Accueil🇫🇷Chercher

Estirac

Estirac est une commune française située dans le nord du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Rivière-Basse, qui s’allonge dans la moyenne vallée de l’Adour, à l’endroit où le fleuve marque un coude pour s’orienter vers l’Aquitaine.

Estirac
Estirac
Paysage dans les environs du village de Estirac
Blason de Estirac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Tarbes
Intercommunalité Communauté de communes Adour Madiran
Maire
Mandat
Maryse Bordier
2020-2026
Code postal 65700
Code commune 65174
DĂ©mographie
Gentilé Estiracais
Population
municipale
104 hab. (2020 en augmentation de 2,97 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 20 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 29′ 51″ nord, 0° 01′ 57″ est
Altitude Min. 158 m
Max. 169 m
Superficie 5,21 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Maubourguet
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Val d'Adour-Rustan-Madiranais
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Estirac
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Estirac
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Voir sur la carte topographique des Hautes-Pyrénées
Estirac
GĂ©olocalisation sur la carte : Occitanie
Voir sur la carte administrative d'Occitanie
Estirac

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Adour, l'Estéous, l'Ayza et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « vallée de l'Adour ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Estirac est une commune rurale qui compte 104 habitants en 2020, après avoir connu un pic de population de 212 habitants en 1821. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Maubourguet..

    Ses habitants sont appelés les Estiracais.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune d'Estirac se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe Ă  30 km Ă  vol d'oiseau de Tarbes[1], prĂ©fecture du dĂ©partement, et Ă  km de Maubourguet[2], bureau centralisateur du canton du Val d'Adour-Rustan-Madiranais dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Maubourguet[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Caussade-Rivière (2,3 km), Sombrun (2,8 km), Villefranque (3,0 km), Maubourguet (3,2 km), Labatut-Rivière (3,4 km), AuriĂ©bat (4,5 km), Lascazères (4,8 km), Ladevèze-Ville (4,9 km).

    Sur le plan historique et culturel, Estirac fait partie du pays de Rivière-Basse, qui s’allonge dans la moyenne vallée de l’Adour, à l’endroit où le fleuve marque un coude pour s’orienter vers l’Aquitaine[4].

    Carte de la commune d'Estirac et des proches communes.

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par l'Adour, le Estéous, l'Ayza, le ruisseau du Vieil-Adour et par deux petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[7] - [Carte 1].

    L'Adour, d'une longueur totale de 308,8 km, se forme dans la vallĂ©e de Campan en Haute-Bigorre de la rĂ©union de trois torrents : l'Adour de Payolle, l'Adour de Gripp et l'Adour de Lesponne et s'Ă©coule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le golfe de Gascogne Ă  Anglet, après avoir traversĂ© 118 communes[8].

    Le EstĂ©ous, d'une longueur totale de 45,3 km, prend sa source dans la commune de Souyeaux et s'Ă©coule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour Ă  Labatut-Rivière, après avoir traversĂ© 29 communes[9].

    L'Ayza, d'une longueur totale de 27,5 km, prend sa source dans la commune de Montaner et s'Ă©coule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Louet Ă  Hères, après avoir traversĂ© 13 communes[10].

    Climat

    Le climat est tempĂ©rĂ© de type ocĂ©anique dĂ» Ă  l'influence proche de l'OcĂ©an Atlantique situĂ© Ă  peu près 150 km plus Ă  l'ouest. La proximitĂ© des PyrĂ©nĂ©es fait que la commune profite d'un effet de foehn, il peut aussi y neiger en hiver, mĂŞme si cela reste inhabituel.

