Concoules
Concoules est une commune française située dans le nord du département du Gard, en région Occitanie.
Concoules | |
L'Ă©glise et son clocher Ă peigne. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
DĂ©partement | Gard |
Arrondissement | AlĂšs |
Intercommunalité | AlÚs Agglomération |
Maire Mandat |
Jean-Marie Malaval 2020-2026 |
Code postal | 30450 |
Code commune | 30090 |
DĂ©mographie | |
Population municipale |
263 hab. (2020 ) |
Densité | 16 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 44° 23âČ 01âł nord, 3° 56âČ 20âł est |
Altitude | Min. 355 m Max. 1 507 m |
Superficie | 16,47 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de La Grand-Combe |
LĂ©gislatives | CinquiĂšme circonscription |
Localisation | |
ExposĂ©e Ă un climat mĂ©diterranĂ©en, elle est drainĂ©e par la CĂšze, l'Homol, la Connes, l'Amalet, la riviĂšre du Pont Brignet, le ruisseau de Gourdouse et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les CĂ©vennes, la commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : trois sites Natura 2000 (le « mont LozĂšre », les « hautes vallĂ©es de la CĂšze et du Luech » et « les CĂ©vennes ») et trois zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.
Concoules est une commune rurale qui compte 263 habitants en 2020, aprÚs avoir connu un pic de population de 1 346 habitants en 1866. Ses habitants sont appelés les Concoulois ou Concouloises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protĂ©gĂ© au titre des monuments historiques : l'Ă©glise Saint-Ătienne, inscrite en 1949.
GĂ©ographie
Localisation
La commune est située dans le nord du département du Gard. Elle est limitrophe de la LozÚre.
Communes limitrophes
GĂ©ologie et relief
Concoules se trouve Ă 635 mĂštres d'altitude dans la haute vallĂ©e de la CĂšze, tout de suite Ă l'est du Mont LozĂšre qui domine le territoire communal de sa crĂȘte qui monte de 1 350 mĂštres (plateau de la Croix de l'Hermite qui comporte le plus haut col du Gard : le col du PrĂ© de la Dame Ă 1 474 mĂštres et le second sommet du dĂ©partement au Signal de Costelades Ă 1 508 mĂštres aprĂšs le mont Aigoual) sur la route en direction de la station du Mas de la Barque surplombĂ© par le pic Cassini (1 685 mĂštres, en LozĂšre).
Hydrographie
Plusieurs ruisseaux passent sur le territoire de la commune, petits affluents et sous-affluents de la CÚze. La route Génolhac - Mas de la Barque constitue d'ailleurs une des plus fortes dénivellations du Massif central avec celle de Valleraugue - le mont Aigoual.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[2].
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Genolhac », sur la commune de GĂ©nolhac, mise en service en 1974[7] et qui se trouve Ă 4 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 633 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Lanas Syn », sur la commune de Lanas, dans le dĂ©partement de l'ArdĂšche, mise en service en 1990 et Ă 40 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,6 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă 13,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 13,9 °C pour 1991-2020[13].
Espaces protégés
La protection rĂ©glementaire est le mode dâintervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[14] - [15]. Dans ce cadre, la commune fait partie de la zone cĆur du Parc national des CĂ©vennes. Ce parc national, crĂ©Ă© en 1967, est un territoire de moyenne montagne formĂ© de cinq entitĂ©s gĂ©ographiques : le massif de l'Aigoual, le causse MĂ©jean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont LozĂšre, les vallĂ©es cĂ©venoles ainsi que le piĂ©mont cĂ©venol[16].
La commune fait Ă©galement partie des CĂ©vennes, un territoire reconnu rĂ©serve de biosphĂšre par l'UNESCO en 1985 pour la mosaĂŻque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversitĂ© exceptionnelle, avec 2 400 espĂšces animales, 2 300 espĂšces de plantes Ă fleurs et de fougĂšres, auxquelles sâajoutent dâinnombrables mousses, lichens, champignons[17] - [18].
RĂ©seau Natura 2000
Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 4]. Deux sites Natura 2000 ont Ă©tĂ© dĂ©finis sur la commune au titre de la directive habitats[20] :
- le « mont LozÚre », d'une superficie de 11 687 ha, la plus grande zone continue de pelouses pseudo-alpines du sud du Massif central[21] ;
- les « hautes vallĂ©es de la CĂšze et du Luech », d'une superficie de 12 680 ha, correspondant Ă la partie amont du bassin versant de la CĂšze. Elles prĂ©sentent un patrimoine naturel remarquable, avec quatre espĂšces piscicoles : l'Ă©crevisse Ă pattes blanches, le castor, la loutre et le barbeau mĂ©ridional et cinq habitats d'intĂ©rĂȘt communautaire d'origine[22] ;
et un au titre de la directive oiseaux[20] :
- « les Cévennes », d'une superficie de 92 044 ha, correspondant précisément à la zone centrale du parc national des Cévennes et rassemblant plusieurs ensembles distincts. La diversité des milieux et des paysages permet le maintien d'une avifaune riche et diversifiée : au total, 135 espÚces d'oiseaux, dont 22 inscrites à l'annexe 1 de la directive 79-409-CEE, recensées dans la zone centrale du parc, dont une vingtaine d'espÚces de rapaces diurnes et sept nocturnes[23].
Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensĂ©e sur la commune[24] : la « forĂȘt domaniale de Malmontet » (1 511 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[25] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6] - [24] :
- le « massif du Mont LozÚre » (40 064 ha), couvrant 22 communes dont 3 dans le Gard et 19 dans la LozÚre[26] ;
- les « vallées amont de la CÚze et de la GaniÚre » (10 752 ha), couvrant 11 communes dont 9 dans le Gard et 2 dans la LozÚre[27].
- Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Concoules est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [28] - [I 1] - [29]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (93,2 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (93,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (90,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (6,7 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (3,1 %), prairies (0,1 %)[30].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Concoules est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses, et Ă un risque particulier : le risque de radon[31]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[32].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la CĂšze et l'Homol. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1995, 2006 et 2008[33] - [31].
La commune est vulnĂ©rable au risque de mouvements de terrains constituĂ© principalement du retrait-gonflement des sols argileux[34]. Cet alĂ©a est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 18,4 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 298 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 157 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 53 %, Ă comparer aux 90 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[35] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[36].
Risques technologiques
Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible dâavoir des effets graves au bĂąti ou aux personnes jusquâĂ 350 m, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions dâurbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[37].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative dâexposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Concoules est classĂ©e en zone 3, Ă savoir zone Ă potentiel radon significatif[38].
Toponymie
Occitan Concolas[39], attesté par les formes : de Concolas, 1176, de Concolis, 1345 (DT)[40], nom dérivé des petites conques ou réservoirs d'eau que l'on trouve dans cette localité[41]. La forme est clairement au pluriel. La lettre O de l'occitan note traditionnellement le son /u/ ce qui explique la francisation Concoules. Le premier O en position non tonique a pu se nasaliser en français.
Histoire
Moyen Ăge
Concoules était une dépendance de la seigneurie de Villefort et de la baronnie de Tournel.
Révolution française et Empire
Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Montagne-Concoules[42].
Ăpoque contemporaine
Depuis le 1er janvier 2016 la région Languedoc-Roussillon, à laquelle appartient le Gard, a fusionné avec la région Midi-Pyrénées. L'ensemble est devenu la nouvelle région Occitanie.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[44].
En 2020, la commune comptait 263 habitants[Note 8], en augmentation de 1,94 % par rapport Ă 2014 (Gard : +2,1 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Cultes
La paroisse fait partie du diocÚse d'UzÚs, doyenné de GraviÚres.
Ăconomie
Culture locale et patrimoine
Ădifices religieux
- Ăglise Saint-Ătienne du XIIe siĂšcle. La Façade Ouest et la travĂ©e attenante de la nef ont Ă©tĂ© inscrits au titre des monuments historiques en 1949[46].
Patrimoine environnemental
Concoules est situé sur la voie Regordane.
Parcs et jardins
Le jardin du Tomple, jardin ornemental aménagé à partir de 1995 sur des terrasses schisteuses, est classé « jardin remarquable ».
Titus le jardin des Nymphaeas, jardin ornemental et pépiniÚre spécialisée dans les plantes aquatiques et les nénuphars en particulier, aménagés à partir de 2016 sur les anciens prés.
Personnalités liées à la commune
Concoules est le berceau de la famille d'Alphonse Daudet, son pÚre Vincent Daudet (ou Daudé) est né au hameau de la Bise.
HĂ©raldique
Blason | D'or à la fasce losangée d'argent et de sable[47]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- « Insee - Chiffres clés : Concoules » (consulté le )
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les Ătats membres s'engagent Ă maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[19].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs dâune superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence dâespĂšces, dâassociation dâespĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », (consultĂ© le ).
Autres sources
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Orthodromie entre Concoules et Génolhac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Genolhac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Parc national des Cévennes - les cinq massifs », sur le site du parc national des Cévennes (consulté le )
- « Réserve de biosphÚre des Cévennes », sur mab-france.org (consulté le )
- « Cévennes - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Concoules », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9101361 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9101364 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9110033 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Concoules », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français : embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne..., RaphÚle-lÚs-Arles, M. Petit, , 1179 p., 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, BNF 37258238), p. 620, t.1
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
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- « Eglise », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
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