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Chevry-en-Sereine

Chevry-en-Sereine est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Chevry-en-Sereine
Chevry-en-Sereine
La mairie.
Blason de Chevry-en-Sereine
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion ĂŽle-de-France
DĂ©partement Seine-et-Marne
Arrondissement Provins
Intercommunalité Communauté de communes Pays de Montereau
Maire
Mandat
Didier Fourdrain
2020-2026
Code postal 77710
Code commune 77115
DĂ©mographie
Gentilé Chevriots
Population
municipale
511 hab. (2020 en diminution de 1,16 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 22 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 15′ 16″ nord, 2° 56′ 38″ est
Altitude Min. 105 m
Max. 159 m
Superficie 22,81 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Nemours
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Chevry-en-Sereine
Liens
Site web chevryensereine.fr

    GĂ©ographie

    Localisation

    Chevry-en-Sereine est une commune localisée en Seine-et-Marne, dans le parc naturel régional du Gâtinais français[1].

    Localisation de la commune de Chevry-en-Sereine dans le département de Seine-et-Marne.

    La commune se situe Ă  environ 16,9 km par la route, au sud de Montereau-Fault-Yonne[2] - [Note 1]

    Communes limitrophes

    GĂ©ologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[3].

    L'altitude varie de 105 mètres Ă  159 mètres pour le point le plus haut , le bourg se situant Ă  environ 149 mètres d'altitude Ă  la mairie[4].

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Carte des réseaux hydrographique et routier de Chevry-en-Sereine.

    Le rĂ©seau hydrographique de la commune se compose d'un seul cours d'eau rĂ©fĂ©rencĂ© : la rivière le Lunain, longue de 51,45 km[5], affluent du Loing.

    Sa longueur totale sur la commune est de 0,208 km[6].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,4 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,3 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,7 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 737 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : -2 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -2,3 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[7]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Cette Ă©volution peut ĂŞtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve Ă  43 km Ă  vol d'oiseau[8], oĂą la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour 1981-2010[9] Ă  11,6 °C pour 1991-2020[10].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[11] - [12].

    Un espace protĂ©gĂ© est prĂ©sent sur la commune : la zone centrale de la rĂ©serve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », crĂ©Ă©e en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha (46 056 ha pour la zone centrale). Cette rĂ©serve de biosphère, d'une grande biodiversitĂ©, comprend trois grands ensembles : une grande moitiĂ© ouest Ă  dominante agricole, l’emblĂ©matique forĂŞt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine Ă  l’est. La structure de coordination est l'Association de la RĂ©serve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Education, unique parmi les RĂ©serves de biosphère françaises[13] - [14].

    Urbanisme

    Typologie

    Chevry-en-Sereine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[18] - [19].

    Lieux-dits et Ă©carts

    La commune compte 238 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[20] (source : le fichier Fantoir) dont Villeflambeau, Bois Ramort, Villefranche, le Grand Courcelles, Villechasson, Launoy, le Nid de Corbeau.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (63,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,9% ), forêts (36,7% ), zones urbanisées (1,6% ), zones agricoles hétérogènes (0,8 %)[21].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[22] - [23] - [Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Carte orhophotogrammĂ©trique de la commune.
      Carte orhophotogrammétrique de la commune.

    Planification

    La loi SRU du a incitĂ© les communes Ă  se regrouper au sein d’un Ă©tablissement public, pour dĂ©terminer les partis d’amĂ©nagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratĂ©gique des politiques publiques Ă  une grande Ă©chelle et Ă  un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Seine et Loing, dont le projet a Ă©tĂ© arrĂŞtĂ© le , portĂ© par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Seine et Loing rassemblant Ă  la fois 44 communes et trois communautĂ©s de communes[24].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[25]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 280 dont 96,1 % de maisons et 3,2 % d'appartements[Note 6].

    Parmi ces logements, 73,9 % étaient des résidences principales, 20 % des résidences secondaires et 6,1 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 88,4 % contre 10,1 % de locataires[26] dont, 0,5 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 7] et, 1,4 % logés gratuitement.

    Transports

    La commune est desservie par la ligne d’autocars No 19 (Blennes – Égreville) du réseau de cars Transdev[27].

    Toponymie

    Chevry-en-Sereine est mentionné pour la première fois au IXe siècle sous le nom de Sevriaci, du bas latin severiacum (domaine de Severus), le qualificatif "sereine" apparu vers le XIVe siècle[28] était un petit canton de cette contrée du Gâtinais[29].

