bosse des maths, Le Monde, mardi 16 mai 2006.