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CĂ©ly

CĂ©ly, Ă©galement nommĂ©e localement CĂ©ly-en-BiĂšre, est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de Seine-et-Marne, en rĂ©gion Île-de-France.

CĂ©ly
CĂ©ly
L'hĂŽtel de ville.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Île-de-France
DĂ©partement Seine-et-Marne
Arrondissement Fontainebleau
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Fontainebleau
Maire
Mandat
Francis Guerrier
2020-2026
Code postal 77930
Code commune 77065
DĂ©mographie
Gentilé Célysiens
Population
municipale
1 247 hab. (2020 en augmentation de 7,87 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 201 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 27â€Č 36″ nord, 2° 31â€Č 57″ est
Altitude Min. 48 m
Max. 110 m
Superficie 6,19 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Fontainebleau
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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CĂ©ly
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CĂ©ly
Liens
Site web cely.fr

    En 2020, elle compte 1 247 habitants.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Localisation de Cély dans le département de Seine-et-Marne.

    La commune de CĂ©ly se situe au sud-ouest du dĂ©partement de Seine-et-Marne, en rĂ©gion Île-de-France[1] et au nord-est de la rĂ©gion naturelle du GĂątinais[Note 1] - [2].

    Elle se situe Ă  14,50 km par la route[Note 2] de Melun[3], prĂ©fecture du dĂ©partement et Ă  17,24 km de Fontainebleau[4], sous-prĂ©fecture. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Paris[1].

    Communes limitrophes

    Carte des communes limitrophes de CĂ©ly.

    Les communes les plus proches[Note 3] sont[5] : Fleury-en-BiĂšre (1,8 km), Saint-Germain-sur-École (2,4 km), Perthes (2,7 km), Soisy-sur-École (3,3 km), Saint-Martin-en-BiĂšre (3,6 km), Dannemois (4,1 km), Saint-Sauveur-sur-École (4,3 km), Courances (4,7 km).

    Relief et géologie

    Le territoire de la commune de CĂ©ly se situe dans le sud du Bassin parisien, plus prĂ©cisĂ©ment au nord de la rĂ©gion naturelle du GĂątinais et dans la partie ouest de la plaine de la BiĂšre, plaine qui constitue la partie nord-est de la rĂ©gion du GĂątinais et qui est dĂ©limitĂ©e au nord et Ă  l'ouest par la riviĂšre École ; Ă  l'est, par la Seine et au sud par la forĂȘt de Fontainebleau.

    Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'Úre géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du PaléogÚne au Quaternaire)[6] - [7].

    • Carte montrant en couleurs le relief d'une commune
      Carte du relief de CĂ©ly.
    • Carte montrant en couleurs le zonage gĂ©ologique simplifiĂ© d'une commune
      Carte géologique vectorisée et harmonisée de Cély.
    Géologie de la commune de Cély selon l'échelle des temps géologiques[6] - [7].
    Ères PĂ©riodes gĂ©ologiques Époques gĂ©ologiques Nature des sols
    CĂ©nozoĂŻque Quaternaire HolocĂšne
    CE :Colluvions polygéniques éboulis.
    LP :Limon des plateaux de composition argilo-marneuse.
    Fz :Alluvions récentes : limons, argiles, sables, tourbes localement.
    PléistocÚne
    NéogÚne PliocÚne non présent.
    MiocÚne non présent.
    PaléogÚne OligocÚne
    g1AR :Argile verte, Glaises Ă  CyrĂšnes et/ou Marnes vertes et blanches (Argile verte de Romainville) .
    g1CB :Calcaire de Brie stampien et meuliÚres plio-quaternaire indifférenciées.
    g1GF :GrÚs de Fontainebleau en place ou remaniés (grésification quaternaire de sables stampiens dunaires).
    g1SF :Sables de Fontainebleau, accessoirement grÚs en place ou peu remanié (versant).
    Éocùne
    e7C :Calcaire de Champigny, Calcaire de ChĂąteau-Landon, Marnes de Nemours.
    e7MS :Marnes supragypseuses : Marnes blanches de Pantin Marnes bleues d'Argenteuil
    PaléocÚne non présent.

