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Bridoré

Bridoré est un village français qui appartient au canton de Loches et à l'arrondissement de Loches, situé dans le département d'Indre-et-Loire en région Centre-Val de Loire.

Bridoré
Bridoré
Vue du plan d'eau (artificiel) en contrebas du bourg de Bridoré.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Indre-et-Loire
Arrondissement Loches
Intercommunalité Communauté de communes Loches Sud Touraine
Maire
Mandat
Pascale Morel
2020-2026
Code postal 37600
Code commune 37039
DĂ©mographie
Gentilé Bridoréens
Population
municipale
484 hab. (2020 en diminution de 9,7 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 33 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 01′ 40″ nord, 1° 05′ 00″ est
Altitude Min. 76 m
Max. 144 m
Superficie 14,54 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Loches
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Loches
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Bridoré
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Bridoré
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Bridoré
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Bridoré

    GĂ©ographie

    Localisation et communes limitrophes

    EntourĂ© par les communes de FlĂ©rĂ©-la-Rivière, Verneuil-sur-Indre et Saint-Hippolyte, BridorĂ© est situĂ© Ă  48 km au sud-est de JouĂ©-lès-Tours, la plus grande ville des environs. Le bourg est situĂ© sur une colline culminant Ă  144 mètres (au-dessus du niveau de la mer) la rivière l'Indre est le principal cours d'eau qui traverse la commune de BridorĂ©. La commune est proche du parc naturel rĂ©gional de la Brenne Ă  environ 13 km.

    La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[1].

    Hydrographie

    Réseau hydrographique de Bridoré.

    La commune est bordĂ©e sur son flanc est par l'Indre (1,632 km)qui en constitue la limite communale. Le rĂ©seau hydrographique communal, d'une longueur totale de 11,49 km, comprend en outre six petits cours d'eau[2] - [3].

    L'Indre, d'une longueur totale de 279,4 km, prend sa source Ă  une altitude de 453 m sur le territoire de Saint-Priest-la-Marche dans le dĂ©partement du Cher et se jette dans la Loire Ă  Avoine, après avoir traversĂ© 58 communes[4]. Les crues de l'Indre sont le plus souvent de type inondation de plaine[Note 1]. Sur le plan de la prĂ©vision des crues, la commune est situĂ©e dans le tronçon de l'Indre tourangelle[6], dont la station hydromĂ©trique de rĂ©fĂ©rence la plus proche est situĂ©e Ă  Perrusson. La hauteur maximale historique a Ă©tĂ© atteinte en novembre 1770. La hauteur maximale mesurĂ©e s'Ă©tablit Ă  3,30 et a Ă©tĂ© observĂ©e le 21 dĂ©cembre 1982[7]. Ce cours d'eau est classĂ© dans les listes 1[Note 2] et 2[Note 3] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Au titre de la liste 1, aucune autorisation ou concession ne peut ĂŞtre accordĂ©e pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle Ă  la continuitĂ© Ă©cologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonnĂ© Ă  des prescriptions permettant de maintenir le très bon Ă©tat Ă©cologique des eaux. Au titre de la liste 2, tout ouvrage doit ĂŞtre gĂ©rĂ©, entretenu et Ă©quipĂ© selon des règles dĂ©finies par l'autoritĂ© administrative, en concertation avec le propriĂ©taire ou, Ă  dĂ©faut, l'exploitant[8] - [9]. Sur le plan piscicole, l'Indre est classĂ©e en deuxième catĂ©gorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constituĂ© essentiellement de poissons blancs (cyprinidĂ©s) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[10].

    Deux zones humides[Note 4] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée de l'Indre : de la prairie d'Oizay aux Anglées » et « les étangs de la Chaperonnière »[11] - [12].

    RĂ©seau routier

    Bridoré est traversé par les routes départementales 943 et 241.

    Bus

    La commune est desservie par la ligne TER Centre-Val de Loire : Châteauroux ↔ Tours.

