Architecture étrusque
L'architecture étrusque, comme beaucoup d'autres de ses pratiques culturelles, se caractérise par l'intégration de savoirs précédents, issus des cultures grecque ou plus orientales, puis de leur assimilation en y apportant des modifications, et ensuite de leur transmission et intégration au monde romain.
Vestiges
Elle ne nous est sensible qu'à travers les quelques vestiges encore érigés ou intégrés dans des réalisations plus récentes (celles de la Renaissance italienne) :
- murailles cyclopéennes (Vetulonia, Cortona, Roselle, Pérouse),
- portes de villes (Porta all'Arco de Volterra, Porta Marzia de Pérouse, Porte de Jupiter de Viterbe[1])
- bases de théâtre (Volterra) et de temple étrusque (Fiesole) décorés par la statuaire étrusque
- grandes nécropoles émergeant du sol (Cerveteri) ou enterrées (Monterozzi) qui, calquant les intérieurs étrusques, nous éclairent sur leurs détails
- frontons détachés de temple (Chevaux ailés de Tarquinia)
Techniques
- Architecture d’apparat appareillée (souvent en brique crue)
- Voûtes en encorbellement ou clavées en plein cintre (arc étrusque de Pérouse), qui les distinguent des Grecs adeptes des lignes droites pour les réalisations monumentales.
- Architecture en plate-bande pour les temples : colonne toscane de l'ordre étrusque dit ensuite « toscan » (comme Vignole le définit dans son traité.
- les planchers, la poutraison, les toits à deux pentes, comme en témoignent les intérieurs des tombes simulation en pierre et roche creusée de l'habitat étrusque.
La mise en œuvre et les différents types de matériaux pierreux
Exploitation et artisanat de la pierre tufée
La pierre tufée est caractérisée par une faible densité granulométrique[alpha 1] ce qui en fait une roche dite tendre, et par conséquent présentant des remarquables qualités d'extraction et d'exploitation. Néanmoins, cette même spécificité rend la roche particulièrement soluble et friable. Ce matériau stratigraphique résulte de l'accrétion d'éléments volcano-sédimentaires solidaires les uns aux autres, dont notamment des cendres de type éruptives[alpha 2][3] - [4].
Les examens stratigraphiques et archéologiques attestent que les carrières à extraction de la roche se concentrent au Sud de l'Étrurie. Concrètement, les tufières étrusques sont majoritairement représentées dans le Nord de l'actuelle région du Latium, aux alentours de la région à déterminant volcanique de Bolsena / monts Vulsini et de son lac éponyme ; mais également au sein de la plaine côtière de Maremme et au Nord-Ouest de l'Ombrie[5] - [6]. En outre, ces chantiers d'exploitation minérale observent régulièrement une proximité, voire un adjacence aux complexes urbains étrusques. Respectivement, on constate l'association des métropoles étrusques d'Orvieto / « Velzna » les tufières de la région du lac de Bolsena / massif de Vulsini[9] lequel est en outre pourvu d'une coloration grise[10] - [11] - [12] ; pour les carrières de l'Ombrie ; « Veis » et « Cisra » pour celles du Nord-Latium à chromatique blanche et blanc-cassé, parfois veinée de beige[13] ; et Tarquinia pour les exploitations de tuf de la Maremme, lequel présente des nuances rouges et ocres[14] - [15] - [16]. Ce constat suggère une possible corrélation entre l'aire d'implantation des cités étrusques et les zones dont le sous-sol est riche en tuf afin de pourvoir ces dernières en matériel d'édifice, mais également détenir des facilités de production et commercialisation de biens bruts (blocs de tuf non taillés) ou manufacturés (blocs de tuf taillés, statuaire, bas-relief)[17] - [18].
Essentiellement employé et incorporé comme matériau de érection monumentale[alpha 3] en contexte urbanistique, telle que la muraille servienne ou le temple de Jupiter à Rome, le tuf étrusque est également ouvragé en contexte funéraire, pour l'élévation d'infrastructures telles que les sépultures de la nécropoli del Crocifisso del Tuffo (ou Città dei Morti)[alpha 4], localisée dans la ville étrusque d'Orvieto et dont l'assise est attribuée au VIIIe siècle av. J.-C.[19] - [20] - [21], ou encore la nécropole étrusque de Sovana, située dans la commune éponyme de la Toscane méridionale[22].
Muraille servienne élevée au moyen de tuf volcanique provenant de la Grotta oscura, VIe siècle av. J.-C.[23] - [24]. Fondations du temple de Jupiter capitolin, à Rome Nécropole du Crucifix du Tuf, à Orvieto, province de Terni, en Ombrie. Site funéraire étrusque dont l'assise est attribuée au VIIIe siècle av. J.-C.. Contreforts sédimento-volcaniques du site d'Orvieto composés de tuf. Nécropole étrusque de Sovana taillée à même la colline de tuf (Area del Tufo). Infrastructure funéraire étrusque au sein de l'Area del Tufo. Paroi de tombeau étrusque en tuf volcanique, sculptée par technique dite de bas-relief, , nécropole de « Velathri ».
Dans une moindre mesure, la pierre sédimento-volcanique est également consacrée au domaine artisanal de la sculpture étrusque. Pour exemple, ce bas-relief mis au jour in situ d'un tombeau creusé et ouvragé dans de la pierre tufée. Celui-ci, recouvrant pour totalité l'une des parois de ladite sépulture, est découvert au cours du XVIIe siècle. La structure mortuaire appartient à un vaste ensemble funéraire attribué du VIIe siècle av. J.-C. au Ier siècle av. J.-C., et trouve par ailleurs son emplacement dans la périphérie de la cité-état de « Velathri »[25] - [26] - [27].
Ces multiples domaines artisanaux témoignent de l'aisance et de plasticité avec lesquelles le tuf est travaillé. D'autre part, ils mettent en évidence l'abondance dont en sont pourvues les terres étrusques et par conséquent l'enjeu économique que représente son extraction et sa manufacturation[28] - [29] - [30] - [27].
Exploitation et artisanat du marbre
La production architecturale et statuaire étrusque témoigne de l'utilisation de trois types de marbre : le marbre de Carrare, le marbre rouge de Volterra et le marbre de « Luna ». Bien que qu'ayant pris un essor notable à l'époque de l'Empire romain, l'exploitation et production du marbre de Carrare est toutefois attestée à une époque tardive[alpha 5] au sein du domaine industriel étrusque. Il s'agit d'un marbre de couleur blanche, comportant parfois des entrelacs à chromatique gris et nuancés de vert[31] - [32] - [33]. La roche est extraite du massif alpin des apuanes, au Nord-Ouest des terres étrusco-toscanes. La principale cité bénéficiant de cette manne minéralogique se révèlerait être « Pufluna », laquelle se situe aux alentours de Carrare[34] - [35] - [36] - [37] - [38]. En revanche, la documentation archéologique concernant des artéfacts étrusques ouvragés dans ce type de marbre blanc, demeure très succincte, voire quasi nulle. En effet, bien que cette roche soit issue du sous-sol de l'Étrurie apuane, aucune occurrence relevant d'une « koinè » artisanale étrusque n'a pu être certifiée et concrétisée[39] - [40].