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Carte des réseaux hydrographique et routier de Cély.

    Le rĂ©seau hydrographique de la commune se compose d'un seul cours d'eau rĂ©fĂ©rencĂ© : le ru de Rebais, 9,27 km[8], affluent de l’École.

    Sa longueur totale sur la commune est de 3,14 km[9].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon Ă©tat des eaux imposĂ© par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intĂ©grĂ©e s’articulent Ă  diffĂ©rentes Ă©chelles : le SDAGE, Ă  l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, Ă  l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le dĂ©partement de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[10].

    La commune fait partie du SAGE « Nappe de Beauce et milieux aquatiques associĂ©s », approuvĂ© le . Le territoire de ce SAGE couvre deux rĂ©gions, six dĂ©partements et compte 681 communes, pour une superficie de 9 722 km2[11]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurĂ©s par le Syndicat mixte du pays Beauce GĂątinais en Pithiverais, qualifiĂ© de « structure porteuse »[12].

    Climat

    ParamÚtres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 2,9 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 5 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,8 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 686 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 0,7 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -3,6 j

    La commune bĂ©nĂ©ficie d’un « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France dĂ©finie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalitĂ© des communes de Seine-et-Marne[13].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[13]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Cette Ă©volution peut ĂȘtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve Ă  19 km Ă  vol d'oiseau[14], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour 1981-2010[15] Ă  11,6 °C pour 1991-2020[16].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[17] - [18]. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protĂ©gĂ©, le Parc naturel rĂ©gional du GĂątinais français, crĂ©Ă© en 1999 et d'une superficie de 75 567 ha. D’une grande richesse en termes d’habitats naturels, de flore et de faune, il est un maillon essentiel de l’Arc sud-francilien des continuitĂ©s Ă©cologiques (notamment pour les espaces naturels ouverts et la circulation de la grande faune)[19] - [20].

    La rĂ©serve de biosphĂšre « Fontainebleau et GĂątinais », crĂ©Ă©e en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha est Ă©galement prĂ©sente sur la commune. Cette rĂ©serve de biosphĂšre, d'une grande biodiversitĂ©, comprend trois grands ensembles : une grande moitiĂ© ouest Ă  dominante agricole, l’emblĂ©matique forĂȘt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine Ă  l’est. La structure de coordination est l'Association de la RĂ©serve de biosphĂšre de Fontainebleau et du GĂątinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Éducation, unique parmi les RĂ©serves de biosphĂšre françaises[21] - [22] - [23] - [24].

    Urbanisme

    Typologie

    Cély est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [25] - [26] - [27].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[28] - [29].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (50,46 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (47,13 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (40,56 %), forĂȘts (21,40 %), zones urbanisĂ©es (18,72 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (9,90 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (9,43 %)[30].

    Occupation des sols en 1990 et 2018[30].
    Type d’occupation 1990 2018 Bilan
    Territoires artificialisés
    (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles)
    194,27 ha 31,47 % 173,73 ha 28,14 % −20,54 ha en diminution
    Territoires agricoles
    (terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogÚnes)
    290,96 ha 47,13 % 311,50 ha 50,46 % 20,54 ha en augmentation
    ForĂȘts et milieux semi-naturels
    (forĂȘts, milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e, espaces ouverts sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation)
    132,09 ha 21,40 % 132,09 ha 21,40 % 0,00 ha en stagnation

    ParallĂšlement, L'Institut Paris RĂ©gion, agence d'urbanisme de la rĂ©gion Île-de-France, a mis en place un inventaire numĂ©rique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dĂ©nommĂ© le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisĂ© rĂ©guliĂšrement depuis sa premiĂšre Ă©dition en 1982. RĂ©alisĂ© Ă  partir de photos aĂ©riennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, Ă©quipements, activitĂ©s Ă©conomiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'Ă  81 postes, diffĂ©rente de celle de Corine Land Cover[31] - [32] - [Carte 1]. L'Institut met Ă©galement Ă  disposition des outils permettant de visualiser par photo aĂ©rienne l'Ă©volution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Carte orhophotogrammĂ©trique de la commune.
      Carte orhophotogrammétrique de la commune.

