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Callibrachion

Callibrachion gaudryi

Callibrachion
Description de cette image, également commentée ci-aprÚs
Reconstitution de Callibrachion gaudryi par Dmitry Bogdanov

Genre

† Callibrachion
Boule & Glangeaud, 1893b

EspĂšce

† Callibrachion gaudryi
Boule & Glangeaud, 1893b

Callibrachion est un genre Ă©teint de synapsides Caseidae ayant vĂ©cu dans le centre-est de la France durant le Permien infĂ©rieur (AssĂ©lien). L’holotype et unique spĂ©cimen connu (MNHN.F.AUT490) est reprĂ©sentĂ© par un squelette postcrĂąnien presque complet associĂ© Ă  des fragments de crĂąne dĂ©couvert Ă  la fin du XIXe siĂšcle dans le bassin Permien d’Autun dans le dĂ©partement de SaĂŽne-et-Loire en RĂ©gion Bourgogne-Franche-ComtĂ©. Il reprĂ©sente un individu immature mesurant moins de 1,5 m de long. Callibrachion fut longtemps considĂ©rĂ© comme un synonyme du genre Haptodus et classĂ© parmi les pĂ©lycosaures sphĂ©nacodontidĂ©s. En 2015, une nouvelle Ă©tude a rĂ©vĂ©lĂ© que Callibrachion Ă©tait un animal diffĂ©rent d’Haptodus et qu’il appartenait aux casĂ©asaures plutĂŽt qu’aux sphĂ©nacodontidĂ©s. Ceci a Ă©tĂ© confirmĂ© en 2016 par une analyse cladistique qui a rĂ©cupĂ©rĂ© Callibrachion comme un casĂ©idĂ© basal. Les dents pointues et la cage thoracique non Ă©largie de Callibrachion indique que cet animal Ă©tait probablement faunivore[1] - [2].

Description

Holotype de Callibrachion gaudryi prĂ©servĂ© sur le dos (A). DĂ©tail de la main droite (B). Ilion droit recouvert dorsalement par l’extrĂ©mitĂ© proximale du fĂ©mur (C). Coprolithes de requins placĂ©s sur la dalle de l’holotype durant le 19e siĂšcle (D).
Holotype de Callibrachion gaudryi prĂ©servĂ© sur le dos (A). DĂ©tail de la main droite (B). Ilion droit recouvert dorsalement par l’extrĂ©mitĂ© proximale du fĂ©mur (C). Coprolithes de requins placĂ©s sur la dalle de l’holotype durant le XIXe siĂšcle (D).

Le squelette de Callibrachion est relativement complet mais est mal conservĂ©. Il est prĂ©servĂ© sur une plaque de schiste noir qui expose la face ventrale du squelette. Ce dernier se compose d’un crĂąne fragmentaire, de la cage thoracique, des membres antĂ©rieurs, et du membre postĂ©rieur droit. Le membre postĂ©rieur gauche et la queue sont manquants ainsi que quelques Ă©lĂ©ments des Ă©paules et du bassin. Le canal notochordal exposĂ© et la dĂ©sarticulation du scapulocoracoĂŻde et de l’ilion (oĂč la vascularisation osseuse est visible) rĂ©vĂšle un stade ontogĂ©nĂ©tique immature. En revanche les mĂ©tapodes bien ossifiĂ©s indiquent qu’il ne s’agit pas d’un juvĂ©nile prĂ©coce. Bien que presque complet, aucun caractĂšre autapomorphique ne peut ĂȘtre identifiĂ© chez Callibrachion en raison de l’état de conservation gĂ©nĂ©ralement mĂ©diocre du spĂ©cimen ainsi que de la grande incomplĂ©tude du crĂąne qui concentre habituellement de nombreux caractĂšres distinctifs. Callibrachion est dĂ©fini par une combinaison de caractĂšres tels que des dents coniques fines et droites, des cĂŽtes modĂ©rĂ©ment Ă©paissies, la possible prĂ©sence d’un foramen ectĂ©picondylien fermĂ©, un ilion avec la lame dorsale haute typique des casĂ©idĂ©s, des phalanges robustes mais non Ă©largies, et une formule phalangienne non rĂ©duite[2].

