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Montaner

Montaner (prononcer [mɔ̃tane] ; en bĂ©arnais Montaner ou MountanĂ©) est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques, en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.

Montaner
Montaner
ChĂąteau de Montaner.
Blason de Montaner
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes Adour Madiran
Maire
Mandat
Francis BiÚs-Péré
2020-2026
Code postal 64460
Code commune 64398
DĂ©mographie
Gentilé Montanerais
Population
municipale
433 hab. (2020 en diminution de 5,66 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 23 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 20â€Č 47″ nord, 0° 00â€Č 27″ ouest
Altitude Min. 237 m
Max. 363 m
Superficie 19,13 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Tarbes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays de Morlaàs et du MontanérÚs
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Montaner se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

    Elle se situe Ă  39 km par la route[Note 1] de Pau[2], prĂ©fecture du dĂ©partement, et Ă  27 km de MorlaĂ s[3], bureau centralisateur du canton du Pays de MorlaĂ s et du MontanĂ©rĂšs dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Vic-en-Bigorre[1].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Tarasteix (2,8 km), Casteide-Doat (3,1 km), Ponson-Debat-Pouts (3,2 km), Sanous (3,7 km), Pontiacq-Viellepinte (3,9 km), Talazac (4,0 km), Saint-LĂ©zer (4,2 km), Lamayou (4,3 km).

    Sur le plan historique et culturel, Montaner fait partie de la province du BĂ©arn, qui fut Ă©galement un État et qui prĂ©sente une unitĂ© historique et culturelle Ă  laquelle s’oppose une diversitĂ© frappante de paysages au relief tourmentĂ©[5].

    La forteresse dominant le village.

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Montaner.

    La commune est drainĂ©e par le Lys, le ruisseau de Layza ou Ayza, le ruisseau de CarbouĂšre, la Barmale, le Bergons, le ruisseau de Gatuch, le ruisseau le lys darrĂ©, et par divers petits cours d'eau, constituant un rĂ©seau hydrographique de 15 km de longueur totale[7] - [Carte 1].

    Le Lys, d'une longueur totale de 29,6 km, prend sa source dans la commune de Ger et s'Ă©coule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Échez Ă  Larreule, aprĂšs avoir traversĂ© 10 communes[8].

    L’Ayza, d'une longueur totale de 27,5 km, prend sa source dans la commune et s'Ă©coule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Louet Ă  HĂšres, aprĂšs avoir traversĂ© 13 communes[9].

    Le CarbouĂšre, d'une longueur totale de 17,3 km, prend sa source dans la commune de Ger et s'Ă©coule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Louet Ă  Bentayou-SĂ©rĂ©e, aprĂšs avoir traversĂ© 10 communes[10].

    La Barmale, appelĂ©e Ă©galement la Luzerte, d'une longueur totale de 16 km, prend sa source dans la commune de Ger et s'Ă©coule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans le canal de Luzerte Ă  Saint-LĂ©zer, aprĂšs avoir traversĂ© 6 communes[11].

    Le Bergons, d'une longueur totale de 25,1 km, prend sa source dans la commune de Moncaup et s'Ă©coule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour Ă  Saint-Mont, aprĂšs avoir traversĂ© 9 communes[12].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[13]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[14].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[13]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,8 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 087 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[16] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[17] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Lembeye », sur la commune de Lembeye, mise en service en 1972[18] et qui se trouve Ă  14 km Ă  vol d'oiseau[19] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 059,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[20]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et Ă  35 km[21], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[22], Ă  13,4 °C pour 1981-2010[23], puis Ă  13,8 °C pour 1991-2020[24].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensĂ©es sur la commune[25] - [Carte 2] :

    et une ZNIEFF de type 2[Note 7] - [25] - [Carte 3] : le « plateau de Ger et coteaux de l'Ouest tarbais » (6 409,37 ha), couvrant 26 communes dont 6 dans les PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques et 20 dans les Hautes-PyrĂ©nĂ©es[29].

    Urbanisme

    Typologie

    Montaner est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [30] - [31] - [32].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 153 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[33] - [34].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (74,3 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (74,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (44,6 %), forĂȘts (25 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (20,6 %), prairies (9,1 %), eaux continentales[Note 10] (0,4 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (0,3 %)[35].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 4].