    Planification

    La loi SRU du a incitĂ© les communes Ă  se regrouper au sein d’un Ă©tablissement public, pour dĂ©terminer les partis d’amĂ©nagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratĂ©gique des politiques publiques Ă  une grande Ă©chelle et Ă  un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Fontainebleau et sa rĂ©gion, approuvĂ© le et portĂ© par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) de Fontainebleau et sa rĂ©gion[33].

    La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[34].

    Lieux-dits et Ă©carts

    Carte du cadastre de la commune de CĂ©ly.

    La commune compte 76 lieux-dits administratifs[Note 7] répertoriés consultables ici[35] (source : le fichier Fantoir).

    Logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 551 dont 96,0 % de maisons et 3,8 % d'appartements[Note 8].

    Parmi ces logements, 90,2 % étaient des résidences principales, 3,3 % des résidences secondaires et 6,5 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 88,7 % contre 7,2 % de locataires[36], dont 2,2 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 9], et 4 % logés gratuitement.

    Voies de communication

    Le territoire de la commune est traversé, du nord au sud, par l'autoroute A6. L'échangeur no 13, situé au centre de la commune, est accessible par la route départementale D 372.

    La route nationale 37, qui reliait l'autoroute A6 à la route nationale 7 en direction de Fontainebleau, et qui est désormais réduite à une courte section de km entre le diffuseur de l'A6 et la D 372, traverse la partie nord-est du territoire de Cély.

    Plusieurs routes départementales relient Cély aux communes voisines :

    • la D 11, vers le nord en direction de Perthes et vers le sud-est en direction de Fleury-en-BiĂšre ;
    • la D 372, vers le nord-est en direction de Perthes et vers le sud-ouest en direction de Courances ;
    • la D 637, qui prolonge la N 37 vers l'est en direction de Fleury-en-BiĂšre.

    Transports

    La commune est desservie par trois lignes du réseau de bus Transdev Saint-Fargeau-Ponthierry[37] :

    • la ligne no 14 qui relie Saint-Martin-en-BiĂšre Ă  Melun (gare de Melun) ;
    • la ligne no 20 qui relie Soisy-sur-École Ă  Avon ;
    • la ligne no 114 qui relie Saint-Martin-en-BiĂšre Ă  Perthes.

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous la forme Celliacum en 1258[38] et 1284[39] ; Ceeli en 1294[40] ; La ville de Celli en 1367[41] ; Celli en 1384[42] ; Ceilli en 1385[43] ; La ville de Selly en 1389[44] ; Seli en 1437[45] ; Celly en Biere au xve siÚcle[46] ; Selly et Seilly en 1545[47] ; Chelly en Biere en 1607[48] - [49].

    Histoire

    La construction du chĂąteau de Cely remonte aux annĂ©es 1430 sur l’initiative de Jacques CƓur, un marchand français connu pour ĂȘtre l'un des premiers français Ă  Ă©tablir des relations commerciales avec les pays du Levant[50].

    En 1899, le Tramway Sud de Seine-et-Marne (TSM) est inaugurĂ© et relie Melun Ă  Barbizon[51]. À partir de 1910, la ligne Chailly - Milly lui est adjoint et permet alors aux CĂ©lysiens de bĂ©nĂ©ficier des services du « Tacot ». Cinq locomotives tirant deux Ă  cinq voitures « vert wagon » assurent chaque jour trois voyages dans les deux sens. Il en coĂ»te alors un franc pour aller jusqu’à Melun en 2e classe. La ligne est fermĂ©e en 1938, mais la gare et le chemin rural du chemin de fer sont restĂ©s[51].

    Au XIXe siÚcle, la commune, qui recensait environ cinq cent habitants a comme principale activité la culture des arbres fruitiers, notamment des cerisiers[50].

    Depuis 1972, la commune et rattaché à la création du canton de Perthes[50].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1971 1995 Yves DĂ©troyat
    1995 2008 André Dominé Droite Pilote de ligne
    mars 2008 2014 Jean-Jacques Zanella
    mars 2014 2020 Maryse Galmard-Peters[52] Enseignante
    mars 2020 En cours Francis Guerrier[53]

    Instances judiciaires et administratives

    Une brigade territoriale autonome de gendarmerie est implantée à Cély[54].