Le crĂąne est reprĂ©sentĂ© par plusieurs fragments dont seul le maxillaire (et possiblement une portion du prĂ©maxillaire) est clairement identifiable par sa rangĂ©e de dents marginales. Le bord ventral est lĂ©gĂšrement convexe, avec une rĂ©gion de dents caniniformes Ă  l'extrĂ©mitĂ© antĂ©rieure indiquĂ©e par les bases dentaires larges contrairement aux plus petites conservĂ©es postĂ©rieurement Ă  ces derniĂšres. Une deuxiĂšme rĂ©gion de dents Ă©largies est prĂ©sente postĂ©rieurement aux positions caniniformes et rappelle ce qui est observĂ© chez les Ă©othyrididĂ©s et chez le casĂ©idĂ© basal Martensius. Il n’est pas possible de fournir un nombre prĂ©cis de dents ou une estimation de la longueur du maxillaire, car le contour de l’élĂ©ment est incertain. Les dents conservĂ©es ont une couronne mince et conique avec une surface lisse, dĂ©pourvue de toute courbure significative sauf dans la partie antĂ©rieure de la rangĂ©e de dents conservĂ©es. La mandibule est reprĂ©sentĂ©e par une branche mince et plutĂŽt peu profonde de la mĂąchoire droite. Sa longueur conservĂ©e d’environ 70 mm pourrait ĂȘtre proche de sa longueur d’origine, car des dents larges et lĂ©gĂšrement incurvĂ©es se trouvent dans ce qui est trĂšs probablement l’extrĂ©mitĂ© du dentaire[2].

Dessin explicatif de l’holotype de Callibrachion gaudryi.
Dessin explicatif de l’holotype de Callibrachion gaudryi.

La colonne vertĂ©brale n'est reprĂ©sentĂ©e que par environ douze centra de vertĂšbres dorsales, ainsi que des restes incertains de la sĂ©rie cervicale et des arcs neuraux. La queue n’est pas conservĂ©e. Deux centres cervicaux Ă  peine visibles semblent se situer entre le crĂąne et la ceinture scapulaire. Certaines vertĂšbres ont Ă©tĂ© endommagĂ©es par la prĂ©paration, tandis que d’autres sont recouvertes par la ceinture scapulaire. NĂ©anmoins, grĂące Ă  l’articulation du squelette, il est possible de fournir une estimation du nombre prĂ©sacrĂ©. En particulier, la sĂ©rie ininterrompue d’environ 21 cĂŽtes dorsales indique un nombre prĂ©sacrĂ© minimal de 23 vertĂšbres. Les cĂŽtes sont robustes. Dans la rĂ©gion dorsale postĂ©rieure, les cĂŽtes diminuent en longueur mais pas en largeur[2].

Les membres sont Ă©galement robustes. La scapula se distingue notamment en Ă©tant beaucoup plus courte que l’humĂ©rus. Les deux mains sont assez bien conservĂ©es et articulĂ©es. Les os de la main sont robustes et bien dĂ©veloppĂ©s. Cependant, les mĂ©tacarpes et les phalanges ne prĂ©sentent pas la morphologie trapue et Ă©largie des casĂ©idĂ©s dĂ©rivĂ©s. Leurs proportions sont plutĂŽt similaires Ă  celles observĂ©s chez Eocasea, Martensius, et Casea broilii. Le doigt IV est le plus long de la sĂ©rie. Une de ses phalanges mĂ©dianes est raccourcie, mesurant environ 70 % de la longueur des phalanges voisines. Les phalanges terminales sont fortement incurvĂ©es, avec un fort tubercule flĂ©chisseur et un toit dorsal plat Ă©largi. La main prĂ©sente la condition plĂ©siomorphe des premiers amniotes avec une formule phalangienne de 2-3-4-5-3[N 1]. Les Ă©lĂ©ments conservĂ©s du pied droit sont pour la plupart dĂ©sarticulĂ©s. Il n’est pas possible de prĂ©ciser sa formule phalangienne mais les Ă©lĂ©ments individuels semblent ĂȘtre aussi robustes et fortement dĂ©veloppĂ©s que ceux de la main[2].