En contre-point, le marbo lunies, provenant de la colonie étrusque de « Luna »[alpha 6], en Ligurie et le marbre rouge d'El Circeo, proche du site urbain de « Cisra », possèdent une paternité d'exploitation accréditée aux étrusques[42] - [43] - [44] - [45]. Entre autres occurrences, on retiendra tout particulièrement la sculpture frontale en bas-relief ornant un sarcophage étrusque et mis au jour au sein de la nécropole de Banditaccia proche du site de « Cisra ». L'œuvre, sculptée en marbre rouge provenant de San Felice Circeo, est attribuée au VIe siècle av. J.-C., période archaïque étrusque[46].
Ex-voto étrusque réalisée en marbre issu du site étrusco-ligure de « Luna », représentant la tête d'un défunt. Vestige d'un ex-voto funéraire étrusque ouvragé en marbre de « Luna ». Œuvre en buste. Femme et son enfant. Sculpture en marbre issue de d'artisanat étrusque. Sarcophage étrusque taillé dans un marbre de « Luna », ornementé d'un bas-relief mis en appareillage. Cippe funéraire étrusque en marbre.
Sarcophage en bas-relief ouvragé en marbre de El Circeo à chromatique rouge, nécropole de Banditaccia, près du site étrusque de « Cisra »[47]. Actuellement conservé au Museo Gregoriano Etrusco du Vatican[48]. Votif étrusque figurant un priape. Œuvre confectionnée en marbre provenant de San Felice Circeo.
Exploitation et artisanat de la pierre d'albâtre
La pierre d'albâtre, remarquablement mieux représentée dans l'artisanat des matériaux à caractère minéral que le marbre[49], est en outre dotée d'un grain plus important, mais toutefois moins dense que ce dernier. Cette caractéristique lui confère une plasticité plus substantielle que ladite roche également métamorphique. La mise en œuvre de l'albâtre, c'est-à -dire sa taille, son ciselage et son polissage, en est par conséquent facilitée[50]. Pour autant, ce matériau à déterminant métamorphique et calcique est situé au sein de couches sédimento-stratigraphiques plus profondes que celles du marbre. Pour l'exploitation industrielle étrusque, cette donnée présente donc un désavantage significatif. De surcroît, les carrières d'albâtre sont essentiellement concentrées dans la partie centro-occidentale du territoire étrusque. Sous cet angle, et a contrario des gisements étrusques de marbre, on peut définir une répartition spatiale déséquilibrée de la roche blanche : les carrières d'extraction de l'albâtre n'affichent pas d’homogénéité spatiale au sein des terres étrusques. Les études géologiques, confortées par les fouilles archéologiques, attestent et confirment que les zones d'exploitation de cette roche se localisent précisément aux alentours du complexe urbain de « Velathri »[51]. De facto, compte tenu de la multiplicité des indices sédimento-archéologiques autour et in locare de la cité-état étrusque, il est probable que cette dernière a fait de l'extraction et de la manufacture de la pierre d'albâtre, ses principales activités économiques[52] - [5] - [53] - [54].
Au travers des nombreux ex-voto appartenant au catalogue archéologique étrusque, la production industrielle de la pierre d'albâtre apparaît très clairement et essentiellement au sein du domaine artisanal funéraire étrusque. Ces derniers observent généralement des formes de cippes, d'urnes cinéraires, de bas-reliefs ornant des tombeaux, ou encore des artéfacts statutiformes provenant de viatiques funéraires[55] - [56] - [57] - [51]. Néanmoins, on peut objecter ce seul constat. En effet, certaines occurrences mises au jour révèlent que le corpus artisanal de la roche sédimento-métamorphique est également étendu à un cursus architectural et urbanistique étrusques[58] - [59] - [60] - [61]. On a ainsi découvert des éléments en appareillé, incorporés et / ou réemployés au sein d'infrastructures fortifiées, de murs porteurs, ou encore de parois funéraires. Ces artéfacts ouvragés en albâtre aspectent soit une forme de moellon, soit une forme de pierre taillée à caractère stricto sensu rectiligne[52] - [62] - [63] - [64] - [65].
Urne cinéraire en albâtre - collection dite du Groupe Ionic Kymation I conservée et exposée au Museo Gregoriano Etrusco. Artéfact attribué au IIIe siècle av. J.-C. / IIe siècle av. J.-C.. Urne funéraire en pierre d'albâtre - Groupe Anfora Liscia. Objet datant du IIe siècle av. J.-C. ; conservé au Musée du Vatican. Couvercle d'une urne cinéraire : sculpture dite la « Femme au Miroir ». Ici, le détail du buste[alpha 7]. Bas-relief ouvragé en albâtre provenant de « Velathri ». Œuvre sculptée et indexée au IIe siècle av. J.-C. (période hellénistique étrusque)[alpha 8] Bas-relief en albâtre sculpté à flanc de paroi d'un tombeau étrusque. Ouvrage figurant une scène mythologique. Artéfact attribué aux alentours de -210. Conservé au musée de l'albâtre à Volterra. Massif volcanique de Balze dans l'Apennin septentrional, à proximité de « Velathri ». Lieu probable d'où les étrusques extrayaient la pierre d'albâtre.
Exploitation de la pierre calcarénitique
La pierre calcarénitique est une espèce minérale à déterminant grèsier qui se forme à partir d'un processus de sédimentation de composés sablonneux d'origine littorale et maritime. En Étrurie, ce type de roche se développe essentiellement sur le pourtour du littoral tyrrhénien, et plus particulièrement au long de la partie septentrionale de la plaine côtière de Piombino. De ce fait, la principale cité étrusque bénéficiant de l'usage de ce matériau rocheux est « Pufluna ». Cette dernière s'en octroie le quasi-monopole économique et commercial. De couleur ocre, ce grès à la finesse granulométrique, également appelé panchina, est apprécié chez les Étrusques notamment pour l'élaboration d'ouvrages requérant une technique de finition, mais également des travaux nécessitant une relative patine[67] - [68] - [69] - [70].
Par ailleurs, outre ses qualités de modelé concernant la conception d'objets à fort rendement artisanal, tel que les sculptures en bas-relief associées à des structures funéraires, l'exploitation et l'industrialisation de la roche calcarénitique, trouve son originalité pour son utilisation d'infrastructures architecturales complexes dont les murs porteurs, les fondations et les soubassements sont dans leur globalité réalisés à partir, et simultanément à même la panchina étrusque. Pour exemple notable, l'ensemble funéraire dit necropoli delle Grotte, sur le site de Piombino (province de Livourne), dont les structures d'habitat[alpha 9], attribuées au cours du VIIIe siècle av. J.-C., ont été creusées et excavées à flanc de falaise[71] - [72] - [73] - [74]. De manière factuelle, le catalogue archéologique du site de Baratti/« Pufluna » démontre que celles-ci ont été réemloyées à partir IVe siècle av. J.-C., notamment sous la forme d'un complexe funéraire hypogéen[71] - [72] - [73]. Ce dernier se manifeste sous l'aspect de deux galeries funéraires, et l'axe médian formé par le dromos[75] - [76] - [77] - [71] - [72] - [73].
La necropoli delle Grotte, au sein du site de Piombino, édification étrusque taillée à même le grès calcarénitique et pourvue de deux hypogea, attribuée au IVe siècle av. J.-C. - IIe siècle av. J.-C.[78].