    Lieux-dits et hameaux

    • Ainx
    • Belle Garde
    • Berry
    • Camabracq
    • ChĂąteau
    • GailhĂ©s
    • les Gueits
    • LassĂšgues
    • Lasserre
    • Lasserre-Nabias
    • Lasserre-Trauquet
    • Laulet
    • Maleix
    • Marseillou
    • Mouret
    • OrbĂšre
    • Parrain
    • Parsan d'OrbĂšres
    • Ser

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par les routes départementales 62, 63, 202, 225 et 425.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Montaner est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, la rupture d'un barrage[36]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[37].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par une crue Ă   dĂ©bordement lent de cours d'eau, notamment le Lys, le ruisseau la Barmale, le ruisseau de CarbouĂšre et le ruisseau de Layza. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 2009 et 2011[38] - [36].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montaner.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[39]. 63,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 11] - [40].

    Risque technologique

    La commune est en outre situĂ©e en aval de barrages de classe A[Note 12]. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[42].

    Toponymie

    Le toponyme Montaner apparaßt sous les formes Montanerius (vers 1030[43], cartulaire de l'abbaye de Saint-Pé[44]), Montanerium (1118[43], cartulaire du chùteau de Pau[45]) et Saint-Michel de Montaner (1675[43], réformation de Béarn[46]).

    Son nom béarnais est Montaner[47] ou Mountané[48].

    Ainx, hameau de la commune, est attesté sous les formes Anhx (1376[43], montre militaire de Béarn[49]), Ains (1675[43], réformation de Béarn[46] et Anx (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[43]).

    Le toponyme Gailhés apparaßt sous les formes Galie (1385[43], censier de Béarn[50]), Galhees et Galhes (respectivement 1538[43] et 1547[43], réformation de Béarn[46]) et GaillÚs (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[43]).

    Le toponyme Lasserre apparaßt sous les formes La Serre (XIIIe siÚcle[43], fors de Béarn[51]) et Saint-Martin de Lasserre (1675[43], réformation de Béarn[46]).

    Le toponyme Nabias apparaßt sous les formes Nabia (1385[43], censier de Béarn[50]) et Nabiaas (1547[43], réformation de Béarn[46]).

    Histoire

    Montaner doit son nom à un seigneur nommé Aner qui a choisi de s'y établir au VIIIe siÚcle.

    En 1370, Gaston Fébus en fait une place stratégique aux confins du Béarn face à la Bigorre et à l'Armagnac. Il y fait construire une forteresse dominant la vallée de l'Adour.

    Paul Raymond[43] note que la vicomté de Montaner était vassale des comtes de Gascogne et qu'en 1385, Montaner comptait quatre-vingt-six feux.

    Le bailliage de Montaner comprenait en 1385 les communes de Bentayou-Sérée, Casteide-Doat, Castéra, Ger, Labatut-FiguÚre, Lombia, Loubix, Luc, Lucarré, Maure, Momy, Mongaston (hameau de Lamayou), Monségur, Montaner, Ponson-Debat, Ponson-Dessus, Pontacq, Pontiacq-Viellepinte, Saubole et Sedze-Maubecq.

    Montaner était le chef-lieu d'une notairie comptant Aast, Casteide-Doat, Labatut-FiguÚre, Lamayou, Lombia, Lucarré, Maure, Momy, Mongaston (hameau de Lamayou), Monségur, Montaner, Ponson-Debat-Pouts, Ponson-Dessus, Pontiacq-Viellepinte, Samonzet (hameau de Lamayou), Sedze et Sérée.

    GailhÚs et Nabias étaient des fiefs vassaux[43] de la vicomté de Béarn.

    Lasserre Ă©tait au XIIIe siĂšcle le titre d'un archiprĂȘtrĂ© du diocĂšse de Tarbes[43].

    Liste des seigneurs de Montaner

    • Vicomtes de BĂ©arn : d'or aux deux vaches de gueules, accornĂ©es, colletĂ©es et clarinĂ©es d'azur, passant l'une sur l'autre.
      Vicomtes de Béarn : d'or aux deux vaches de gueules, accornées, colletées et clarinées d'azur, passant l'une sur l'autre.
    • Blason : famille de PĂ©guilhan : De gueules Ă  trois Ă©pĂ©es accostĂ©es d'argent garnies d'or les pointes en bas.
      Blason : famille de Péguilhan : De gueules à trois épées accostées d'argent garnies d'or les pointes en bas[52].