    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2012[55].

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usĂ©es et pluviales relĂšve des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rĂŽle des EPCI Ă  fiscalitĂ© propre en leur transfĂ©rant cette compĂ©tence. Ce transfert devait en principe ĂȘtre effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilitĂ© d’un report de ce transfert au [56] - [57].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Cély est assurée par la communauté d'agglomération du Pays de Fontainebleau (CAPF) pour la collecte. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [58] - [59] - [60].

    L’assainissement non collectif (ANC) dĂ©signe les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[61]. Le Parc naturel rĂ©gional du GĂątinais français assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vĂ©rifier la bonne exĂ©cution des travaux de rĂ©alisation et de rĂ©habilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[58] - [62].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté d'agglomération du Pays de Fontainebleau (CAPF) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [58] - [63].

    Les nappes de Beauce et du Champigny sont classĂ©es en zone de rĂ©partition des eaux (ZRE), signifiant un dĂ©sĂ©quilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce dĂ©sĂ©quilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualitĂ© en permanence sur le territoire du dĂ©partement, le troisiĂšme Plan dĂ©partemental de l’eau signĂ©, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sĂ©curisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. À cette fin a Ă©tĂ© prĂ©parĂ© et publiĂ© en dĂ©cembre 2020 un schĂ©ma dĂ©partemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont dĂ©finis. La commune fait partie du secteur BiĂšre[64].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[65]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[66].

    En 2020, la commune comptait 1 247 habitants[Note 10], en augmentation de 7,87 % par rapport Ă  2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    487483523575605541544542572
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    559547553550513548525510538
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    506469436426453426435432437
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    4414455568229601 0101 0711 0891 180
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 1561 2381 247------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[67] puis Insee Ă  partir de 2006[68].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • FĂȘte patronale le premier dimanche de septembre.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2018, le nombre de mĂ©nages fiscaux de la commune Ă©tait de 476, reprĂ©sentant 1 202 personnes et la mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation de 30 450 euros[69].

    Emploi

    En 2018 , le nombre total d’emplois dans la zone Ă©tait de 215, occupant 585 actifs rĂ©sidants. Le taux d'activitĂ© de la population (actifs ayant un emploi) ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©levait Ă  72,6 % contre un taux de chĂŽmage de 4,7 %. Les 22,7 % d’inactifs se rĂ©partissent de la façon suivante : 10,2 % d’étudiants et stagiaires non rĂ©munĂ©rĂ©s, 6,8 % de retraitĂ©s ou prĂ©retraitĂ©s et 5,7 % pour les autres inactifs[70].

    Entreprises et commerces

    En 2019, le nombre d’unitĂ©s lĂ©gales et d’établissements (activitĂ©s marchandes hors agriculture) par secteur d'activitĂ© Ă©tait de 99 dont 15 dans la construction, 22 dans le commerce de gros et de dĂ©tail, transports, hĂ©bergement et restauration, 4 dans l’Information et communication, 5 dans les activitĂ©s financiĂšres et d'assurance, 4 dans les activitĂ©s immobiliĂšres, 27 dans les activitĂ©s spĂ©cialisĂ©es, scientifiques et techniques et activitĂ©s de services administratifs et de soutien, 10 dans l’administration publique, enseignement, santĂ© humaine et action sociale et 12 Ă©taient relatifs aux autres activitĂ©s de services[71].

    • Entreprise les plus importantes : CĂ©ly Golf et Country Club - Brink’s (transporteur de fonds).

    En 2020, 16 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 8 individuelles.

    Au , la commune ne disposait pas d’hîtel et de terrain de camping[72].

    Agriculture

    CĂ©ly est dans la petite rĂ©gion agricole dĂ©nommĂ©e le « Pays de BiĂšre et ForĂȘt de Fontainebleau », couvrant le Pays de BiĂšre et la forĂȘt de Fontainebleau[Carte 3]. En 2010, l'orientation technico-Ă©conomique[Note 11] de l'agriculture sur la commune est la culture de fleurs et horticulture diverse[73].

