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Vialas

Vialas [vjalas] est une commune française située dans le sud-est du département de la Lozère en région Occitanie.

Vialas
Vialas
Le temple en 2012.
Blason de Vialas
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
Département Lozère
Arrondissement Florac
Intercommunalité Communauté de communes des Cévennes au Mont Lozère
Maire
Mandat
Michel Reydon
2020-2026
Code postal 48220
Code commune 48194
DĂ©mographie
Gentilé Vialassiens
Population
municipale
429 hab. (2020 en diminution de 3,38 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 8,6 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 20′ 04″ nord, 3° 53′ 48″ est
Altitude Min. 335 m
Max. 1 509 m
Superficie 49,77 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Étienne-du-Valdonnez
Législatives Circonscription de la Lozère
Localisation
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Vialas
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Vialas
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Vialas
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Vialas

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Luech, le Rieutort, l'Homol, la Vérié, le ruisseau de Gourdouse et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : quatre sites Natura 2000 (le « mont Lozère », les « vallées du Tarn, du Tarnon et de la Mimente », les « hautes vallées de la Cèze et du Luech » et « les Cévennes ») et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Vialas est une commune rurale qui compte 429 habitants en 2020, après avoir connu un pic de population de 2 448 habitants en 1866. Ses habitants sont appelĂ©s les Vialassiens ou Vialassiennes.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune est située dans le sud-est du département de la Lozère et est limitrophe du Gard.

    Communes limitrophes

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[2] - [3]. Dans ce cadre, la commune fait partie de la zone cœur du Parc national des Cévennes. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques : le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol[4].

    Les CĂ©vennes sont Ă©galement un territoire reconnu rĂ©serve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaĂŻque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversitĂ© exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes Ă  fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[5] - [6].

    RĂ©seau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Trois sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[8] :

    • le « mont Lozère », d'une superficie de 11 687 ha, la plus grande zone continue de pelouses pseudo-alpines du sud du Massif central[9] ;
    • les « vallĂ©es du Tarn, du Tarnon et de la Mimente », d'une superficie de 10 493 ha, des habitats pour deux mammifères : la Loutre (Lutra lutra) et le castor[10] ;
    • les « hautes vallĂ©es de la Cèze et du Luech », d'une superficie de 12 680 ha, correspondant Ă  la partie amont du bassin versant de la Cèze. Elles prĂ©sentent un patrimoine naturel remarquable, avec quatre espèces piscicoles : l'Ă©crevisse Ă  pattes blanches, le castor, la loutre et le barbeau mĂ©ridional et cinq habitats d'intĂ©rĂŞt communautaire d'origine[11]

    et un au titre de la directive oiseaux[8] :

    • « les CĂ©vennes », d'une superficie de 92 044 ha, correspondant prĂ©cisĂ©ment Ă  la zone centrale du parc national des CĂ©vennes et rassemblant plusieurs ensembles distincts. La diversitĂ© des milieux et des paysages permet le maintien d'une avifaune riche et diversifiĂ©e : au total, 135 espèces d'oiseaux, dont 22 inscrites Ă  l'annexe 1 de la directive 79-409-CEE, recensĂ©es dans la zone centrale du parc, dont une vingtaine d'espèces de rapaces diurnes et sept nocturnes[12].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[13] :

    • le « bois de Saint-Maurice-de-Ventalon » (433 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[14] ;
    • la « forĂŞt Domaniale de l'Homol » (133 ha), couvrant 2 communes dont une dans le Gard et une dans la Lozère[15] ;
    • les « tourbières de SĂ©nĂ©grière » (78 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[16] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 3] - [13] :

    • le « massif du Mont Lozère » (40 064 ha), couvrant 22 communes dont trois dans le Gard et 19 dans la Lozère[17] ;
    • la « montagne du Bougès » (13 110 ha), couvrant 13 communes dont une dans le Gard et 12 dans la Lozère[18].
    • Cartes des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Vialas.
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Vialas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [19] - [I 1] - [20]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (96,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (98,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (40 %), zones agricoles hétérogènes (2,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,8 %), zones urbanisées (1 %), prairies (0,7 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Vialas est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Luech, l'Homol et le Rieutort. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1994, 2008, 2014, 2015, 2016 et 2020[24] - [22].

