AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

EscurĂšs

EscurÚs est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

EscurĂšs
EscurĂšs
L'Ă©glise Saint-Orens.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes du Nord Est Béarn
Maire
Mandat
Jean Nabos
2020-2026
Code postal 64350
Code commune 64210
DĂ©mographie
Gentilé EscurÚsiens ou Escuressiens ou EscurÚsois
Population
municipale
143 hab. (2020 en diminution de 6,54 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 34 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 27â€Č 57″ nord, 0° 07â€Č 22″ ouest
Altitude Min. 171 m
Max. 312 m
Superficie 4,18 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
EscurĂšs
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
EscurĂšs
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Voir sur la carte topographique des Pyrénées-Atlantiques
EscurĂšs
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
EscurĂšs

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune d'EscurÚs se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

    Elle se situe Ă  33,0 km par la route[Note 1] de Pau[2], prĂ©fecture du dĂ©partement, et Ă  29,9 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lembeye[1].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Castillon (Canton de Lembeye) (1,7 km), Lespielle (1,9 km), Lembeye (2,0 km), CorbĂšre-AbĂšres (3,0 km), Arricau-Bordes (3,3 km), Samsons-Lion (3,4 km), SĂ©mĂ©acq-Blachon (4,0 km), Bassillon-VauzĂ© (4,0 km).

    Sur le plan historique et culturel, EscurĂšs fait partie de la province du BĂ©arn, qui fut Ă©galement un État et qui prĂ©sente une unitĂ© historique et culturelle Ă  laquelle s’oppose une diversitĂ© frappante de paysages au relief tourmentĂ©[5].

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier d'EscurĂšs.

    La commune est drainée par le Laas, le Lisau et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[7] - [Carte 1].

    Le LĂ©ez (56 km) prend sa source dans la commune de GardĂšres, s'Ă©coule du sud vers le nord et longe le territoire communal dans sa partie sud-ouest, constituant la limite communale avec Simacourbe. Il se jette dans l'Adour Ă  Barcelonne-du-Gers, aprĂšs avoir traversĂ© 31 communes[8].

    Le Lisau, d'une longueur totale de 13,3 km, prend sa source dans la commune d'EscurĂšs et s'Ă©coule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Larcis Ă  Aubous, aprĂšs avoir traversĂ© 7 communes[9].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[10]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 080 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[13] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[14] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Lembeye », sur la commune de Lembeye, mise en service en 1972[15] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[16] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 059,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[17]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et Ă  26 km[18], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[19], Ă  13,4 °C pour 1981-2010[20], puis Ă  13,8 °C pour 1991-2020[21].

    RĂ©seau Natura 2000

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : les « coteaux de Castetpugon, de Cadillon et de Lembeye »[23], d'une superficie de 220 ha, prĂ©sentant des pelouses calcaires riches en orchidĂ©es et autres plantes rares rĂ©gionalement, globalement bien conservĂ©es[24] - [Carte 2].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 7] est recensĂ©e sur la commune[25] - [Carte 3] : les « coteaux calcaires du BĂ©arn » (461,36 ha), couvrant 20 communes du dĂ©partement[26].

    Urbanisme

    Typologie

    EscurÚs est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [27] - [28] - [29].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[30] - [31].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (68 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (68 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (32 %), terres arables (29,6 %), prairies (21,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (17 %)[32].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 4].

    Lieux-dits et hameaux

    • Castets
    • Labalette
    • Montestrucq
    • Peyre

    Voies de communication et transports

    Elle est desservie par les routes départementales 13, 139 et 413.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'EscurĂšs est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e)[33]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[34].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par une crue Ă   dĂ©bordement lent de cours d'eau, notamment le LĂ©ez et le Lisau. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 2009 et 2018[35] - [33].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'EscurÚs.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[36]. 68,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 10] - [37].

    Toponymie

    Le toponyme EscurĂšs apparaĂźt sous les formes Mercatus Escuresii (XIIe siĂšcle[38], cartulaire de l'abbaye de Saint-PĂ©[39]), Sanctus Justinus de Scures (XIIe siĂšcle[38], collection Duchesne volume CXIV[40]), Escurees (XIIIe siĂšcle[38], fors de BĂ©arn[41]), Los Cassos d'Escures (1343[38], hommages de BĂ©arn[42] - ce toponyme Ă©voque le lieu d'assemblĂ©e judiciaire sous des chĂȘnes) et Saint-Orens d'EscurĂšs (1775[38], terrier d'EscurĂšs[43]).

    Le toponyme Castets apparaĂźt sous les formes Castellum (XIIe siĂšcle[38], cartulaire de l'abbaye de Saint-PĂ©[44]) et Casteg (1385[38], censier de BĂ©arn[45]).

