Aubous
Aubous (en béarnais Aubons ou Auboûs) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Aubous | |||||
La mairie d’Aubous. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Pau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Luys en Béarn | ||||
Maire Mandat |
Pierre Poublan 2020-2026 |
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Code postal | 64330 | ||||
Code commune | 64074 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Aubousois | ||||
Population municipale |
44 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 12 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 34′ 41″ nord, 0° 08′ 01″ ouest | ||||
Altitude | Min. 124 m Max. 255 m |
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Superficie | 3,78 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Localisation
La commune d'Aubous se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 49 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 38 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Riscle[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Viella (2,4 km), Mont-Disse (2,5 km), Aydie (2,6 km), Diusse (2,8 km), Portet (4,2 km), Aurions-Idernes (4,3 km), Arrosès (4,4 km), Maumusson-Laguian (4,4 km).
Sur le plan historique et culturel, Aubous fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].
Hydrographie
La commune est drainée par le Larcis, le Lisau, le Boutigué et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 5 km de longueur totale[7] - [Carte 1].
Le Larcis, d'une longueur totale de 34,8 km, prend sa source dans la commune de Luc-Armau, et s'écoule vers le nord-ouest. Il se jette dans le Léez à Projan, après avoir traversé 20 communes[8].
Le Lisau, d'une longueur totale de 13,3 km, prend sa source dans la commune d'Escurès et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Larcis sur le territoire communal, après avoir traversé 7 communes[9].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mont-Disse », sur la commune de Mont-Disse, mise en service en 1971[15] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[16] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 979,8 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 31 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[19], à 13,4 °C pour 1981-2010[20], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[21].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[22] - [23] - [24].
Urbanisme
Typologie
Aubous est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [25] - [26] - [27]. La commune est en outre hors attraction des villes[28] - [29].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (45,4 %), forêts (35,7 %), terres arables (16 %), cultures permanentes (3 %)[30].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Lieux-dits et hameaux
Voies de communication et transports
La commune est desservie par les routes départementales D292 et D317
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Aubous est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible)[37]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[38].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Larcis et le Lisau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 2009[39] - [37].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[40]. 93,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7] - [41].
Toponymie
Le toponyme Aubous apparaît sous les formes Aubos et Auboos (respectivement 1385[42] et XIVe siècle[42], censier de Béarn[43]), Aubons (1752[42], dénombrement de Béarn[44]) et Aubous sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[45]).
Michel Grosclaude[45] propose comme étymologie le nom d'homme latin Albus augmenté du suffixe -ones, signifiant « domaines d'Albus ».
Histoire
Paul Raymond[42] note qu'en 1385, Aubous comptait 4 feux et dépendait du bailliage de Lembeye.
Politique et administration
Liste des maires
Intercommunalité
Aubous fait partie de cinq structures intercommunales[48] :
- la communauté de communes du canton de Garlin ;
- le SIVU de la voirie de la région de Garlin ;
- le SIVU du Lées et affluents ;
- le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal d’alimentation en eau potable Luy - Gabas - Lées ;
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[50].
En 2020, la commune comptait 44 habitants[Note 8], en diminution de 16,98 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
La commune fait partie des zones d'appellation d'origine contrôlée (AOC) du madiran, du pacherenc-du-vic-bilh et du béarn.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La salle polyvalente.
- Aubous, le village.
- La paysage vers le sud depuis Aubous.
- L'école.
- L'église Saint-Jean-Baptiste.
Patrimoine civil
Un camp[53] pré ou protohistorique a été signalé au lieu-dit Coulom. Un second, au lieu-dit Gentilloun, se nommait camp de César [32].
La commune compte des fermes[33] - [36] - [35] - [31] des XVIIIe et XIXe siècles, inscrites à l'Inventaire général du patrimoine culturel[54].
Une fontaine dite de Dévotion Sainte-Quitterie [55] donnait lieu au XVIIIe siècle à un pèlerinage célébré le 22 mai. Elle a été depuis détruite.
Un moulin[34] datant de 1830 figure à l'inventaire du ministère de la Culture.
Patrimoine religieux
L'église Sainte-Quitterie[56] date du XIIe siècle et fut remaniée au XVIIe siècle ou au XVIIIe siècle par l'ajout de baies. Elle recèle du mobilier[57] (devant d'autel[58], fauteuil[59], retable[60], gradin d'autel et tabernacle[61], maître-autel[62], bancs d'église[63] - [64], meubles de sacristie[65], bénitier suspendu[66], chaire à prêcher[67] et fonts baptismaux[68]), un tableau (Sainte-Quitterie[69]), des statues[70] et des objets (lampes de sanctuaire[71] - [72], chape et chasuble[73], cloche[74], chandeliers d'autel[75] et bannière de procession[76]) inscrits à l'Inventaire général du patrimoine culturel.
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Carte hydrographique d'Aubous » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « Métadonnées de la commune d'Aubous », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Aubous et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Aubous et Serres-Castet », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Aubous », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
- « Fiche communale d'Aubous », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le Larcis ».
- Sandre, « le Lisau ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Mont-Disse - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Aubous et Mont-Disse », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Mont-Disse - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Aubous et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Aubous », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune d'Aubous », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune d'Aubous », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « La ferme du lieu-dit Coulom », notice no IA00026242, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le camp de César », notice no IA00026236, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La ferme du lieu-dit Lacourtiade », notice no IA00027493, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le moulin d'Aubous », notice no IA00026240, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La ferme du lieu-dit Pillourcq », notice no IA00026243, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La ferme du lieu-dit Rey », notice no IA00026244, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Les risques près de chez moi - commune d'Aubous », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur www.pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
- Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne).
- Dénombrement de la vicomté de Béarn - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059).
- Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique » [PDF] (consulté le ).
- Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Le camp protohistorique », notice no IA00026237, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Les maisons et fermes anciennes », notice no IA00026241, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La fontaine de Dévotion Sainte-Quitterie », notice no IA00026239, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L'église Sainte-Quitterie », notice no IA00026238, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Mobilier de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001564, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le devant d'autel de l'église Sainte-Quitterie », notice no PM64000059, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le fauteuil de célébrant de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001570, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le retable de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001567, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le gradin d'autel et le tabernacle de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001566, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le maître-autel de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001565, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les bancs de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001561, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les bancs de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001560, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les meubles de sacristie de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001559, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le bénitier suspendu de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001558, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La chaire à prêcher de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001557, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les fonts baptismaux de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001556, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le tableau représentant sainte Quitterie, dans l'église éponyme », notice no IM64001569, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les statues de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001568, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Lampe de sancturaire de l'église Sainte-Quitterie », notice no PM64000060, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Lampe de sancturaire de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001562, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La chape et la chasuble de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001573, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La cloche de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001572, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les chandeliers d'autel de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001571, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La bannière de procession de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001563, base Palissy, ministère français de la Culture.