    Vicomte de Montaner

    • Dat, vicomte de Montaner
    • Otto-dato, fils de Dat, Vicomte de Montaner vers 970[53].
    • Guillaume Otton, fils d'Otto, vicomte de Montaner, vers 1060.
    • Bernard, fils de Guillaume, vicomte de Montaner.
    • Odon, successeur de Bernard, vicomte de Montaner.
    • Arnaud Aner de Montaner, vers 1096[54]

    La vicomté de Montaner dépend du seigneur de Béarn :

    • TalĂšse d'Aragon, vicomtesse de Montaner, petite fille et hĂ©ritiĂšre d’Arnaud-Aner, dernier vicomte du Montaneres, Ă©pouse en 1085 Gaston IV de BĂ©arn dit « Le croisĂ© », vicomte de BĂ©arn. Elle reçut en dot la vicomtĂ© de Montaner, qui passa ainsi dans le patrimoine des vicomtes de BĂ©arn.

    Maison de BĂ©arn[55]

    • Marthe de BĂ©arn, fille de Gaston VII de BĂ©arn, soustrait la vicomtĂ© de Montaner au domaine bĂ©arnais par mariage avec GĂ©raud VI d'Armagnac, Comte d'Armagnac en 1260. Mais les filles de Gaston VII, vicomte de BĂ©arn, autorisent leur pĂšre Ă  disposer de tous les biens qu'il possĂ©dait en deçà et au-delĂ  des PyrĂ©nĂ©es.
    • Marguerite de BĂ©arn, fille de Gaston VII de BĂ©arn hĂ©rite de la terre et chĂąteau de Montaner[56].

    Famille de PĂ©guilhan[57]

    • François de PĂ©guilhan (vers 1545-vers 1614), mariĂ© Ă  Catherine d'Abadie, seigneur de Montaner ;
    • Antoine de PĂ©guilhan, (vers 1614- ), mariĂ© en 1623 Ă  Marguerite d'Espagne, seigneur de Montaner ;
    • CĂ©sar de PĂ©guilhan, seigneur de Montaner ;
    • François de PĂ©guilan II, seigneur de Montaner ;
    • Urbain de PĂ©guilhan, seigneur de Montaner ;

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    ÉcartelĂ©, au premier et au quatriĂšme d'or Ă  la vache de gueules clarinĂ©es d'azur, au deuxiĂšme et au troisiĂšme d'azur Ă  la lettre M d'argent.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1995 2001 Robert Compayrot
    2001 En cours Dominique Lagahe

    Intercommunalité

    Montaner fait partie de quatre structures intercommunales[58] :

    • le SIVOM du canton de Montaner ;
    • le SIVOS de la vallĂ©e du Lys ;
    • le syndicat d'Ă©nergie des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques ;
    • le syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable (SIAEP) du Vic-Bilh MontanĂ©rĂšs.

    La commune accueille le siÚge du SIVOS de la vallée du Lys.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[59]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[60].

    En 2020, la commune comptait 433 habitants[Note 13], en diminution de 5,66 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    809812803857925944951902907
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    893839827825788786771738684
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    619621575527522501483468470
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    433391364409509465459459460
    2017 2020 - - - - - - -
    432433-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[61] puis Insee Ă  partir de 2006[62].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    Les vestiges d'un castelnau[63] du XIIIe siÚcle témoignent du passé ancien de la commune.

    Le chĂąteau de Montaner[64] a Ă©tĂ© Ă©difiĂ© au XIVe siĂšcle par Sicard de Lordat Ă  la demande de Gaston FĂ©bus pour protĂ©ger les frontiĂšres du BĂ©arn face Ă  la Bigorre et Ă  l'Armagnac. Il comprend une vaste enceinte polygonale percĂ©e de deux portes et hĂ©rissĂ©e d'un haut donjon carrĂ© classĂ© Ă  l'inventaire des monuments historiques depuis 1970. La porte du donjon par laquelle on accĂšde, encore aujourd'hui, Ă  la forteresse est surmontĂ©e du blason de Foix-BĂ©arn, lui-mĂȘme coiffĂ© de la formule "Febus me fe", soit "FĂ©bus me fit". Depuis 1854, le chĂąteau est mis en valeur et gĂ©rĂ© par le conseil gĂ©nĂ©ral des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques. En Ă©tĂ©, sont organisĂ©s de nombreux spectacles et animations sur le thĂšme du Moyen Âge.

    Le moulin de Moutoussé est aujourd'hui un écomusée retraçant la vie d'un meunier. Six moulins[65] étaient répertoriés sur le Lis en 1675.

    Montaner présente un ensemble de demeures et de fermes[66] des XVIIe, XVIIIe et XIXe siÚcles.