RĂ©partition stratigraphique

L’holotype de Callibrachion fut dĂ©couvert au XIXe siĂšcle sur le site de Margenne lors de l’exploitation du schiste bitumineux alors en cours dans le bassin d’Autun. La richesse palĂ©ontologique de ce bassin permit Ă  l’époque de dĂ©finir l’Autunien comme Ă©tage de rĂ©fĂ©rence pour le Permien infĂ©rieur continental d’Europe[3]. Selon la stratigraphie moderne, le site de Margenne appartient Ă  la formation de Millery qui est l’une des formations les plus jeunes du bassin d’Autun[4]. Elle correspond Ă  la partie supĂ©rieure de l’Autunien des anciens auteurs. En se basant sur les fossiles de plantes, d’invertĂ©brĂ©s et d’amphibiens, l’Autunien fut considĂ©rĂ© comme un Ăąge Ă©quivalent Ă  l’ensemble des Ă©tages marins globaux du GzhĂ©lien supĂ©rieur, de l’AssĂ©lien, du Sakmarien et de l’Artinskien[3] - [5] - [4]. Depuis la fin des annĂ©es 2010, des datations radiomĂ©triques de cendres volcaniques, altĂ©rĂ©es en tonsteins, et intercalĂ©es dans les couches sĂ©dimentaires de plusieurs formations gĂ©ologiques constituant l’Autunien d’Autun ont rĂ©vĂ©lĂ© que l’Autunien correspondait presque exclusivement Ă  l’étage AssĂ©lien de l’échelle stratigraphique internationale[6] - [7]. L’Autunien infĂ©rieur est reprĂ©sentĂ© par les formations d’Igornay et de Muse. La partie mĂ©diane de la Formation d'Igornay est datĂ©e Ă  299,9 ± 0,38 Ma et reprĂ©sente le GzhĂ©lien supĂ©rieur (CarbonifĂšre terminal), confirmant les premiĂšres estimations de l’ñge des plus anciens niveaux autuniens. Le lit des schistes bitumineux de Lally dans la partie infĂ©rieure de la formation de Muse est datĂ© Ă  298,91 ± 0,08 Ma, ce qui correspond Ă  ± 100 000 ans prĂšs, Ă  la limite CarbonifĂšre-Permien fixĂ©e en milieu marin dans l’Oural. La partie supĂ©rieure du lit des schistes bitumineux de Muse est datĂ©e entre 298,05 ± 0,19 et 298,57 ± 0,16 Ma. Ces datations dĂ©montrent que l’Autunien infĂ©rieur correspond au GzhĂ©lien supĂ©rieur et Ă  l’AssĂ©lien basal, et englobe donc la fin du CarbonifĂšre supĂ©rieur et la base du Permien infĂ©rieur[6]. Deux autres niveaux de cendres volcaniques prĂ©sents au sommet de la formation de Muse (limite Autunien infĂ©rieur-supĂ©rieur) et dans la partie supĂ©rieure de la formation de Millery ont donnĂ© des Ăąges de 298,39 ± 0,09 Ma[N 2] et 297,7 ± 0,08 Ma, ce dernier indiquant un Ăąge AssĂ©lien infĂ©rieur-moyen. Ces datations indiquent que l’Autunien supĂ©rieur (reprĂ©sentĂ© par les formations de Surmoulin, de Millery, et de Curgy) n’a probablement pas dĂ©passĂ© un Ăąge AssĂ©lien[8] - [7]. Ainsi, ces datations prouvent que les cinq formations gĂ©ologiques du bassin d’Autun qui dĂ©finirent l’Autunien reprĂ©sentent une durĂ©e gĂ©ologique infĂ©rieure Ă  2,5 millions d’annĂ©es et englobe la limite CarbonifĂšre-Permien (GzhĂ©lien supĂ©rieur - AssĂ©lien). Cette durĂ©e est nettement plus courte que les 10 millions d’annĂ©es de dĂ©pĂŽts estimĂ©s prĂ©cĂ©demment[7]. Ainsi, le genre Callibrachion de la formation de Millery, dont l’ñge fut successivement considĂ©rĂ© comme Sakmarien ou Artinskien, se rĂ©vĂšle ĂȘtre plus vieux avec un Ăąge AssĂ©lien infĂ©rieur ou moyen. Il est ainsi le plus ancien casĂ©idĂ© connu du Permien, seulement dĂ©passĂ© en Ăąge par les taxons du CarbonifĂšre supĂ©rieur Eocasea et Datheosaurus.