    Vialas est exposĂ©e au risque de feu de forĂŞt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂŞts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en dĂ©cembre 2014 pour la pĂ©riode 2014-2023[25]. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par divers arrĂŞtĂ©s prĂ©fectoraux et s’appliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂŞt et Ă  moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrĂŞtĂ© du , complĂ©tĂ© par un arrĂŞtĂ© de 2020, rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂŞtĂ© du , abrogeant un arrĂŞtĂ© de 2002, rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 5] - [25] - [26].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Vialas.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des Ă©boulements, chutes de pierres et de blocs et des glissements de terrain[27].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 3,2 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (15,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 581 bâtiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, aucun n'est en alĂ©a moyen ou fort, Ă  comparer aux 14 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Vialas est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[30].

    Histoire

    Elle rejoint la communauté de communes des Hautes Cévennes — qui a son siège à Génolhac — le .

    Elle rejoint la communauté de communes des Cévennes au Mont Lozère le [31].

    Politique et administration

    Liste des maires de Vialas
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1977 mars 1983 Robert Cunibil Compagnon de la libération
    mars 1983 mars 2001 André Platon DVG Conseiller général (1992-2004)
    mars 2001 mars 2014 Bernard Vignes DVG
    mars 2014 en cours Michel Reydon DVG Président de la Communauté de communes

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].

    En 2020, la commune comptait 429 habitants[Note 6], en diminution de 3,38 % par rapport à 2014 (Lozère : +0,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5501 7091 7902 0512 0412 1302 1261 9902 005
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 9802 2992 4482 3102 1522 0962 0021 7201 463
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3591 2851 179890848796809617507
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    478352304356384425423435434
    2020 - - - - - - - -
    429--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee Ă  partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 197 mĂ©nages fiscaux[Note 7], regroupant 368 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 18 870 â‚¬[I 4] (20 420 â‚¬ dans le dĂ©partement[I 5]).

    Emploi

    Taux de chĂ´mage
    200820132018
    Commune[I 6]9 %9,4 %10,6 %
    DĂ©partement[I 7]5 %6,4 %7,1 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lève Ă  233 personnes, parmi lesquelles on compte 66,4 % d'actifs (55,7 % ayant un emploi et 10,6 % de chĂ´meurs) et 33,6 % d'inactifs[Note 8] - [I 6]. Depuis 2008, le taux de chĂ´mage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 3] - [I 9]. Elle compte 153 emplois en 2018, contre 138 en 2013 et 130 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 136, soit un indicateur de concentration d'emploi de 112,6 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 41,6 %[I 10].

    Sur ces 136 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 85 travaillent dans la commune, soit 63 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 65 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,7 % les transports en commun, 24 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Station de ski de fond et de tourisme vert du Mas de la Barque, accès par la RD 66.
    • Église Notre-Dame de Vialas.
    • Le temple de l’Église protestante unie de France de Vialas, bâti en 1612, est l'un des plus vieux temples de France. Alors que l'Ă©glise de la paroisse Ă©tait Ă  Castagnols, il est Ă©difiĂ© au lieu-dit Vialas qui devient avec le temps le centre de l'agglomĂ©ration[36]. Il est assurĂ© qu'en 1636 le temple, dont la construction est achevĂ©e depuis plus de 20 ans, sert au culte ainsi qu'aux principales assemblĂ©es de la communautĂ© telle que l'Ă©laboration du compoix (ancĂŞtre du cadastre). Aux environs de 1640, c'est le point central de 19 lieux habitĂ©s et 280 propriĂ©taires. Après la rĂ©vocation de l'Ă©dit de Nantes en 1685 et la conversion forcĂ©e de toute la population au catholicisme, il est confisquĂ© par l'Ă©vĂŞque d'Uzès pour devenir la nouvelle Ă©glise de la paroisse, celle de Castagnols Ă©tant ruinĂ©e. Le bâtiment est profondĂ©ment transformĂ© pour lui donner un aspect d'Ă©glise par ajout de voĂ»tes, de chapelles, d'un chĹ“ur ainsi que d'un clocher. En 1789, 90 % de la population est protestante, le bâtiment redevient temple en 1804 après la RĂ©volution française. De style roman, il est harmonieux dans toutes ses formes, ses matĂ©riaux et son dĂ©pouillement ornemental. Il est bâti en granit, sol compris. Sa toiture est en lauze, il mesure 21 m de long et 12 m de large ; la hauteur jusqu'au clocher est de 11 mètres. Il possède un chevet circulaire, dont des vitraux datĂ©s de 1960 signĂ©s Robert Pillods (1908-1990) constituent l'ornementation. Le mobilier est ancien : la chaire est datĂ©e de 1817 certains bancs datent de 1878. On trouve au fond du temple un orgue construit entre 1974 et 1978.
    • PrieurĂ© de Gourdouze, donnĂ© par Guillaume de Peyre, Ă©vĂŞque de Mende en 1156. Les religieux en seront chassĂ©s en 1433 par Rodrigue de Villandrando. Celui-ci quitte les lieux et en 1435, le prieurĂ© devient la propriĂ©tĂ© des chanoines du prieurĂ© Saint-Nicolas de Campagnac[37].
    • Les sites miniers : l'exploitation minière semble de toute antiquitĂ© sur la commune mais a connu un dĂ©veloppement particulièrement remarquable de ses filons de plomb argentifère, d'abord Ă  la fin du XVIIIe siècle (exploitation de la mine de la Picardière), puis au XIXe siècle, avec l'exploitation mĂ©thodique de 1827 Ă  1894 de mines du plomb argentifère, qui justifia notamment la construction d'une usine Ă  fonderie[38].

