Gayon
Gayon (en béarnais Gaion ou Gayoû) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Gayon | |||||
Mairie du village béarnais de Gayon(64) |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Pau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Nord Est Béarn | ||||
Maire Mandat |
Pierre Peilhet 2020-2026 |
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Code postal | 64350 | ||||
Code commune | 64236 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
55 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 14 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 43° 29âČ 00âł nord, 0° 10âČ 07âł ouest | ||||
Altitude | Min. 148 m Max. 298 m |
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Superficie | 3,95 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Pau (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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GĂ©ographie
Localisation
La commune de Gayon se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].
Elle se situe à 33 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 30 km de Serres-Castet[4], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lembeye[2].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Lalongue (1,8 km), Vialer (2,2 km), Lespielle (2,3 km), Arricau-Bordes (3,1 km), Castillon (Canton de Lembeye) (3,4 km), Lannecaube (3,5 km), EscurĂšs (4,2 km), Simacourbe (4,4 km).
Sur le plan historique et culturel, Gayon fait partie de la province du BĂ©arn, qui fut Ă©galement un Ătat et qui prĂ©sente une unitĂ© historique et culturelle Ă laquelle sâoppose une diversitĂ© frappante de paysages au relief tourmentĂ©[6].
Hydrographie
La commune est drainée par le Léez, le ruisseau de Larrigan, le ruisseau de Tachoires et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[8] - [Carte 1].
Le Léez (56 km) prend sa source dans la commune de GardÚres, s'écoule du sud vers le nord et longe le territoire communal dans sa partie est, constituant la limite communale avec Castillon et Arricau-Bordes. Il se jette dans l'Adour à Barcelonne-du-Gers, aprÚs avoir traversé 31 communes[9].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[10]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[13] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[14] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Lembeye », sur la commune de Lembeye, mise en service en 1972[15] et qui se trouve Ă 6 km Ă vol d'oiseau[16] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 059,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[17]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et Ă 23 km[18], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[19], Ă 13,4 °C pour 1981-2010[20], puis Ă 13,8 °C pour 1991-2020[21].
Espaces protégés
La protection rĂ©glementaire est le mode dâintervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[22] - [23]. Un espace protĂ©gĂ© est prĂ©sent sur la commune : le « coteau de Garlin », un terrain acquis (ou assimilĂ©) par un conservatoire d'espaces naturels,, d'une superficie de 20,6 ha[24].
Urbanisme
Typologie
Gayon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [25] - [26] - [27].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[28] - [29].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (88,4 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (88,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (45,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (25,5 %), forĂȘts (11,7 %), cultures permanentes (11,5 %), prairies (6,3 %)[30].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 2].
Lieux-dits et hameaux
- BoupélhÚre
- Chaperot
- Lauga
- Le Moulin
- Soubiraa.
Voies de communication et transports
Elle est desservie par les routes départementales 143 et 228.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Gayon est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[31]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[32].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par une crue Ă dĂ©bordement lent de cours d'eau, notamment le LĂ©ez. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 2007 et 2009[33] - [31].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[34]. 72,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [35].
Toponymie
Le toponyme Gayon apparaĂźt sous les formes Caioo (1383[36], contrats de Luntz[37]), Gayoo (1385[36], censier de BĂ©arn[38]) et Saint-Jean-Baptiste de Gayon (1772[36], terrier de Gayon[39]).
Histoire
Paul Raymond[36] note qu'en 1385, Gayon comptait vingt-deux feux et dépendait du bailliage de Lembeye.
Politique et administration
Intercommunalité
Gayon fait partie de quatre structures intercommunales[42] :
- la communauté de communes du canton de Lembeye en Vic-Bilh ;
- le syndicat dâĂ©nergie des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques ;
- le syndicat d'irrigation de la vallée des Lées ;
- le syndicat intercommunal dâalimentation en eau potable (SIAEP) du Vic-Bilh MontanĂ©rĂšs.
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[44].
En 2020, la commune comptait 55 habitants[Note 9], en diminution de 1,79 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
La commune fait partie des zones d'appellation d'origine contrÎlée (AOC) du madiran, du pacherenc-du-vic-bilh et du béarn.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
Un ensemble fortifié[47], dit de la Motte, et datant du XIe siÚcle témoigne du passé ancien du village, c'est le premier siÚge de la seigneurie, transféré ensuite au chùteau[48]. Ce dernier date partiellement des XIIIe et XIVe siÚcle[49].
La base du moulin, au lieu-dit du mĂȘme nom, date du XIIIe siĂšcle.
La commune présente un ensemble de maisons et de fermes[50] des XVIIe et XVIIIe siÚcles.
Patrimoine religieux
L'église a été établie dans la basse-cour castrale au pied de l'ensemble fortifié[49]. L'église Saint-Jean-Baptiste[51] fut complÚtement transformée au début du XXe siÚcle. Elle recÚle des objets[52] et des verriÚres[53] inscrits à l'inventaire générale du patrimoine culturel.
Personnalités liées à la commune
Lors de l'inauguration du monument aux morts, vers juillet 1950, le conseiller général du canton de Lembeye, Maurice Delom Sorbé a déclaré rendre hommage aux enfants de la commune en disant : « Et les fils sont tombés dont les pÚres étaient morts ».
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Gayon » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Gentilé sur habitants.fr
- « Métadonnées de la commune de Gayon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Gayon et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Gayon et Serres-Castet », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Gayon », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- « Fiche communale de Gayon », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le Léez ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Lembeye - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Gayon et Lembeye », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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- Contrats retenus par Luntz, notaire de Béarn - Manuscrit du XIVe siÚcle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
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- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'ensemble fortifié
- MinistÚre de la Culture, - base Mérimée - Notice sur le chùteau de Gayon
- Ouvrage Collectif, Vic-Bilh, Morlaas, Montaneres, Pyrénées Atlantique, Inventaire Topographique, Paris, Imprimerie Nationale, , 720 p. (ISBN 2-11-080952-3), p. 380-383.
- MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notices sur les bùtisses anciennes de Gayon
- MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Jean-Baptiste
- MinistÚre de la Culture, base Palissy - Notices sur les objets référencés de l'église Saint-Jean-Baptiste
- MinistĂšre de la Culture, base Palissy - Notices sur les verriĂšres de l'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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