Accueil🇫🇷Chercher

Moncaup (Pyrénées-Atlantiques)

Moncaup (prononcé [mɔ̃ko] ; en béarnais Montcauv ou Mouncaup) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Moncaup
Moncaup (Pyrénées-Atlantiques)
La mairie de Moncaup.
Blason de Moncaup
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes du Nord-Est Béarn
Maire
Mandat
Gabriel Hugues
2020-2026
Code postal 64350
Code commune 64390
Démographie
Gentilé Moncaupais ou Moncaupois
Population
municipale
157 hab. (2020 en augmentation de 2,61 % par rapport à 2014)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 29′ 06″ nord, 0° 03′ 25″ ouest
Altitude Min. 171 m
Max. 291 m
Superficie 11,35 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Moncaup
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Moncaup
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Voir sur la carte topographique des Pyrénées-Atlantiques
Moncaup
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Moncaup

    Géographie

    Localisation

    La commune de Moncaup se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

    Elle se situe à 42 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 39 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lembeye[1].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Monpezat (2,2 km), Corbère-Abères (2,8 km), Bétracq (3,2 km), Bassillon-Vauzé (3,4 km), Lascazères (3,6 km), Bétracq (3,9 km), Lahitte-Toupière (4,4 km), Hagedet (4,5 km).

    Sur le plan historique et culturel, Moncaup fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Moncaup.

    La commune est drainée par le Bergons, le Larcis, le Louet, le ruisseau de Mortères, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[7] - [Carte 1].

    Le Bergons, d'une longueur totale de 25,1 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Saint-Mont, après avoir traversé 9 communes[8].

    Le Larcis, d'une longueur totale de 34,8 km, prend sa source dans la commune de Luc-Armau, et s'écoule vers le nord-ouest. Il se jette dans le Léez à Projan, après avoir traversé 20 communes[9].

    Le Louet, d'une longueur totale de 44,3 km, prend sa source dans la commune de Gardères et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Castelnau-Rivière-Basse, après avoir traversé 22 communes[10].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[12].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[11]

    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 039 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lembeye », sur la commune de Lembeye, mise en service en 1972[16] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[17] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 1 059,8 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 32 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[20], à 13,4 °C pour 1981-2010[21], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[22].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : les « coteaux de Castetpugon, de Cadillon et de Lembeye »[24], d'une superficie de 220 ha, présentant des pelouses calcaires riches en orchidées et autres plantes rares régionalement, globalement bien conservées[25] - [Carte 2].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 7] est recensée sur la commune[26] - [Carte 3] : les « coteaux calcaires du Béarn » (461,36 ha), couvrant 20 communes du département[27].

    Urbanisme

    Typologie

    Moncaup est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [28] - [29] - [30]. La commune est en outre hors attraction des villes[31] - [32].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,9 %), terres arables (31,2 %), prairies (19 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %)[33].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

    Lieux-dits et hameaux

    • Ancien Moulin ;
    • Basté ;
    • Bourdalès ;
    • Boutigué ;
    • Camau ;
    • le Château ;
    • Coteaux en delà de Larcis ;
    • Domenjou ;
    • Duviau ;
    • Floris ;
    • Latrille ;
    • Mayné ;
    • Pantalou ;
    • Poublan.

    Voies de communication et transports

    Elle est desservie par les routes départementales 51, 142 et 221.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Moncaup est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[34]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[35].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à  débordement lent de cours d'eau, notamment le Louet, le Bergons et le Larcis. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990 et 2009[36] - [34].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Moncaup.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[37]. 92,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 9] - [38].

    Risque technologique

    La commune est en outre située en aval de barrages de classe A[Note 10]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[40].

    Toponymie

    Le toponyme Moncaup apparaît sous les formes Mont-Caup (1343[41], hommages de Béarn[42]), Moncaub (1402[41], censier de Béarn[43]), Moncamp et Sainte-Luce de Moncaup (respectivement 1546[41] et 1680[41], réformation de Béarn[44]).

    Son nom béarnais est Montcauv[45] ou Mouncaup[46].

    Histoire

    En 1385, la commune comptait cinquante-deux feux et dépendait du bailliage de Lembeye. À cette même époque, Monpezat était une annexe de Moncaup.

    Les Hospitaliers

    Paul Raymond[41] note que Moncaup était un membre de la commanderie des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem de Caubin et Morlaàs.