    Histoire

    Certains évènements marquent l'histoire d'un village et son évolution. Parfois tragiques : les guerres ; d'autres plus enthousiasmants notamment l'installation de l'électricité, le premier moteur thermique, la première automobile et l'arrivée de l'« eau de ville » ou « eau courante »[30].

    Après l'approbation des quatre communes, Chevry-en-Sereine, Lorrez-le-Bocage, Vaux-sur-Lunain et Saint-Ange-le-Viel, c'est par un arrĂŞtĂ© prĂ©fectoral du 14 mars 1929 que naĂ®t le syndicat « en vue de l'Ă©tablissement et de l'exploitation en commun d'une distribution d'eau ». Preuve d'une confiance mutuelle, ce syndicat est formĂ© « Ă  perpĂ©tuitĂ© » (art. 2). Le premier bureau se rĂ©unit le ; Chevry-en-Sereine est reprĂ©sentĂ© par son maire Jules Daguet et un conseiller municipal, Auguste Ponce. Le projet proposĂ© par le service des Ponts et ChaussĂ©es s'Ă©lève Ă  2 300 000 francs (de 1929), en partie subventionnĂ© sur les fonds du Pari Mutuel... et le syndicat « demande Ă  Monsieur le Ministre de l'Agriculture l'autorisation de commencer les travaux de recherche d'eau le plus tĂ´t possible » (13 septembre 1929)[30].

    L'annĂ©e 1930 pose de nombreux problèmes. Ă€ moins de 42 mètres, le dĂ©bit d'eau est faible dans le puits percĂ© Ă  Saint-Ange-le-Vieil. DĂ©cision est adoptĂ©e de creuser des galeries latĂ©rales. Par consĂ©quent — Ă©boulement partiel, brutales poussĂ©es de l'eau et suivies de pĂ©riodes arides. DĂ©jĂ  le premier dĂ©passement de budget. Les travaux se poursuivent durant les annĂ©es 1931—1933 avec la rĂ©alisation de la station de pompage, le rĂ©servoir d'eau principal au Grand-Creilly et deux rĂ©servoirs secondaires Ă  Chevry et Lorrez. L'embauche du personnel : un machiniste et un agent technique. En 1934—1935, des difficultĂ©s financières pour le syndicat. Les subventions promises n'arrivent pas, ou sont rĂ©duites, et les quatre communes adhĂ©rentes ne versent pas intĂ©gralement leur quote-part. Ă€ la suite des Ă©lections municipales, nouveau bureau (Chevry reprĂ©sentĂ© par Jules Daguet et Marcel Lamoureux) et nouvelle rĂ©solution : chaque commune doit respecter ses engagements « pour le meilleur et le pire »[30]. Le pire est peut-ĂŞtre pour 1935 oĂą, au puits de Saint-Ange est constatĂ© « une insuffisance prolongĂ©e du dĂ©bit tombĂ© Ă  30 m3 par jour pour 1 300 habitants, Ă  peine suffisant pour remplir les canalisations ». Les hameaux sont dĂ©jĂ  souvent au rĂ©gime sec. La location des compteurs ne sera pas rĂ©clamĂ©e aux habitants et le minimum forfaitaire de consommation supprimĂ©. En septembre 1935, rĂ©union de crise avec les Ponts et ChaussĂ©es et un nouveau gĂ©ologue. Le syndicat dĂ©cide l'utilisation d'une source de la vallĂ©e du Lunain « la Fontaine Bleue »[30].

    Le service des Ponts et ChaussĂ©es doit dresser « de toute urgence » le dossier du nouveau projet de captage avec une adduction de refoulement vers le rĂ©servoir du Grand-Creilly. Au mois de novembre, le conseil syndical dĂ©cide finalement de creuser un nouveau puits près de la source dite « du Vieux Moulin » en bordure de la route du Ponceau (cĂ´tĂ© amont). Le budget s'Ă©lève Ă  300 000 francs (de 1935) : puits, bâtiment, moto-pompes, station de javellisation et conduite de refoulement. Les travaux seront dĂ©clarĂ©s d'utilitĂ© publique. Le chantier, rapide, s'achève au 3e trimestre de 1937, bien qu'un risque important d'Ă©boulement du puits ait rendu nĂ©cessaire un forage pour sa partie infĂ©rieure. Jules Daguet, maire de Chevry, assure l'intĂ©rim du prĂ©sident durant l'annĂ©e 1937, jusqu'au dĂ©cès d'Émile Bru, prĂ©sident du syndicat depuis sa crĂ©ation. Émile Bru Ă©tait Ă©galement maire de Lorrez durant cette pĂ©riode, d'oĂą le nom de cette rue de Lorrez bien connue de tous les contribuables du canton. En 1937, les investissements du syndicat se rĂ©duisent progressivement. Après la Deuxième Guerre mondiale, apparaĂ®tront dĂ©jĂ  les premiers travaux de renouvellement et d'entretien des matĂ©riels[30].