Paléoécologie

La formation de Millery atteint 250 m d’épaisseur et est constituĂ©e de schistes bitumineux gris foncĂ© dĂ©posĂ©s dans un environnement lacustre[2] - [6]. Les cendres volcaniques altĂ©rĂ©es en tonsteins conservĂ©es dans ces dĂ©pĂŽts sont liĂ©es Ă  un volcanisme aĂ©rien explosif. L’origine exacte de ces cendres volcaniques est incertaine mais les volcans actifs les plus proches du bassin d’Autun durant la limite CarbonifĂšre-Permien se trouvaient dans le nord du Massif central (rĂ©gions de Blismes et Montreuillon) et dans la rĂ©gion de la ForĂȘt-Noire et du Massif des Vosges[6]. Les rares amniotes trouvĂ©s dans ces couches lacustres, comme Callibrachion, le petit sphĂ©nacodontidĂ© Haptodus et le taxon d’affinitĂ© incertaine “Belebey” augustodinensis[N 3] - [9] - [10] (venant tous les deux d’un autre site de la formation) sont allochtones. Le temnospondyle Onchiodon, un parent de plus petite taille du genre Eryops d’AmĂ©rique du Nord, est Ă©galement prĂ©sent[11] - [12] - [13].

Paléobiologie

Silhouettes des caséasaures basaux montrant leur différente taille. Callibrachion mesurait un peu moins de 1,5 mÚtre de long, dont plus de la moitié pour la queue.
Comparaison de la taille des caséasaures basaux incluant Callibrachion gaudryi.

Les dents coniques, minces, et peu recourbĂ©es du Callibrachion diffĂšrent nettement des dents spatulĂ©es ou en forme de feuille et pourvues de cuspides des casĂ©idĂ©s herbivores plus tardif. Elles ressemblent davantage Ă  celles des EothyrididĂ©s et du casĂ©idĂ© basal Martensius. Les premiers Ă©taient de petits prĂ©dateurs, le second Ă©tait vraisemblablement insectivore au stade juvĂ©nile et omnivore Ă  l’ñge adulte[14]. Callibrachion ne possĂ©dait pas la cage thoracique Ă©largie des casĂ©idĂ©s herbivores qui abritait un intestin trĂšs dĂ©veloppĂ© nĂ©cessaire Ă  la digestion de vĂ©gĂ©taux riches en fibre. L’absence de cette caractĂ©ristique chez Callibrachion couplĂ© Ă  sa denture particuliĂšre indiquent que cet animal avait probablement un rĂ©gime alimentaire faunivore et devait se nourrir d’insectes et de petits vertĂ©brĂ©s[2].