    Si la productivitĂ© agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tĂȘte des dĂ©partements français, le dĂ©partement enregistre un double phĂ©nomĂšne de disparition des terres cultivables (prĂšs de 2 000 ha par an dans les annĂ©es 1980, moins dans les annĂ©es 2000) et de rĂ©duction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les annĂ©es 2010[74]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune oĂč le nombre d’exploitations est passĂ© de 3 en 1988 Ă  2 en 2010. ParallĂšlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 59 ha en 1988 Ă  81 ha en 2010[73]. Le tableau ci-dessous prĂ©sente les principales caractĂ©ristiques des exploitations agricoles de CĂ©ly, observĂ©es sur une pĂ©riode de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture Ă  CĂ©ly entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension Ă©conomique[73] - [Note 12]
    Nombre d’exploitations (u) 3 2 2
    Travail (UTA) 8 7 4
    Surface agricole utilisée (ha) 178 163 161
    Cultures[75]
    Terres labourables (ha) s s s
    Céréales (ha) s s s
    dont blé tendre (ha) s s s
    dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) s s
    Tournesol (ha) s
    Colza et navette (ha) 0 s s
    Élevage[73]
    Cheptel (UGBTA[Note 13]) 1 0 0

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Étienne (XIIIe siĂšcle). Elle se distingue par sa nef et son bas-cĂŽtĂ© unique voĂ»tĂ©s d'ogives. Les vitraux sont, eux, du XVe siĂšcle. La clĂŽture de bois date de la Renaissance, les stĂšles funĂ©raires et statues de pierre du XVIe siĂšcle.
    • Le moulin de Choiseau (XVIIe siĂšcle), Logo monument historique ClassĂ© MH (1985, moulin, mĂ©canisme, façades et toitures des bĂątiments annexes, canal)[76].
    • Le chĂąteau de CĂ©ly et son terrain de golf.
    • L'atelier d'art de CĂ©ly, atelier de gravure et galerie de Caroline DelĂ©pine.
    • Un pont amĂ©nagĂ© sur le Rebais a Ă©tĂ© offert Ă  la commune par le maire RĂ©my-Pierre Baux, accompagnĂ© d'un lavoir en contrebas.

    Personnalités liées à la commune

    • Amans-Alexis Monteil (1769-1850), historien, y est mort.
    • Madeleine Vionnet (1876-1975), grande couturiĂšre française, possĂ©da une maison, rue du Bois Baudoin[77].
    • Édouard Goerg (1893-1969), peintre acadĂ©mique dont la vie Ă  CĂ©ly a Ă©tĂ© le sujet d'un film en 1922, tournĂ© dans la maison ou vivait le peintre, rĂ©alisĂ© par AndrĂ© Sauvage « Edouard Goerg Ă  CĂ©ly »[78].
    • Jacques Griffe (1909-1996), crĂ©ateur de mode et grand couturier, y rĂ©sida[79].
    • Pierre Palmade (1968-), acteur et humoriste français, y rĂ©side depuis 2017[80].

    CĂ©ly dans les arts et la culture

    • Les scĂšnes de golf du film La Soif de l'or ont Ă©tĂ© tournĂ©es au golf de CĂ©ly[81] ;
    • En fĂ©vrier 2013 se sont jouĂ©es plusieurs scĂšnes du film La Marche lors d'un tournage Ă  CĂ©ly-en-BiĂšre.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Collectif d’historiens, Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Éditions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « CĂ©ly », p. 1204–1205

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Elle fait partie des 69 communes du parc naturel régional du Gùtinais français (dont 33 en Seine-et-Marne)
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    3. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Contrairement au hameau ou Ă©cart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcĂ©ment un lieu habitĂ©, il peut ĂȘtre un champ, un carrefour ou un bois...
    8. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours Ă©gale Ă  100 %.
    9. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    11. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    12. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    13. L'UnitĂ© gros bĂ©tail alimentation totale (UGBTA) est une unitĂ© employĂ©e pour pouvoir comparer ou agrĂ©ger des effectifs animaux d’espĂšces ou de catĂ©gories diffĂ©rentes (par exemple, une vache laitiĂšre = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mĂšre = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
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    Références

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