    Urbanisme

    Typologie

    Bridoré est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [13] - [14] - [15].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Loches, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[16] - [17].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63 %), zones agricoles hétérogènes (16,3 %), prairies (14,1 %), forêts (4 %), zones urbanisées (2,5 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[19].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Bridoré est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible)[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Indre. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2016[22] - [20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bridoré.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 95,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (90,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 237 bâtiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 207 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 87 %, Ă  comparer aux 91 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [24].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1997 et par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Toponymie

    Bridore ad Andriam, VIe siècle (H. de Valois, Notiticia gallicanorum.) ; Brioderus vicus, VIIe siècle (Acta Sanctorum, mai, tome V, p. 228 : Acta Sancti Austregisilii) ; Brolium Dore, XIIIe siècle (Dom Housseau, Charte de l'abbaye de Baugerais) ; Breuil Doré, 1454 ; Ymbert de Briault, escuyer, natif de Savoye, demourant au Bridoré, en Touraine, juillet 1496 (A.N.-JJ 227, n° 82, fol. 42) ; Le Bridoré, La paroisse du Bridoré, 1654 (Terrier du Bridoré, passim) ; Le Bridoré, XVIIIe siècle (carte de Cassini) ; Commune d’Oizay Cerçay Bridoré, an VI.
    Le chef-lieu de la paroisse d’Oizay fut déplacé au Bridoré au début du XVIe siècle.
    La forme latine Brolium Doré signifie : le Breuil appartenant à Doré ; elle peut être une latinisation défectueuse de la forme romane incomprise, car la forme Brioderus renvoie au gaulois briga = mont et à un second élément derus, thème obscur qui devrait correspondre au gaulois o-durum = hauteur, lieu fortifié ; Bridoré signifierait alors : la hauteur fortifiée, qui correspond au site du château, noyau primitif qui donna naissance à la paroisse au XVIe siècle, puis à la commune en 1790.

    Histoire

    Féodalité : voir plus bas le paragraphe « Château de Bridoré ».

    Entre 1790 et 1794, la commune de Bridoré annexe les anciennes communes de Cerçay[25] et Oizay[26].

    Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement les noms de Bridoré-et-Martin et de Cerçay-Bridoré[27].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 2008 Alain Coutrot
    mars 2008 [28] Hervé Ageorges
    novembre 2013 2014 Thierry Frémont
    mars 2014 juillet 2020 Christian Baritaud SE Retraité
    juillet 2020[29] En cours Pascale Morel
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

    En 2020, la commune comptait 484 habitants[Note 7], en diminution de 9,7 % par rapport Ă  2014 (Indre-et-Loire : +1,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    368378375403389393379383365
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    400429437435426475466461416
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    436436452399398391381398405
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    370373363426461476429489552
    2015 2020 - - - - - - -
    531484-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee Ă  partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Bridoré se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Loches. Les élèves sont accueillis dans l'école élémentaire publique de la commune.

    Loisirs, tourisme et événements

    La commune possède un plan d'eau (d'origine artificielle), où pêcheurs, campeurs, promeneurs et randonneurs peuvent cohabiter. Une fois par an, le village se mobilise lors de la Fête de Plan d'eau. Une brocante, un concours de pêche et une course de cyclisme sont organisés pour animer la journée qui se finit par un bal dansant.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Martin d'Oizay, inscrite comme monument historique en 1949, remonte au XIIe siècle.

    Bridoré possède deux monuments datant du XVe siècle, la forteresse dite de Barbe-Bleue et l'église Saint-Roch.

    Château de Bridoré

    La forteresse construite sur le site dit Breuil-Doré est à l'origine du petit village. Dans la première moitié du XIIIe siècle, Josbert Ier de Ste-Maure, Pressigny et Nouâtre, mari d'Agnès de Vendôme, est seigneur de Bridoré[33], et après lui leur fils cadet le maréchal Renaud Ier de Précigny, † croisé en 1270 en Tunisie ; puis l'arrière-petite-fille de ce dernier, Marguerite de Précigny (fille de Renaud III, fils de Renaud II, lui-même fils du maréchal Renaud), et son mari Godemar Ier de Linières, veuf d'Agnès de Sancerre et † en 1340 ; une de leurs enfants, Florie de Linières, † 1406, transmit Bridoré à son premier mari, le premier maréchal Boucicaut, qui suit († 1368 ; aussi sire de La Bourdaisière), puis temporairement à son second époux, le chevalier Maurice Mauvinet, † vers 1375.