Exploitation de la pietra fetida
En raison de ses qualités de modelage et de flexibilté, la pierre dite fétide[alpha 10][80] - [81] - [82], cette roche à déterminant sédimento-volcanique manifeste d'une importante capacité de mise en œuvre. Dans la terminologie spécifique à la sculpture, et de par ses caractéristiques minéralogiques, la pietra fetida est classée dans les pierres dites tendres[83], à l'instar du tuf, par exemple. La roche à effluves de soufre est exploitée et employée par les Étrusques dès la fin du VIIe siècle av. J.-C. et début du VIe siècle av. J.-C.. Ladite pierre est ouvragée au sein de multiples disciplines artisanales et sous de multiples formes. Le corpus archéologique confirme ainsi deux principaux domaines industriels : d'une part le domaine architectural sous le biais de pierres taillées, et d'arc en appareillé[84] - [85] - [86] - [87] ; et d'autre part, le domaine de l'artisanat funéraire, les artéfacts confectionnés en pietra fetida se révélant sous forme de cippes[88], d'urnes cinéraires[89] et de multiples ex-votos relevant de la figurine[90], ou encore aspectant une plastique de sculpture en bas-reliefs[91] - [92].
Œuvre sculptée en pietra fetida représentant un sphinx et faisant partie d'une sériation archéologique dénommée sphinge de Chiusi[alpha 11]. Ex-voto étrusque indexé au VIe siècle av. J.-C., appartenant à un mobilier funéraire mis au jour au sein de necropoli della Petada in situ du faubourg de Chianciano, près de « Clevsin »[93] - [94] - [95]. Urne cinéraire ouvragée en pierre fétide. Pièce attribuée aux environs de la fin du VIe siècle av. J.-C. (-520 / -500). Découverte en contexte funéraire près de « Clevsin ». Couvercle et réceptacle (cuve) cinéraires [alpha 12]. Cippe étrusque ouvragée de pierre fétide.
En outre, l'extraction et la production de la roche odoriférante procèdent exclusivement du domaine territorial de « Clevsin ». La métropole prélève et achemine la pietra fetida via les monts Chianciano. D'autre part, la diffusion commerciale des artéfacts et pierres de taille manufacturés au moyen de ce matériau est significativement conséquente au sein de l'Italie et de l'aire méditerranéenne protohistorique. Par conséquent, la pietra fetida se révèlerait être un atout économique de poids au sein de l'industrie étrusque, et plus particulièrement de la cité-État de « Clevsin »[80] - [84] - [90] - [87] - [89] - [81] - [82].
Exploitation du grès
La roche grésière étrusque, également appelée pietra arenaria est un matériau de type sédimentaire à chromatique ocre nuancée de gris datant du Quaternaire, et essentiellement formé à partir de l'accrétion de composants sablonneux[96] - [97]. Les grésières d'Étrurie exploitant cette pierre, telles que celle du Monte Tezio et du Monte Malbe, se répartissent notamment dans la région avoisinant « Perugia »[97]. L'extraction de la pietra arenaria est également attestée aux pourtours du territoire de « Felzna »[98]. Concrètement, l'industrie et le commerce de la roche sablonneuse occupe la partie oriento-septentrionale de la dodécapole étrusque. La composition de ce grès lui confère simultanément des vertus de solidité, propres aux pierres d'édification[99], et des aptitudes à la finition, caractéristiques des ouvrages sculptés par technique dite en bas-relief, par exemple. Différents éléments du corpus étruscologique nous révèlent ainsi le recours à ladite roche sous deux formes : d'une part comme bloc équarris en appareillé ou utilisés en arcs de voûte et incorporés au sein de mises en œuvre architecturales, tels que les murailles d'enceinte fortifiées de « Felzna »[100] - [98] et de « Perugia »[97] - [101] - [102] ; d'autre part en tant que matériau nécessaire à l'ouvrage de tombeaux[103], de statuettes et d'ornementations sculptées d'ex-voto[104] - [105].
Sarcophage issu d'un atelier de sculpture étrusque de « Perugia ». Artéfact funéraire ouvragé en pietra arenaria et attribué à la fin du VIe siècle av. J.-C. (-510 / -500). Cippe - stèle funéraire confectionnée de pierre dite d'arenaria, figurant un guerrier étrusque. Fin du IVe siècle av. J.-C.. Stèle en pietra arenaria de type ovoïdale, ornementée de reliefs dit à palmette. Ouvrage indexé au tournant du VIe siècle av. J.-C. / début du Ve siècle av. J.-C.. Sarcophage de pierre d' arenaria étrusque. Œuvre de provenance étrusque conservée et exposée au sein de la Villa Corsini, à Florence. - Hypogeum Voluminis de « Perugia » décorant la crypte funéraire du hiérarque étrusque « Arnth Velimna ». Triptyque sculpté en pierre d'arenaria attribué à la fin IIIe siècle av. J.-C. et début du IIe siècle av. J.-C.[106].
Arc de porte d'enceinte étrusque construit à partir de grès d'arenaria, à « Perugia ». L'arc étrusque et sa porte en appareillé.
À l'instar de la pietra arenaria, dont les composition et structure minérales sont proches, la roche dite pietra serena manifeste des caractéristiques de pierre dite forte[107] - [108]. Autrement dit, il s'agit d'un matériau minéral dont la consistance révèle une duretésignificative et explicite. Ladite pierre possède un déterminant grèsier, dont les composantes minérales observent une nature micaschistée[109]. La pietra serena est affectée d'une teinte grise[110] nuancée de bleu[111]. Au sein de l'industrie étrusque du bâtiment, et en raison de sa solidité notable, cette dernière est notamment employée et consacrée à l'érection de colonnes[112] - [113] et, dans une moindre mesure, la roche est ouvragée en blocs de pierre taillée incorporés à des murs d'enceinte soit sous forme d'éléments appareillés, tels que des pièces constituant un arc[113] soit sous forme d'éléments d'assise ou encore de fondations[114] - [115] - [116] - [117] - [118] - [119] - [120] - [121].
Toutefois, les Étrusques requièrent également ce type de pietra forte, concernant l'élaboration et la mise en œuvre d'éléments artisanaux funéraires, en particulier des récipients cinéraires[alpha 13] ou encore des sépultures coffrée, lesquels sont associés in situ de structures en hypogeum ou en tumuli[122] - [123].
Ces différentes occurrences archéologiques ont été identifiées et attestées à « Perugia » et Fiesole pour le bâti urbain[124] - [119] - [112] ; à « Felzna », « Aritim » et « Clevsin », pour les ouvrages funéraires[123] - [122].
Dans le cadre géographique étrusque, l'extraction et la production de ce grès à micaschiste, s'opèrent et se densifient essentiellement au sein de carrières, lesquelles se manifestent aux environs d'un site urbain secondaire dont la fondation et les premières assises d'édifice sont indexées à la période villanovienne. Par ailleurs, la petite occurrence urbaine étrusque se signale de par sa proximité avec l'actuelle commune toscane de Fiesole, à quelques dizaines de kilomètres de Florence, en Toscane du Nord-Est[125] - [126] - [127] - [128] Cette cité étrusque de modeste taille observe une situation spatiale médiane à deux pôles majeurs. Cette dernière est, de fait, localisée à mi-chemin de « Felzna » au Nord, et « Aritim », au Sud[129] - [85] - [130] - [131].
Dans cette perspective, l'ensemble des données étruscologiques qui ont été recueillies, pourraient suggérer, voire définir, une commercialisation[alpha 14] de la pietra serena extraite et produite au voisinage du site nord-oriental Toscan de Fiesole, via les grandes métropoles étrusques[132] - [133].