    Patrimoine religieux

    Le morcellement du territoire communal en plusieurs hameaux explique l'existence de quatre Ă©glises Ă  Montaner.

    Ces églises recÚlent du mobilier[67] - [68] - [69] - [70], des tableaux[71] - [72] - [73], des statues[74] - [75] - [76] et des objets[77] - [78] - [79] inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel.

    L'Ă©glise Saint-Michel

    • L'Ă©glise Saint-Michel de Montaner.
      L'Ă©glise Saint-Michel de Montaner.
    • La clef de voĂ»te de l'Ă©glise.
      La clef de voûte de l'église.
    • DĂ©tail du retable majeur, XVIIIe siĂšcle.
      DĂ©tail du retable majeur, XVIIIe siĂšcle.
    • Vierge Ă  l'enfant, XVIIIe siĂšcle.
      Vierge Ă  l'enfant, XVIIIe siĂšcle.
    • Des murs peints de la fin du Moyen Âge.
      Des murs peints de la fin du Moyen Âge.
    • Fresque de la fin du Moyen Âge reprĂ©sentant le jugement dernier, dans l'Ă©glise Saint-Michel.
      Fresque de la fin du Moyen Âge reprĂ©sentant le jugement dernier, dans l'Ă©glise Saint-Michel.
    • La rĂ©surrection, dĂ©tail de la fresque du jugement dernier.
      La résurrection, détail de la fresque du jugement dernier.
    • La moisson des Ăąmes.
      La moisson des Ăąmes.

    L'Ă©glise Saint-Michel[80] de Montaner, bĂątie dĂšs le XIe siĂšcle sur les pentes de la butte supportant la forteresse, a Ă©tĂ© classĂ©e en 1957 comme monument historique. Cet Ă©difice gothique abrite un remarquable ensemble de fresques[81] du XVe siĂšcle et un retable monumental datant du XVIIIe siĂšcle que l'on attribue Ă  Marc FerrĂšre. Les fresques ont Ă©tĂ© recouvertes de chaux par les protestants, ce qui les a abĂźmĂ©es tout en les protĂ©geant de la lumiĂšre. Le cĂŽtĂ© intĂ©rieur du mur d'entrĂ©e est ornĂ© d'une grande fresque reprĂ©sentant le jugement dernier. On y voit entre autres une intĂ©ressante moisson des Ăąmes oĂč un dĂ©mon charge sa hotte de ceux qu'il emmĂšne en enfer. On y voit un homme aux mains coupĂ©es — un voleur —, deux moines Ă  la tĂȘte tonsurĂ©e, une figure portant un bonnet - peut-ĂȘtre une femme juive -, et une tĂȘte couronnĂ©e : quel que soit leur rang temporel, tous les pĂȘcheurs seront chĂątiĂ©s.
    On trouve des thĂšmes et une maniĂšre proche dans d'autres Ă©glises de la rĂ©gion, Ă  Saint-Michel de CastĂ©ra-Loubix et Ă  Saint-Étienne de Lamayou, Ă  Peyraube.

    Les autres Ă©glises

    Au nord-ouest de la commune, l'église Saint-André d'Ainx, rebùtie aprÚs les guerres de Religion, présente un beau portail du XVIIIe siÚcle[82].

    L’église Saint-Martin de Lasserre, datant partiellement du XVe siĂšcle, comporte un clocher-mur et renferme un retable du XVIIe siĂšcle attribuĂ© Ă  Dominique FerrĂšre[83].

    L'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste de Parsan date du XVIIIe siĂšcle et contient un mobilier du XVIIe siĂšcle et du XVIIIe siĂšcle[84].

    Patrimoine culturel immatériel

    Les sérénades de Montaner *
    Domaine Pratiques festives
    Lieu d'inventaire Nouvelle-Aquitaine
    Montaner
    * Descriptif officiel MinistĂšre de la Culture (France)

    Chaque annĂ©e, lors des FĂȘtes de Montaner, les jeunes ĂągĂ©s de 18 ans, Ă  peine majeur, font le tour du village afin de se prĂ©senter aux habitants. Cette tradition, appelĂ©e "SĂ©rĂ©nade"[85] a Ă©tĂ© reconnue par le ministĂšre de la culture et inscrite Ă  l'Inventaire du patrimoine culturel immatĂ©riel en France en 2013.

    Équipements

    Éducation

    Montaner dispose d'une Ă©cole maternelle.