    Données climatiques à Estirac.
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0,6 1,3 2,7 5,2 8,3 11,6 14,1 13,9 11,7 8 3,6 1,3 6,9
    Température moyenne (°C) 5,3 6,1 7,8 10 13,3 16,7 19,3 19 17,2 13,3 8,5 5,8 11,9
    Température maximale moyenne (°C) 9,9 11 12,9 14,8 18,3 21,7 24,5 24 22,6 18,6 13,4 10,4 16,8
    Ensoleillement (h) 108,8 118,8 155,6 157,2 181,3 191,5 215,5 196,4 194,5 164,4 124,4 104,4 1 912,8
    PrĂ©cipitations (mm) 112,8 97,5 100,2 105,7 113,6 80,7 57,3 70,3 71 85,2 93 112,1 1 099,4
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale d'Ossun de 1961-1990[11].

    RĂ©seau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂŞt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive habitats : la « vallĂ©e de l'Adour »[13], d'une superficie de 2 694 ha, un espace oĂą les habitats terrestres et aquatiques abritent une flore et une faune remarquable et diversifiĂ©e, avec la prĂ©sence de la Loutre et de la Cistude d'Europe[14].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂŞt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensĂ©es sur la commune[15] : l'« ancienne gravière de Maubourguet » (11 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[16] et « l'Adour, de Bagnères Ă  Barcelonne-du-Gers » (2 786 ha), couvrant 59 communes dont 18 dans le Gers, une dans les Landes et 40 dans les Hautes-PyrĂ©nĂ©es[17] et une ZNIEFF de type 2[Note 4] - [15] : l'« Adour et milieux annexes » (3 634 ha), couvrant 60 communes dont 18 dans le Gers, une dans les Landes et 41 dans les Hautes-PyrĂ©nĂ©es[18].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Estirac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [19] - [I 2] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Maubourguet, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3] - [I 4].

    Place du village.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (79,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,3 %), forêts (19,2 %), zones agricoles hétérogènes (7,5 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    • Carte en couleurs prĂ©sentant l'occupation des sols.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Photo aĂ©rienne en couleurs de la commune.
      Carte orthophotogrammétrique de la commune.

    Logement

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 45[I 5].
    Parmi ces logements, 89.7 % sont des résidences principales, 6.2 % des résidences secondaires 4.1 % des logements vacants.

    Voies de communication et transports

    Cette commune est desservie par les routes départementales D 8, D 59 et D 259.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Estirac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée)[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Adour, l'Estéous et l'Ayza. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[24]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2000 et 2009[25] - [22].

    Estirac est exposĂ©e au risque de feu de forĂŞt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂŞts contre les incendies a Ă©tĂ© approuvĂ© par arrĂŞtĂ© prĂ©fectoral le pour la pĂ©riode 2020-2029. Le prĂ©cĂ©dent couvrait la pĂ©riode 2007-2017. L’emploi du feu est rĂ©gi par deux types de rĂ©glementations. D’abord le code forestier et l’arrĂŞtĂ© prĂ©fectoral du , qui rĂ©glementent l’emploi du feu Ă  moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du dĂ©partement. Ensuite celle Ă©tablie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brĂ»lage des dĂ©chets verts des particuliers. L’écobuage est quant Ă  lui rĂ©glementĂ© dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[26]

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Estirac.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[27].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (44,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 50 bâtiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 50 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 75 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Estirac au nord de Maubourguet

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[30] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    DĂ©nominations historiques :

    Étymologie : du nom de personnage latin Asterius et suffixe -acum (propriété d’Asterius).
    Nom occitan : Estirac.

    Histoire

    Cadastre napoléonien d'Estirac

    Le plan cadastral napoléonien d'Estirac est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[31].

    Politique et administration

    La mairie en 2016.
    Le foyer rural en 2016

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1795 Jean Peyrusse
    1795 1797 Joseph Setze
    1797 1807 Antoine Saint-Laurens
    1807 1816 Joseph Coustère
    1816 1832 Jean Ducos
    1832 1849 Joseph Coustère
    1849 1857 Jean Lartigue
    1857 1867 Jacques Coustère
    1867 1870 Pierre Latapie
    1870 1871 Jean Lartigue
    1871 1878 Pierre Latapie
    1878 1883 Jean Lartigue
    1883 1895 Honoré Lauga
    1895 1911 Charles Lannussol
    1911 1921 Ulysse Juston
    1921 1922 Armand de Nabias
    1922 1925 Anselme Dutrey
    1925 1925 Gaston de Nabias
    1925 1945 François Lagarde
    1945 1965 Henri Setze
    1965 1995 Armand de Nabias
    mars 1995 mars 2014 Hélène Boisson
    mars 2014 en cours Maryse Bordier

