Chénérailles
Chénérailles est une commune française située dans le département de la Creuse, en région Nouvelle-Aquitaine.
Chénérailles | |||||
Le bourg de Chénérailles. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Creuse | ||||
Arrondissement | Aubusson | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Marche et Combraille en Aquitaine | ||||
Maire Mandat |
Alexandre Verdier 2020-2026 |
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Code postal | 23130 | ||||
Code commune | 23061 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
752 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 97 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 06′ 46″ nord, 2° 10′ 34″ est | ||||
Altitude | Min. 482 ou 487 m Max. 551 ou 553 m |
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Superficie | 7,77 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Gouzon | ||||
Législatives | Circonscription unique | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Creuse
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Généralités
Dans le centre du département de la Creuse, la commune de Chénérailles s'étend sur 7,77 km2. Elle est arrosée par un affluent de la Voueize, le ruisseau des Planches de Mollas[1] qui prend sa source sur le territoire communal, sur une colline dominant un chapelet d'étangs.
L'altitude minimale, 482 ou 487 mètres[Note 1], se trouve localisée à l'extrême nord-est, au bord de l'étang de Malleret, en limite de la commune de Saint-Chabrais. L'altitude maximale avec 551 ou 553 mètres[Note 2] est située dans le sud-ouest, en forêt communale de Chénérailles[2].
Implanté à l'intersection des routes départementales (RD) 4, 55, 990 et 997, le bourg de Chénérailles est situé, en distances orthodromiques, dix-huit kilomètres au nord de la sous-préfecture, Aubusson, et vingt-quatre kilomètres à l'est-sud-est de la préfecture Guéret.
La commune est également desservie par la RD 7.
Communes limitrophes
Chénérailles est limitrophe de quatre autres communes.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gouzon », sur la commune de Gouzon, mise en service en 1959[9] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[10] - [Note 6], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 841,7 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Clermont-Fd », sur la commune de Clermont-Ferrand, dans le département du Puy-de-Dôme, mise en service en 1923 et à 79 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[13], à 11,6 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Chénérailles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [16] - [17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (50,8 %), forêts (17,1 %), zones agricoles hétérogènes (12,9 %), zones urbanisées (8 %), eaux continentales[Note 8] (6,7 %), terres arables (4,5 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Chénérailles est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 37 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 516 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 105 sont en en aléa moyen ou fort, soit 20 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[22].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Chénérailles est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[26].
Toponymie
La première mention historique connue du lieu date de la période 1154-1158 où sont évoqués des burgenses de Chanalelis et un rector Ecclesiae Chanalelis[27]. Le cartulaire de l'abbaye de Bonlieu mentionne entre 1214 et 1222 les formes Chanalelhas et Chanarelas[27]. Ces graphies ont été rapprochées de canaliculas représentant un diminutif de canalis, signifiant donc « petit canal » ou « petit chenal », en référence possible à des canaux qui auraient alimenté en eau les fossés entourant partiellement la bourgade[27].
Histoire
L'origine de Chénérailles (Canalis) est fort ancienne. Elle remonte certainement à l'époque romaine, ainsi que le prouvent plusieurs urnes pleines de cendres, mêlées à des médailles des empereurs Maximien, Gallien, Gordien, Licinius, etc. qu'on y a trouvées. C'était autrefois une ville forte, au milieu de laquelle il y avait une roche élevée dont le sommet était couronné par un château détruit depuis longtemps et dont l'emplacement est de nos jours occupé par l'église paroissiale Saint-Barthélémy (XIIIe siècle) qui abrite un haut-relief dédié à Barthélémy de la Place, prêtre mort en 1300 et considéré comme le fondateur de cette église[29]. Chénérailles a beaucoup souffert de la guerre contre les Anglais au début du XVe siècle. Elle fut même presque entièrement détruite, mais Jacques et Bernard d'Armagnac, comtes de la Marche, la firent reconstruire de 1430 à 1440. Le premier de ces comtes confirma plusieurs privilèges qui avaient été accordés à Chénérailles, en 1265, par Hugues XII de Lusignan. En 1592, cette ville soutint un siège pour la Ligue. Elle opposa aux royalistes une vigoureuse résistance, et ne se rendit qu'après un blocus de huit mois, lorsque la garnison et les habitants eurent épuisé tous leurs moyens de subsistance[30]. La localité a été siège d'un arrondissement du département de Guéret lors de la création des assemblées provinciales. De 1790 à 2015, Chénérailles a été le chef-lieu d'un canton de la Creuse.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].
En 2020, la commune comptait 752 habitants[Note 9], en diminution de 2,08 % par rapport à 2014 (Creuse : −3,8 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Dépendant de l'académie de Limoges, Chénérailles dispose en 2018 d'un groupe scolaire public regroupant école maternelle et école élémentaire[37] ainsi que d'un collège[38].
Manifestations culturelles et festivités
- Foire aux chevaux, chaque année, les deuxièmes dimanches de mai et d'octobre.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Barthélémy du XIIIe siècle, inscrite au titre des monuments historiques en 1960[39] avec boiseries, stalles et fresques. Elle recèle le « tombeau de Barthélemy de la Place », une plaque funéraire de calcaire du début du XIVe siècle, sculptée de 27 personnages[40].
- La chapelle Notre-Dame-de-la-Forêt[41], au sud-ouest du bourg, route d'Ahun, au pied du château d'eau.
- Le collège de Chénérailles était décoré de fresques réalisées par les élèves du peintre creusois Gabriel Chabrat, qui a aussi décoré de fresques l'église de Sous-Parsat, commune où il a son atelier. Gabriel Chabrat était professeur d'arts plastiques au collège. À l'intérieur du collège se trouve une tapisserie le Trafoujo.