    Le village a été desservi de 1889 à 1959 par la ligne de Montereau à Château-Landon. Il s'agissait d'une ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique du réseau départemental de Seine-et-Marne, exploitée par les CFD Réseau de Seine-et-Marne[31].

    Circonscriptions d'Ancien RĂ©gime

    Intendance : Paris - Election : Sens - Subdélégation : Sens - Grenier à sel : Montereau - Coutume : Melun - Parlement : Paris - Bailliage : Moret-sur-Loing - Gouvernement : Ile-de-France - Diocèse : Sens - Archidiaconé : Sens - Doyenné : Marolles[32].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune se trouve dans le département de Seine-et-Marne.

    Lors de sa création par la Révolution française, elle était rattachée à l'arrondissement de Fontainebleau, puis en 1926 à celui de Melun, et à nouveau, en 1988, à celui de Fontainebleau[33]. Afin de faire coïncider les limites d'arrondissement et celles des intercommunalités, elle intègre le l'arrondissement de Provins[34].

    Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la deuxième circonscription de Seine-et-Marne.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Lorrez-le-Bocage-Préaux[33]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton de Nemours.

    Intercommunalité

    La commune a adhéré en 2012 à la petite communauté de communes du Bocage Gâtinais.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique (Loi NOTRe) du 7 aoĂ»t 2015, qui prĂ©voit que les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă  fiscalitĂ© propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (et 5 000 habitants en zone de montagnes), cette intercommunalitĂ© Ă©clate, et certaines de ses communes, dont Biennes, sont rattachĂ©es le Ă  la communautĂ© de communes des Deux Fleuves (CC2F)[35], qui prend, lors de cette extension, la dĂ©nomination de communautĂ© de communes du Pays de Montereau, dont est membre la commune.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[32]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1896 1912 Isidore Jacquet Propriétaire
    1912 1919 Jules Henry Fermier
    1919 1947 Jules Daguet Cultivateur
    1947 1959 Alphonse Daguet
    1959 1962 Étienne Ferry
    1962 Alphonse Daguet
    juillet 1962 1971 Marius Decornoy
    1971 1977 André Billard
    1977 1983 Dominique Boucheron
    1983 1989 Renaud de Laubsepin Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.
    1995 2001 Marcel Rigal
    2001 décembre 2007[36] William Gois Agriculteur
    Décédé en fonction
    mars 2008 En cours
    (au 11 juillet 2018)
    Jean-Claude Tournier RĂ©Ă©lu pour le mandat 2014-2020[37]

    Jumelages

    Le Bocage Gâtinais (comprenant les cinq villages de Chevry-en-Sereine, Villemaréchal, Blennes, Saint-Ange-le-Vieil et Ville-Saint-Jacques) est jumelé avec la commune allemande de Starzach. Ce jumelage est né officiellement le 12 juillet 1992 en France à Chevry-en-Sereine à l'initiative notamment de Marcel Rigal, à cette époque maire de Chevry et en août 1993 à Starzach[38]. Il existait déjà des échanges officieux qui étaient nés de l'amitié entre le marquis de Chevry et le baron de Wachendorf. Starzach est située dans le Land de Bade-Wurtemberg, et plus précisément à l'ouest de l'arrondissement (Kreis) de Tübingen, à peu près à égale distance des villes de Haigerloch, Horb et Rottenburg am Neckar[38].

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [39] - [40].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la commune de Chevry-en-Sereine ne dispose pas d'assainissement collectif[41] - [42].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[43]. Le SIAAEP du Bocage assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[41] - [44].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SIAAEP du Bocage qui en a délégué la gestion à une entreprise privée, dont le contrat expire le [41] - [45] - [46].

    Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bocage[47].

    Population et société

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[49].

    En 2020, la commune comptait 511 habitants[Note 8], en diminution de 1,16 % par rapport Ă  2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    480502473419560632636625593
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    622674660650634617566570587
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    578529551447477396420401395
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    346318305345383454464457508
    2015 2020 - - - - - - -
    517511-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee Ă  partir de 2006[50].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Événements

    • Syndicat d'initiative de la commune
    • Association sport Nature et Loisirs (les Calèches de la Sereine)

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2018, le nombre de mĂ©nages fiscaux de la commune Ă©tait de 215, reprĂ©sentant 529 personnes et la mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation de 24 130 euros[51].