    Le toponyme Montestrucq apparaĂźt sous les formes Montastruc (1385[38], censier de BĂ©arn[45]), Montestrucq (XVIIIe siĂšcle[38], carte de Cassini) et Montestruc (1863, dictionnaire topographique BĂ©arn-Pays basque[38]).

    Histoire

    Paul Raymond[38] note qu'en 1538, Montestrucq comprenait deux cents arpents et qu'en 1385, EscurÚs et Castets dépendaient du bailliage de Lembeye et comptaient respectivement sept et deux feux.

    Castets est une ancienne paroisse et son fief était vassal de la vicomté de Béarn, tout comme celui de Montestrucq.

    Les Hospitaliers

    EscurĂšs appartenait Ă  la commanderie de l'ordre de Saint-Jean de JĂ©rusalem de Caubin et MorlaĂ s.

    Politique et administration

    Liste des maires d'EscurĂšs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1995 2008 Jean Nabos
    2008 2014 Jean Nabos
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    EscurĂšs fait partie de trois structures intercommunales[46] :

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[48].

    En 2020, la commune comptait 143 habitants[Note 11], en diminution de 6,54 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    212205221210271266273286267
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    251248240226226231209204201
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    186186170166157139134123110
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1128383101142138155158151
    2017 2020 - - - - - - -
    148143-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee Ă  partir de 2006[50].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    EscurĂšs appartient Ă  l'aire urbaine de Pau.

    Économie

    La commune fait partie des zones d'appellation d'origine contrÎlée (AOC) du madiran, du pacherenc-du-vic-bilh et du béarn.

    Culture locale et patrimoine

    Entrée dans EscurÚs.

    Patrimoine civil

    Les vestiges d'une ancienne maison noble[51] au lieu-dit Montestrucq, déjà recensée en 1385, témoigne du passé ancien du village.

    Le chĂąteau[52] du lieu-dit Castets date du XVIIIe siĂšcle.

    La commune présente un ensemble de fermes[53] des XVIIe et XVIIIe siÚcles.

    Patrimoine religieux

    Les vestiges de l'église Saint-Nicolas[54] faisaient partie de l'ensemble fortifié[55] du lieu-dit Castets (Mouta de Castets). L'église est mentionnée dÚs le XIe siÚcle.

    L'église Saint-Orens[56] date partiellement du XIIe siÚcle. Elle recÚle du mobilier[57], des tableaux[58], des statues[59] et des objets[60] inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[12].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[22].
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique d'EscurÚs » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intĂ©rĂȘt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'EscurĂšs », sur www.geoportail.gouv.fr.
    3. « ZNIEFF de type II sur la commune d'EscurÚs », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Métadonnées de la commune d'EscurÚs », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre EscurÚs et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre EscurÚs et Serres-Castet », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches d'EscurÚs », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    6. Carte IGN sous GĂ©oportail
    7. « Fiche communale d'EscurÚs », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    8. Sandre, « le Laas ».
    9. Sandre, « le Lisau ».
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
    11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    12. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    13. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    14. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    15. « Station Météo-France Lembeye - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    16. « Orthodromie entre EscurÚs et Lembeye », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station Météo-France Lembeye - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    18. « Orthodromie entre EscurÚs et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    21. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    22. Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
    23. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'EscurÚs », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « site Natura 2000 FR7200779 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « Liste des ZNIEFF de la commune d'EscurÚs », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF les « coteaux calcaires du Béarn » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    29. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    30. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Pau », sur insee.fr (consulté le ).
    31. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    32. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le ).
    33. « Les risques prÚs de chez moi - commune d'EscurÚs », sur Géorisques (consulté le )
    34. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    35. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur www.pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    36. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    37. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    38. Paul Raymond, Dictionnaire topographique BĂ©arn-Pays basque
    39. D'aprĂšs Pierre de Marca, Histoire de BĂ©arn, page 432
    40. Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papiers d'Oihenart, ancienne bibliothÚque impériale - BibliothÚque nationale de France
    41. Manuscrit du XIIIe siÚcle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    42. Manuscrit de 1343 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    43. Manuscrit du XVIIIe siÚcle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    44. D'aprĂšs Pierre de Marca, Histoire de BĂ©arn, page 324
    45. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
    46. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
    47. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    48. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    49. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    51. MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur la maison Montestrucq
    52. MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur le chùteau du lieu-dit Castets
    53. MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notices sur les fermes anciennes
    54. MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Nicolas
    55. MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'ensemble fortifié dit Mouta de Castets
    56. MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notices sur l'église Saint-Orens
    57. MinistĂšre de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'Ă©glise Saint-Orens
    58. MinistĂšre de la Culture, base Palissy - Notices sur les tableaux de l'Ă©glise Saint-Orens
    59. MinistĂšre de la Culture, base Palissy - Notice sur les statues de l'Ă©glise Saint-Orens
    60. MinistÚre de la Culture, base Palissy - Notices sur les objets référencés de l'église Saint-Orens

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.