- Stand Joseph-Lemasson : installation d'entraînement militaire créée au cours de la Première Guerre mondiale dans la forêt de Chénérailles, qui est aujourd'hui utilisée pour des activités de loisir[42].
- Dans les environs, sur la commune de Saint-Pardoux-les-Cards, le château de Villemonteix construit au XVe siècle comprend un pigeonnier, des tours, un donjon, et une exposition de tapisseries d'Aubusson.
- À trois kilomètres, sur la commune de Saint-Dizier-la-Tour, trois mottes castrales de l'an mil témoignent de l'apparition sur le site du premier des comtes de la Marche : Boson Ier.
L'église Saint-Barthélémy. Sa nef. La tour nord-ouest. L'ancien bureau de poste. Maison, place du Puits du Marché. Monument en mémoire du Docteur Paul Mondon. Croix de chemin au lieu-dit le Trésorier.
Personnalités liées à la commune
- François Goubert (1735-1815), est un homme d'Église et un homme politique français. Fils de Jean Goubert, fabricant de tapisseries, et de Marie Cartier, docteur en théologie, il est prévôt d'Aubusson en 1762, puis curé à Bellegarde et official de Chénérailles. Il est élu le en 1789 député du clergé de la Creuse.
- Guillaume Boëry (1747-1822), né à Chénérailles ; député du Tiers état en 1789, député au Conseil des Cinq-Cents, membre du Conseil Législatif, chevalier de l'Empire.
- Gilbert-Amable Faure-Conac (1755-1819), est un homme politique mort à Chénérailles.
- Guy Eclache (1918-1945) était un membre de la police grenobloise durant l'occupation allemande de Chénérailles, de septembre 1943 au mois d'août 1944. SS et tortionnaire, il fut « l'ennemi public no 1 » à la Libération, traqué et retrouvé par Pierre Fugain, le père de Michel Fugain.
- Georges Sarre (1935-2019), homme politique, né à Chénérailles, ancien secrétaire d'État, adjoint au maire de Paris chargé de la sécurité et de la prévention, ancien député, ancien maire du 11e arrondissement de Paris.
Voir aussi
Bibliographie
- Henri Hugon, Chénérailles (Excursion archéologique du 6 Juillet 1924), Extrait des Mémoires de la Société des Sciences Naturelles et Archéologiques de la Creuse, t. XXIII, Imprimerie Betoulle, J. Lecante, Guéret, 1926.
- Claude del Puppo, Chénérailles, son histoire, ses histoires, Association « Les Amis du Vieux Chénérailles »
- Guy Marchadier et Christophe Ruby, Le canton de Chénérailles, coll. « Mémoire en Images », Éditions Alan Sutton, Saint-Cyr-sur-Loire, juin 2006, (ISBN 2-84910-449-3)
- Dominique Farigoux, Mon tour de foires, la foire aux chevaux de Chénérailles, Édilivre, 2016, (ISBN 978--2-334-23265-4)
- Dominique Farigoux, Carnet de foires, chevaux in Chénérailles (illustrations peintes), Abbate-Piolé, 2017, (ISBN 978-2-917500-20-0)
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Communauté de communes de Chénérailles : Chénérailles
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Deux valeurs différentes pour l'IGN, 482 mètres sur la carte et 487 sur son ancien site.
- Deux valeurs différentes pour l'IGN, 551 mètres sur la carte et 553 sur son ancien site.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Sandre, « Fiche cours d'eau - les Planches de Mollas (K5149000) », consulté le 28 décembre 2017.
- « 551 » sur Géoportail (consulté le 29 décembre 2017)..
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Gouzon - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Chénérailles et Gouzon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Gouzon - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Chénérailles et Clermont-Ferrand », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Clermont-Fd - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Clermont-Fd - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Clermont-Fd - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Chénérailles », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Chénérailles », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
-
- Henri Hugon, Chénérailles (Excursion archéologique du 6 Juillet 1924), Extrait des Mémoires de la Société des Sciences Naturelles et Archéologiques de la Creuse, t. XXIII, Imprimerie Betoulle, J. Lecante, Guéret, 1926, p. 3.
- http://www.bn-limousin.fr/archive/files/095c25361f3aa9583c3280ce8d85df3d.pdf
- Plaque funéraire de Barthélémy de la Place, document disposé à côté de la plaque funéraire, consulté le 2 janvier 2018.
- Extraits de la revue Creuse - Géographie-Histoire-Statistique-Administration par V.A. Malte-Brun aux éditions du Bastion, réédition de l'ouvrage de 1882.
- « Liste des maires de Chénérailles », sur Archives départementales de la Creuse (consulté le )
- Annuaire des mairies de la Creuse, Préfecture de la Creuse, consulté le 13 décembre 2017.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- École primaire publique - Chénérailles, Ministère de l'Éducation nationale, consulté le 6 janvier 2018.
- Collège - Chénérailles, Ministère de l'Éducation nationale, consulté le 6 janvier 2018.
- « Église Saint-Barthélémy », notice no PA00100044, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 13 décembre 2017.
- « plaque funéraire dite tombeau de Barthélemy de la Place », notice no PM23000057, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 2 janvier 2018.
- « Clocher d'une église de France : INSEE 23061 - Chénérailles », Clochers de France, consulté le 15 janvier 2018.
- « Les grandes heures du stand de tir Joseph-Lemasson », La Montagne, (lire en ligne).
- 23061 - CHENERAILLES, L'Armorial des villes et des villages de France, consulté le .