    Emploi

    En 2018, le nombre total d’emplois dans la zone Ă©tait de 37, occupant 228 actifs rĂ©sidants (dont 9,3 % dans la commune de rĂ©sidence et 90,7 % dans une commune autre que la commune de rĂ©sidence).

    Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 73,2 % contre un taux de chômage de 7,7 %. Les 19,1 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 7,7 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 6,4 % de retraités ou préretraités et 5 % pour les autres inactifs[52].

    Entreprises et commerces

    En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 27 dont 6 dans la construction, 8 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 1 dans l’Information et communication, 6 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 4 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 2 étaient relatifs aux autres activités de services[53].

    En 2020, 9 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 7 individuelles.

    Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[54].

    Agriculture

    Chevry-en-Sereine est dans la petite région agricole dénommée la « Bocage gâtinais », à l'extrême sud du département[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[55].

    Si la productivitĂ© agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tĂŞte des dĂ©partements français, le dĂ©partement enregistre un double phĂ©nomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les annĂ©es 1980, moins dans les annĂ©es 2000) et de rĂ©duction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les annĂ©es 2010[56]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune oĂą le nombre d’exploitations est passĂ© de 21 en 1988 Ă  8 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 57 ha en 1988 Ă  73 ha en 2010[55]. Le tableau ci-dessous prĂ©sente les principales caractĂ©ristiques des exploitations agricoles de Chevry-en-Sereine, observĂ©es sur une pĂ©riode de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Chevry-en-Sereine entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension Ă©conomique[55] - [Note 10]
    Nombre d’exploitations (u) 21 16 8
    Travail (UTA) 27 14 6
    Surface agricole utilisĂ©e (ha) 1 193 1 095 586
    Cultures[57]
    Terres labourables (ha) 1 142 1 054 554
    Céréales (ha) 857 671 359
    dont blé tendre (ha) 518 480 266
    dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) 149 94 s
    Tournesol (ha) 149 99
    Colza et navette (ha) 73 98 157
    Élevage[55]
    Cheptel (UGBTA[Note 11]) 128 25 8

    Culture locale et patrimoine

    Polissoir de la Fosse à la Cardine situé près du bourg.
    Polissoir du Pied de Femme.

    Lieux et monuments

    On peut noter :

    • Ancienne abbaye de Villechasson (ferme), crĂ©Ă©e au XVIe siècle : corps de logis (IMH), tour d'escalier Ă  vis, pierres tombales des abbesses, sculptures. Abbaye de bĂ©nĂ©dictines, on peut y observer une tour de guet avec son Ă©chauguette et quelques fenĂŞtres Ă  meneaux.
    Cette terre fut donnée par les frères Payan, seigneurs de Chevry au XIIe siècle, à leur sœur Catherine, prieure de l'abbaye de Rosoy dont dépendait Villechasson[58] - [59] - [60].
    • Château : le château (MH) fut construit sous Louis XIII pour Charles Duret, contrĂ´leur gĂ©nĂ©ral des Finances et secrĂ©taire de l'ordre du Saint-Esprit vers 1633. Bâti par Jean Thiriot de brique et de grès : corps de logis rectangulaire flanquĂ© de deux pavillons d'angle, cour d'honneur, douves sèches, deux ponts de pierre ; parc Ă  la française dessinĂ© par Le NĂ´tre[61] - [62].
    En 1814, lors de la bataille de Montereau, de sérieux dégâts sont infligés au château : « Le dégât fait au château de Chevry par les cosaques peut être estimé au moins à la somme de 6000frs. La maison est pillée de fond en comble et les réquisitions ne laissent rien à la ferme de Chevry : blé, avoine, vin, eau de vie, fourrages, chevaux, vaches, bestiaux, etc., tout est enlevé[63].. ».
    Sous Napoléon III, une succession de deuils familiaux a empêché le château de subir les transformations architecturales de l'époque, ce qui conserve à Chevry la pureté de style qui le caractérise aujourd'hui : « façade de briques et de pierres, hautes fenêtres, toits d'ardoises, fossés et arbres, champs entourant[63] ».
    Il appartient au marquis de Laubespin, descendant direct du héros de l'Indépendance américaine et est classé monument historique depuis 1966.
    Clocher trapu XIIe, nef XIXe couverte en lambris et décorée de peintures murales et de toiles peintes, dont plusieurs œuvres d'Alexandre Hesse (MH)[64] - [65] - [66]

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées par la voie routière à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    6. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    7. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    10. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    11. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
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    Références

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