    Historique administratif

    Sénéchaussée de Lectoure, élection d'Armagnac, pays de Rivière-Basse, marquisat de Franclieu. Canton de Maubourguet (depuis 1790)[32].

    Intercommunalité

    Estirac appartient à la communauté de communes Adour Madiran créée en janvier 2017 et qui a la particularité de réunir 72 communes de Bigorre et Béarn.

    Services publics

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35]. En 2020, la commune comptait 104 habitants[Note 7], en augmentation de 2,97 % par rapport à 2014 (Hautes-Pyrénées : +0,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    150164168212201197199201194
    1856 1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    189176176184179159148167165
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    168165128132135148145140113
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
    87849494101104105101105
    2020 - - - - - - - -
    104--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee Ă  partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[38].

    Économie

    Emploi

    Taux de chĂ´mage
    200820132018
    Commune[I 6]8,6 %10,9 %11,3 %
    DĂ©partement[I 7]7,7 %9,4 %9,8 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lève Ă  62 personnes, parmi lesquelles on compte 75,8 % d'actifs (64,5 % ayant un emploi et 11,3 % de chĂ´meurs) et 24,2 % d'inactifs[Note 8] - [I 6]. Depuis 2008, le taux de chĂ´mage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Maubourguet, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂ´le[Carte 4] - [I 9]. Elle compte 10 emplois en 2018, contre 10 en 2013 et 12 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 41, soit un indicateur de concentration d'emploi de 24,4 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 51,6 %[I 10].

    Sur ces 41 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 9 travaillent dans la commune, soit 22 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 87,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 9,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le monument aux morts municipal.
    • SĂ©lection de vues de l'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste en 2016.
    • L'entrĂ©e.
      L'entrée.
    • Le clocher.
      Le clocher.

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    D'azur à la fasce ondée d'argent, accompagnée en chef d'une fleur de lys d'or et en pointe d'une grenouille du même, au chef cousu d'azur chargé d'un poisson d'argent.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[12].
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique d'Estirac » sur Géoportail (consulté le 3 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune d'Estirac » (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Maubourguet » (consulté le ).
    4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    5. Insee : Rapport statistique communal pour la ville d' Estirac
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Estirac » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Estirac » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Estirac et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Estirac et Maubourguet », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches d'Estirac », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. Frédéric Zégierman 1999, p. 362-363.
    5. Carte IGN sous GĂ©oportail
    6. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    7. « Fiche communale d'Estirac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    8. Sandre, « l'Adour »
    9. Sandre, « le Estéous »
    10. Sandre, « l'Ruisseau de Layza ou Ayza »
    11. « Climatologie mensuelle à Tarbes », sur le site de l'association InfoClimat (consulté le ).
    12. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    13. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Estirac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « site Natura 2000 FR7300889 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    15. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Estirac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « ZNIEFF l'« ancienne gravière de Maubourguet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « ZNIEFF « l'Adour, de Bagnères à Barcelonne-du-Gers » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF l'« Adour et milieux annexes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques près de chez moi - commune d'Estirac », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    24. DREAL Occitanie, « CIZI », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    25. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur www.gouvernement.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    26. « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie (PDPFCI) 2020 – 2029 », sur www.hautes-pyrenees.gouv.fr (consulté le )
    27. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur www.gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    29. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Estirac », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    30. Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Conseil Général des Hautes Pyrénées, 2000.
    31. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral d'Estirac en 1824
    32. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
    33. « Liste des juridictions compétentes pour Estirac », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.