Stèle ouvragée en pietra serena. Artéfact représentant un satyre, attribué aux environs de -520 - -500. Colonne étrusque mise en réemploi par les Romains. L'assise du temple romano-étrusque de Fiesole. Ouvrage d'architecture exposé au sein de l'aire archéologique étrusco-romaine de Fiesole. Vue panoramique du temple étrusque de Fiesole[alpha 15][134]. Vestiges d'éléments appareillés en pietra serena. Pièce architecturale conservée au musée du site archéologique de Fiesole. Fortifications de la cité étrusque de Fiesole. Colonne étrusque conçue en grès du type pietra serena. Artéfact monumental réaffecté comme support à un ouvrage romain.
Temple étrusque
Le temple étrusque se caractérise par son architecture particulière. Il est généralement constitué par un socle (podium) réalisé en blocs de forme rectangulaire et compte une loge (cella) pour chaque dieu. La façade est précédée par des colonnes et un escalier unique et l'arrière de l'édifice est un mur plein et le faite du toit est décoré de statues. Les matériaux utilisés sont le bois pour les colonnes et la superstructure et la terre cuite (terracotta) pour les décorations.
- Cella précédée d’un pronaos ouvert (portique profond).
- temple élevé sur un podium avec escalier frontal (Fiesole).
- Ordre toscan, épuré, sans cannelures et à chapiteau sans ornementation.
- Antéfixes et acrotères figurés (Poggio Civitate).
Un temple a été, sur ces constatations (Vitruve, IV, 7) reconstitué à la Villa Giulia de Rome.
Théâtre étrusque
Bâtis en brique, quelques débris subsistent à Andria, Volterra et Engubium (ils donneront les cirques romains) avec leurs attributs :
- structure en gradins à l'air libre, et loges particulières
- galeries techniques ou de repli en cas de pluie pour les spectateurs,
- colonnades donnant sur le paysage
Urbanisme
Habitations individuelles
Plus ou moins grandes, elles regroupent des activités agricoles, voire manufacturières (Poggio Civitate)
- Maison patricienne
La villa romaine qui a intégré les savoirs étrusques en la matière, nous a transmis leurs choix dans sa constitution :
- atrium (séparant les maîtres des esclaves et serviteurs de la même familia[137].
- Compluvium et impluvium
- séparation des quartiers des maîtres et ceux des domestiques.
- Fermes agricoles
- la villa rustica et le latifundium romains font suite aux habitations assez pauvres, où ouvriers serviles ou pénestes étaient employés précédemment.
Villes
Les villes étant créées par les rites du bornage étrusque, leur plan hippodamien révèle l'organisation de ce qui deviendra l'urbs romaine : rues parallèles et orthogonales, emplacement des lieux rituels (tout comme les grandes nécropoles qui sont établies sur le même plan)
La plupart installées sur des escarpements, elles seront complétées d'enceintes fortifiées à gros blocs - dits « cyclopéens » -, après les invasions gauloises des VIe et Ve siècles av. J.-C. (Volterra, Tarquinia, Volsinies).
Tombes et nécropoles
Émergeant du sol, à mausolée (Populonia), ou à édicule (Sovana), ou enterrées, à tumulus (Caere, Tarquinia), elles renferment et abritent les mêmes aménagements, couloirs (dromos), salles principales (atrium), ou chambres funéraires de différents types (voir rite funéraire étrusque), des niches et des banquettes de pierre permettent la dépose des corps des défunts habillés ou des urnes cinéraires, des sarcophages et du mobilier funéraire. Ces aménagements sont creusés à même la roche des sites, souvent assez tendres (tuf, pépérin, nenfro), décorée par des fresques peintes directement et souvent sans apprêt.
Notes et références
Notes
- Les éléments granuleux qui la composent sont généralement inférieur à 4 millimètres.
- Dans le cas précis d'orogenèse par consolidation de débris volcaniques, il s'agit de roche tufée cinéritique[2].
- Mais aussi comme matériau de construction d'habitat type villae.
- De l'italien, littéralement nécropole du Crucifix du Tuf et la ville des morts.
- C'est-à -dire la période recouvrant la fin de la période classique et période hellénistique et la romanisation de l'Étrurie, ou plus précisément de -350 à -50.
- Il s'agit d'un roche marbière blanche à texture fine et possédant une très forte densité granulométrique[41].
- Cette œuvre représente une femme étendue, tenant un écrin à miroir. L'artéfact est confectionné en albâtre. Ce dernier aurait été sein d'un atelier de sculpture, en l'occurrence celui de maître Myyrtilos, au sein « Velathri ». En outre, il est attribué aux environs du milieu du IVe siècle av. J.-C.. L'inscription sur le couvercle évoque une défunte de 25 ans, du nom de « Larthi Ceincnei ». La cuve, c'est-à -dire le réceptacle accueillant les cendres de la défunte personne, qui accompagne cette pièce est ornée d'une scène représentant le meurtre d'Œnomaos par Pélops. Exposée et conservée au département des antiquités étrusques et romaines, musée du Louvre, aile Denon, niveau 0, salle 18[66].
- Il s'agit d'une fresque représentant les héros de la mythologie grecque Ménélas et Mérion déposant dans un char le corps de Patrocle. Ulysse, figurant à droite et portant le « pilos » et un bouclier, observe la scène. Pièce d'artisanat mise au jour aux alentours de Volterra. Conservé au Musée archéologique national de Florence.
- Occurrences et postulat confortés et corrélés par la mise jour d'un instrumentum caractéristique d'un contexte d'habitat, telles que des amphores ou encore des poteries d'origine étrusco-grecques.
- Ce terme trouve son origine dans l'émanation nauséabonde qu'elle produit lorsque cette dernière est mise en œuvre. Cette exhalaison serait issue des particules de soufre présentes dans la composition de cette roche sédimentaire[79].
- À l'origine, cette pièce archéologique ornementait et surplombait en appareillé l'un des deux accoudoirs composant un trône, également ouvragé au moyen de la pietra fetida. Cet artéfact possède un double issu du second accoudoir.
- Références muséographiques : Louvre Ma2348.
- Objets destinés à accueillir les cendres du défunt.
- Laquelle serait sous-tendue à un acheminement par voie terrestre.
- Ce sanctuaire a été érigé au cours du IVe siècle av. J.-C., avant d'être incendié par les troupes romaines au cours du Ier siècle av. J.-C..
Références
- p. 224-227 in Les Étrusques et l'Europe, préfacé par Massimo Pallottino, à la suite de l'exposition éponyme du Grand-palais, Paris, entre le 15 septembre et le 14 décembre 1992, et à Berlin en 1993.
- « Tuf volcanique », sur Glossaire géomorphologique thématique illustré, (consulté le ).
- Pierre Bédard, « Tuf n. m. (anglais : tuff) : Roche volcano-sédimentaire », sur collection de l'École Polytechnique de Montréal / Identification des roches volcano-sédimentaires, (consulté le ).
- Magdelaine Moureau et Gérald Brace, Dictionnaire de sciences de la terre, Ophrys, (lire en ligne), page 530.
- Chemain 2016, p. 14.
- Chemain 2016, p. 13.
- (en) « Global Volcanism Program - Vulsini », sur volcano.si.edu (consulté en ).
- (en) « Global Volcanism Program - Synonymes et sous-ensembles », sur volcano.si.edu (consulté le ).
