Arricau-Bordes
Arricau-Bordes est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Arricau-Bordes | |||||
Le château d'Arricau. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Pau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Nord Est Béarn | ||||
Maire Mandat |
Marie-Odile Rigaud 2020-2026 |
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Code postal | 64350 | ||||
Code commune | 64052 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Arricaliens Bordais | ||||
Population municipale |
107 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 13 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 29′ 39″ nord, 0° 08′ 01″ ouest | ||||
Altitude | Min. 140 m Max. 299 m |
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Superficie | 8,10 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Pau (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Localisation
La commune d'Arricau-Bordes se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 37 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 34 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lembeye[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Castillon (Canton de Lembeye) (1,6 km), Séméacq-Blachon (2,0 km), Lespielle (2,4 km), Gayon (3,1 km), Vialer (3,2 km), Escurès (3,3 km), Cadillon (4,2 km), Corbère-Abères (4,4 km).
Sur le plan historique et culturel, Arricau-Bordes fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].
Accès
La commune est desservie par les routes départementales 13, 228 et 298.
Lieux-dits et hameaux
Hydrographie
La commune est drainée par le Léez, le Lisau, le ruisseau de Larrigan, le ruisseau de Barsious, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 7 km de longueur totale[9] - [10].
Le Léez (56 km) prend sa source dans la commune de Gardères, s'écoule du sud vers le nord et longe le territoire communal dans sa partie ouest, constituant la limite communale avec Gayon puis avec Vialer. Il se jette dans l'Adour à Barcelonne-du-Gers, après avoir traversé 31 communes[11].
Le Lisau, d'une longueur totale de 13,3 km, prend sa source dans la commune d'Escurès et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Larcis à Aubous, après avoir traversé 7 communes[12].
Le lac dit de Cadillon s'établit partiellement sur la commune[6] (en commun avec Cadillon]. Il est alimenté par le Lisau à sa sortie de la commune, vers le nord.
Au sud, le lac dit de Castillon s'étend à cheval[6] sur les deux communes, Arricau-Bordes et Castillon.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[13]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[14].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[16] complétée par des études régionales[17] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lembeye », sur la commune de Lembeye, mise en service en 1972[18] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[19] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 1 059,8 mm pour la période 1981-2010[20]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 26 km[21], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[22], à 13,4 °C pour 1981-2010[23], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[24].
Urbanisme
Typologie
Arricau-Bordes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [25] - [26] - [27].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[28] - [29].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (69,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (32,3 %), forêts (29,4 %), zones agricoles hétérogènes (24,2 %), prairies (13 %), eaux continentales[Note 8] (1 %)[30].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Arricau-Bordes est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[31]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[32].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Léez et le Lisau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 2007 et 2009[33] - [31].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[34]. 75,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 9] - [35].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 2013[31].
Risque technologique
La commune est en outre située en aval de barrages de classe A[Note 10]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[37].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune d'Arricau-Bordes est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[38].
Toponymie
Le toponyme Arricau est mentionné au XIIe siècle[7] (Pierre de Marca[39]), et apparaît sous les formes Aricau et Ricau (respectivement 1385[7] et XIVe siècle[7], censier de Béarn[40]), Arricau-Viele (1538[7], réformation de Béarn[41]), Saint-Jacques-d’Arricau et Saint-Martin-d’Arricau sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[42])
Selon Michel Grosclaude[42], le toponyme Arricau serait formé des deux termes gascons, arric (« ravin, thalweg ») et cau (« creux »).
Le toponyme Bordes apparaît sous les formes Bordas (XIe siècle[7], cartulaire de Lescar[43]) et Bordes en Vic-Bilh (1673[7], réformation de Béarn[41]). Bordes provient[44] du gascon borde désignant à l'origine une bergerie ou grange isolée, une métairie[45].
Domengé est une ferme d'Arricau, mentionnée sous la graphie l'ostau de Domenger en 1385[7] (censier de Béarn[40]).
Lahitole est un hameau d’Arricau, dont il est fait mention sous les formes La Fitola et Lahitolle (respectivement 1558[7] et 1673[7], réformation de Béarn[41]) et Lafitole et La Fitole (1863[7] pour les deux formes, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque).
Nouguès, ancienne ferme d’Arricau, apparaît en 1385[7] sous la forme Noguer dans le censier de Béarn[40].
Saint-Martin était un hameau d’Arricau, mentionné en 1863[7].