    Héraldique

    Blason Blasonnement :
    D'or à la montagne de trois coupeaux, deux de sinople sommés d'un de gueules, mouvant d'une muraille crénelée et défendue d'une tour et deux demies, le tout mouvant de la pointe et des flancs, d'argent maçonné et ajouré de sable; au chef d'azur chargé de trois coquilles d'argent[47]

    Politique et administration

    Liste des maires de Moncaup
    Période Identité Étiquette Qualité
    1995 2008 Raymond Lansaman agriculteur
    2008 2014 Gabriel Hugues viticulteur
    2014 En cours Gabriel Hugues viticulteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    Moncaup fait partie de cinq structures intercommunales[48] :

    • la communauté de communes du canton de Lembeye en Vic-Bilh ;
    • le SIVU de la voirie du canton de Lembeye ;
    • le SIVU de regroupement pédagogique d'Aurions-idernes, Arrosès, Séméacq-Blachon et Moncaup ;
    • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
    • le syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable (SIAEP) du Vic-Bilh Montanérès.

    Moncaup accueille le siège du SIVU de regroupement pédagogique d'Aurions-idernes, Arrosès, Séméacq-Blachon et Moncaup.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[50].

    En 2020, la commune comptait 157 habitants[Note 11], en augmentation de 2,61 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    488617745829732824837754755
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    764690650653617614607661603
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    514513454394337312295270232
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    239192164165177144151154158
    2014 2019 2020 - - - - - -
    153159157------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[52].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune fait partie des zones d'appellation d'origine contrôlée (AOC) du madiran, du pacherenc-du-vic-bilh et du béarn.

    Culture locale et patrimoine

    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • Le terrain de sport.
      Le terrain de sport.
    • L'église Sainte-Lucie.
      L'église Sainte-Lucie.
    • Vignes à Moncaup.
      Vignes à Moncaup.

    Patrimoine civil

    Les vestiges d'un ancien ensemble fortifié[53] du XIe siècle témoignent du passé ancien de la commune.

    Une croix de chemin[54] se dresse au lieu-dit le Château, et date de la limite XIXe et XXe siècles.

    Moncaup présente un ensemble de demeures et de fermes[55] dont la construction s'étale du XVIIe siècle au XIXe siècle, ainsi qu'une fontaine-lavoir[56] du XIXe siècle.

    Un ancien moulin[57], signalé dès 1675, est également visible sur la commune.

    Enfin le village a consenti en 2009 un effort considérable pour la restauration de son lavoir, des fontaines et sources. Il y a quatre circuits de 4 à 15 km pour en faire le tour ! Attention certaines ne sont pas facilement accessibles mais des ex-voto témoignent de leur fréquentation.

    Patrimoine religieux

    L'actuelle église Sainte-Lucie[58] fut construite après 1903 pour remplacer l'ancien édifice[59] qui datait du haut Moyen Âge et qui fut abattue vers 1901. Elle recèle du mobilier[60], un tableau[61], des verrières[62] et des objets[63] inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel.

    Équipements

    Éducation

    La commune dispose d'une école élémentaire.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[13].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    10. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[39].
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Moncaup » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Moncaup », sur www.geoportail.gouv.fr.
    3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Moncaup », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Moncaup », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Moncaup et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Moncaup et Serres-Castet », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Moncaup », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. « Fiche communale de Moncaup », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    8. Sandre, « le Bergons ».
    9. Sandre, « le Larcis ».
    10. Sandre, « le Louet ».
    11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    12. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    13. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    14. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    15. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Lembeye - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Moncaup et Lembeye », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station Météo-France Lembeye - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    19. « Orthodromie entre Moncaup et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    21. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    22. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    23. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    24. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Moncaup », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « site Natura 2000 FR7200779 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « Liste des ZNIEFF de la commune de Moncaup », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF les « coteaux calcaires du Béarn » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    29. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    30. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    31. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    32. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    33. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    34. « Les risques près de chez moi - commune de Moncaup », sur Géorisques (consulté le )
    35. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    36. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur www.pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    37. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    38. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    39. Article R214-112 du code de l’environnement
    40. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur www.pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    41. Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
    42. Manuscrit de 1343 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    43. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
    44. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
    45. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique » [PDF] (consulté le ).
    46. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
    47. de France
    48. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
    49. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    50. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    51. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    52. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    53. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'ensemble fortifié
    54. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la croix de chemin
    55. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notices sur les maisons et fermes anciennes
    56. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la fontaine-Lavoir
    57. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'ancien moulin
    58. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la nouvelle église Sainte-Lucie
    59. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'ancienne église Sainte-Lucie
    60. Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'église Sainte-Lucie
    61. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur le tableau de l'église Sainte-Lucie
    62. Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les verrières de l'église Sainte-Lucie
    63. Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les objets de l'église Sainte-Lucie

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.