Classification

Depuis sa description en 1893 jusqu’à la fin des annĂ©es 1970, la plupart des palĂ©ontologues ayant Ă©tudiĂ© Callibrachion l’ont estimĂ© proche d’animaux classĂ©s aujourd’hui parmi les Sphenacodontidae. Certains auteurs pensaient Ă©galement qu’il ne reprĂ©sentait pas un genre Ă  part entiĂšre et qu’il pouvait ĂȘtre attribuĂ© au genre Haptodus. Dans les annĂ©es 1990, Michel Laurent en est arrivĂ© Ă  douter de la nature synapside de Callibrachion (alors classĂ© comme Haptodus gaudryi) et le considĂ©rait comme un nomen dubium[15]. Ce n’est qu’en 2015 que l’animal fut rĂ©Ă©tudiĂ© par Spindler et des collĂšgues et identifiĂ© comme un casĂ©asaure sur la base de ses proportions globales ainsi que de caractĂ©ristiques dentaires et ostĂ©ologiques qui l’excluent de tout autre clade de synapside[2]. En 2016, une Ă©tude phylogĂ©nĂ©tique des casĂ©asaures rĂ©cupĂšre Callibrachion comme un casĂ©idĂ© basal proche d’Eocasea et Datheosaurus[16].

Ci-dessous, l’analyse phylogĂ©nĂ©tique publiĂ©e par Neil Brocklehurst et des collĂšgues en 2016[16].

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. La formule phalangienne correspond au nombre de phalanges constituant chaque doigts des mains et des pieds des tĂ©trapodes. Elle s’énumĂšre en partant du doigt I (correspondant chez l’homme au pouce et au gros orteil) jusqu’au doigt V (l’équivalent de l’auriculaire et du petit orteil).
  2. L’incohĂ©rence entre cet Ăąge de 298,39 ± 0,09 Ma du sommet de la formation de Muse avec l’ñge plus jeune de 298,05 ± 0.19 Ma provenant d’un niveau pourtant plus ancien de la mĂȘme formation pourrait s’expliquer par un Ăąge rajeuni du tonstein datĂ© Ă  298,05 Ma. Ce rajeunissement serait dĂ» Ă  la plus petite taille des grains de zircons datĂ©s et Ă  une possible perte en plomb (rĂ©f. Mercuzot 2020, p. 249-250).
  3. Décrit comme un bolosauridé du genre Belebey par Jocelyn Falconnet (2012), ce taxon est considéré par Spindler et des collÚgues (2019) comme un nomen dubium, représentant possiblement un Edaphosauridae ou un Captorhinidae