    Personnalités liées à la commune

    • François Rochette (1736-1762), nĂ© Ă  Vialas, dernier pasteur français exĂ©cutĂ© sous l'Ancien-RĂ©gime. Il est pendu Ă  Toulouse, le .
    • Franck Arnal (1898-1985), nĂ© Ă  Vialas, homme politique, socialiste (secrĂ©taire d’État, dĂ©putĂ©, maire de Toulon), inhumĂ© au cimetière de Vialas.
    • Élie Castan (1870-1941), homme politique et maire de NĂ®mes.
    • Robert Cunibil (1915-1999), aviateur, Compagnon de la LibĂ©ration, maire de la commune, il y est inhumĂ©.
    • Renaud (nĂ© en 1952), chanteur, passe Ă  Vialas de nombreux Ă©tĂ©s en famille dès les annĂ©es 1960, d’abord dans le petit hameau de Polimiès situĂ© sur la commune. Puis il y revient rĂ©gulièrement (notamment chez Chantoiseau). Dans son autobiographie, il explique que les bonbons Ă©voquĂ©s dans Mistral gagnant sont ceux qu’il chapardait chez Madame Fabrègue, l’épicière, oĂą il se rendait Ă  vĂ©lo pour acheter son Spirou.

    HĂ©raldique

    Le blasonnement est : d'azur, à trois flambeaux d'or allumés de gueules, posés en pal

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Marie-Lucy Dumas (dir), Vialas, de la CĂ©venne au Mont Lozère, 2 tomes, 2019.
    • Jean-Claude Schmitt et Pauline Schmitt-Pantel, Vialas en CĂ©vennes et son temple depuis 1612, Les Presses du Languedoc, 1997.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes, cartes et références

    Notes

    1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[7].
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privĂ©es y donnant accès.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    7. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Vialas » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Vialas » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Vialas » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    3. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    4. « Parc national des Cévennes - les cinq massifs », sur le site du parc national des Cévennes (consulté le )
    5. « Réserve de biosphère des Cévennes », sur mab-france.org (consulté le )
    6. « Cévennes - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    7. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    8. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Vialas », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    9. « site Natura 2000 FR9101361 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    10. « site Natura 2000 FR9101363 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    11. « site Natura 2000 FR9101364 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. « site Natura 2000 FR9110033 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. « Liste des ZNIEFF de la commune de Vialas », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « ZNIEFF le « bois de Saint-Maurice-de-Ventalon » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « ZNIEFF la « forêt Domaniale de l'Homol » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « ZNIEFF les « tourbières de Sénégrière » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « ZNIEFF le « massif du Mont Lozère » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF la « montagne du Bougès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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