- La cité de Volsinies, anciennement « Velzna », aurait donné son ethnonyme à ce massif volcanique[7]. Il est constitué de trois caldeiras, Bolsena, Latera et Vepe, ainsi que de 17 cônes de tuf[8].
- Jean-Marie Pailler, « La norme et l'hypothèse : à propos de l'histoire de Volsinii romaine », Pallas, Mélanges Claude Domergue, vol. 46/1997, no 1,‎ , p. 47 à 50 (DOI 10.3406/palla.1997.1429, lire en ligne, consulté le ).
- Jean-Marie Pailler, « Enceinte, métrologie et politique : Volsinii, colonie romaine au début du IIe siècle av. J.-C. ? », Mélanges de l’École française de Rome. Antiquité, vol. tome 99, no 2,‎ , p. 529-534 (DOI 10.3406/mefr.1987.1556, lire en ligne, consulté le ).
- Jean-Marie Pailler, « L'urbanisme de Volsinii : nouvelles observations et hypothèses (Datation de l'enceinte, statut de la cité, tracé de l'axe principal) », Mélanges de l'Ecole française de Rome. Antiquité, vol. tome 97, no 2,‎ , pages 899 à 922 (DOI 10.3406/mefr.1985.1482, lire en ligne, consulté le ).
- D. Anziani, « Les voies romaines de l'Étrurie méridional », Mélanges d'archéologie et d'histoire, vol. tome 33,‎ , pages 169-244 (DOI 10.3406/mefr.1913.8683, lire en ligne, consulté le ).
- Jean-René Jannot, « La Tombe de la Mercareccia à Tarquinia », Revue belge de philologie et d'histoire, Antiquité — Oudheid, vol. tome 60, no fascicule 1,‎ , p. 101-135 (DOI 10.3406/rbph.1982.3364, lire en ligne, consulté le ).
- Henri Broise et Vincent Jolivet, « Musarna (Viterbe) », Mélanges de l'Ecole française de Rome. Antiquité, vol. tome 104, no 1,‎ , pages 496-500 (lire en ligne, consulté le ).
- Massimo Pallottino, « L'Étrurie de S. J. Ainsley, paysagiste romantique », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 128e année, no 3,‎ , pages 497-505 (DOI 10.3406/crai.1984.14192, lire en ligne, consulté le ).
- Chemain 2026, p. 25.
- Irollo 2010, p. 135.
- (it) Mario Torelli, Etruria : Guide Archéologique, Rome-Bari, Laterza, .
- (it) F. Boitani, M. Cataldi et M. Pasquinucci, Le città etrusche, Milan, .
- (it) M. Bizzarri`, Studi Etruschi : La necropoli di Crocifisso del Tufo in Orvieto, vol. XXX, , pages 1 Ã 156.
- (it) « Parco degli etruschi / Area archeologica di Sovana », sur parcodeglietruschi.it, (consulté le ).
- (en) Ross R. Holloway, « Building Stone in early Rome », dans Ross R. Holloway, The Archaeology of Early Rome and Latium, Routledge, (lire en ligne), pages 17 et 18.
- (en) Filippo Coarelli, Rome and Environs : An Archaeological Guide, University of California Press, (lire en ligne), pages 16, 17 et 18.
- Irollo 2010, p. 28.
- Irollo 2010, p. 29.
- Irollo 2010, p. 133.
- Irollo 2010, p. 63.
- Irollo 2010, p. 74.
- Irollo 2010, p. 75.
- (it) « Collection de marbres antiques au musée de Minéralogie de l’université de Rome-I La Sapienza », sur Musée de Minéralogie de l’université de Rome-I : La Sapienza (consulté le ).
- (it) « Collection T.Belli du musée de Géologie de l’université de Rome I : La Sapienza », sur Museo T. Belli (consulté le ).
- (it) « Collection de marbres antiques / collections minéralogiques de l'APAT (Agence pour la protection de l’ambiance et pour les services techniques », sur Collections minéralogiques de l'APAT (Agence pour la protection de l’ambiance et pour les services techniques) (consulté le ).
- Chemain 2016, p. 26.
- Charles Dugas, « Bulletin archéologique », Revue des Études Grecques, vol. tome 35, no fascicule 162,‎ , pages 335 à 390 (lire en ligne, consulté le ).
- Gisela Cantino Wataghin et Egle Micheletto, « Les "villes éphémères" de l'Italie du Nord : Des Capitales de cités perdent leur statut dans l’Antiquité tardive, Actes du colloque Tours 6-8 mars 2003 », dans Gisela Cantino Wataghin, Egle Micheletto, Capitales éphémères, vol. Supplément à la Revue archéologique du centre de la France, 25, Tours, Fédération pour l'édition de la Revue archéologique du Centre de la France, (lire en ligne), pages 269-296.
- Jean-Paul Thuillier, Les jeux athlétiques dans la civilisation étrusque. Rome, vol. Bibliothèque des Écoles françaises d'Athènes et de Rome, 256, Publications de l'École française de Rome, coll. « Mélanges Ecole française de Rome », , 776 p. (lire en ligne).
- Magali Cabarrou, Christian Darles et Pierre Pisani, « Essai de description d’un bâtiment des eaux de Toscane, l’édifice mystérieux de Pietratonda (Gr) », Pallas, vol. 90,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Johan-Joachim Winckelmann, Histoire de l'art chez les anciens : Volume 1, Bossange, Masson et Besson, (lire en ligne).
- Irollo 2010, p. 143.
- François Georges Levrault, Minéraux employés dans l'architecture et la décoration, le dessin, la peinture et la lithographie, vol. 2, (lire en ligne), pages 280 et 281.
- Gabriele Borghini, Marbres Antiques : Matériaux du groupe I de la culture artistique, Rome, Institut central pour le catalogue et la documentation, .
- Lucrezia Ungaro et Marilda De Nuccio, Le Marbre de couleur de la Rome impériale : Catalogue d'exposition, Rome, .
- Jacques Eustache De Sève, Nouveau dictionnaire d'histoire naturelle : Marbres antiques, (lire en ligne).
- (it) Franz De Ruyt, « Luni : Opere sulla civilta etrusca, gruppo B. Citta E Necropoli, pubblicate a cura dell' Istituto di Studi Etruschi. », L'antiquité classique, vol. Tome 8, no fascicule 1,‎ , pages 320-322 (lire en ligne, consulté le ).
- Jacques Debergh, « L'Italie préromaine et la Rome républicaine : Mélanges offerts à Jacques Heurgon », Revue belge de philologie et d'histoire, vol. tome 57, no fasc. 2,‎ , pages 411-414 (lire en ligne, consulté le ).
- (en) Jean-René Jannot, Religion in Ancient Etruria, (lire en ligne).
- (en) « Vatican Gregorian Etrurian Museum », sur mv.vatican.va (consulté le ).
- Clara Berrendonner et Massimiliano Munzi, « La gens urinate », Mélanges de l'Ecole française de Rome. Antiquité, vol. tome 110, no 2,‎ , pages 647 à 662 (DOI 10.3406/mefr.1998.2047, lire en ligne, consulté le ).
- C. P. Brard, Minéralogie appliquée aux arts : tome second, .
- Françoise-Hélène Massa-Pairault, « Nouvelles étude sur des urnes de Volterra », Mélanges de l'Ecole française de Rome. Antiquité, Publications de l'École française de Rome, vol. tome 87, no 1,‎ , pages 213 à 286 (DOI 10.3406/mefr.1975.1011, lire en ligne, consulté le ).