    Cette forteresse fut rebâtie sous Charles V de même que la chapelle Saint-Roch, devenue église paroissiale, pour le maréchal de France Jean Ier Le Meingre dit Boucicaut (1310-1368), puis par son fils, Jean II Le Meingre dit Boucicaut (1366-1421, sans postérité survivante ; aussi maréchal de France) ; Bridoré passe ensuite à Geoffroi Boucicaut, le frère cadet de Jean II le Meingre, puis à ses deux fils Jean et Louis Le Meingre (fils de sa deuxième épouse Isabeau fille de Louis de Poitiers-Valentinois-Saint-Vallier ; co-seigneurs de Bridoré, cités en 1463 ; les deux † sans postérité).

    Imbert de Batarnay du Bouchage (1438-1523), sire de Montrésor, conseiller des rois Louis XI, Charles VIII et Louis XII, achète la seigneurie du Bridoré en 1475 à Louis Le Meingre. Il met au point le prototype de la défense enterrée, dont s’inspirera Vauban : la caponnière. Il rehausse le donjon qui atteint ainsi trente mètres et le couvre d’une charpente avec des échauguettes. Son fils François de Batarnay, oncle maternel de Diane de Poitiers et mari de Françoise de Maillé la Jeune dame de Rillé, est père de René de Batarnay (1513-1580), père lui-même de Gabrielle de Batarnay (1546-1570), épouse en 1570 de Gaspard de La Châtre de Nançay (vers 1539-1576), d'où Henri de La Châtre, Ier comte de Nançay en 1609/1610, père d'Edme de La Châtre, † 1645, qui vend Bridoré en avril/mai 1641 à Charles de Boursault, † 1653, seigneur de Viantais et de Voise.

    En 1641 en effet, le marquis de Viantais, Charles de Boursault, acquiert la seigneurie du Bridoré. Le fils de Charles, Pierre de Boursault (1624-1704), maréchal de camp, hérite de Bridoré, puis sa propre fille Anne-Louise, qui cède le domaine le 10 avril 1717 aux religieuses viantaises de Beaulieu, fondées par les sœurs de Pierre, Catherine-Angélique (1619-1712) et Renée-Thérèse de Boursault (~1626-1714). Vendu comme bien national à la Révolution, il reste dans la même famille jusqu’à aujourd’hui. Classé Monument historique en 1911, restauré par les peintres Simone Lefèvre et Pierre Mouveau. Ce sont maintenant leurs petits-enfants, Virginie Feugier et son frère Pierre Alexandre Mouveau, qui assurent la conservation et la restauration de ce site.

    Église Saint-Roch

    L'église Saint-Roch de Bridoré, construite au XVe siècle, est inscrite comme monument historique en 1926.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Une inondation de plaine se produit lorsque le niveau d'un cours d'eau, généralement à la suite de fortes précipitations, monte progressivement jusqu'à l'envahissement du lit moyen, voire du lit majeur, pendant une période plus ou moins longue[5].
    2. Le classement en liste 1 est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
    3. Ce classement est attribué aux parties de cours d'eau ou canaux sur lesquels il est nécessaire d'assurer le transport suffisant des sédiments et la circulation des poissons migrateurs.
    4. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Valençay, consulté le 15 août 2014.
    2. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
    3. « Carte hydrologique de Bridoré », sur https://www.geoportail.gouv.fr/ (consulté le ).
    4. « Fiche Sandre - l'Indre », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
    5. « Les inondations lentes », sur Observatoire régional de Risques majeurs en Provence-Alpes Côte d'Azur (consulté le ).
    6. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 19.
    7. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 62.
    8. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 1 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur http://www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 2 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur http://www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
    10. (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    11. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur http://terresdeloire.net/ (consulté le ).
    12. « L'inventaire départemental des zones humides », sur http://www.indre-et-loire.gouv.fr/, (consulté le ).
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    19. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    20. « Les risques près de chez moi - commune de Bridoré », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur www.indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Cerçay », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Oizay », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Décès d'Hervé Ageorges, maire de Bridoré
    29. « Municipales : un feuilleton à rebondissements », La Nouvelle République du Centre-Ouest,‎ , p. 13.
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. « Bridoré, p. 427-428 », sur Dictionnaire géographique, historique et biographique d'Indre-et-Loire et de Touraine, t. Ier, par Jacques-Xavier Carré de Busserolle, chez Rouillé-Ladevèze à Tours, 1878.
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