Samsons-Lion
Samsons-Lion (en béarnais Sansons-Aulhon ou Sansoûs-Lou Lhoû) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.
Samsons-Lion | |||||
La mairie de Samsons-Lion. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Pau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Nord-Est Béarn | ||||
Maire Mandat |
Philippe Castets 2020-2026 |
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Code postal | 64350 | ||||
Code commune | 64503 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Samsonnais | ||||
Population municipale |
92 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 18 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 43° 26âČ 08âł nord, 0° 07âČ 09âł ouest | ||||
Altitude | Min. 181 m Max. 331 m |
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Superficie | 5,03 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Pau (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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GĂ©ographie
Localisation
La commune de Samsons-Lion se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 34 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 31 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lembeye[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Peyrelongue-Abos (1,7 km), Lembeye (1,9 km), Maspie-LalonquÚre-Juillacq (2,6 km), EscurÚs (3,4 km), Simacourbe (3,8 km), Momy (4,3 km), Bassillon-Vauzé (4,4 km), Lucarré (4,4 km).
Sur le plan historique et culturel, Samsons-Lion fait partie de la province du BĂ©arn, qui fut Ă©galement un Ătat et qui prĂ©sente une unitĂ© historique et culturelle Ă laquelle sâoppose une diversitĂ© frappante de paysages au relief tourmentĂ©[5].
Hydrographie
La commune est drainée par le Petit Lées, le ruisseau de Sourville et par deux petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[7] - [Carte 1].
Le Petit Lées, d'une longueur totale de 11,6 km, prend sa source dans la commune de Momy et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Léez à Os-Marsillon, aprÚs avoir traversé 5 communes[8].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[9]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[12] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[13] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Lembeye », sur la commune de Lembeye, mise en service en 1972[14] et qui se trouve Ă 2 km Ă vol d'oiseau[15] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 059,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[16]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et Ă 26 km[17], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[18], Ă 13,4 °C pour 1981-2010[19], puis Ă 13,8 °C pour 1991-2020[20].
Espaces protégés
La protection rĂ©glementaire est le mode dâintervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[21] - [22]. Un espace protĂ©gĂ© est prĂ©sent sur la commune : le « coteau de Lembeye », un terrain acquis (ou assimilĂ©) par un conservatoire d'espaces naturels,, d'une superficie de 97,5 ha[23].
RĂ©seau Natura 2000
Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : les « coteaux de Castetpugon, de Cadillon et de Lembeye »[25], d'une superficie de 220 ha, prĂ©sentant des pelouses calcaires riches en orchidĂ©es et autres plantes rares rĂ©gionalement, globalement bien conservĂ©es[26] - [Carte 2].
Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 7] est recensée sur la commune[27] - [Carte 3] : les « coteaux calcaires du Béarn » (461,36 ha), couvrant 20 communes du département[28].
Urbanisme
Typologie
Samsons-Lion est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [29] - [30] - [31].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[32] - [33].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (66,6 % en 2018), en augmentation par rapport Ă 1990 (58 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (42,7 %), forĂȘts (33,3 %), prairies (14,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (9,3 %), zones urbanisĂ©es (0,1 %)[34].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 4].
Voies de communication et transports
Elle est desservie par les routes départementales 295 et 943.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Samsons-Lion est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse) et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e)[35]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[36].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[37]. 86,5 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 10] - [38].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 2009 et 2018[35].
Toponymie
Le toponyme Samsoms apparaĂźt sous les formes Sanzos (XIIe siĂšcle[39], d'aprĂšs Pierre de Marca[40]), Samssos et Sansoo (respectivement 1385[39] et 1402[39], censier de BĂ©arn[41]), Sansoos (1442[39], contrats de Carresse[42]), Sanssoos (1492[39], notaires de Pau[43]) et Samsous (1793[44] ou an II).
Le toponyme Lion apparaßt sous les formes Le Leon (XIIIe siÚcle[39], fors de Béarn[41]), Aulioo (1385[39], censier de Béarn[41]), Lo Lioo et Lo Lion (respectivement 1544[39] et 1546[39], réformation de Béarn[45]) et Le Lyon (1778[39], dénombrement d'Anoye[46]).
Son nom béarnais est Sansons-Aulhon[47] ou Sansoûs-Lou Lhoû[48].
Histoire
Paul Raymond[39] note qu'en 1385, Samsons comptait dix-huit feux et Lion quatre. Les deux communes dépendaient du bailliage de Lembeye. La baronnie de Samsons était composée de Bétracq, Crouseilles, Haget, Langassous, LapÚdes, Lasserre et Samsons, et était vassale de la vicomté de Béarn.
Lion s'est uni Ă Samsons en 1831.
Les Hospitaliers
Paul Raymond[39] indique que Samsons était un membre de la commanderie des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem de Caubin et Morlaàs et Lion dépendait de la clau d'Anoye.
Politique et administration
Intercommunalité
Samsons-Lion fait partie de quatre structures intercommunales[49] :
- la communauté de communes du canton de Lembeye en Vic-Bilh ;
- le SIVU de la voirie du canton de Lembeye ;
- le syndicat dâĂ©nergie des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal dâalimentation en eau potable (SIAEP) du Vic-Bilh MontanĂ©rĂšs.
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[51].
En 2020, la commune comptait 92 habitants[Note 11], en augmentation de 12,2 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
La fĂȘte communale a lieu Ă la fin du mois d'aoĂ»t.
Patrimoine civil
Les vestiges d'un édifice fortifié[54], à Samsons, datant des XIe et XIIe siÚcles, témoignent du passé ancien de la commune.
Samsons-Lion présente un ensemble de demeures et de fermes[55] dont la construction s'est étalée du XVIIIe et XIXe siÚcles.
Patrimoine religieux
L'église Saint-Barthélémy[56], à Samsons, date partiellement du XIIe siÚcle, tout comme l'église Sainte-Madeleine[57], de Lion. L'église Saint-Barthélémy recÚle du mobilier[58], des tableaux[59], des verriÚres[60] des statues et des objets[61] inscrits à l'Inventaire général du patrimoine culturel. On trouve également dans l'église Sainte-Madeleine un riche patrimoine inventorié par le ministÚre de la Culture (objets[62], tableau[63] et mobilier[64]).
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les Ătats membres s'engagent Ă maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[24].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Samsons-Lion » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intĂ©rĂȘt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Samsons-Lion », sur www.geoportail.gouv.fr.
- « ZNIEFF de type II sur la commune de Samsons-Lion », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
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- Stephan Georg, « Distance entre Samsons-Lion et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Samsons-Lion et Serres-Castet », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Samsons-Lion », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- « Fiche communale de Samsons-Lion », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le Petit Lées ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
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- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Lembeye - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'édifice fortifié de Samsons
- MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notices sur les maisons et fermes anciennes
- MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Barthélémy
- MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Sainte-Madeleine
- MinistÚre de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'église Saint-Barthélémy
- MinistÚre de la Culture, base Palissy - Notices sur les peintures de l'église Saint-Barthélémy
- MinistÚre de la Culture, base Palissy - Notice sur les verriÚres de l'église Saint-Berthélémy
- MinistÚre de la Culture, base Palissy - Notices sur les objets référencés de l'église Saint-Barthélémy
- MinistÚre de la Culture, base Palissy - Notices sur les objets référencés de l'église Sainte-Madeleine
- MinistĂšre de la Culture, base Palissy - Notice sur le tableau de l'Ă©glise Sainte-Madeleine
- MinistĂšre de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'Ă©glise Sainte-Madeleine
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
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