- Irollo 2010, p. 147.
- Chemain 2016, p. 70.
- Chemain 2016, p. 71.
- D Anziani, « Démonologie étrusque », Mélanges d'archéologie et d'histoire, vol. tome 30,‎ , pages 257-277 (DOI 10.3406/mefr.1910.8383, lire en ligne, consulté le ).
- Dominique Briquel, « Philologie italique et latine », Annuaire de l'École pratique des hautes études (EPHE), Section des sciences historiques et philologiques, vol. 144,‎ , pages 672 à 694 (lire en ligne, consulté le ).
- collectif, L'Italie préromaine et la Rome républicaine : Mélanges offerts à Jacques Heurgon., Rome, Publications de l'École Française de Rome, , 576 p. (ISBN 978-2-7283-0438-7, lire en ligne).
- Laviosa, Sculpture étrusque d'époque hellenistique à Volterra, Belgique, Palais des Beaux-Arts, .
- Raymond Bloch, « Urbanisme et religion chez les Étrusques », Annales. Économies, Sociétés, Civilisations, vol. 25e année, no 4,‎ , pages 1114-1120 (DOI 10.3406/ahess.1970.422348, lire en ligne, consulté le ).
- (it) Christian Peyre, « L'habitat étrusque de Casalecchio di Reno : Atti del convegno di studi sulla città etrusca ed italica preromana », dans Christian Peyre, Studi sulla città antica, Bologne, Istituto per la storia di Bologna, 1970,, , pages 253 à 266.
- (it) Jean Gran-Aymerich, La Castellina a sud di Civitavecchia : origini ed eredità . Origines protohistoriques et évolution d’un habitat étrusque, vol. 47, Rome, Bibliotheca Archaeologica, , 1168 p. (ISBN 978-88-8265-603-4, BNF 42509071, lire en ligne).
- Irollo 2010, p. 149.
- Irollo 2010, p. 92.
- Chemain 2016, p. 75 et 78.
- Piel et Mineo 2011, p. XV (livret central).
- Charles Othon Frédéric Jean Baptiste de Clarac, Description du Musée royal des Antiques du Louvre, par M. le Cte de Clarac, (lire en ligne), pages 301 et 302.
- Rita Compatangelo-Soussignan, « Modalités de la romanisation en Italie méridionale : fondations coloniales, structures portuaires et commerce maritime au début du IIe s. avant notre ère », dans collectif, Histoire, espaces et marges de l'Antiquité : hommages à Monique Clavel-Lévêque, t. 2, Besançon, Institut des Sciences et Techniques de l'Antiquité, coll. « ISTA », (lire en ligne), pages 18 à 21.
- Jean Gran-Aymerich et Friedhelm Prayon, « La Castinella (com.de Santa Marinella, prov.de Rome) », Mélanges de l'Ecole française de Rome. Antiquité, vol. tome 111, no 1,‎ , pages 530-543 (lire en ligne, consulté le ).
- (es) Stefano Camporeale, Hélène Dessales, et Antonio Pizzo, « ArqueologÃa de la construcción II : Los procesos constructivos en el mundo romano », dans collectif, Italia y provincias orientales : Certosa di Pontignano, Siena, 13-15 de Noviembre de 2008), Mérida : Consejo Superior de Investigaciones CientÃficas, Instituto de ArqueologÃa de Mérida Siena : Università di Siena, 2010 (année d'archives archéologiques espagnoles) (ISSN 0561-3663, lire en ligne), pages 153-172.
- (en) Marinella Pasquinucci, Simonetta Menchelli, Renzo Mazzanti, Mario Marchisio et Laurent D 'Onofrio, « Coastal archaeology in north Etruria : North Coastal Etrurie Géomorphologie, archaeological, archive, magnetometric and geoelectrical researches », Revue d'Archéométrie, no 25,‎ , pages 187 à 201 (DOI 10.3406/arsci.2001.1014, lire en ligne, consulté le ).
- (it) Gilda Bartoloni, Le fortificazioni e la rioccupazione del territorio : l’esempio di Populonia, (lire en ligne), pages 53 à 69.
- Vincent Jolivet et Laura Ambrosini, Les potiers d'Etrurie et leur monde : Contacts, échanges, transferts, Armand Colin, (lire en ligne), pages 191 à 202.
- (it) Elisabeth Jane Sheperd et Lambrou Vassili, « Anfore greco-italiche da Populonia : Amphores romaines et histoire économique. Dix ans de recherche. Actes du colloque de Sienne (22-24 mai 1986) / École Française de Rome », Mélanges de l'École Française de Rome, Publications de l'École Française de Rome, vol. 114,‎ , pages 597-599 (lire en ligne, consulté le ).
- (it) Elizabeth J. Shepherd, « Populonia : un mosaico e l'iconografia del naufragio », Mélanges de l'Ecole française de Rome. Antiquité, vol. tome 111, no 1,‎ , pages 119-144 (DOI 10.3406/mefr.1999.2072, lire en ligne, consulté le ).
- (it) Fabio Fedeli, Populonia : Storia e Territorio, Florence, All'Insegna del Giglio, , 444 p. (lire en ligne).
- (it) Antonella Romualdi, Guida Archeologica di Populonia, Rome, Vision, .
- (it) Andrea Zifferero, Atti del Convegno Castello di Populonia 30-31 octobre 1997 : L'architettura funeraria a Populonia tra IX e VI secolo a.C., Florence, all'Insegna del Giglio, .
- « Parco archeologico di Baratti e Populonia », sur site officiel du Parc archéologique de Baratti et Poulonia, (consulté le ).
- Jean Bayet, « Idéologie et plastique : La sculpture funéraire de Chiusi », Mélanges d'archéologie et d'histoire, vol. tome 72,‎ , page 36 (DOI 10.3406/mefr.1960.7460, lire en ligne, consulté le ).
- Marie-Françoise Briguet, « La sculpture en pierre fétide de Chiusi au Musée du Louvre (III) », Mélanges de l'École française de Rome. Antiquité, vol. 87, no 1,‎ , pages 143 à 211 (lire en ligne, consulté le ).
- Marie-Françoise Briguet, « La sculpture en pierre fétide de Chiusi au musée du Louvre (II) », Mélanges de philosophie, de littérature et d'histoire ancienne offerts à Pierre Boyancé, Publications de l'École française de Rome, vol. 22,‎ , pages 103 à 139 (lire en ligne, consulté le ).
- Marie-Françoise Briguet, « La sculpture en pierre fétide de Chiusi au musée du Louvre », Mélanges de philosophie, de littérature et d'histoire ancienne offerts à Pierre Boyancé, Publications de l'École française de Rome, vol. tome 84, no 2,‎ , pages 847 à 877 (lire en ligne, consulté le ).
- Jean Bayet, « Idéologie et Plastique : La sculpture funéraire de Chiusi », Mélanges de l'École française de Rome, vol. 21,‎ , pages 546 et 547 (lire en ligne, consulté le ).
- Jannot Jean-René, Les reliefs archaïques de Chiusi, Rome / École Française de Rome, Publications de l'École française de Rome, , 576 p. (ISBN 978-2-7283-0051-8, BNF 34763122, lire en ligne).
- Irollo 2010, p. 89.
- Piel et Mineo 2011, p. V (livret central).
- Piel et Mineo 2012, p. VI.
- collectif, « Livres offerts », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 129e année,‎ , pages 28-29 (lire en ligne, consulté le ).