Références

  1. M. Boule et P. Glangeaud, « Le Callibrachion, nouveau reptile du Permien d’Autun », Comptes rendus hebdomadaires des SĂ©ances de l’AcadĂ©mie des Sciences, vol. 117 (19),‎ , p. 646-648 (lire en ligne)
  2. (en) F. Spindler, J. Falconnet et J. Fröbisch, « Callibrachion and Datheosaurus, two historical and previously mistaken basal caseasaurian synapsids from Europe », Acta Palaeontologica Polonica, vol. 361 (3),‎ , p. 597-616 (DOI 10.4202/app.00221.2015)
  3. J. Broutin, J-J. ChĂąteauneuf, J. Galtier et A. Ronchi, « L’Autunien d’Autun reste-t-il une rĂ©fĂ©rence pour les dĂ©pĂŽts continentaux du Permien infĂ©rieur d’Europe ? Apport des donnĂ©es palĂ©obotaniques », GĂ©ologie de la France, vol. 2,‎ , p. 17-31
  4. (en) R. Werneburg et J.W. Schneider, « Amphibian biostratigraphy of the European Permo-Carboniferous », dans Lucas, S.G., Cassinis, G. and Schneider, J.W., Non-Marine Permian Biostratigraphy and Biochronology, London, Geological Society, Special Publications, 265, (ISBN 978-1-86239-206-9), p. 201-215
  5. (en) J.W. Schneider et R. Werneburg, « Insect biostratigraphy of the Euramerican continental Late Pennsylvanian and Early Permian », dans Lucas, S.G., Cassinis, G. and Schneider, J.W., Non-Marine Permian Biostratigraphy and Biochronology, London, Geological Society, Special Publications, 265, (ISBN 978-1-86239-206-9), p. 325-336
  6. (en) P. Pellenard, G. Gand, M. Schmitz, J. Galtier, J. Broutin et J-S. Steyer, « High-precision U-Pb zircon ages for explosive volcanism calibrating the NW European continental Autunian stratotype », Gondwana Resarch, vol. 51,‎ , p. 118-136 (DOI 10.1016/j.gr.2017.07.014)
  7. P. Pellenard, M. Mercuzot, G. Gand, M. Schmitz, C. Ducassou, S. Bourquin et L. Beccaletto, « Un nouveau modĂšle d’ñge pour l’Autunien du bassin d’Autun Ă  partir de datations U-Pb sur des tonsteins », ConfĂ©rence RST-27e Ă©dition de la RĂ©union des Sciences de la Terre,‎ , p. 729 (lire en ligne)
  8. M. Mercuzot, « Reconstitutions paléoenvironnementales et paléoclimatiques en contexte tardi-orogénique : cas des bassins fini-carbonifÚres à permiens du nord-est du Massif central, France », Rennes, Ph.D. Thesis, Science de la Terre, Université de Rennes 1,
  9. (en) J. Falconnet, « First evidence of a bolosaurid parareptile in France (latest Carboniferous-earliest Permian of the Autun basin) and the spatiotemporal distribution of the Bolosauridae », Bulletin de la SociĂ©tĂ© GĂ©ologique de France, vol. 183 (6),‎ , p. 495-508 (DOI 10.2113/gssgfbull.183.6.495)
  10. (en) F. Spindler, S. Voigt et J. Fischer, « Edaphosauridae (Synapsida, Eupelycosauria) from Europe and their relationship to North American representatives », PalZ, vol. 94, no 1,‎ , p. 125-153 (DOI 10.1007/s12542-019-00453-2)
  11. (de) R. Werneburg, « Der Eryopide Onchiodon (Amphibia) aus dem Rotliegend des Beckens von Autun (Frankreich) », Freiberger Forschungsheft, vol. C 466,‎ , p. 167-181
  12. (en) R. Werneburg et J-S. Steyer, « Redescription of the holotype of Actinodon frossardi GAUDRY, 1866 from the Lower Permian of France (Autun) », Geobios, vol. 32 (4),‎ , p. 599-607 (DOI 10.1016/S0016-6995(99)80009-6)
  13. (en) R.R. Schoch, « The life cycle in late Paleozoic eryopid temnospondyls: developmental variation, plasticity and phylogeny », Fossil Record, vol. 24,‎ , p. 295-319 (DOI 10.5194/fr-24-295-2021)
  14. (en) D.S. Berman, H.C. Maddin, A.C. Henrici, S.S. Sumida, D. Scott et R.R. Reisz, « New primitive Caseid (Synapsida, Caseasauria) from the Early Permian of Germany », Annals of Carnegie Museum, vol. 86(1),‎ , p. 43-75 (DOI 10.2992/007.086.0103)
  15. (en) M. Laurin, « Re-evaluation of Cutleria wilmarthi, an Early Permian synapsid from Colorado », Journal of Vertebrate Paleontology, vol. 14(1),‎ , p. 134-138 (DOI 10.1080/02724634.1994.10011544)
  16. (en) N. Brocklehurst, R.R. Reisz, V. Fernandez et J. Fröbisch, « A Re-Description of ‘Mycterosaurus’ smithae, an Early Permian Eothyridid, and Its Impact on the phylogeny of Pelycosaurian-Grade Synapsids », PLoS ONE, vol. 11, no 6,‎ , e0156810 (DOI 10.1371/journal.pone.0156810)
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