    Personnalités liées à la commune

    TalÚse d'Aragon était une noble aragonaise, épouse du vicomte Gaston IV de Béarn. Elle épousa en 1085 Gaston (futur Gaston IV de Béarn) fils du vicomte de Béarn Centulle V. Elle reçut en dot la vicomté de Montaner.

    Sicard de Lordat fut un architecte du XIVe siÚcle originaire du comté de Foix qui travailla pour Gaston Fébus. Le chùteau de Montaner fait partie de ses réalisations.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[15].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    11. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    12. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[41].
    13. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Montaner » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « ZNIEFF de type I sur la commune de Montaner », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Montaner », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Montaner », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Montaner et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Montaner et Morlaàs », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Montaner », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    6. Carte IGN sous GĂ©oportail
    7. « Fiche communale de Montaner », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    8. Sandre, « le Lys ».
    9. Sandre, « le Ruisseau de Layza ou Ayza ».
    10. Sandre, « le Ruisseau de CarbouÚre ».
    11. Sandre, « la Barmale ».
    12. Sandre, « le Bergons ».
    13. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
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    15. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    16. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    17. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
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    21. « Orthodromie entre Montaner et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    52. Armorial de J-B RIESTAP
    53. Acte de fondation du monastĂšre Saint-Orens.
    54. Chartre de la dédicace de l'église de Saint-Pé.
    55. Histoire de Béarn, contenant l'origine des rois de Navarre, des ducs de Gascogne... avec diverses observations géographiques & historiques... par Me Pierre de Marca... [avec les Notes de François de Moncade touchant les seigneurs de Béarn, et deux lettres escrites par lui à l'auteur], Pierre de Marca, chez la Veuve Jean Camusat, 1640 - 850 pages
    56. Testament de Gaston VII, AD64, SĂ©rie E293
    57. Dictionnaire de la noblesse: contenant les généalogies, l'histoire & la chronologie des familles nobles de France, l'explication de leurs armes & l'état des grandes terres du royaume... : on a joint à ce dictionnaire le tableau généalogique, historique, des maisons souveraines de l'Europe, & une notice des familles étrangÚres, les plus anciennes, les plus nobles & les plus illustres, François-Alexandre Aubert de La Chesnaye-Desbois, Chez La Veuve Duchesne et l'auteur, 1776.
    58. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
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    62. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    63. « le castelnau », notice no IA00027219, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    64. Notice no PA00084452, Notice no PA00084451, le chĂąteau de Montaner
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    66. Notice no IA00027239, Notice no IA00027238, Notice no IA00027232, Notice no IA00027231, Notice no IA00027230, Notice no IA00027229, Notice no IA00027228, Notice no IA00027227, Notice no IA00027225, Notice no IA00027224, base Mérimée, ministÚre français de la Culture, les demeures et fermes anciennes
    67. MinistĂšre de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'Ă©glise Saint-Michel
    68. MinistĂšre de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste
    69. MinistĂšre de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'Ă©glise Saint-Martin
    70. MinistÚre de la Culture, base Palissy - Notice sur le mobilier de l'église Saint-André
    71. MinistĂšre de la Culture, base Palissy - Notices sur les tableaux de l'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste
    72. MinistĂšre de la Culture, base Palissy - Notice sur le tableau de l'Ă©glise Saint-Martin
    73. MinistĂšre de la Culture, base Palissy - Notice sur le tableau de l'Ă©glise Saint-Michel
    74. MinistĂšre de la Culture, base Palissy - Notice sur les statues de l'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste
    75. MinistĂšre de la Culture, base Palissy - Notice sur les statues de l'Ă©glise Saint-Martin
    76. MinistĂšre de la Culture, base Palissy - Notices sur les statues de l'Ă©glise Saint-Michel
    77. MinistĂšre de la Culture, base Palissy - Notices sur les objets de l'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste
    78. MinistÚre de la Culture, base Palissy - Notice sur les objets référencés de l'église Saint-Martin
    79. MinistÚre de la Culture, base Palissy - Notices sur les objets référencés de l'église Saint-Michel
    80. Notice no IA00027234, Notice no IA00027233, base Mérimée, ministÚre français de la Culture, l'église Saint-Michel
    81. MinistĂšre de la Culture, base Palissy - Notices sur les fresques de l'Ă©glise Saint-Michel
    82. « l'église Saint-André », notice no IA00027237, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    83. « l'église Saint-Martin », notice no IA00027235, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    84. « l'église Saint-Jean-Baptiste », notice no IA00027236, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    85. « Sérénades de Montaner », sur https://www.culture.gouv.fr/ (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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