- (it) Adriano Maggiani, « La situazione archeologica dell'Etruria settentrionale », dans collectif, Crise et transformation des sociétés archaïques de l'Italie antique au Ve siècle av. J.-C. : Actes de la table ronde de Rome (19-21 novembre 1987), Rome / École Française de Rome, Publications de l'École française de Rome, (lire en ligne), page 25.
- Martin F. Kilmer, « The Shoulder Bust in Sicily and Southern and Central Italy : a Catalogue and Materials for Dating », L'antiquité classique, vol. Tome 48, no fasc. 2,‎ , pages 769-770 (lire en ligne, consulté le ).
- Jean-René Jannot, « De l'agôn au geste rituel : L'exemple de la boxe étrusque », L'antiquité classique, vol. Tome 54,‎ , pages 72/73 - planche numéro VIII (DOI 10.3406/antiq.1985.2141, lire en ligne, consulté le ).
- Jean-René Jannot, « La lyre et la cithare : les instruments à cordes de la musique étrusque », L'antiquité classique, vol. Tome 48, no 2,‎ , pages 474, 475, 482, 483, 484 et 485 (DOI 10.3406/antiq.1979.1944, lire en ligne, consulté le ).
- Roger Lambrechts, « Nuove letture di monumenti etruschi dopo il restauro », L'antiquité classique, vol. Tome 41, no fascicule 2,‎ , page 766 (lire en ligne, consulté le ).
- Jean Bayet, « Idéologie et plastique : Position historique et technique de l'art étrusque », Mélanges de l'École Française de Rome, Publications de l'École française de Rome, vol. 21,‎ , pages 17 et 18 (lire en ligne, consulté le ).
- Jean-Paul Thuillier (dir.), Spectacles sportifs et scéniques dans le monde étrusco-italique : Actes de la table ronde de Rome (3-4 mai 1991), vol. 172, Rome, Publications de l'École française de Rome, , 472 p. (ISBN 978-2-7283-0273-4, BNF 36668135, lire en ligne).
- (it) Ernesto De Miro, Agrigento, Rubbettino Editore, (lire en ligne), pages 95 Ã 97.
- Paul Defosse 1980, p. 736.
- Alain Hus, Statuaire en pierre étrusque archaïque, éditions de Broccard, (lire en ligne), page 445.
- (it) Alessandra Pennisi, Pavimenti e i rivestimenti, Maggioli Editore, (lire en ligne), pages 85 et 86.
- (it) Luigi Dall'Aglio, Gianni Giusberti, Gruppioni Giorgio et Daniele Vitali, « L'abitato », dans Dall'Aglio Luigi, Giusberti Gianni, Gruppioni Giorgio, Vitali Daniele, Monte Bibele : aspetti archeologici, antropologici e storici dell'insediamento preromano, vol. tome 93/1, Publications de l'École française de Rome, coll. « Mélanges de l'Ecole française de Rome. Antiquité », (DOI 10.3406/mefr.1981.1273), page 157.
- (it) Alessandro Morandi, « Note di epigrafia etrusca arcaica », Revue belge de philologie et d'histoire / Antiquité - Oudheid, vol. tome 66, no fascicule 1,‎ , page 86 (DOI 10.3406/rbph.1988.3620, lire en ligne, consulté le ).
- Francesca Boitani, Maria Cataldi et Marinella Pasquinucci, Les cités étrusques, Elsevier Séquoia, (lire en ligne), pages 34, 86 et 152 (extraits d'ouvrage).
- (it) Pier Giovanni Guzzo et Armando Tagliano-Grasso, « Addenda all'archeologia dei Brezi », Mélanges de l'Ecole française de Rome. Antiquité, vol. tome 104, no 2,‎ , page 572 (DOI 10.3406/mefr.1992.1768, lire en ligne, consulté le ).
- (it) Pier Giovanni Guzzo et Silvana Luppino, « Per l'archeologia dei Brezi : due tombe fra Thurii e Crotone », Mélanges de l'École française de Rome. Antiquité, vol. tome 92, no 2,‎ , page 824 (DOI 10.3406/mefr.1980.1257, lire en ligne, consulté le ).
- Jacques Debergh, « Rivista di Studi Fenici : IV », Revue belge de philologie et d'histoire / Histoire (depuis l'Antiquité) — Geschiedenis (sedert de Oudheid), vol. tome 55, no fasc. 4,‎ , page 1218 (lire en ligne, consulté le ).
- (it) Luana Cenciaioli, L'Ipogeo dei Volumni : 170 anni dalla scoperta, Atti del convegno di studi, Pérouse, Fabrizzio Fabbri, , 439 p. (ISBN 978-88-96591-52-9, BNF 45020120).
- « Parc national historique de Florence », sur site officiel du patrimoine mondial / UNESCO, (consulté le ).
- « Histoire de l'architecture », sur site officiel de l'ASAR, (consulté le ).
- (it) « Pietra serena dal masigno di Fiesole », sur Lapidei Culturali unifi, (consulté le ).
- Ernest Strœhlin, « Promenades en Toscane », Le Globe. Revue genevoise de géographie, vol. tome 29,‎ , pages 174 et 175 (DOI 10.3406/globe.1890.1731, lire en ligne, consulté le ).
- (it) « Musée de la Pietra Serena de Firenzuola », sur site officiel du Musée de la Pietra Serena de Florence, (consulté le ).
- « Architectura di pietra serena di Fiesole », sur Architecture de Fiesole / pietra serena, (consulté le ).
- Delfosse 1980, p. 745.
- Delfosse 1980, p. 749.
- Delfosse 1980, p. 751.
- Delfosse 1980, p. 752.
- Delfosse 1980, p. 783.
- Delfosse 1980, p. 785.
- (it) Elisabeth Cioppi, « Focci e rocce di Fiesole : Le collezioni geologiche e paleontologiche (The Museum of Natural History of the University of Florence. The Geological and Paleontological Collections) », dans Simonetta Monechi, Lorenzo Rook, Il Museo di Storia Naturale dell'Università degli Studi di Firenze, Firenze University Press, (lire en ligne), pages 61 à 73.
- (it) Anna Rastrelli, Notiziario della Soprintendenza per i Beni Archeologici della Toscana 2005, All'insigna dell Giglio, (lire en ligne), pages 145 Ã 149.
- (es) J. Arranz et E. Gran-Aymerich, La Castellina a sud di civitavecchia : origini ed eredità , (lire en ligne).
- Geffroy Auguste, « Lettres relatives à l'exploration du lit du Tibre : à un sarcophage étrusque, aux fouilles de la piazza di Pietra », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 22e année,‎ , pages 14-15 (DOI 10.3406/crai.1878.68453).
- (it) Armando Cherici, « Vasellame metallico e tombe con armi in Etruria », dans sous la direction de Jean-René Jannot, Vaisselle métallique, vaisselle céramique : Productions, usages et valeurs en Étrurie, vol. Tome 97/1-2, Revue des Études Anciennes, (DOI 10.3406/rea.1995.4612, lire en ligne), page 130.
- Delfosse 1980, p. 743 Ã 824.
- (it) Valentina Belfiore, « Problemi di vocalismo etrusco arcaico : La geminazione di », dans Gilles Van Heems (direction d'ouvrage), La variation linguistique dans les langues de l’Italie préromaine, vol. 45, Lyon, Maison de l'Orient et de la Méditerranée Jean Pouilloux, coll. « Collection de la Maison de l'Orient méditerranéen ancien. Série philologique », (ISBN 978-2-35668-021-1, lire en ligne), pages 49 et 50.