Histoire
C'est vers 1150 qu'apparaissent les premiers seigneurs d'Arricau; des seigneurs de Bordes sont mentionnés dès 1343; la commune actuelle comptait une troisième seigneurie, dite de Lahitolle, qui dépendait de celle de Bordes[46]. Paul Raymond[7] note qu'en 1385, Arricau, Bordes et Lahitolle dépendaient du bailliage de Lembeye et comptaient respectivement 8, 12 et 2 feux[47]. Arricau englobait alors deux paroisses, Saint-Martin et Saint-Jacques. Le fief de Bordes dépendait de la vicomté de Béarn.
Politique et administration
Liste des maires
Intercommunalité
Arricau-Bordes fait partie de quatre structures intercommunales[49] :
- la communauté de communes du canton de Lembeye en Vic-Bilh ;
- le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat d'irrigation de la vallée des Lées ;
- le syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable (SIAEP) du Vic-Bilh Montaneres.
Population et société
Démographie
En 1385, on comptait à Arricau 8 ostaus et 12 à Bordes[47].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[51].
En 2020, la commune comptait 107 habitants[Note 11], en diminution de 0,93 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
De 1793 à 1861, la population indiquée ne reflète que celle d'Arricau, encore séparé de Bordes, dont la population durant cette même période est décrite ci-dessous[48].
Économie
La commune fait partie des zones d'appellation d'origine contrôlée (AOC) du madiran, du pacherenc-du-vic-bilh et du béarn.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
Le château d'Arricau[54] est établi depuis le XIVe siècle. Il est classé par les monuments historiques (inscription datant de 1988). Son échauguette[55] fait l'objet d'un classement de la part du ministère de la Culture. L'inventaire général du patrimoine culturel y a recensé un fer à hosties[56] du XVIIe siècle, un bénitier[57] du XVIIIe siècle ainsi qu'une stèle discoïdale[58] du XVIe siècle. À Bordes, la demeure dite château de Bordès[59] apparaît au XVIIIe siècle.
La commune possède un ensemble de maisons et de fermes[47] inscrites à l'Inventaire général du patrimoine culturel. Sur les quarante édifices recensés en 1968 par l'inventaire fondamental[47], vingt-sept dataient d'avant 1871.
Au lieu-dit Lahitole, se trouve une ferme[8] construite au XVIIIe siècle.
Patrimoine religieux
L'église Saint-Jean-Baptiste[60], à Bordes, date partiellement du XIe siècle. Elle recèle divers objets (chasuble[61], deux lanternes[62] et une croix[63] de procession) et mobiliers (fauteuil[64] et un ensemble[65] autel, gradin et tabernacle) inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel.
L'église Saint-Jacques[66], d'Arricau, est mentionnée dès le XVIe siècle et fut détruite deux siècles plus tard.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[15].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[36].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
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- Stephan Georg, « Distance entre Arricau-Bordes et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Arricau-Bordes et Serres-Castet », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Arricau-Bordes », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne).
- « La ferme du lieu-dit Lahitole », notice no IA00026442, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Fiche communale d'Arricau-Bordes », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- « Carte hydrographique d'Arricau-Bordes » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- Sandre, « le Laas ».
- Sandre, « le Lisau ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
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- Article R214-112 du code de l’environnement
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- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
- D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
- Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne).
- Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
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- Cartulaire de l'évêché de Lescar, publié dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
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- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Le château d'Arricau », notice no PA00084317, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L'échauguette du château d'Arricau », notice no IA00026441, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le fer à Hosties du château d'Arricau », notice no IM64002098, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le bénitier du château d'Arricau », notice no IM64002097, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La stèle discoïdale du château d'Arricau », notice no IM64002096, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le château de Bordès », notice no IA00026443, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L'église Saint-Jean-Baptiste », notice no IA00026444, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La chasuble de l'église Saint-Jean-Baptiste », notice no IM64002103, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les lanternes de procession de l'église Saint-Jean-Baptiste », notice no IM64002102, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La croix de procession de l'église Saint-Jean-Baptiste », notice no IM64002101, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le fauteuil de célébrant de l'église Saint-Jean-Baptiste », notice no IM64002100, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L'ensemble autel, gradin et tabernacle de l'église Saint-Jean-Baptiste », notice no IM64002099, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L'église Saint-Jacques », notice no IA00027519, base Mérimée, ministère français de la Culture.