- (it) Frank Van Wonterghem et Monica Salvini, « Fiesole : Contribua alla ricerca delle origini », L'antiquité classique, vol. Tome 61,‎ , page 14/703 (lire en ligne, consulté le ).
- Jean-François Poujoulat, Entre Toscane et Rome : correspondance, (lire en ligne), pages 171 à 175.
- Jean-Paul Thuillier, Les Étrusques : histoire d'un peuple, (lire en ligne), paragraphe Conclusions : additions et soustractions.
- Chemain 2016, p. 17.
- Piel et Mineo 2011, p. I (livret central).
- Piel et Mineo 2011, p. III (livret central).
- Chemain 2016, p. 83.
- Chemain 2016, p. 86.
- (it) « Il tempio etrusco », sur anino info, (consulté le ).
- (it) Guido Zucconi et Pietro Ruschi, Firenze guida all'architettura, Vérone, Arsenale editrische, .
- (it) Viagi collectif, Toscana etrusca e romana : Guide archeologiche, Milan, Touring Club Italiano, .
- Jacques Heurgon, La Vie quotidienne des Étrusques, Hachette, 1961 et 1989, p. 74-.
Bibliographie
- Jacques Guillaume Legrand, Collection des chefs-d'œuvre de l'architecture des différents peuples exécutés en modèles sous la direction de L.F. Cassas, décrite et analysée, 1806
- Axel Boëthius, Roger Ling, Tom Rasmussen, Etruscan and Early Roman Architecture, Yales University, 1978 (ISBN 0300052901)
- Daniel Ramée, Dictionnaire général des termes d'architecture en français, allemand... , 2003 extrait
- Jean-Yves Antoine, Histoire de l’architecture occidentale.
- Raymond Bloch, « Découverte d'un habitat étrusque archaïque sur le territoire volsinien » in Mélanges d'archéologie et d'histoire - Année 1955 - Volume 67, p. 47-68
- Jean-François Chemain, chap. 1 « L'Italie avant Rome : Cadre géographique et humain - l'Étrurie », dans Jean-François Chemain, L'économie romaine : en Italie à l'époque républicaine, vol. 17, Paris 6e, Éditions A. et J. Picard, coll. « Antiquités Synthèses », (ISBN 978-2-7084-1010-7, ISSN 1158-4173), pages 11 à 36.
- Paul Defosse, « Les remparts de Pérouse : contribution à l'histoire de l'urbanisme préromain », Mélanges de l'Ecole française de Rome. Antiquité, Publications de l'École française de Rome, t. 92, no 2,‎ , pages 725 à 820. (DOI 10.3406/mefr.1980.1256, lire en ligne, consulté le )
- Jean Gran-Aymerich et Prayon Friedhelm, « Les fouilles franco-allemandes sur le site étrusque de la Castellina del Marangone, près Civitavecchia, Italie : Les campagnes de 1995 et 1996 », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 140, no 4,‎ , p. 1095 à 1129 (DOI 10.3406/crai.1996.15665, lire en ligne, consulté le )
- Jean-Marc Irollo, Histoire des Étrusques : l'antique civilisation toscane, VIIIe – Ier siècle av. J.-C., Paris, Perrin, coll. « Tempus » (no 313), , 212 p. (ISBN 978-2-262-02837-4, BNF 42142836).
- Jean-René Jannot, « Les reliefs de Chiusi : mise à jour de nos connaissances », dans Mireille Cébeillac-Gervasoni, Emmanuel Lyasse, Michel Christol, Juan Francisco RodrÃguez Neila, Enrique Melchor Gil, Sobre Digesto et Antonio Sartori, Le quotidien institutionnel des cités municipales : regards croisés de juristes et d'historiens, vol. 122-1, Rome, Publications de l'École française de Rome, coll. « Mélanges de l'École française de Rome - Section Antiquité », (ISBN 978-2-7283-0892-7, lire en ligne), pages 51 à 72.
- Vincent Jolivet, « Exportations étrusques tardives (IVe – IIIe siècles) en Méditerranée Occidentale », Mélanges de l'Ecole française de Rome. Antiquité, vol. tome 92, no 2,‎ , pages 689 à 724 (DOI 10.3406/mefr.1980.1255, lire en ligne, consulté le )
- Claire Joncheray (dir.), Les plans des cités étrusques à la période classique. : De la réalité fantasmée aux nouveaux critères d'interprétation, vol. Actes 2 des colloques sur l'urbanisme et l'architecture en Méditerranée antique et médiévale à travers les sources archéologiques et littéraires, Tunis, Urbanisme et architecture en Méditerranée antique et médiévale à travers les sources archéologiques et littéraires / Institut Universitaire des Sciences Humaines de Tunis, , 394 p. (lire en ligne).
- Thierry Piel, « Luci et fora : des structures « supraciviques » et interethniques dans le monde étrusco-latin », dans François Clément ; John Tolan ; et Jérome Wilgaux (directeurs d'ouvrage), Espaces d'échanges en Méditerranée : Antiquité et Moyen Âge : Antiquité et Moyen Âge, Rennes, Presses universitaires de Rennes, (ISBN 978-2-753531-55-0, lire en ligne), pages 20 à 25.
- Natacha Lubtchansky, « Chiusi étrusque et son territoire : archéologie et historiographie », dans Bonci Casuccini, Debora Barbagli et Mario Iozzo, Etruschi. Chiusi, Siena, Palermo : la collezione, Sienne, Compresso museale Santa Maria della Scala/Chiusi, Laboratorio archeologico, (ISBN 978-8-88024-178-2, lire en ligne), pages 241 à 248.
- Sabatino Moscati (trad. de l'italien), Les Italiques : l'art au temps des Étrusques, Paris, L'Aventurine, coll. « Arts et cultures », , 302 p. (ISBN 978-2-84190-008-4, BNF 35776240).
- Thierry Piel et Bernard Mineo, « Des rois étrusques à la genèse de la république : la construction des récits », dans Thierry Piel et Bernard Mineo, Et Rome devint une république... : 509 av. J.-C., vol. HA12, Clermont-Ferrand, Lemme edit, coll. « Illustoria / Histoire Ancienne », (ISBN 978-2-917575-26-0, ISSN 2116-7117), pages 5 à 52.
- Thierry Piel et Bernard Mineo, « Des rois étrusques à la genèse de la république : les dessous de l'histoire », dans Thierry Piel et Bernard Mineo, Et Rome devint une république... : 509 av. J.-C., vol. HA12, Clermont-Ferrand, Lemme edit, coll. « Illustoria / Histoire Ancienne », (ISBN 978-2-917575-26-0, ISSN 2116-7117), pages 53 à 98.
- Thierry Piel, « Luci et fora : des structures « supraciviques » et interethniques dans le monde étrusco-latin », dans François Clément ; John Tolan ; et Jérome Wilgaux (directeurs d'ouvrage), Espaces d'échanges en Méditerranée : Antiquité et Moyen Âge : Antiquité et Moyen Âge, Rennes, Presses universitaires de Rennes, (ISBN 978-2-753531-55-0, lire en ligne), pages 20 à 25.
- Jean-Noël Robert, Les Étrusques, Paris, Belles Lettres, , 335 p. (ISBN 978-2-251-41027-2, BNF 39268011).